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    La féérie des

    grands Magasins

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    Tous les ans au moment des fêtes, les Grands Magasins de Paris, le Printemps et les Galeries Lafayette décorent leurs vitrines avec des marionnettes animées, ainsi que des manequins pour représenter les grandes marques . Les personnages animés attirent beaucoup d’enfants . Voici quelques photos pour les fêtes de fin d’année .

    Dans l’espace

      

    Poupées Russes

      

    Hôtesses de l’air

    Karl Lagerfeld et Chanel

    Manequin

    La Liberté

    Partons en scooter

    l’éclairagiste

      

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    Montsoreau 

     

    Montsoreau est célèbre grâce à Alexandre Dumas et sa « Dame de Monsoreau » qui raconte de façon très romancée l’histoire de Diane de Méridor, alias Françoise de Maridor.
    C’est un joli village, aux rues escarpées et aux nombreuses maisons troglodytes, qui offre un superbe panorama sur son château en bord de Loire et sur le fleuve royal.
    Entre Montsoreau et Saumur on peut voir -par exemple à la Grande Vignolle- à la fois des vignes qui donnent le réputé Saumur-Champigny et de superbes habitations troglodytes directement creusées dans les falaises des bords de Loire, par opposition aux troglos de plaine présentés
    dans cet article.

    Montsoreau

    Le village de Montsoreau

    Montsoreau

    Montsoreau

    Habitations troglodytes

    Montsoreau

    Le château de Montsoreau

    Montsoreau

    Le domaine Filliatreau…

    Montsoreau

    … au pied de la Grande Vignolle

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    Pont du Gard

    Le génie romain à l'oeuvre

     

    Le «Pont du Gard» est situé en plein garrigue, à une trentaine de kilomètres de Nîmes, au débouché des gorges du Gardon.

    C'est en fait la partie la plus visible d'un long aqueduc, totalisant près de 50 kilomètres entre Uzès et Nîmes.

    Lorsque les Romains s'établirent à Nemausus (aujourd'hui Nîmes), peu avant notre ère, la cité gauloise ne tarda pas à grandir.

    La fontaine qui l'alimentait depuis sa naissance, plusieurs siècles plus tôt, s'avéra vite insuffisante.

    Au 1er siècle de notre ère, on décida donc de pourvoir Nîmes d'une adduction d'eau mais la seule source disponible toute l'année et d'un débit suffisant était la source d'Eure, à Uzès, à une trentaine de kilomètres au nord ! C'est donc pour capter ses eaux que l'on construisit un aqueduc d'Uzès à Nîmes.

    Malgré la faible distance reliant ces deux villes, l'aqueduc totalise près de 50 kilomètres car il doit franchir divers obstacles divers (vallées, fossés, montagnes) en conservant une faible dénivellation (71 mètres au départ et 60 mètres à Nîmes).

    Rien n'arrêta le génie romain, pas même la profonde vallée du Gardon, qui fut franchie, grâce à la pièce maîtresse de l'aqueduc : le Pont du Gard !

    À Nîmes, l'aqueduc terminait sa course au «Castellum Divisorium», un bassin de répartition vers les différents points de la ville (aujourd'hui rue de la Lampèze, au nord de la ville).

    Il aura fallu 10 à 15 ans pour la construction de l'aqueduc dont 5 ans pour la seule construction du Pont du Gard.

    Celui-ci mesure un peu moins de 50 mètres, sur trois étages, dont le dernier renfermait le canal proprement dit, d'une largeur de 1,20 mètre et d'une hauteur de 1,80 mètre pour une longueur de 275 mètres. Il est aujourd'hui condamné.

    L'eau coulait à raison de 400 litres par seconde et il lui fallait un peu plus d'une journée pour parcourir la distance.

    L'aqueduc fonctionna de 50 après JC jusqu'au début du VIe siècle ; après quoi, il fut victime de pillages car il représentait une source de matériaux de construction. Une première restauration fut entreprise au début du XVIIIe siècle.

    André Larané
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    A travers le livre "Hauts lieux, croyances et légendes de la France  mystérieuse", Claude Arz nous entraîne dans les hauts-lieux de l'étrange. L'abbaye de Mortemer, en Normandie, est hantée par le fantôme de Mathilde, la Dame blanche. La légende raconte que celui qui la voit avec ses gants noirs meurt dans l'année. Par contre, si elle porte des gants blancs, c'est un présage de mariage ou de naissance. © " Photo : Franck Fouquet
      
    Située dans le Maine-et-Loire, la caverne de Dénezé-sous-Doué est révélatrice de la fascination des hommes pour les entrailles de la Terre. Les 400 statues taillées dans le tuffeau de la caverne veillent autour d'un puits. Si les archives n'ont pas permis d'identifier les auteurs de ces personnages, certains historiens ont tout de même réussi à identifier ce site comme étant un lieu de guérison. © Photo : Franck Fouquet
      
    Haut lieu onirique de la vallée de la Loire, les jardins des Folies Siffait étonnent par l'étrangeté des vastes structures ruiniformes, composées d'escaliers en mousse qui ne mènent nulle part, de fenêtres murées et de pavillons noyés au milieu des ronces. © Photo : Franck Fouquet
      
    Amateur d'énigmes ésotériques et de confréries secrètes ou fervent lecteur du "Da Vinci Code", le mystère qui entoure le village de Rennes-le-Château devrait vous séduire. La légende raconte que Bérenger Saunière, curé de Rennes-le-Château, se serait considérablement enrichi grâce à la découverte d'un fabuleux trésor ayant appartenu aux Wisigoths. Il aurait entretenu également des relations avec des sociétés occultes dont le prieuré de Sion. ©  Photo : Franck Fouquet
      
    Le château du Plessis-Bourré, en Maine-et-Loire, est réputé pour l'énigme qui se dissimule derrière les étranges fresques ornant le plafond de la salle des gardes. Certains y voient un code crypté, réalisé par un alchimiste qui abriterait le secret de la pierre philosophale et l'élixir de longue vie... © Photo : Franck Fouquet
      
    Calendrier solaire, symbole de virilité, champs des morts ou culte des pierres ? Une mystérieuse fascination entoure le site mégalithique de Carnac. La croyance populaire attribua aux fées et aux géants l'origine des mégalithes. © " Photo : Franck Fouquet
      
    Plus de cent mille gravures de la préhistoire sont incrustées dans les roches de la Vallée des Merveilles. Ce site est considéré comme un sanctuaire, un lieu de pèlerinage consacré à des animaux totémiques mais l'abondance des inscriptions soulève bien des questions. Le pictogramme ci-dessus représenterait, selon Henry de Lumley , un sorcier du dieu Taureau et daterait de l'âge du bronze ancien (1800 à 1500 avant J-C). © " , Photo : Franck Fouquet
      
    Le château de Montségur fait parti de ses lieux où la légende des cathares s'est façonnée. Considéré comme le château qui aurait abrité le Graal, Montségur baigne aussi dans la légende du culte solaire. Chaque été, le 21 juin, les premiers rayons du soleil traversent les meurtrières du château et resurgissent de l'autre côté de la muraille. Cette histoire attire régulièrement les adeptes du New Age et les mystiques adorateurs du Soleil. © "  Franck Fouquet
      
    L'abbaye bénédictine troglodytique de Brantôme, en Dordogne, abrite une grotte insolite dite du "Jugement dernier". Les hauts-reliefs évoquent la mort vaincue par Dieu. Certains y voient plutôt la présence d'un dieu gaulois assis que les moines ont tenté de cacher en sculptant à ses pieds une fresque de pierre évoquant une danse macabre. © "  Photo : Franck Fouquet
      
     
    La maison de l'alchimiste médiéval Nicolas Flamel est pleine de symboles gothiques.  On peut même encore distinguer sur la devanture de sa demeure : "Ora et labora" qui signifie "Prie et travaille". Cet écrivain public et alchimiste français du XIVe siècle est en effet réputé pour ses recherches sur la pierre philosophale. © "  Photo : Franck Fouquet
      
    Le Mont-Saint-Michel est un excellent exemple de synthèse des croyances chrétiennes et celtes. Sanctuaire de Belenos, dieu gaulois du Soleil, ou demeure de l'archange Saint Michel ? © "  Photo : Franck Fouquet
      
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     Les femmes durant la première Guerre Mondiale

     

     

     

    A woman munitions worker welds at a work bench in an armaments factory, 1915. (Photo by Hulton Archive)





     



    Women munitions workers in Paris, 1916. (Photo by Topical Press Agency)



     



    Two women replace the traditionally male porters at Marylebone Station in London during the First World war. Original Publication: Illustrated London News, 1915. (Photo by Hulton Archive)





     



    A parade of women ambulance drivers during World War I, November 1915. (Photo by Topical Press Agency)





     



    Members of the Women's Fire Brigade with their Chief Officer, March 1916. (Photo by Topical Press Agency)





     



    Women's Army recruits drilling. United Kingdom, 8th May 1917. (Photo by Topical Press Agency)



     



    A woman shaping a steel knee splint at the Kensington War Hospital supply depot, November 1917. (Photo by Topical Press Agency)





     



    A young woman in an armaments factory in WWI. United Kingdom, circa 1916. (Photo by Hulton Archive)





     



    Women war workers march to Buckingham Palace in London. 29th June 1918. (Photo by A. R. Coster/Topical Press Agency)





     



    Miss D. Milman of the Women's Service League outside 67 Warwick Square, 1918. (Photo by J. J. Lambe/Topical Press Agency)





     



    Members of the Women's Royal Air Force arrive at Buckingham Palace, London, to attend a party for war workers. 25th July 1919. (Photo by Topical Press Agency)





     



    A member of the Women Porters At Marylebone Station Group giving a Great Central Railways carriage a thorough clean, 1914. (Photo by Topical Press Agency)





     



    A woman munitions worker operating a machine in an armaments factory during the First World War, circa 1915. (Photo by Hulton Archive)





     



    A British recruitment poster urging women to work in the munitions factories as part of Britain's homefront during World War I, circa 1916. (Photo by Hulton Archive)





     



    Women Navvies pushing loaded wheel barrows in Coventry during World War I, circa 1917. (Photo by Central Press)





     



    The Women's Reserve of the British Army National Motor Volunteers being addressed by an officer, October 1916. 1st October 1916. (Photo by Hulton Archive)





     



    Women war workers working in an engineering shop, 1917. (Photo by Hulton Archive)



     



    Women munitions workers in a Vickers factory maing shell cases, January 1915. (Photo by Topical Press Agency)





     



    A Woman working on an engine in an engineering shop, circa 1915. (Photo by Topical Press Agency)





     



    Members of the Women's Fire Brigade on a fire drill with hoses and extingushers at full force, March 1916. (Photo by Topical Press Agency)





     



    A member of the Women's land Army in WWI, circa 1916. (Photo by F. J. Mortimer)



     



    Women pulling apart old ledgers as part of the London & South West Railway's scheme to recycle paper. 16th April 1917. (Photo by Topical Press Agency)





     



    Women sorting paper for the London & South West Railway's scheme to clear out and recycle waste paper. United Kingdom, 16th April 1917. (Photo by Topical Press Agency)





     



    A woman at work in an armaments factory, circa 1914. (Photo by Hulton Archive)



     



    Women police appointed for duty at a munitions works trying on new boots. United Kingdom, 30th January 1917. (Photo by A. R. Coster/Topical Press Agency)





     



    Young women from Lowell in Massachusetts team up to form America's first Women's Death Battalion during World War I, inspired by their Russian counterparts, circa 1917. In front of the armoury where they drill are Mary Tully, Nina Hosington, Blanche Chengnon, Marie Provencher and Agnes Kelley. (Photo by Topical Press Agency/Hulton Archive)





     



    Women wait to ask about American Red Cross nursing positions in 1918. (Photo by Keystone View/FPG)
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