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Par Frawsy le 19 Juillet 2015 à 16:22
Qu’est-il passé par la tête des auteurs de ces statues bizarres ?
Les statues les plus étranges au monde ?Les artistes ont l’habitude de nous surprendre, de nous étonner, et certains osent dépasser les limites du conventionnel pour provoquer. Mais la plupart du temps, les sculpteurs et artistes restent originaux pour créer des statues créatives, alors que d’autres misent sur le gigantisme pour impressionner avec des statues monumentales.
Souvent, voire toujours, les artistes s’inspirent d’un sujet, d’une légende, ou de contes de fées, mais là, on doit avouer que l’on ne sait pas ce qui est passé par la tête des auteurs de ces statues vraiment bizarres. Extraordinairement étranges, on se demande même si elles existent encore pour quelques-unes d’entre elles…
PUBLICITÉVous allez voir que l’art atteint des sommets quand il s’agit de l’absurde, ou du génie, on ne sait pas trop :
Fontaine de vomissements, South Bank, Londres, Angleterre
Une sculpture représente des hommes vêtus de lave, en train de vomir l’eau de la fontaine.
Une statue à Marikina, Philippines
Ce médecin, semble-t’il, récupère les rejets fécaux d’un enfant malade.
Un Caganer géant à Barcelone, Espagne
Le caganer est un santon que l’on trouve en Catalogne.
Femme nue montant un coq en tenant une énorme fourchette, Cuba
Cela a t’il du sens pour vous ?
Un canard mille-pattes à Bruxelles, Belgique
Au FUTURA Centre for Contemporary Art, Prague, République tchèque
Vigeland Sculptures Park, Oslo, Norvège
Fontaine de l’ogre (« du mangeur d’enfant »), place de la halle au grain, Berne, Suisse
« Santa Claus », nain présentant un petit arbre dans une forme abstraite rappelant celle d’un plug anal, Rotterdam, Pays-Bas
Mi-fille mi-poisson, Washington, USA
Une statue effrayante fait pipi à Helsinki, Finlande
Devant le musée Franz Kafka à Prague
Étrange arc en ciel à Kiev, Ukraine
À Fengdu, Chine
Le lait, c’est vachement bon, Reykjavík, Islande
Kate Moss fait du Yoga, une statue en or achetée 1 M de dollars, quelque part en Asie
Spider-man en érection à Busan, Corée du Sud
Burnside Fountain ou « Garçon tortue », Worcester, Massachusetts, USA
Un homme danse avec un poisson, Chicago, USA
Bébé qui plane, Singapour
Verity, une statue bizarre à Ilfracombe, en Angleterre
Femme qui allaitent à Nuremberg, Allemagne
« Kanchô », Japon
Kanchô est une farce souvent jouée au Japon; on la fait en joignant les mains paume contre paume, en refermant tous les doigts sauf les index pointés, serrés l’un contre l’autre, en essayant de les insérer dans la région anale d’une victime lorsqu’elle ne regarde pas… Très marrant.
L’erreur de calcul de Superman, Berlin, Allemagne
« Spiderchameau », Abu Dhabi
Pauvre alligator, New York
Ronald Macdonald’s décapité, Venise, Italie
Des enfants jouant sur un alligator, Mountain View, Californie
Une femme-crabe à Singapour
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Par Frawsy le 15 Juillet 2015 à 17:14
Beaune par la grâce de Guigone de Salins
source : Détours en France, n°163, octobre-novembre 2012, p. 42Publié le 20/01/2015L'hôtel-Dieu de Beaune, chef-d'œuvre de l'art bourguignon, doit son existence à Guigone de Salins, femme du chancelier des ducs de Bourgogne, Nicolas Rolin. Guigone de Salins a laissé sa marques aux Hospices de Beaune et son souvenir flotte aussi dans les ruelles de la ville.
Ce qui attire d’abord l’œil, lorsque l’on entre dans la cour des Hospices de Beaune, ce sont les motifs colorés que dessinent les tuiles émaillées sur les toits.Les Hospices de Beaune
C’est dans ce décor extraordinaire que les sœurs hospitalières accueillirent, à partir de 1452, les « pôvres » que le chancelier Rolin et sa femme, Guigone de Salins, avaient entrepris de secourir.
Détail des faîtages. Guigone de Salins décida des formes des girouettes armoriées et des épis de plomb.C’est aussi là que se tient chaque année la vente des vins des Hospices de Beaune, où l’on peut acheter aux enchères la production du domaine de l’hôtel-Dieu.
Qui était Guigone de Salins ?
Son nom ne figure pas sur l’acte de fondation, mais Guigone reste omniprésente à l’hôtel-Dieu des Hospices de Beaune. Sa figure austère coiffée d’une cornette orne le revers du retable du Jugement dernier, chef-d’œuvre du peintre flamand Rogier van der Weyden. Ses armoiries décorent les vitraux et tapisseries de la chapelle où elle est enterrée.
N’est-ce pas Guigone de Salins qui a incité Nicolas Rolin à consacrer une part de sa fortune à une cause humanitaire ? Au lendemain de la guerre de Cent Ans, la Bourgogne est ravagée par la famine et les épidémies. Les raids des écorcheurs, ces soldats sans solde livrés à eux-mêmes, ajoutent une touche d’horreur au tableau. En 1443, le chancelier et sa femme, reconnaissants des grâces dont ils ont été comblés, font édifier un hôpital pour les pauvres malades.
Luxe et aumône
Une remarquable toiture en ardoise couvre la salle des Pôvres, immense nef de 50 mètres de long. Les lits des malades rappellent des alcôves avec leurs baldaquins, leurs dossiers lambrissés et leurs couvertures de laine rouge. En levant les yeux, les alités pouvaient admirer la charpente en lambris de chêne. Leur confort était assuré : couche douillette, bouillotte, vaisselle en étain, lave-mains… Pour les soigner, Guigone constitua une communauté non religieuse de sœurs hospitalières, une audace pour l’époque ! Les sœurs accueillirent les malades sans discontinuer jusqu’au XXe siècle.
La grande salle des Pôvres donnant sur la chapelle, comme pour associer le rétablissement du corps au salut de l’âme.Depuis sa fondation, l’hôtel-Dieu a bénéficié de nombreuses donations. C’est grâce à Maître Bétault que la salle Saint-Hugues a accueilli les malades aisés.
La salle Saint-Hughes accueillait les patients les plus aisés.Au fil du temps, les dons, toujours plus nombreux, enrichirent les Hospices, qui possèdent encore 61 hectares de vignes. La célèbre vente aux enchères de vin perdure depuis 1859. Avant de quitter l’hôtel-Dieu, il faut jeter un œil aux jolis pots de faïence de la pharmacie, où Guigone, à la fin de sa vie, faisait elle-même les préparations de l’officine. Elle fait partie du réseau des hôtels-Dieu et apothicaireries. Déshéritée en partie par son beau-fils Guillaume, elle termina ses jours à l’hôtel-Dieu en tant que simple hospitalière.
Construite au XVIIe, la salle Saint-Louis et sa collection de tapisseries et de mobilier bourguignons.
L'inventaire général de Bourgogne a mené depuis 1988 une étude exhaustive et a mis en lumière quelques 2 500 meubles (lits, coffres…) et 2 500 objets (tapisseries, tableaux, sculptures, pots à pharmacie…), dont on peut voir une partie dans la pharmacie et dans la salle Saint-Louis.
La collégiale Notre-Dame
La rue d’Enfer débouche sur le parvis de la collégiale Notre-Dame. C’est ici, sous le large porche, que Nicolas Rolin prononça en latin l’acte de fondation de l’hôtel-Dieu. Fille de Cluny, la collégiale de style roman bourguignon renferme, dans son chœur, une belle série de tapisseries illustrant la vie de la Vierge. Celles-ci furent commandées par le cardinal-évêque d’Autun Jean Rolin, fils de Nicolas d’un précédent mariage. à l’extérieur, la galerie du cloître apparaît dans un beau jardin.
Le portail de la collégiale Notre-Dame, seul élément d’inspiration gothique d’un ensemble nettement roman.
Le chœur de la collégiale Notre-Dame, orné de tapisseries évoquant la Légende dorée.Dans la galerie du cloître, les quatre fenêtres à accolades au-dessus des arcades signalent les anciens appartements de Guigone de Salins. Veuve de Nicolas Rolin, la pieuse dame pouvait assister à la messe depuis sa chambre. Dernière flânerie par les rues Maizières et Paradis, qui suivent le tracé des remparts à l’époque de Guigone. Elles ceinturent le cœur historique de Beaune : quelques dizaines de mètres, dont on n’a jamais fini de faire le tour.
Les appartements de Guigone de Salins, dans le complexe de la collégiale.
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Par Frawsy le 13 Juillet 2015 à 16:13
Les plus belles places de France
Publié le 01/06/2015L'Hexagone compte une myriade de places remarquables. Charmantes, ravissantes ou carrément somptueuses, il y en a pour tous les goûts ! De quoi donner envie d'y flâner le nez en l'air ou de s'y asseoir en terrasse. Voici notre sélection des plus belles !
1 - La place Stanislas à Nancy (Meurthe-et-Moselle)
À elle seule, la place Stanislas, classée à l'Unesco, constitue une raison suffisante de découvrir la ville de Nancy. Qu'on la contemple par un beau soir d'été ou par une pluvieuse matinée d'automne, elle provoque le même ravissement. Rien n'est plus harmonieux que ce carré de pavés clairs, clôturé de pavillons d'un classicisme élégant, de grilles d'or et d'un arc de triomphe. L'opéra de Lorraine, l'hôtel de ville et le musée des Beaux-Arts se partagent cet écrin du XVIIIe siècle, bâti entre 1751 et 1755 par Stanislas Leszczynski. La statue du roi de France n'ayant pas survécu à la Révolution, c'est le bon roi Stanislas qui trône, depuis 1831, sur la place qui porte son nom. Le dernier duc de Lorraine montre du doigt l'arc de triomphe, ou arc Héré, qui sépare la place « Stan » de la place de la Carrière.
Voir ausi : Les incontournables de Nancy2 - La Grand' Place à Lille (Nord)
Sur la Grand-Place, cœur de la ville, se côtoient plusieurs bâtiments de style très différents. La Vielle Bourse (1652-1653) (voir plus bas), d'architecture flamande, est richement ornementée. En face, la Grande-Garde (1717), occupée aujourd'hui par le Théâtre du Nord, ancien logis des soldats du roi français, est d'architecture française classique. Quant au bâtiment du XXe siècle où sont installés les locaux du quotidien La Voix du Nord, son style est plutôt néoflamand. Tout ou presque dans Lille, respire le mélange des styles.
Voir aussi : Lille en perpétuelle mutation3 - La place du Capitole à Toulouse (Haute-Garonne)
Place emblématique de la ville, la place du Capitole s'entoure de façades de briques roses, couleur phare de l'architecture locale. Dès l'Antiquité, l’abondance de glaise dans la région est mise à profit dans l'architecture locale avec la fabrication de briques. À partir de la Renaissance, suite à de nombreux incendies, la brique s'impose au détriment du bois et de la paille dans l'architecture ordinaire et non plus seulement dans l'architecture de prestige comme c'était le cas au Moyen Âge. Sous les arcades construites de 1851 à 1854, 29 peintures signées Raymond Moretti ornent les voûtes. Ces œuvres narrent la saga de Toulouse et des Toulousains à travers les âges.
4 - La place Nationale à Montauban (Tarn-et-Garonne)
L'ancienne place Royale, aujourd'hui place Nationale, date de la création de la ville, en 1144. Elle accueillait les corporations de marchands sous la double rangée de couverts, l'une servant de voie publique, la seconde pour les étals. Les arcades s'appellent ainsi couvert des drapiers, des sabots ou du blé... Un endroit idéal pour boire un café avant de partir découvrir la cité où la brique côtoie la pierre, comme à Toulouse.5 - La place de la Bourse à Bordeaux (Gironde)
La place de la Bourse est le symbole de l'ouverture de Bordeaux à la Garonne et a fortiori, au monde. C'est à l'époque de sa construction, entre 1729 et 1755, que Bordeaux se mit à regarder vers l'extérieur. Aujourd'hui, elle sert de splendide toile de fond au gigantesque miroir d'eau qui trône juste en face depuis 2006. Avec ses 3 450 m2, c'est le plus grand au monde et le point d'orgue des quais de la Garonne.
Voir aussi : 10 bonnes raisons de découvrir Bordeaux6 - La place de la Concorde à Paris
Connue pour avoir été le théâtre d'exécutions pendant la Révolution Française, la place de la Concorde est la plus grande place de Paris. Aujourd'hui, elle se distingue tout particulièrement son Obélisque de Louxor, l'un des monuments les plus emblématiques de la capitale. Taillé il, y a plus de 3000 ans sous Ramsès II, ce cadeau de l'Egypte à la France prend place sur la place de la Concorde en 1836. Deux fontaines monumentales se dressent de chaque côté, la Fontaine des Mers et la Fontaine des Fleuves. Inaugurées en 1850, elles célèbrent la navigation et comptent parmi les plus belles fontaines du monde.
Voir aussi : Paris en 3 minutes7 - La place Rossetti à Nice (Alpes-Maritimes)
La Vielle Ville de Nice compte nombre de rues et placettes pittoresques. Avec ses façades ocre, ses fontaines et sa cathédrale baroque, la place Rossetti est idéale pour un prendre un café ou manger une glace en terrasse. Autre place emblématique du centre historique de la ville, le cours Saleya. Melons, citrons et poivrons encombrent les étals, et côtoient les bouquets d'hibiscus, de lavande et de bougainvilliers des fleuristes. Le marchand de socca sur à grosse gouttes devant son four.
Voir aussi : 10 choses à faire absolument à Nice8 - La place Bellecour à Lyon (Rhône)
Depuis la colline de Fourvière à Lyon, une vue imprenable sur la célébrissime et gigantesque place Bellecour, dans le quartier de la Presqu'île entre Saône et Rhône. Avec ses artères rectilignes et ses immeubles cossus, elle est le symbole de l'image altière et bourgeoise de la ville. Pour ceux qui préfèrent les ambiances plus intimes, il faut se diriger vers le Vieux Lyon et son lacis médiéval. Au cœur de ce secteur sauvegardé par l'Unesco, la place de la Trinité avec la maison de Guignol et la montée du Gourguillon a un charme plus modeste, mais bien charmante.
Voir aussi : Lyon, l'autre ville Lumière9 - La place d'Albertas à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
La place d’Albertas est un petit bijou du centre-ville. On la doit à Jean-Baptiste d’Albertas, fils de l’une des familles les plus influentes d’Aix au XVIIIe siècle. Il va acheter puis faire démolir les maisons en face pour aménager ce lieu qui n’est pas sans rappeler les places royales de Paris. Plus près de nous, la fontaine a été conçue en 1912 par les ingénieurs de l’école des arts et métiers de la ville. Pour boire un verre, direction la place de la Mairie ou des Cardeurs.
Voir aussi : 10 bonnes raisons d'aller à Aix-en-Provence10 - La place des Quinconces à Bordeaux (Gironde)
Vaste esplanade, la place des Quinconces n'est pas à proprement parler un lieu où l'on se plaît à flâner, mais c'est une place historique et la plus grande d'Europe ! C'est là que trônait autrefois le château trompette, construit par Charles VII, détruit sous la Fronde, reconstruit par Louis XIV avant d'être définitivement rasé au début du XIXe siècle. Au centre, trône le monument aux Girondins, une solennelle fontaine édifiée sous la IIIe République sur les fondations de l'ancien château.
11 - La place Kléber à Strasbourg (Bas-Rhin)
Sur la très centrale place Kléber, l’Aubette date de la fin du XVIIIe siècle. À l’époque, on y logeait les militaires. Dévoré par les flammes le 24 août 1870, seule la façade en réchappe, le bâtiment doit être réhabilité : il accueillera un conservatoire de musique. En 1922, l’ambition des frères Horn est d’en faire « un monument public d’intérêt général [...], et doter la ville de Strasbourg de magnifiques salles des fêtes ». Ces décors d’avant-garde de Hans Jean Arp, Sophie Taeuber-Arp et Van Doesburg ont été restitués.
Voir aussi : Strasbourg, les trésors du « carré d’or »12 - La place des Vosges à Paris
Sous Henri IV, la place s'impose comme le lieu de la vie élégante, des carrousels et des plaisirs. Aujourd'hui, la place des Vosges dans le quartier du Marais bénéficie encore de cette image raffinée. C'est un lieu de plaisir où il fait bon déjeuner dans la fraîcheur des arcades ou se reposer au soleil près des fontaines du jardin.
13 - La place des Terreaux à Lyon (Rhône)
Haut lieu de la vie nocturne lyonnaise, la place des Terreaux marque la frontière entre le quartier de la Presqu'île et la Croix-Rousse. Le point d'orgue de la place est certainement sa fontaine de Bartholdi, inaugurée en 1892. Initialement destiné à la ville de Bordeaux, ce « Char de la Liberté » symbolise la Garonne et ses 4 affluents se jetant dans l'océan. En 1994, la fontaine est déplacée au centre de la place et 69 mini fontaines illuminées à la fibre optique sont aménagées sur la place. Lyon, l'autre ville lumière ! Idéal pour boire un verre en soirée.
14 - La cour intérieure de la Vielle Bourse à Lille (Nord)
D'architecture flamande, la Vielle Bourse est un quadrilatère de 24 maisons identiques édifié à l'époque « espagnole » dans le Vieux Lille. En son centre, se trouve une cour intérieure à arcades qui accueille les après-midi un marché aux livres d'occasion.
15 - La place des Héros à Arras (Pas-de-Calais)
Dites aussi Petite-Place, c'est l'un des joyaux de la ville. Son architecture urbaine très homogène, hérité du Moyen Âge et surtout de la Renaissance a une sacrée classe ! Le vocabulaire architectural du style baroque flamand se lit sur les 155 maisons que comptent la place et sa jumelle, la Grand-Place. De briques ou de pierres, parfois les deux, des arcades sur colonnes au rez-de-chaussée, deux étages, des pignons à volutes en façade,des pilastres... Anéanties durant la Première Guerre mondiale, les deux places arrageoises durent reconstruites à l'identique dans les années 1920.
16 - La place aux Herbes à Uzès (Gard)
Sur cette place délicieusement ombragée de vénérables platanes, il est possible de goûter à ce curieux mélange de nonchalance et de caractère vibrant de passion que l'on prête volontiers aux gens du Midi. Pendant que les adultes finissent leur repas dans l'un des cafés sous les arcades, les enfants jouent près de la fontaine en fonte ouvragée du XIXe siècle. Le samedi, jour du grand marché, les marchands tiennent leurs étals sous les arcades, comme ils le font depuis des siècles.
17 - La place du Parlement à Bordeaux (Gironde)
Sur la place du Parlement, ancienne place du Marché Royal créée en 1760, les façades opulentes des immeubles du XVIIIe siècle sont remarquables. Sa fontaine de 1865 ajoute encore à son charme. Elle a été rénovée au début de l'année et arbore désormais un dallage de pierres calcaires toutes neuves ! Idéal pour prendre un café ou boire un verre dans le centre-ville.
18 - La place Benjamin Zix à Strasbourg (Bas-Rhin)
La place Benjamin-Zix, dessinateur de l’épopée napoléonienne. De vélos en canaux, on aime son petit air hollandais. Longtemps, cette enclave parcourue par l’Ill fut extrêmement pauvre, et son urbanisme, laissé quelque peu à l’abandon. Il faut attendre les années 1970 pour que le quartier commence à sérieusement se transformer. L’interdiction à la circulation automobile donnera le feu vert à l’installation d’une petite « campagne en ville » où les Strasbourgeois viennent pour le charme romantique des petits jardins et pour y établir, dans les tavernes et les bonnes tables, leurs « stammtischs » (tables d’hôte) dominicales (L’Ami Schutz, le Lohkas ou La Cambuse tenue depuis plus de trente ans par Babeth Lefebvre ...).
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Par Frawsy le 11 Juillet 2015 à 16:57Des pommes sculptées avec art
Sculpteurs confirmés ou maîtresses de maison inspirées, transformer une simple pomme en oeuvre d'art est un jeu d'enfants pour certains. La preuve en images !
Si certains maîtrisent parfaitement l'art de creuser des citrouilles pour Halloween [1], d'autres sont des pros de la sculpture sur pommes. Animalières, rigolotes ou romantiques, ces créations transforment de banales pommes en véritables oeuvres d'art. Des idées dont on peut aussi s'inspirer pour occuper les enfants pendant les vacances d'été...
Des pommes sculptées avec art
Des pommes sculptées avec art
Des pommes sculptées avec art
Des pommes sculptées avec art
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