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Par Frawsy le 2 Novembre 2017 à 13:22
Votre Voiture Est-Elle Prête
Pour L’hiver?
Chaque année, les mauvaises conditions météorologiques en hiver sont responsables de plus d’un quart des accidents de la route, causant dégâts matériels, blessures, voire décès. C’est pourquoi, avec le retour de pluies diluviennes, de chutes de neige, du grésil, du brouillard, du vent et du verglas, votre famille et votre véhicule doivent être protégés.
Voici donc quelques conseils pour vous préparer à affronter l’hiver :
Changer vos essuie-glaces : La mauvaise visibilité est la principale cause des accidents de la route, plus particulièrement en hiver. Si vos essuie-glaces laissent des traces ou si les lames sont asséchées, rigides ou fissurées, il est grand temps de les remplacer. Profitez-en pour acheter une paire supplémentaire et laissez-les dans votre coffre, avec un bidon plein de lave-glace antigel.
Utiliser l’air conditionné : Cela peut sembler contre-productif, mais si les vitres sont embuées et gelées à cause du froid qui règne à l’extérieur, le système d’air conditionné de votre véhicule, ajusté à une température chaude, neutralisera l’humidité.
Vérifier les phares : La neige, la gadoue et la saleté peuvent couvrir les phares (et les feux de freinage), réduisant ainsi la visibilité pour vous et les automobilistes qui vous entourent. Nettoyez vos phares régulièrement, plus particulièrement après de longs trajets et lors de mauvaises conditions météorologiques.
Vérifier votre batterie : La batterie de votre voiture est moins efficace lorsqu’il fait froid, et l’huile du moteur s’épaissit, ce qui peut nuire au démarrage de votre véhicule. Faites vérifier votre batterie par des professionnels et faites-la remplacer si elle est en fin de vie. Évitez ainsi que votre batterie meure en pleine tempête de neige.
Réchauffer votre moteur : Si vous vivez dans une région où les températures chutent brutalement et si vous laissez votre véhicule à l’extérieur, envisagez l’installation d’un chauffe-moteur, que vous pourriez brancher sur une prise électrique.
Lubrifier vos serrures : L’humidité qui s’installe dans les portes ou les serrures du coffre peut geler lors de conditions extrêmes et nuire à l’ouverture des portes. Utilisez un vaporisateur de silicone pour lubrifier vos serrures avant qu’il ne fasse très froid. Et si vous êtes bloqué à l’extérieur, un antigel pour serrure peut être utile.
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Par Frawsy le 27 Septembre 2017 à 14:29
Sophie Fontanel: passer aux cheveux
blancs et l’assumer
Laisser libre cours à ses cheveux blancs, c’est ce qu’a fait la journaliste et écrivaine française Sophie Fontanel. Dans son quatorzième livre, Une apparition, elle revient sur cette transition – inspirante pour les uns, «confrontante» pour les autres.
Caroline R. Paquette du magazine Châtelaine
Photo: Antoine Harinthe
Vous avez entrepris d’arrêter les teintures en 2015. C’était après avoir vu une femme somptueuse à la chevelure de nacre dans un café de Saint-Tropez. Est-ce que votre réflexion était amorcée depuis longtemps?
Oui. Ce qui me faisait hésiter, c’est qu’il y avait très peu de représentations de femmes flamboyantes avec les cheveux blancs. Bien sûr, on a tous une grand-mère que l’on trouve magnifique, mais je parle de femmes à l’âge où la question se pose: est-ce qu’on teint ou pas? Chez celles qui avaient décidé de conserver leurs cheveux blancs ou gris, je ne sentais pas de jubilation à représenter le féminin de cette façon-là. Elles l’éprouvaient peut-être, mais elles faisaient profil bas.
Puis, j’ai commencé à croiser des femmes qui ressemblent à ce que je suis aujourd’hui. Je ne saurais dire si elles étaient jolies ou pas, mais elles avaient de belles allures, les cheveux blancs, longs, jusqu’à la taille même. Et chaque fois, je me disais: c’est pas possible comme c’est beau! La femme dont je parle dans mon livre m’a décidée, mais il a fallu que j’en vois cinq ou six avant.
Ça me faisait peur, au début, d’avoir la moitié de la tête blanche et l’autre noire. Mais je me suis rendu compte qu’il fallait bien que quelqu’un le fasse, un jour, en racontant comment on se sent. Finalement, j’ai appris qu’on n’en meurt pas, de ne pas avoir la tête de tout le monde! Les gens sur Instagram me disaient: «Si c’est réussi sur vous, nous le ferons.»
J’étais comme une porte-parole; ça m’a donné de la force. Pas que j’aie douté, mais je me sentais parfois comme le petit cheval dans le mauvais temps de la chanson de Brassens. J’avançais avec ces cheveux qui blanchissaient… Je n’ai pas eu le sentiment d’avoir du courage, mais je reconnais que c’était quand même courageux de le faire. On a beaucoup essayé de trouver une explication à votre geste: maladie, allergie ou autre. Comme pour L’envie (2011), d’ailleurs, dans lequel vous racontiez un épisode d’abstinence sexuelle volontaire.
Notre société est-elle fondamentalement allergique à la marge?
Les gens sont fascinés par la marge: ils achètent des chansons, regardent des séries qui la racontent. Mais quand quelqu’un la vit, tout à coup, ça fait peur. Moi, j’ai toujours fait autrement que ce que prescrit la norme. Si les réactions à ma transformation sont majoritairement positives, il y a des personnes que ça énerve. L’une d’entre elles a écrit sur Instagram que j’étais la fraude littéraire de la rentrée; elle voulait que je la rembourse. Plutôt que de mal réagir, j’ai répondu que je comprenais que ça la scandalise. Tous les gens qui ne font pas comme les autres sont des fraudeurs.
Mais il en faut.
Les médias ne font pas beaucoup de place aux femmes avec les cheveux blancs, ou alors c’est une place très formatée…
S’il y a une chose que mon livre va aider à changer, c’est ça. Il faut dépasser les représentations actuelles de la femme aux cheveux blancs, qui la dépeignent en Cruella, avec porte-jarretelles et air de tueuse, ou encore comme l’image même de la solitude, avec les rides creusées. Le fait est que les cheveux blancs arrivent très tôt sur la tête des femmes, et que beaucoup le vivent comme un renoncement. En effet, elles ne sont pas narcissisées par les magazines, le cinéma… Elles ont l’impression que quelque chose est fini, alors que ce n’est pas vrai. On peut avoir les cheveux blancs et être ultramoderne.
Votre rapport à la beauté était plutôt violent, avant, comme en témoigne le début de votre livre. Comment cette expérience vous a-t-elle transformée?
J’ai vraiment eu l’impression de me dévoiler. De m’offrir la liberté – une liberté qui n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais. On m’avait dit que je deviendrais transparente. Mais quand vous avez les cheveux blancs très longs, comme moi, tout le monde vous remarque. Il y a des jours où je me trouve belle, d’autres pas.
Quelqu’un a dit, un jour: «Sophie Fontanel, elle s’adore.» Non. Elle s’adore parfois, et enfin.
Une apparition, par Sophie Fontanel, Robert Laffont, 252 pages.
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Par Frawsy le 23 Septembre 2017 à 16:04
Quelle est l'origine de l'Oktober Fest à Munich ?
Par la rédaction de Futura
L'Oktoberfest à Munich est une fête qui célèbre la bière. Elle se déroule sur un peu plus de deux semaines, de la mi-septembre à début octobre.
L'Oktoberfest à Munich est une grande fête familiale qui existe depuis plus de deux siècles. Durant plus de deux semaines, elle s'installe sur 42 hectares proches du centre-ville, la prairie de Thérèse. Pour accompagner la bière, la gastronomie bavaroise est à l'honneur : saucisses, bretzels, choucroute, galettes de pommes de terre et nouilles au fromage.
La naissance de l’Oktoberfest à Munich
Les fêtes de la bière sont une tradition bavaroise. En 1810 a lieu la première Oktoberfest à Munich. Elle devait célébrer les noces du futur souverain, Louis 1er de Bavière, avec sa promise, Thérèse de Saxe-Hildburghausen, qui a donné son prénom au lieu des festivités. Cette première édition consistant en une grande course hippique attira 50.000 visiteurs et le roi Maximilien 1er en fit une fête nationale.
L’Oktoberfest à Munich, une fête familiale
L'Oktoberfest à Munich est une manifestation populaire pour toute la famille. La fête débute par un défilé de chars portant des tonneaux aux couleurs des différentes brasseries et accompagné en musique par des fanfares. Suit un défilé en costumes traditionnels. De nombreux lieux de rassemblement permettent de boire de la bière en groupe, sous des tentes, pendant que des musiciens font le tour des échoppes. Une immense fête foraine, avec l'indispensable grande roue, accueille les familles pendant toute l'Oktoberfest à Munich.
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Par Frawsy le 18 Août 2017 à 13:55
Île-du-Prince-Édouard: l’île aux gourmandises
L’Île-du-Prince-Édouard, la plus petite des provinces canadiennes, regorge de délices qui vont bien au-delà de ses populaires moules et patates.
Caroline Fortin du magazine ChatelaineLe chef Michael Smith dans son resto, le FireWorks.
Photo: Louise Savoie
Il est 18 h ou plutôt, comme on dit ici, c’est l’Oyster Hour. Le soleil plombe. Ses rayons font miroiter la rivière qui clapote au bout de l’immense terrain où jasent une soixantaine de convives, dont certains venus de l’Ontario et du Vermont pour vivre l’expérience « Feast » – le banquet en français.
Je suis au Inn at Bay Fortune, au sud de la pointe est de l’Île-du-Prince-Édouard, dans un domaine construit en 1913, où s’étendent jardins, serres et enclos. Dans cet endroit pas comme les autres, l’apéro se prend dehors quand il fait beau, au gré de stations installées sur l’herbe où l’on prépare et sert de quoi nous mettre en appétit. Je débute par le bar à gin tonic (à base d’alcools locaux), où je fais la connaissance d’un couple de Québécois en vacances. Alléchante odeur oblige, je me dirige ensuite vers le gril en plein air. Un cuisinier y fait rôtir des satays de bœuf de l’île à la sauce chimichurri qui fondent dans la bouche. Dans la cour arrière sont offertes des saucisses grillées à tremper dans une moutarde maison à la bière, puis dans une herbe ciselée de son choix – ce jour-là : shiso (une plante aromatique japonaise), menthe ou basilic, toutes cueillies à quelques pas de là. Simple, ingénieux… et délicieux !
C’est dans la salle à manger du bien nommé resto FireWorks que je découvre enfin la pièce maîtresse des lieux : un immense four en briques de huit mètres de large, où tout est cuit, fumé, grillé par la seule magie du feu – zéro électricité ou propane. Le saumon façon pastrami (c’est-à-dire épicé et fumé comme cette viande) qui en sort ? À créer une dépendance. Dans la cuisine, pendant que Cobey, l’affable chef cuisinier, découpe un énorme flétan frais pêché, j’entends des « oh ! » et des « wow ! » intrigants. J’en découvre vite la raison : le proprio du domaine, le chef-vedette Michael Smith – il a des émissions à Food Network – y écaille et y sert ses fameuses huîtres Colville garnies de granité au Bloody Mary… Inoubliable.
Un festin familialMichael Smith a quitté l’État de New York pour l’Île-du-Prince-Édouard en 1992, pour un contrat d’un an dans cette même auberge de la paisible Bay Fortune. Un an qui s’est étiré… En fait, il ne retournera jamais vivre au sud de la frontière. C’est ici que ce géant de la cuisine (il mesure six pieds sept pouces !) a lancé sa carrière d’animateur et d’auteur de livres de recettes à succès. Puis, en 2015, le destin cogne à sa porte : on lui propose d’acheter, avec sa femme Chastity, l’établissement où il a débuté. Il concrétise alors un rêve.
« Recréer ici l’ambiance du week-end à la maison : la famille, les amis, les enfants, une grande table et de la bouffe cuite sur le feu dans ma cour, avec des produits de partout sur l’île », raconte-t-il, sourire aux lèvres. Bref, servir de délicieux repas, rustiques et conviviaux, dans un resto qui était jusque-là reconnu pour sa cuisine élégante. « Je lui ai dit : ‘‘Tu es fou, mais je te fais confiance !’’ » rigole son épouse, chanteuse, parolière et mère des deux plus jeunes enfants de la famille, qui agit comme tenancière de l’auberge campagnarde de 17 chambres, la seule à détenir cinq étoiles sur l’île.
Photo: Louise Savoie
C’est d’ailleurs pour reconnecter ses invités à la matière première qu’il tient à faire son Oyster Hour à l’extérieur. « Nos employés les encouragent à se promener sur le terrain, à aller saluer les cochons, à visiter les jardins, la serre, lance-t-il. Nos cuisiniers mettent la main à la terre, récoltent les légumes et les fines herbes. À 51 ans, mon travail est maintenant de transmettre tout ce que j’ai appris sur l’île depuis 25 ans. Je veux partager ma passion pour la richesse de ce lieu magnifique et de ses producteurs. »Les produits chouchous de Michael
« Pourquoi je me plais à vivre ici ? Vous êtes sérieuse ? Pourquoi
je n’aimerais pas habiter à 10 minutes d’un homard frais pêché ? »
1 Les huîtres.« Toujours crues. Pas de citron, peut-être une mignonnette, mais je préfère notre granité au Bloody Mary. Pour le resto, je les commande chez mon voisin Dennis, à Bay Fortune, mais il ne suffit pas toujours à la demande. C’est pourquoi mes huîtres viennent souvent de Colville Bay. Toutes les huîtres de l’île sont des Malpèque. Elles tirent leur nom (Irish Point, Shiny Sea, Raspberry Point, etc.) de l’endroit où elles sont élevées. »
2 Les légumes marins.
« De l’autre côté d’ici, à Rollo Bay, on en cueille plusieurs variétés, comme la roquette, les pois, les épinards et les asperges de mer. La terre aussi ne cesse de m’étonner : cèpes, chanterelles, cresson sauvage… Dans ma cuisine, on ne manipule pas les légumes : on les sale, poivre, et on les saute dans du beurre. »
3 Les marinades à la moutarde.
« Chaque grand-mère des Maritimes possède sa recette de Mustard Pickles. On sert ces légumes piquants – souvent des haricots et du chou-fleur – avec la viande, le poisson et les
pommes de terre. »4 Les moules.
« En cuisant, elles produisent un bouillon fantastique, qui sert de base à notre chowder. Moi, je les préfère au bacon et à la bière. Je fais rôtir des oignons et du bacon dans une marmite, j’y ajoute de la bière et des moules, puis j’attends que celles-ci s’ouvrent. »
Flétan poêlé avec sauce romesco surmonté de marinades à la moutarde et de légumes marins.Photo: Louise Savoie
Voici enfin l’heure du fameux souper. La place de chacun est joliment marquée sur les longues tables communes. Le but de cette configuration : « Parler à ses voisins, casser la croûte et prendre du bon temps ensemble, résume Michael. Après tout, c’est ce qu’on fait dans les Maritimes : we chill out ! » Il faut dire que les plats nourrissent aisément la conversation – chowder surmonté de légumes marins, flétan poêlé sauce romesco, salade du jardin craquante, poulet braisé, légumes caramélisés, purée de pommes de terre à l’ail noir et, pour finir, tarte aux baies de l’île et… crème glacée au chou-fleur ! Les sceptiques, y compris ma très loquace petite voisine de six ans, sont confondus.L’ail noir d’Al
Al Picketts est le seul à produire de l’ail noir sur l’île.Photo: Louise Savoie
Il passionne les chefs et les foodies depuis quelques années. À l’Île-du-Prince-Édouard, Al Picketts est le seul à en produire. De quoi s’agit-il exactement ? L’ail noir est un condiment aussi fin qu’étonnant. Son goût – qui n’a plus rien à voir avec l’ail ordinaire – se rapproche du bonbon. Les gousses, devenues noires après une longue cuisson à humidité contrôlée, présentent des notes de dattes, de vinaigre balsamique et de mélasse. Et celles d’Al ont une texture si lisse et fondante qu’on a envie d’en étaler illico sur un bout de pain. Son secret ? Une technique patiemment développée et… un vieux frigo converti en four !
Le lendemain matin, après avoir dormi comme un bébé dans ma somptueuse chambre logée au sommet d’une tourelle, je ne peux pas croire que… j’ai encore faim. De toute façon, comment résister aux œufs bénédictine, confitures, smoothie et granola maison qui me narguent dans l’assiette ? Je me souviendrai longtemps de ce beurre noisette tartiné sur du pain maison et offert à tous les hôtes de l’auberge en cadeau à ramener chez soi.
Au FireWorks, le four sert aussi à fumer… le beurre d’arachides servi au petit-déjeuner. Photo: Louise Savoie
« L’Île-du-Prince-Édouard est un véritable paradis pour les chefs : mer, terre, pâturages. Il y a 25 ans, on exportait toute la pêche et les patates ! Il n’y avait pas grand monde qui s’intéressait à ce que ce territoire a à offrir sur le plan culinaire. Aujourd’hui, c’est une tout autre histoire… », dit Michael Smith, qui a pour son île un amour infini. On comprend pourquoi dès qu’on y pose les pieds.PRO DU BARBECUE
La grillade parfaite, selon Michael Smith.
Satays de boeuf sauce chimichurri.Photo: Louise Savoie
La bonne température. « Préchauffer ! La viande ne colle pas sur un gril très chaud. On s’assure qu’elle soit à température ambiante avant de la cuire. »
L’assaisonnement. « Environ 30 minutes avant la cuisson, on saupoudre généreusement de sel, poivre, épices à steak, ce qu’on préfère. »
La marinade. « Les sauces BBQ commerciales sont très sucrées. On peut en badigeonner la viande tout à la fin, quand elle est cuite, pour lui donner du goût. Sans quoi on n’obtiendra qu’une croûte sèche sur une pièce trop rose. » Si l’on marine sa viande, on la laque lorsque la cuisson s’approche du point optimal.
Le feu. « On cuit la viande sur des braises et non du feu ardent. Il faut éviter de laisser les flammes lécher la viande, car ça la brûle, en plus d’y laisser des résidus et un goût désagréable. »
La sauce chimichurri de Michael Smith
En Argentine, où la dégustation des grillades de bœuf est presque élevée au rang de religion nationale, le chimichurri est l’accompagnement indispensable. Ce condiment vinaigré et piquant aux allures de pesto s’utilise aussi bien en sauce que comme marinade.© Chef Michael Smith
Préparation : 10 minutes
Donne environ 500 ml (2 tasses)
1 bouquet de persil frais
1 bouquet de coriandre fraîche
1 bouquet d’origan frais
4 gousses d’ail
1/2 jalapeno, épépiné
60 ml (1/4 tasse) de vinaigre de vin rouge
125 ml (1/2 tasse) environ d’huile d’olive
1/2 c. à thé cumin moulu
1/2 c. à thé sel
PréparationDans le récipient d’un robot culinaire, mettre le persil, la coriandre, l’origan, l’ail, le demi-jalapeno et le vinaigre. Mélanger jusqu’à ce que les ingrédients soient hachés grossièrement. En gardant l’appareil en marche, ajouter l’huile graduellement et mélanger jusqu’à ce que la préparation soit crémeuse, sans devenir homogène – la sauce doit rester consistante. Ajouter le cumin et le sel. On peut utiliser cette sauce immédiatement, en accompagnement ou en marinade, mais elle gagne en saveur après une ou deux journées au réfrigérateur.
Huîtres et granité façon Bloody Mary
Les saveurs vivifiantes de cette garniture accentuent celles des mollusques sans écraser leur subtil goût de mer.Préparation : 45 minutes
(ouverture des huîtres comprise)Attente : 8 heures
1 boîte (398 ml) de tomates en dés
125 ml (1/2 tasse) de vodka
125 ml (1/2 tasse) de sucre
1 c. à thé sauce Worcestershire
1 c. à thé de sauce piquante de sa marque préférée
125 ml (1/2 tasse) environ de jus de citron fraîchement pressé
1/4 c. à thé sel
4 douzaines d’huîtres fraîches
Dans le récipient d’un mélangeur ou d’un robot culinaire, réduire en purée les tomates avec la vodka, le sucre, la sauce Worcestershire, la sauce piquante, le jus de citron et le sel. Verser la purée dans un plat peu profond. Couvrir et mettre au congélateur pour la nuit.
Le lendemain, défaire le granité en cristaux en le grattant avec une fourchette ou une cuillère. Transférer dans un pot ou un petit bol. Réserver au congélateur.
Ouvrir les huîtres. Juste avant de servir, garnir chaque huître d’une grosse cuillerée du granité glacé.Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique