• 5 trucs pour des photos

    de voyage réussies

       

    3 juil. 2013 Photos et texte de Vincent Fortier

    de la revue Chatelaine

     

    Comment faire de vos clichés des oeuvres d’art.

     

    Comment faire de vos clichés pris sur la route des chefs-d’œuvre que vous voudrez accrocher au mur.

     

    1. N’ayez pas peur des gros plans

    Vrai, les gros plans cachent souvent le contexte dans lequel la photo a été prise. Mais ils complètent à merveille une vue plus générale et permettent de donner libre cours à votre côté plus artistique! Pour vos plans rapprochés, tentez d’inclure un élément qui rappellera l’endroit où vous êtes : un drapeau ou une inscription dans la langue du pays, par exemple. N’ayez pas peur de vous rapprocher d’un sujet (même vivant) ou de vous amuser avec le zoom.

    Sur les photos : une partie de la tour Eiffel qui, vue de près, ressemble à de la dentelle. À droite : le centre-ville de Londres. Grâce au gratte-ciel Cornichon, on sait au premier coup d’œil qu’on est dans la capitale britannique. 

     

     

    2. Regardez en haut et en bas

    Le meilleur moyen d’obtenir des photos originales est de varier les angles et les points de vue. Levez le nez ou pointez votre appareil vers le bas (accrochez-le bien à votre cou!). N’hésitez pas à vous déplacer : montez sur une colline ou un balcon, couchez-vous carrément au sol. Au restaurant, les tables vues de haut font toujours des clichés intéressants.

    Sur les photos : un manège en contre-plongée, à Londres.

    À droite : le Serbe Janko Tipsarevic en train de s’entraîner, à Wimbledon, vu du haut du « court » no 2.

     

    3. Ajoutez de la vie

    Un paysage, c’est beau, mais ça manque parfois de vie. En y incluant une figure humaine (ça n’a pas besoin d’être vous!), on ajoute du souffle, mais on donne aussi un ordre de grandeur aux sujets. Un enfant à côté d’une pyramide ou d’un phare, par exemple, aura l’air minuscule et donnera une idée plus concrète de la hauteur des monuments ou des lieux visités. Si vous souhaitez faire un portrait, demandez la permission à la personne concernée.

    Sur les photos : l’escalier roulant de bois du tunnel souterrain d’Anvers, en Belgique. Au centre : promenade pluvieuse au Jardin des Tuileries, à Paris. À droite : les gradins du Stade olympique de Berlin. 

     

    4. Utilisez le ciel et l’eau

    Le ciel, qu’il soit tout bleu, tout gris ou tacheté de nuages floconneux, est toujours une toile de fond spectaculaire. Les plans d’eau, eux, deviennent des miroirs qu’il faut absolument exploiter. En respectant la règle des tiers (un tiers de ciel et deux tiers d’eau, par exemple), vos photos attireront davantage l’attention de la personne qui les regarde.

    Sur les photos : le pont Victoria, à Montréal, vu de l’île Sainte-Hélène. À droite : the Eye, la grande roue de Londres. 

     

    5. Soyez patients!

    C’est la règle la plus importante en photographie : attendre le moment décisif. Vous êtes en vacances, non? Alors pas de stress. À Amsterdam, ce ne sont pas les cyclistes qui manquent, mais devant ce stationnement à vélos (image de gauche), c’est cette femme à la bicyclette rose qui donnait le plus de poids à la photo. Tout vient à point à qui sait attendre, dit-on. En attendant le moment parfait, vous pouvez faire des tests et ajuster les réglages de votre appareil photo. Tout sera prêt pour le moment de grâce, qui ne dure généralement que quelques secondes…

    À droite : une piétonne vue par une ouverture dans le mur de Berlin.

     

    Maintenant à vous de faire des chefs d'oeuvre.

     

    Frawsy

     

     

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  • Zoofest 2013

     

    www.zoofest.com

    à Montréal

    Par Ariane Boisvert publié le 5 juillet 2013

    Juillet, mois du rire déviant

    Depuis hier et pour le mois à venir, Zoofest fait planer une atmosphère givrée dans les petites salles de spectacle de la métropole. Avec en tête sa mission de promouvoir la relève de l’humour franco comme anglo, le festival a cette année un appétit élargi. Pour un public paré à être choqué, une programmation comptant pas moins de 300 artistes qui livreront des performances à saveur de stand-up, de théâtre et d’impro, ayant en commun leur caractère complètement déjanté.

     

    Avec des titres comme Corps à corps avec Frite et Moule, On est tous des pompiers, Le Show de bébelles ou encore Terroriste blanc d’Amérique, on comprend que Zoofest fait une fois de plus la part belle à l’humour à prendre au millième degré. Et voilà qui n’est pas pour nous déplaire!

     

    L’édition 2013 – qui marque le cinquième anniversaire du festival – compte aussi sur une forte présence de demoiselles. Celles qui veulent goûter à la relève de l’humour au féminin iront voir Mélanie Couture dans la formule 60 minutes avec..., Mariana Mazza et Virginie Fortin en Double tête d’affiche, Mathilda Kamuena dans un spectacle musical qui promet, les Greatest hits de la désopilante Cathleen Rouleau… Par chance, la Zoopass est de retour!

     

    Mais parlons-en un peu, de cette Zoopass. Première constatation: son prix a augmenté de dix dollars et atteint maintenant 49,99 $. L’option demeure tout de même avantageuse, et devient rentable après 3 spectacles. La passe donne toujours accès à tous les spectacles qui n’affichent pas «complet». Voilà de quoi vous offrir une dizaine d’heures de spectacle par jour, si l’envie vous prend. Vous préférez l’option à la carte? À moins de 20 $ le billet, votre portefeuille ne s’en tirera pas trop mal. 

    Quand: jusqu’au 28 juillet.

    Où: un peu partout en ville.

    Combien: une vingtaine de dollars le billet, 49,99 $ pour la Zoopass.

     

    du site divine.ca

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  • Familles recomposées:

    les droits des nouveaux conjoints

     

     

    Par Nathalie Côté

    http://www.protegez-vous.ca

    Mise en ligne : juin 2013 | Magazine : juillet 2013

     

    Votre nouvelle flamme a des enfants que vous côtoyez régulièrement. Sachez quels sont vos droits envers eux.

     

    En donnant son cœur à Stéphane*, Mélanie* a hérité du titre un peu péjoratif de belle-mère. Elle était cependant heureuse de voir débarquer dans sa vie les deux bambins de trois et cinq ans. «Je me disais que nous allions former une famille avec trois parents en quelque sorte», raconte-t-elle.

     

    La mère des enfants ne voyait toutefois pas les choses du même œil. Après six ans, la relation est toujours aussi tendue entre Mélanie et l’ex-conjointe de son amoureux.

     

    Elle ne peut aller chercher les enfants à l’école, même en cas d’urgence. Elle doit également laisser à Stéphane toute la discipline les touchant. Elle ne les aide pas non plus dans leurs devoirs, à moins que l’un d’eux ne lui pose une question. «Je suis plus une observatrice qu’une participante dans leur vie», déplore-t-elle.

     

    L’autorité parentale

     

    L’histoire de Mélanie et de Stéphane est un cas extrême. N’empêche que les beaux-parents n’ont pas tous les droits vis-à-vis des enfants nés d’une union précédente. Au Québec, l’autorité parentale revient aux deux parents, même si l’un d’eux n’a pas la garde des enfants. À moins, bien sûr, d’en être déchu par le tribunal pour cause de violence, par exemple.

     

    Les parents sont donc les seuls à pouvoir prendre des décisions importantes concernant les enfants, comme le choix de l’école et de la religion, ou l’autorisation pour un traitement médical. Ils peuvent toutefois déléguer les «petites décisions du quotidien», comme les conduire à une activité sportive ou choisir le menu du souper. «Un parent a le droit de faire appel à des gens dans son entourage pour l’aider, signale Catherine Clermont, avocate. Il faudrait une très bonne raison pour écarter le nouveau conjoint de la vie des enfants.»

     

    Même si rien dans la loi n’interdit à Stéphane de confier certaines responsabilités à son amoureuse, il a toutefois préféré acheter la paix avec son ex-conjointe, histoire d’éviter les batailles inutiles.

     

    Une nouvelle loi?

     

    Pour s’adapter à la réalité des familles recomposées, le gouvernement libéral a déposé, en juin 2012, un projet de loi touchant la question de l’autorité parentale. Ce projet promettait d’accorder plus de droits aux beaux-parents. Avec l’autorisation du tribunal, les parents auraient pu partager l’autorité parentale avec leur nouveau conjoint si ce dernier habite avec l’enfant depuis plus d’un an. Cependant, des élections ayant eu lieu depuis, il nous a été impossible de savoir, malgré nos demandes répétées, ce que le nouveau gouvernement entendait faire à ce sujet. Pour l’instant, c’est donc le statu quo.

     

    Mais, même si elle avait été adoptée, la loi n’aurait sans doute rien changé pour Mélanie. Pour partager l’autorité parentale, il aurait aussi fallu le consentement de l’enfant s’il est âgé de 10 ans et plus… ainsi que celui de l’autre parent. «Je n’oserais même pas en faire la demande», dit-elle. Mais avec l’accord de la mère, elle aurait pu procéder à l’inscription des enfants à l’école et autoriser leur vaccination, par exemple.

     

    En cas de séparation

     

    Si le droit québécois ne reconnaît aucun statut juridique aux beaux-parents, ceux-ci ont quand même des droits en cas de séparation. «Ils peuvent obtenir de la cour un droit de visite auprès des enfants de leur ex», explique Marie Annik Walsh, avocate et présidente de l’Association des avocats et avocates en droit familial du Québec. La relation doit toutefois avoir été assez longue pour démontrer qu’un lien significatif a été tissé avec l’enfant.

     

    Si le couple était marié, l’ex-conjoint peut même être obligé de verser une pension alimentaire pour les enfants de l’autre. «Il n’est toutefois pas possible de recevoir de pensions alimentaires de deux personnes», précise Me Walsh. Cette obligation n’existe pas pour les conjoints de fait.

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  • 3 beaux villages de Portneuf à découvrir

    Située à l’ouest de Québec, la région de Portneuf se découvre par l’ancien chemin du Roy, qui fut dès 1734 la première route carrossable au Canada. Ce chemin qui longe le fleuve traverse trois beaux villages: Deschambault-Grondines, Cap-Santé et Neuville. À découvrir!

    www.lamaisondeschambault.com

     

    Les trois municipalités sont membres de l’Association des beaux villages du Québec et, depuis peu, de la Fédération des plus beaux villages de la terre. Rien de moins! Avec leurs vieux moulins, leurs églises et presbytères anciens et leurs manoirs seigneuriaux, ces lieux sont remplis d’histoire et de charme.

     

    Deschambault-Grondines 

     

    Commençons notre visite à la municipalité de Deschambault-Grondines – fruit d’une fusion en 2002. On dit que c’est le vent grondant sur les battures du fleuve et les gros cailloux roulant sur les rives du cours d’eau qui ont valu à Grondines son nom. Le village a d’abord été construit en bordure du fleuve, puis reconstruit vers 1840, un peu plus haut, à l’abri des marées et des inondations. De cette époque, seul a survécu un moulin à vent du Régime français. Au village, l’église néogothique, surmontée de deux clochers asymétriques, marque le début de la rue Principale où s’alignent de charmantes maisons de bois d’inspiration victorienne.

     

    En arrivant à Deschambault, le village voisin, on découvre, cachés derrière un rideau de verdure, les beaux moulins de la Chevrotière, l’un datant de 1767 et l’autre de 1802, et restaurés durant les années 1970 après avoir été longtemps abandonnés. Deschambault était autrefois la capitale des pilotes du Saint-Laurent. On trouvait un pilote à presque toutes les deux maisons ! Le village est remarquable. Dans la rue Principale, au tracé sinueux, s’enfilent des habitations de style normand, victorien, mansardé ou d’inspiration française, la plupart bien restaurées. 

     

    Tout le coeur du village est classé site historique. On y trouve l’église de 1837, construite par Thomas Baillargé, le vieux presbytère de 1815 transformé en salle d’exposition ainsi que le nouveau presbytère de 1872, la salle des habitants, le couvent, le cimetière et le cap Lauzon, qui offre une vue saisissante sur le fleuve.

     

    L’église de Deschambault, de facture baroque, aurait été décrite dans un ouvrage européen comme l’un des plus beaux monuments du monde, nous a révélé un antiquaire de l’endroit. Elle possède un orgue de type anglais dû au facteur d’orgues Samuel R.Warren, des pièces d’orfèvrerie signées Ranvoyzé et Amiot, six belles statues sculptées par Thomas et François Baillargé, sans oublier deux anges magnifiques réalisés par Louis Jobinet et qui, autrefois, ornaient l’entrée du cimetière paroissial. Sur la place de l’église, se tient les samedis de l’été un marché public où se rassemblent les producteurs locaux.

     

    On y trouve également le vieux magasin général Paré qui date de 1866 et un antiquaire où l’on va dénicher la pièce rare… Deschambault célébrera l’an prochain le 300e anniversaire de sa fondation. «Le village sera animé d’une foule d’activités intéressantes», promet le maire Gaston Arcand, qui est aussi président de l’Association des beaux villages du Québec.

     

    Cap-Santé

     

    Cap-Santé est un autre lieu des plus charmants. Une légende rapporte que, au siècle dernier, des soldats souffrant d’un mal inconnu ont miraculeusement recouvré la santé grâce à un remède trouvé au village. Vous pouvez laisser votre voiture sur la place de l’Église et emprunter à pied le Vieux- Chemin, qui épouse le fleuve. Bordé de belles vieilles maisons de bois et de pierre et recouvert d’une voûte feuillue, ce chemin fait partie, selon le Globe and Mail, des 20 rues les plus belles et les plus pittoresques du Canada. 

     

    Dans cette rue se trouve la maison de Marie Fitzbach, fondatrice de la congrégation des Soeurs du Bon Pasteur, qui a vécu à Cap-Santé de 1826 à 1840. L’église du village, construite durant le Régime français, est la plus ancienne de la région. Son intérieur est baroque, mais tout ce qui s’y trouve est québécois : qu’il suffise de mentionner l’orgue de Napoléon Déry, les pièces d’orfèvrerie créées par Amiot et Sasseville, des tableaux d’Antoine Plamondon et de Joseph Légaré, les sculptures de Jobin… et aussi la très belle collection de vêtements liturgiques brodés par des dames de Cap-Santé.

     

    Le village est bien connu pour son Marché de Noël d’antan, qui en sera à sa treizième édition en 2013. L’événement a lieu durant la dernière fin de semaine de novembre. Plus de 70 artisans présentent leurs oeuvres dans des maisonnettes colorées sur la place de l’Église. Les visiteurs peuvent y déguster des vins chauds, des tartes maison et divers produits du terroir.

     

    En automne, Cap-Santé offre l’événement «tartes en fête». Les femmes du village préparent pour l’occasion des fournées de tartes aux multiples saveurs. L’événement a lieu de la fin de semaine de la fête du Travail à celle de l’Action de grâces. Le village tient aussi en juin son événement «Biennale Cap- Santé riche en couleurs», ses dimanches en musique, en août à l’église, et ses soirées de théâtre, les vendredis, samedis et dimanches de juillet sur la place de l’Église avec la troupe Théâtre Cap-Santé.

     

    Le village de Neuville 

     

    Le village de Neuville n’est pas situé sur le bord de l’eau, mais construit sur trois plateaux devant le fleuve. C’est sur le deuxième plateau que se trouve la plus grande concentration de maisons anciennes. Ce village possède au-delà de 150 habitations ayant plus de 100 ans, dont plusieurs datant du Régime français et qui ont été bien restaurées. Un circuit du patrimoine bâti permet de les découvrir à pied. 

     

    Mais le joyau du village, c’est l’église avec son immense baldaquin de bois datant de 1695 (pour la visiter, on s’adresse à la Société d’histoire du lieu). Il a été sculpté en noyer cendré et commandé par Mgr de Saint-Vallier pour la chapelle de son palais épiscopal de Québec. Mais en 1717, alors que sévissait la famine dans sa ville, Mgr de Saint- Vallier échangea le baldaquin contre du blé fourni par Neuville afin de nourrir les démunis. L’église contient aussi des vases sacrés d’Amiot et Sasseville, un orgue Napoléon Déry, classé pièce historique, un autel de François Baillargé ainsi qu’une collection de 27 tableaux du peintre Antoine Plamondon. 

     

    Portraitiste de renom et peintre religieux du Bas-Canada, Antoine Plamondon fut le premier maire de Neuville, après l’abolition du régime seigneurial en 1854. Sa maison existe toujours au village. À Neuville, on trouve également une chapelle de procession en pierres des champs datant de 1835 et le manoir seigneurial de la famille Larue. 

    C’est à Neuville (qu’on a appelé Pointe-aux-Trembles de 1716 à 1920), nous apprend Jean Morrissette, président de la Société d’histoire de Neuville, qu’est arrivé le plus gros contingent de Filles du Roy pour fonder la colonie. En effet, 48 Filles du Roy y sont venues pour épouser des hommes du village. On célèbre cette année le 350e anniversaire de l’événement. Neuville est aussi connu pour ses grands champs agricoles et sa route des stands maraîchers. Et son maïs? Il paraît que c’est le meilleur!

     

    Nos bonnes adresses

    Angélus Bistro. 

    Un petit endroit sympathique où l’on peut apprécier les saveurs du terroir portneuvois, tout en écoutant de bons chansonniers. 241, chemin du Roy, Deschambault-Grondines. 

    www.angelusbistro.com 

     

    Auberge La Maison Deschambault. 

    Belle grande demeure de pierre construite en 1790 et entourée d’arbres centenaires. On y savoure la douceur du décor et de la table qui est réputée. 128, chemin du Roy, Deschambault-Grondines.

    www.lamaisondeschambault.com

     

    Café Bistro de la Place. 

    Café bistro simple et sympa sur la place de l’Église de Cap-Santé.

    www.cafedelaplace.ca

     

    Auberge aux Quatre Délices. 

    Maison du XVIIIe siècle. Quatre belles chambres sous les combles. Cuisine raffinée aux saveurs du terroir et terrasse avec vue sur le fleuve. www.aux4delices.com Information Tourisme Portneuf: 1 800 409-2012.

    www.portneuf.com 

     

    L’Association des beaux villages du Québec

     

    C’est en 1998 qu’a été créée l’Association des beaux villages du Québec. Son but: promouvoir la préservation et la mise en valeur du patrimoine architectural et historique des villages québécois ainsi que la qualité du paysage. Elle regroupe 35 villages répartis dans 11 régions touristiques du Québec. La plupart de ces villages sont situés près d’un cours d’eau, le fleuve ou une rivière. Mais n’est pas beau village qui veut. En 2011, sur la dizaine de demandes qu’a reçues l’organisme, seuls deux villages ont été acceptés. Une telle adhésion signifie que le village satisfait à des normes rigoureuses: qualité du site, qualité architecturale, qualité de l’urbanisme et existence de politiques municipales pour la mise en valeur du lieu, telles qu’un PIIA (programme d’implantation et intégration architecturale) et un CCU (comité consultatif d’urbanisme).

    www.beauxvillages.qc.ca  

     

    La Fédération des plus beaux villages de la terre

     

    Cette association a vu le jour en 2003. Son programme est vaste : promouvoir le patrimoine des beaux villages et partager des connaissances sur la sauvegarde du patrimoine bâti, des paysages et du patrimoine immatériel. En font partie des associations de beaux villages de France, de Wallonie, du Japon, d’Italie et du Québec.

    www.les-plus-beaux-villages-de-france.org/fr/les-plus-beaux-villages-de-la-terre

    Mise à jour: juin 2013

    Article du Bel Âge

     

     

     

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  • BALNEA spa, réserve thermale

    319 chemin Lac Gale 

    Bromont-sur-le-lac, J2L 2S5

    450 534-0604

    www.balnea.ca

     

     

    Détente, gourmandise et Cie

    Allez, vaillante travailleuse, écoutez cette petite voix intérieure qui vous incite à quitter la ville pour une séance ultra-détente. Surtout que, pour procéder, pas besoin de vous réfugier en forêt, à des centaines de kilomètres de la maison. Que nenni! Pour changer d’air, cap vers Bromont-sur-le-lac. Destination: spa et réserve thermale BALNEA. En plus de l’impressionnante liste de soins offerts, on y tient le temps d’un été un happening gourmand. L’été des chefs, c’est une autre craquante raison de fuir patron, béton et klaxons!    

    À moins d’une heure de Montréal, on trouve BALNEA. Et lorsqu’on y arrive, paf! chaque fois, c’est immanquable: la relaxation s’empare de nos corps. C’est que, pour délasser nos vaillants muscles, l’établissement met à la portée de ses visiteurs une foule de services sur mesure. Massages, soins visage et corps, yoga, saunas panoramiques, bain turc, bains à remous extérieurs, bassin en forêt, chute thermale, cinéspa, solarium, lounges, Club de plage et terrasses… vraiment, impossible d’y rester stressée. 

     

    Mais voilà qu’on ajoute le facteur « fin gourmet » à l’exercice. Chaque dimanche, un chef réputé viendra y dévoiler sa création inspirée par l’endroit, qui sera offerte toute la semaine suivant sa visite. Les talentueux cuistots de restos tels que Ferreira Café, Leméac, Chez L'Épicier, ou encore DECCA 77 iront y épater la galerie. L’événement se déroule jusqu’au 4 septembre.

     

    Et maintenant, le moment concours du billet. Oui, oui! Car après votre dégustation du plat SAVEUR BALNEA, on termine l’expérience en beauté en participant au concours qui donne droit au grand prix: carte annuelle pour couple au BALNEA,  tournée gastronomique des neuf restaurants pour deux, livres de recettes des chefs dédicacés et 500 $ en équipement de cuisine. Rendez-vous sur www.etedeschefs.com afin de participer, en y laissant votre appréciation du repas. N’oubliez pas de conserver votre facture!  

     

    Consultez le site Web du BALNEA afin de planifier votre prochaine escapade. 

     

    Ouvert tous les jours de la semaine lors de la saison chaude.

     

    Par Émilie Carignan publié le 20 juillet 2010

     

    du site www.divine.ca

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