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    Passeport pour l’imagination

     

     

    Par Ariane Boisvert publié le 24 juillet 2013 du site divine.ca

     

    Voyages et bricolages chez Michaels!

     

    Il y près d’un an, on vous annonçait que le géant américain du matériel d’art et d’artisanat Michaels débarquait massivement au Québec, inaugurant non pas un mais bien sept magasins.  À l’intérieur de chacun de ceux-ci, on peut trouver une section dévouée au cours d’introduction au bricolage pour les tout-petits. C’est là que sont offerts jusqu’à la fin août les ateliers Passeport pour l’imagination, une chouette et instructive façon d’occuper la marmaille à moindre coût! 

     

    En plus de permettre l’apprentissage des techniques de base de l’origami, du tissage de textile, de la sculpture, du maquillage et du papier mâché, Passeport pour l’imagination se veut une ouverture sur le monde. Oui, parce que chacune des sessions s’attardera sur la culture d’un coin du monde, que les enfants découvriront par un projet créatif.

     

    Parmi les œuvres qu’ils auront la chance de créer, on compte un moulin à vent hollandais, un pingouin de l’Antarctique en perles Pony, un mobile de poissons aux couleurs australes, un masque indonésien… Les petits globe-trotters travailleront sur deux projets lors de chaque atelier, un qu’ils rapporteront fièrement à la maison et l’autre qu’ils échangeront avec leurs voisins de table, question que des amitiés d’été se forment. 

     

    Et si vous êtes en quête d’idées de bricolage à réaliser avec votre bambin, rendez-vous sur le site de Michaels, qui propose de multiples projets faciles et amusants, en détaillant les étapes d’exécution ainsi que tout le matériel nécessaire. Amenez-en des après-midis de grisaille! (Mais pas trop, quand même…) 

     

    Que les mamans qui souhaitent s’offrir quelques séance de lèche-vitrines en solo inscrivent ces infos utiles à leur agenda!    

    Pssst… L’entreprise a créé une jolie vidéo présentant le Passeport pour l’imagination.

     

     

    Quand?

    Lundi, mercredi et vendredi de 10h à 12h, jusqu’au 23 août.

     

    Combien?

    2 $ par enfant.

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  • TÉH BAR - Quartier DIX30

    9180 boulevard Leduc, Suite 170

    Brossard J4Y 0L1

    www.fr.tehbar.com

     

    Par Caroline Elie publié le 23 juillet 2013 du site divine.ca

     

     

    La mecque du thé

    Le thé, cette tendance qui recrute de plus en plus d’adeptes depuis les dernières années gagne résolument à être connue. Si les chaînes spécialisées dans le domaine se font rares, elles sont toutefois ô combien invitantes! Notre dernier coup de cœur? Le Téh Bar, une boutique concept qui rend le thé encore plus branché.

     

    La boisson qu’on aime déguster paisiblement revêt ici plusieurs chapeaux. Tel un comptoir à épices, on arpente les différents étalages à la recherche de ce qui attirera notre regard. Désintox, chaï, chocolat: chacun trouve son compte au Téh Bar. On adore tout simplement la présentation des préparations qui sont mises en petites boîtes rondes à couvercles transparents. Le tout est classique, chic et épuré, rien de mieux pour représenter la folie émergente autour de la fameuse concoction. Et notre portefeuille s’en trouve aussi ravi, car les prix varient de 6 $ à 13 $ environ par sélection.

     

    On profite de notre passage par l’endroit pour humer les différents parfums et découvrir un univers des plus diversifiés. On craque pour la délicatesse des thés blancs, qu’on préférera frais en journée de canicule. On a aussi troqué notre café matinal pour une infusion de Yerba Maté, qui aide à la concentration et procure de l’énergie (le Maté Macchiato est un délice!). On fait provision de quelques saveurs pour la maison, et on pense aussi à ramener un coffret-cadeau du professionnel à chéri, un mignon ensemble de trois boîtiers faciles à traîner. Quelle jolie façon de l’initier à notre nouvelle addiction, pas vrai?

     

    Infuseurs colorés, tasses de voyage ultra pratiques, théières au gentil design; les accessoires nous font aussi de l’œil dans le magasin bien structuré. On se laisse tenter par quelques trouvailles de ce côté avant de quitter, thé vert pour emporter à la main, et de se féliciter de notre dernière trouvaille à garder dans notre si précieux carnet d’adresses!

     

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  • Juillet : quoi faire au jardin

     

     

    C’est le temps des vacances, mais pas au jardin! Consultez ce calendrier de travaux afin de profiter pleinement des beaux jours.

    25 juin. 2013 Hélène Baril de la revue Chatelaine
    Crédit : iStockphoto

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    Entretien général du jardin

    • Désherber et sarcler (surtout en période de sécheresse). Irriguer, au besoin, en respectant les restrictions municipales.
    • Inspecter les plantes afin d’y déceler rapidement les infestations d’insectes ou les signes de maladies.
    • Retourner le compost domestique et humidifier, au besoin.

     

     

    Crédit : iStockphoto

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    Arbres, arbustes et conifères

    • Par temps nuageux, planter les conifères ou les feuillus (arbres et arbustes) achetés en pots. Bien arroser avant et après la plantation.
    • Tailler les rosiers et les arbustes après leur floraison.
    • Irriguer les conifères et les arbustes à feuillage persistant.
    • Nettoyer le sol à la base des rosiers afin d’éviter les maladies fongiques.

     

    Crédit : iStockphoto

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    Vivaces

    • Planter les vivaces achetées en contenants. Bien arroser avant et après la plantation.
    • Couper les fleurs et les tiges florales fanées afin de favoriser l’émergence de nouveaux bourgeons floraux.
    • Tuteurer les vivaces de grande taille, au besoin.
    • Tailler légèrement les plantes couvre-sol, les nepetas et les delphiniums ayant déjà fleuri pour favoriser une nouvelle floraison.

     

    Crédit : iStockphoto

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    Potager

    • Récolter les légumes, les fines herbes et les petits fruits (fraises et framboises).
    • Vérifier les tuteurs des légumes et des petits fruits grimpants ou de grande taille.
    • Fertiliser les courges, les concombres, les tomates et les poireaux à l’aide d’un engrais riche en potassium.
    • Arroser en profondeur en période de sécheresse.
    • Retirer les nouveaux gourmands (les jeunes tiges qui poussent à la jonction de la tige principale et des branches portant des fruits) des tomates à croissance continue.
    • À la fin du mois, semer à nouveau les pois mange-tout, les épinards, les laitues et les radis.

     

    Crédit : iStockphoto

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    Annuelles et bulbes

    • Fertiliser les annuelles en pots.
    • Arroser les plantations au jardin et en pots.
    • Retirer les fleurs fanées.
    • Tailler légèrement les annuelles, au besoin, pour stimuler de nouvelles floraisons.
    • Au besoin, tuteurer les dahlias, les glaïeuls et les annuelles de grande taille.

     

    Crédit : iStockphoto

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    Pelouse

    • Irriguer régulièrement (en respectant la réglementation municipale), surtout en période de sécheresse, afin de contrôler les infestations de ravageurs, tels que la punaise velue et le ver blanc.
    • Tondre le gazon à une hauteur de 8 à 10 cm.
    • Laisser les rognures de tonte (herbicyclage) sur la pelouse (sauf si elle est très longue et qu’il y a beaucoup trop de rognures) pour fournir au sol des éléments nutritifs et de la matière organique qui l’enrichissent.
    • Désherber manuellement.
    • Ensemencer ou recouvrir rapidement de tourbe les zones endommagées par la sécheresse ou le désherbage avec des semences à gazon conçues pour des endroits ombragés ou ensoleillés.

     

    Crédit : iStockphoto

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    Bassin

    • Fertiliser les lotus et les nymphéas.
    • Ajouter la quantité recommandée de bactéries chaque semaine.
    • Vérifier le bon fonctionnement de la pompe à eau et la nettoyer, au besoin.
    • Retirer régulièrement les algues.
    • Nettoyer et tailler les plantes situées en bordure du bassin.

     

     

    Crédit : iStockphoto

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    Trucs et astuces de jardinière

    • Éviter de déplacer ou de diviser les plantes (vivaces, arbres, arbustes et conifères) en période de grande chaleur. Réserver ces travaux pour l’automne.
    • Profiter de la floraison abondante des végétaux pour créer de magnifiques bouquets.
    • Réduire l’éclairage au jardin en soirée et durant la nuit afin de prévenir la ponte de hannetons (vers blancs).
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  • Trip de filles en Corse

     

       

    12 juil. 2013 Par Mylène Tremblay | Photos: Jacques Maton | Recherche et guide: Marjorie Velut  0

    La nature sauvage et le lifestyle de l’Île de Beauté.

     

    Longtemps impénétrable et retranchée dans ses montagnes, l’île de Beauté se tourne aujourd’hui vers la mer… et les touristes. Mais pour la « connaître » de l’intérieur, rien de mieux que de l’explorer avec des copines installées là toute l’année !

     

    Sur la photo: Lieu de départ de notre pèlerinage, L’Île-Rousse, station phare de la Balagne, et son caillou de porphyre rouge qui s’avance dans la mer. La tour génoise de la Pietra fait sentinelle, comme toutes celles qui constellent le littoral, érigées à l’origine pour défendre l’île des invasions barbaresques.

     

     

    Ce n’est pas une île ordinaire. La Corse a son tempérament, sa fierté. Et elle se sait convoitée. Pensez : depuis plus de 7 000 ans, une vingtaine de peuples se sont disputé son territoire, d’une superficie équivalente à celle de Porto Rico. Mais de nos jours, ce ne sont plus les Vandales, les Pisans ou les Génois qui se l’arrachent (la Corse est passée dans le giron français en 1769 après sept siècles d’appartenance italienne), ce sont les touristes !

     

    Ce qui fait dire à certains que l’île de Beauté ressemble un tantinet à la Côte d’Azur d’il y a 50 ans (surtout n’allez pas le répéter !) Mais on se garde ici de bétonner le littoral, et les promoteurs immobiliers se font discrets. Très couru par les pipoles, ce joyau méditerranéen préserve jalousement sa beauté sauvage faite de pierres sèches, d’oliviers centenaires et de maquis embaumant l’immortelle, tout en cultivant son petit côté life­style à la Saint-Tropez.

     

    J’ai goûté aux deux, grâce à Marjorie Velut, Corse d’adoption qui m’a servi de guide, et à Carole Lambert, Québécoise expatriée qui vit dans l’arrière-pays depuis 20 ans. Chacune m’a fait découvrir – et aimer – la région de la Balagne, au nord-ouest de l’île. Avec l’une, j’ai gravi les collines et les villages, avec l’autre, j’ai fait les boutiques et les bars de plage.

     

    Sur la photo: La grande place de Calvi, l’autre centre urbain de la Balagne, après L’Île-Rousse. D’abord simple port de pêche, la ville s’est transformée au fil des ans en sublime port de plaisance où abondent les terrasses et les boutiques d’artisanat et de produits locaux.

     

     

    Sur la photo: L’été tire à sa fin. Les Corses ont repris possession de leur île. Balade avec Carole sur le sentier de bord de mer, près de la plage de Bodri, desservie par le tragulinu. Ce petit train comme on n’en voit plus qui relie les plages de sable blanc entre L’Île-Rousse et Calvi.

     

     

     

    Photo du dessus: Vue imprenable du cimetière de Sant’Antonino – la Corse jouit d’un patrimoine religieux important. Il n’y a pas si longtemps encore, on enterrait les morts dans les jardins.

     

    Photo du dessous: Derrière cette porte austère, le piano-bar Chez Tao-by. Tao, un ami de Jacques Higelin, qui lui a consacré une ballade, chante en s’accompagnant au piano. Les D.J. se relaient ensuite aux tables tournantes toute la nuit.

     

     

    La Balagne des gens heureux

     

    Laetitia Casta, Jacques Dutronc, Michel Fugain… Les stars ne viennent pas en Balagne pour se montrer, elles s’y réfugient, contrairement à ce qu’on fait à Saint-Tropez. Et c’est un peu le sentiment que l’on éprouve au faîte des montagnes surmontées de villages en chapelets. Tout en bas, le « jardin de la Corse » avec ses vergers, ses citronniers et ses oliviers, que l’on a replantés après les incendies pour repousser le maquis (la Balagne est le premier producteur d’huile d’olive de Corse, un or liquide d’appellation d’origine contrôlée).

     

    « On cultive la terre, mais aussi l’art de vivre », m’a fait remarquer Anne-Marie Piazolli, directrice de l’Office de Pôle Balagne. « Les Corses ont la réputation d’être fiers et authentiques, de considérer l’étranger comme un envahisseur. En Balagne, ils se nourrissent de la différence. Comme le dit le vieux dicton, Balaninu untu e finu – “Le Balanin est oint et raffiné !” »

     

    Quoi qu’en dise la dame, le Balanin voit le touriste comme son meilleur ennemi : content de le voir débarquer  – le tourisme fait rouler l’économie –, heureux de lui dire adieu à la fin de l’été !

     

    Sur la photo: D’escalier en escalier, on atteint le sommet de Sant’Antonino, perché en nid d’aigle entre ciel et mer. Les autos n’y ont pas droit de cité. On le visite à pied, à travers un dédale de rues étroites et de passages voûtés. Un univers minéral, dépouillé, sur lequel le temps n’a pas de prise.

     

     

    Sur la photo: Carole Lambert (à gauche) et moi faisons une pause soda à la terrasse de La licorne, derrière la Pinède. Au loin, la citadelle de Calvi.

     

     

    Photo du dessus: Immortelle, ciste, myrte, menthe sauvage... Les produits cosmétiques Casanera 100 % bios de Marie Ceccaldi tirent le meilleur des plantes du maquis. Vendus en Corse seulement (snif !) et utilisés au Spa du maquis, à La Signoria.

     

    Photo du dessous: Beau temps pour le shopping. L’embarras du choix pour les vêtements et les accessoires chez Chloé, une boutique de mère en fille, à L’Île-Rousse.

     

     

    Il y a tant à voir…

     

    Mon séjour s’achève. J’aurais pu vous parler de Monticello et Corbara, de Pigna et Algajola. Et de combien d’autres villages qui ont échappé à mon radar. Il faut apprivoiser la Corse doucement. Et ses habitants, plus lentement encore. J’avais quatre jours. Il m’en aurait fallu au moins 15 pour connaître (un peu) la Corse de l’intérieur. Même mes copines Marjorie et Carole, qui y résident depuis des lunes, demeureront à jamais des « étrangères ». Imaginez un peu les touristes… La prochaine fois, je mettrai le cap sur le Sud. J’irai arpenter les ruelles de la citadelle de Bonifacio et celles du quartier anglais d’Ajaccio, me prélasser sur les plages idylliques de Porto-Vecchio et faire le tour de l’île protégée de Cavallo, dite l’île des milliardaires, pour voir ce qui s’y cache. Avvèdeci !

     

    Sur la photo: La vie de seigneur ? Je l’ai vécue dans une suite de La Signoria, ancien domaine génois aux portes de Calvi, transformé en hôtel Relais & Châteaux. Au petit matin, j’ai ouvert les yeux sur la vallée de Bonifato et la chaîne de montagnes qui borde la côte – les seigneurs se sentaient plus en sécurité loin de la mer ! À mes pieds, un parc de trois hectares planté d’oliviers, d’eucalyptus et de palmiers. En matinée, baignade à la plage, l’après-midi, randonnée sauvage. On est loin des resorts !

     

    de la revue Chatelaine

     

     

     

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  • L’OSM dans les parcs

     

     

    Par Ariane Boisvert publié le 18 juillet 2013 - de divine.ca

     

     

    Sérénade citadine pour tous

     

    Votre agenda n’est pas loin? Bien! C’est le moment d’y marquer les dates des grands concerts dans les parcs que l’OSM offre gracieusement aux résidents de Montréal et ses environs. Cette année, ces grands ralliements de mélomanes  auront lieu à Repentigny, Boucherville et dans le quartier Ahuntsic. Sortez votre chaise de camping ou votre couverture de pique-nique: le récital s’annonce des plus agréables!

     

     

    Les irréductibles de ces soirées, qui ont eu lieu la première fois en 1938 alors que l’Orchestre était dirigé par Wilfrid Pelletier, savent qu’elles sont toujours animées par une personnalité fort sympathique. Cette fois-ci, c’est Charles Lafortune qui sera notre hôte, succédant à Sébastien Benoît qui aura rempli les fonctions pendant trois ans. 

     

    À la barre de notre cher orchestre, Nathan Brock, jeune chef qui fait présentement une résidence à l’OSM, reprendra du service pour une deuxième année. Il s’attaquera entre autres à des pièces de Moussorgski, Khatchatourian et Verdi , en plus de trois œuvres «mystères» choisies par le public. 

     

    L’équipe aux commandes de l’événement a imaginé un joli concours qui réjouira les «geekettes» amatrices de musique classique. À l’aide du mot-clic #OSMParcs, les spectateurs seront invités à photographier et à partager sur Instagram des photos de la soirée. Les trois photographes qui auront pris les plus jolis clichés se mériteront chacun une paire de billets pour un concert de leur choix à la Virée clasique 2013. Suffit de suivre le compte Instagram de l’OSM: @osmconcerts… À vos téléphones intelligents, toutes!

     

     

    QUAND + OÙ?

    Mercredi le 31 juillet à Repentigny, au Parc de l’Île-Lebel à 19h30.

    Jeudi le 1er août à Boucherville, au Parc de la Rivière-aux-Pins à 19h30.

    Vendredi 2 août à Montréal, au Parc Ahuntsic à 19h30.

     

    COMBIEN?

    Toujours aussi gratuit!

    Bonne sortie

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