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Par Frawsy le 30 Juin 2015 à 01:57
Photos de Bretagne : chapelles et calvaires
Le paysage Breton est parsemé de jolies chapelles et calvaires richement sculptés. Les chapelles sont parfois isolées sur une colline comme celle du Manéguen, ou situées dans d'un village ou en ville, parfois près d'une église plus grande. Certaines chapelles sont entourées d'un mur (l'enclos paroissial). A l'intérieur de l'enclos se trouvent souvent aussi un cimetière et un calvaire sculpté dans le granit.
Chapelle de La Vraie Croix (XVIIIe siècle) : un chevalier breton, revenant de Croisade, rapportait un
morceau de la Vraie Croix, qu'il perdu et qui fut retrouvé dans un nid de pie au sommet d’une aubépine.
Une chapelle fut donc construite à hauteur du nid (voir aussi une peinture à partir de cette photo).Quistinic : l'église (à gauche) et la chapelle Saint Mathurin (à droite). A l'intérieur, le buste de Saint Mathurin renferme dans un reliquaire des ossements du Saint. La chapelle possède un autel à
l'extérieur au dessus du porche pour les grandes messes célébrées sur la placeMelrand : la chapelle de la Madeleine au bord de la Sarre
Chapelle de Saint-Michel sur le Manéguen (Guénin). Manéguen veut dire "montagne blanche" en breton.
En 1300, la colline fut éclairée pendant plusieurs jours et plusieurs nuit d'une grande lumière blancheLa chapelle Ste Agathe à Lagon est exceptionelle car une partie de l'édifice (petits mouellons cubiques en grès brun), date de l'époque romaine (termes du 2-3è Siècle)
La chapelle du Prieuré St Etienne à Guer (ca. vers 1140, construite sur l'emplacement et avec les matériaux d'un temple romain). La croix "Gradlon", située au carrefour qui mène à la chapelle, est une des plus anciennes du Morbihan (menhir christianisé du IX siècle)
L'Eglise Saint Ouen, Les Iffs, entre Rennes et Dinan, a été construite dans le style du Finistère
L'Eglise de Saint Senoux au clocher à bulbes néo-byzantins
(construite par l'architecte Arthur Regnault entre 1896 et 1901)Chapelle Saint Samson en Landunvez sur la côte entre Porspoder et Portsall (Léon)
Chapelle Saint Roch en Quistinic (XVIIIe siècle) aussi dédiée à Saint Eloi, protecteur des chevaux.
Au pardon en Août, les paysans de la région (et mon grand-père avant) font bénir leurs chevaux.La Chapelle de Notre Dame du Cloitre ("Intron Varia er Hloestr" en breton),
située sur la commune de Quistinic date 1638 et se trouve en plein boisChapelle Saint Tugdual en Quistinic (XVIIe siècle, façade XVe siècle).
Saint Tugdual, venu du Pays-de-Galles au VIe siècle, est l'un des fondateurs de la Bretagne.Chapelle Sainte Barbe à Pont-Augan construite fin du XVe sur un site qui domine la vallée du Blavet.
Sainte Barbe (Barbara) est la Sainte Patronne des pompiers et des artificiers.
Ici se marièrent deux ancêtres : Jean Le Badezet et Aliette Rouzo en 1681La chapelle des Fontaines, en Bignan, est nommée d'après les sources et fontaines qui l'entourent.
Elle fut reconstruite en 1910 suite à l'effondrement d'une ancienne chapelle qui datait de 1496.Melrand : la chapelle du Guelhouit
Buléon : la chapelle Sainte Anne
(d'après les archives, ici s'est marié un de mes ancêtres en 1642)L'intérieur de la chapelle de Notre Dame de Carmès (Neuillac) est exceptionel car les lambris du plafond sont couverts de fresques du XVIIIè qui sont particulièrement bien conservées
Chapelle du Bézo (Sainte Noyale / Nolwenn) en Bignan. Noyale était la fille d'un roi de Cambrie, alors
celtique au VIe siècle, qui voulait la forcer au mariage. Elle s'enfuit en Bretagne pour se consacrer à Dieu.
Au Bézo, un tyran local nommé Nizan, qu'elle refusait d'épouser, d'un coup d'épée lui trancha le cou.
Du coup, on prie Sainte Noyale contre les maux de tête...!La chapelle de Sainte Noyale (Noyal-Pontivy), aurait été bâtie sur le lieu de repos choisi par Sainte Noyale
qui aurait marché depuis le Bézo, tenant sa tête en main, telle que la représente la statue de la fontaine)Chapelle de Saint Michel de Braspart, située sur le mont du même nom à 381m d'altitude (Monts d'Arrée)
Le Grand Calvaire de Plougastel-Daoulas
La Chapelle Saint They sur la Pointe du Van, vue depuis la Pointe du Raz (Cap Sizun)
La chapelle (XIIè siècle) et le calvaire au village de Saint Cado, fils du roi de Glamorgan (Pays de Galles).
St Catwg (son nom en gallois) est venu en Bretagne au VIè siècle. C'est le Saint Patron des sourds.En Plomodiern : la chapelle de Sainte Marie du Menez-Hom (construite entre 1570 et 1773) et le calvaire.
C'est en breton une "Ty ar Werc'hez" : une "Maison de la Vierge".Calvaire et chapelle de Saint Nicolas à Saint-Nicolas-des-Eaux en Pluméliau
(la chapelle fut construite au XVIe siècle grâce aux donations de la famille de Kerveno)Chapelle Saint Yves à Saint-Yves-Bubry (1589), édifiée par les seigneurs de Kernivinen et de Saint-Nouan
Chapelle Saint Guénolé en Plougastel-Daoulas
Chapelle Notre Dame de Lorette (XVII-XIXè siècle) dans le bois de Lanvaux, Plumelec
Chapelle de Sainte Tréphine (XVè siècle, reconstruite XVIIè siècle) près de Pontivy. Ste Tréphine est une
martyre, décapitée par son mari Conomor puis ressuscitée par St Gildas.Clocher de l'église Saint Milliau à Plonevez-Porzay
Enclos paroissial et chapelle de Argol.
Une statue équestre du Roi Gradlon se trouve sur le devant de l'arc de triomphe, qui date de 1659.Chapelle de Notre-Dame de Joie (XVe siècle, Le Gohazé, Saint Thuriau). En 1695, la dysenterie touche la région et le recours à Notre-Dame de la Joie est gratifié de l'arrêt de l'épidémie.
Eglise seigneuriale Saint Maurice au bourg Saint Aubin en Plumelec (construite sur ordre de Jehan de
Callac en 1513). A l'intérieur on peut admirer des poutres sculptées (sablières).Calvaire de Guéhenno : il a été érigé en 1550, puis détruit par les soldats républicains en 1794 pendant la Terreur et reconstruit en 1873 (les morceaux avaient été conservés par les paroissiens)
Chapelle de St Jean du Poteau (construite en 1767 à Koh-Coët, en Plumelin).
Son nom vient d'un poteau voisin qui était surmonté d'une statue dédiée à Saint-Jean
Voir aussi en vidéo la crêche 2011 sur le thème de la ville de JosselinChapelle Sainte Christine sur la presqu'île de Plougastel
Chapelle du village de Saint Quidy dédiée à Notre Dame de Crénécan
(construite au XVIème siècle, à la limite de Plumelin et Chapelle-Neuve)Clocher du village de Saint-Suliac (XIIIe siècle)
Chapelle de Saint Gildas, à Saint Nicolas des Eaux. St Gildas était un ermite venu d'Irlande
ou de Cornouaille anglaise selon les sources qui est venu vivre sur ces lieux au VIè siècle,
aux bords du Blavet (rivière canalisée). La chapelle actuelle date de 1837.Calvaire de Saint Thégonnec (Léon):
un des derniers calvaires monumentaux construits en Bretagne (1610).Le calvaire de Guimiliau (Léon) :
Il contient plus de 200 personnages et fut édifié entre 1581 et 1588
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Par Frawsy le 29 Juin 2015 à 19:43
Les 10 églises les plus insolites de Paris
Lorsque l’on évoque les églises à Paris, certains sanctuaires nous viennent immédiatement à l’esprit : Notre-Dame de Paris et ses fantastiques gargouilles et arc-boutants, le chef d’œuvre flamboyant de la Sainte-Chapelle ou bien encore le clocher roman de la vieille église de Saint-Germain-des-Prés.
Pourtant, il existe beaucoup d’autres édifices religieux un tantinet insolites à découvrir dans la Ville Lumière. Certains sont célèbres à l’image du Sacré-Cœur de Montmartre, d’autres sont cachés dans un coin de Paris méconnu tel Saint-Germain-de-Charonne. Suivez le guide pour une découverte chronologique des 10 églises les plus insolites de Paris.
(adaptation de l’article en anglais « 10 most unusual churches in Paris » paru dans le blog de French Moments).
1. L’église paroissiale du village de Charonne
Oubliez les cathédrales gothiques et les majestueuses églises de style néo-classique … et tournez les yeux vers le quartier de Charonne, aujourd’hui partie intégrante du 20e arrondissement de Paris. Avec son charmant atmosphère provincial, le village de Charonne est dominé depuis le 12e siècle par l’église paroissiale de Saint-Germain-de-Charonne. Pendant un instant, on ne se sent plus véritablement à Paris et si l’on se garde de lever les yeux trop haut, on n’apercevra même pas en arrière-plan les laideurs des blocs des années 1960.
L’église romane et son clocher trapu ont été construits au 12e siècle et dévoilent une architecture intéressante due aux multiples additions qu’a subi le sanctuaire à travers les âges.
L’église est flanquée d’un petit cimetière de campagne, le seul de son genre à Paris avec celui de l’église de Saint-Pierre-de-Montmartre. Là, de célèbres personnalités reposent en paix : la famille d’André Malraux, l’écrivain Robert Brasillach tué à la Libération pour sa collaboration avec les Nazis, et quelques Fédérés – des victimes de la répression de Versailles du temps de la Commune de Paris en 1871.
2. Saint-Étienne-du-Mont
Pour les passants, l’église de Saint-Étienne-du-Mont près du Panthéon apparaît comme un édifice sans grand intérêt. Mais pour les connaisseurs, c’est tout autre chose car l’église abrite un élément unique à Paris et rare en France : un jubé !
Mais au juste, qu’est-ce qu’un jubé ? Il s’agit d’une cloison de séparation entre la nef et le chœur, entre l’espace ouvert aux laïcs et l’espace réservé aux ecclésiastiques. Le jubé était de mise pendant le bas Moyen-Âge et celui de Saint-Étienne-du-Mont est finement sculpté en marbre blanc.
Au lendemain du Concile de Trente (1545-1563), la plupart des églises et cathédrales se sont séparées de leur jubé. Les idées de la Contre-Réforme encourageaient en effet la suppression de toutes les barrières visuelles séparant les profanes du grand autel.
L’église, édifiée entre 1492 et 1626 dévoile une impressionnante façade composée de trois frontons superposés de style Renaissance, encadrée d’un beffroi élancé du 16e siècle. L’ensemble semble dépareiller avec l’architecture classique du Panthéon voisin – où serait-ce plutôt le contraire ?
Saint-Étienne-du-Mont abrite les restes de Geneviève, la Sainte protectrice de Paris, et ceux des écrivains Racine et Pascal.
3. La Madeleine
Malgré les similitudes avec l’antique « Maison Carrée » de Nîmes, cet édifice situé au bout de la Rue Royale n’est ni un temple grec, ni un sanctuaire romain. Il s’agit bien d’une église, de confession catholique : La Madeleine.
Épousant un plan gréco-romain, sa construction (commencée en 1764) a connu plusieurs péripéties. Elle a effectivement traversé les périodes troubles de la Révolution française et l’époque napoléonienne. Les travaux se sont (enfin) terminés en 1845.
Et parce que Paris est une ville où règnent les perspectives en tout genre, quoi de plus prestigieux de faire de la Madeleine un monument illustre. De l’autre côté de la Place de la Concorde, la perspective a donné à la Madeleine un frère jumeau : le Palais Bourbon (siège de l’Assemblée Nationale) dont les colonnades répondent presque à l’identique à ceux de l’église.
4. L’église des soldats aux Invalides
Ne vous fiez pas aux apparences : cette petite église est peut-être méconnue des touristes, pourtant elle appartient à l’un des monuments les plus célèbres de Paris : l’Hôtel des Invalides, parfaitement reconnaissable à son magnifique dôme doré.
L’église Saint-Louis-des-Invalides tient d’une idée de Louis XIV qui, en 1676, en confia la réalisation à l’architecte Jules Hardouin-Mansart. Ce lieu de recueillement visait à accueillir les vétérans de l’armée du roi séjournant dans le complexe. On retrouve à l’intérieur de cette église bon nombre d’éléments faisant rappeler qu’il s’agit d’un lieu de culte construit pour les soldats : bannières et drapeaux suspendus dans la nef, tombeaux d’officiers et de généraux français du 19e et 20 siècles…
En 1837, l’église Saint-Louis a été coupée en deux et a été depuis ce jour séparée de l’église du Dôme (où se trouve le tombeau monumental de Napoléon) par une large cloison vitrée.
5. Basilique Sainte-Clothilde
Malgré son architecture résolument gothique, la basilique Sainte-Clotilde, avec ses deux tours jumelles, ne date pas du Moyen-Âge. Que n’importe, elle a tout d’une grande !
L’église a été construite entre 1827 et 1857 dans une période où l’art gothique était revenu à la mode grâce à l’instigation d’architectes et d’écrivains tels que Viollet-le-Duc et Victor-Hugo.
Les flèches des deux tours s’élèvent à 69 mètres de hauteur, tout comme les deux clochers de Notre-Dame.
Il est intéressant de constater que la façade de la basilique a servi de modèle pour la construction de la cathédrale du Sacré-Cœur de Canton en Chine, grâce au soutien financier de Napoléon III et des catholiques de France. Il a fallu 25 ans pour achever l’édifice et procéder enfin à son inauguration en 1888, un an avant celle de la Tour Eiffel !
6. La cathédrale russe de Paris
Lorsqu’on se promène le long de ces larges boulevards du 19e siècle entre Les Ternes et le Parc Monceau, on manquerait presque d’apercevoir un édifice incongru au milieu des immeubles haussmanniens de la rue Pierre le Grand : l’église Saint-Alexandre-Nevski, alias « la cathédrale russe ».
Avec ses cinq clochers pyramidaux terminés par des bulbes à oignons dont le plus haut atteint 40 mètres, le sanctuaire évoque modestement la fameuse église Saint-Basile sur la Place Rouge de Moscou.
L’église orthodoxe a été érigée en 1860 pour servir de culte à une communauté croissante d’immigrants russes à Paris au début du 20e siècle puis pendant la Révolution Bolshevik de 1917.
C’est ici que le 12 juillet 1918, Pablo Picasso s’est marié à la danseuse russe Olga Khokhlova, et dont les témoins étaient Jean Cocteau, Max Jacob et Guillaume Apollinaire.
Aujourd’hui, l’église est le siège de l’Archevêché des Églises orthodoxes russes en Europe occidentale.
Toutefois, il ne s’agit pas de la cathédrale orthodoxe la plus grande d’Europe occidentale. Pour l’admirer, il faut se rendre à Nice en l’église Saint-Nicolas, sanctuaire qui fut financée par … le tsar Nicolas II!
7. Saint-Augustin
Conçue par Baltard (architecte des anciennes Halles de Paris) entre 1860 et 1871 dans le 8e arrondissement, Saint-Augustin a été la première église construite avec une armature métallique. Ceci explique pourquoi l’église n’a pas eu besoin de contreforts pour assurer la stabilité de ses murs. L’architecte a conçu l’église dans un style éclectique en vogue à l’époque : un mélange d’arts byzantin et roman.
Long de presque 100 mètres et surmonté d’un dôme d’une hauteur de 60 mètres, l’édifice est idéalement situé à l’angle de prestigieuses avenues rectilignes voulues par le Préfet de Paris, le Baron Haussmann. Pourtant, l’on a pas pensé à une chose essentielle : le bruit du trafic occasionné par le carrefour très emprunté des Boulevards Haussmann et Malesherbes parvient à s’entendre aux oreilles des fidèles venus se recueillir dans le sanctuaire. On raconte alors que Saint-Augustin est l’église la plus bruyante de Paris…
8. La basilique du Sacré-Cœur
La basilique monumentale du Sacré-Cœur surplombe Paris tel une pâtisserie à la Chantilly depuis la Butte Montmartre. Cette masse blanche de style roman-byzantin et ses dômes singuliers la font plus ressembler au Taj Mahal qu’à Notre-Dame !
L’extérieur de l’église, si blanche et éblouissante un jour de beau temps, contraste énormément avec son intérieur, si sombre et presque étouffant. Néanmoins, la visite de l’intérieur est récompensée par la vue du plafond de l’abside contenant la plus grande mosaïque de France.
Peu de gens le savent mais sa construction (1875-1914) a été reconnue comme étant d’utilité publique le 24 juillet 1873 par l’Assemblée nationale de la Troisième République. À cette époque, l’État ne s’était pas encore séparé de l’Église … ce sera fait en 1905.
L’architecte Paul Abadie s’est vu confier la lourde tâche de concevoir l’édifice. On a pu apprécier son talent avec sa restauration de la cathédrale Saint-Front de Périgueux d’inspiration byzantine-romane, d’où sa ressemblance avec le Sacré-Cœur !
Aujourd’hui les hordes de touristes affluent à pied ou en funiculaire à la terrasse du Sacré-Cœur pour admirer la belle vue sur les toits de Paris. Nous préférons éviter les masses et grimper au sommet du dôme central pour la vue spectaculaire sur Paris que l’on peut admirer, de la Tour Eiffel au Stade de France et du Bois de Vincennes à la Défense.
9. La Cathédrale d’Évry
Partons à 25 kilomètres au sud-est de Notre-Dame pour atteindre la Ville Nouvelle d’Évry. Là-bas se situe la seule cathédrale de France construite intégralement pendant le 20e siècle. Au premier coup d’œil, elle nous paraît un peu déconcertante. Ni romane, ni gothique, encore moins classique, le sanctuaire n’emprunte aucun des éléments « traditionnels » d’une cathédrale : contreforts, arcs-boutants, vitraux, ogives, flèches, etc. En fait, l’édifice démontre que l’église catholique a su s’adapter au 21e siècle en concevant un bâtiment religieux dont l’architecture apparaît en rupture totale (ou presque !) avec celles des anciennes cathédrales.
La cathédrale d’Évry a la forme d’un cylindre tronqué dont les parois sont recouvertes de 800 000 briques. Le toit de l’église comprend une couronne de 28 tilleuls, s’élevant à 34 mètres.
Signe des temps, une fois à l’intérieur, ne vous attendez pas à y observer nefs, transepts et vitraux médiévaux : la cathédrale a été conçue presque comme un théâtre et de larges baies au plafond éclairent l’intérieur à la lumière du jour.
La construction de la cathédrale d’Évry a démarré en 1992 pour une inauguration en 1996. Le 22 août 1997, l’église a accueilli le Pape Jean-Paul II alors en visite en France.
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Par Frawsy le 29 Juin 2015 à 19:14
Top 8 des festivals insolites à faire dans le monde
Qui n’a jamais voulu participer à un festival insolite ? Après les festivals alimentaires les plus étranges du monde et les meilleurs festivals au monde, nous vous proposons les festivals insolites à aller au moins une fois dans sa vie !
Le Near-death Festival – Espagne
Cet incroyable festival se déroule à Las Nieves le 29 juillet. Ce jour fête le retour à la vie, tous les ans. Les personnes, toujours en vie, qui ont connu l’expérience de mort imminente sont installées dans des cercueils et emmenées jusqu’à l’église une fois la grande messe terminée.
El Salto del Colacho – Espagne
En français, « saut du diable », ce festival a lieu dans la province de Burgos chaque année en juin depuis 1621, soit le 1er dimanche après la Fête-Dieu. La tradition : des hommes déguisés en diable sautent au-dessus de bébés, nés les 12 derniers mois. Ces derniers sont placés sur des matelas au milieu de la rue. L’idée est de purifier les bambins du péché originel, de leur offrir une protection pour l’avenir contre les maladies et les mauvais esprits. Ce festival serait classé comme l’un des plus dangereux du monde.
La Régate de la Bière – Australie
Tous les étés, à Darwin, plusieurs participants tentent de construire des régates avec seulement des canettes de bières. Surnommée la « Beer Can Regatta », la fête se déroule en juillet. Les joueurs gardent leurs canettes vides pour essayer de faire le bateau le plus solide.
Le Festival de la Boue – Corée du Sud
A Boryeong, le « Boryeong Mud Festival » se passe chaque année, fin juillet, sur la plage de Daecheon. La boue est connue pour ses vertus revigorantes et ses qualités cosmétiques et médicinales. Plusieurs jeux sont proposés comme des combats ou des ateliers peinture etc. Le festival attire des milliers de touristes.
Championnat de lancé de téléphone portable – Finlande
Depuis 2000, à Savonlinna, se tient le festival du lancé de téléphone portable ! Un championnat est même organisé. Le but du « jeu » est bien sûr de lancer le portable le plus loin possible. Ere Karjalainen avait 18 ans en 2012 quand il a battu le record avec un lancée de Nokia à 101.46 mètres.
Kanamara Matsuri – Japon
Le premier dimanche du mois d’avril, tous les ans, la ville de Kawasaki célèbre le Kanamara Matsuri, la « Fête du pénis de fer » ! Créé au 17è siècle par des prostitués, ce festival est un moyen de conjurer les MST. Il permet aujourd’hui de promouvoir la sexualité sans risques et à prévenir contre le VIH.
World Toe Wrestling Championship – Angleterre
Tous les ans en juin depuis 1976, les habitants d’Ashbourne (Derbyshire) fête le World Toe Wrestling Championship, soit le championnat de la lutte de doigts de pied ! Le concept est très simple : faire des « bras de fer » avec ses orteils. Depuis 10 ans, Alan « Nasty » Nash est le grand champion. Venez l’affronter cette année !
Course de lits à roulettes – France
Chaque année en juillet se déroule la course de lits à roulettes à Mahalon (Bretagne) ! Le circuit de 345 m autour de l’église est à parcourir le plus vite possible en poussant le lit à roulettes ! De nombreuses autres activités insolites se passent pendant cette fête : lancer de bérets, crachats de noyaux d’abricots…
Top 8 des festivals insolites à faire dans le monde
Qui n’a jamais voulu participer à un festival insolite ? Après les festivals alimentaires les plus étranges du monde et les meilleurs festivals au monde, nous vous proposons les festivals insolites à aller au moins une fois dans sa vie !
Le Near-death Festival – Espagne
Cet incroyable festival se déroule à Las Nieves le 29 juillet. Ce jour fête le retour à la vie, tous les ans. Les personnes, toujours en vie, qui ont connu l’expérience de mort imminente sont installées dans des cercueils et emmenées jusqu’à l’église une fois la grande messe terminée.
El Salto del Colacho – Espagne
En français, « saut du diable », ce festival a lieu dans la province de Burgos chaque année en juin depuis 1621, soit le 1er dimanche après la Fête-Dieu. La tradition : des hommes déguisés en diable sautent au-dessus de bébés, nés les 12 derniers mois. Ces derniers sont placés sur des matelas au milieu de la rue. L’idée est de purifier les bambins du péché originel, de leur offrir une protection pour l’avenir contre les maladies et les mauvais esprits. Ce festival serait classé comme l’un des plus dangereux du monde.
La Régate de la Bière – Australie
Tous les étés, à Darwin, plusieurs participants tentent de construire des régates avec seulement des canettes de bières. Surnommée la « Beer Can Regatta », la fête se déroule en juillet. Les joueurs gardent leurs canettes vides pour essayer de faire le bateau le plus solide.
Le Festival de la Boue – Corée du Sud
A Boryeong, le « Boryeong Mud Festival » se passe chaque année, fin juillet, sur la plage de Daecheon. La boue est connue pour ses vertus revigorantes et ses qualités cosmétiques et médicinales. Plusieurs jeux sont proposés comme des combats ou des ateliers peinture etc. Le festival attire des milliers de touristes.
Championnat de lancé de téléphone portable – Finlande
Depuis 2000, à Savonlinna, se tient le festival du lancé de téléphone portable ! Un championnat est même organisé. Le but du « jeu » est bien sûr de lancer le portable le plus loin possible. Ere Karjalainen avait 18 ans en 2012 quand il a battu le record avec un lancée de Nokia à 101.46 mètres.
Kanamara Matsuri – Japon
Le premier dimanche du mois d’avril, tous les ans, la ville de Kawasaki célèbre le Kanamara Matsuri, la « Fête du pénis de fer » ! Créé au 17è siècle par des prostitués, ce festival est un moyen de conjurer les MST. Il permet aujourd’hui de promouvoir la sexualité sans risques et à prévenir contre le VIH.
World Toe Wrestling Championship – Angleterre
Tous les ans en juin depuis 1976, les habitants d’Ashbourne (Derbyshire) fête le World Toe Wrestling Championship, soit le championnat de la lutte de doigts de pied ! Le concept est très simple : faire des « bras de fer » avec ses orteils. Depuis 10 ans, Alan « Nasty » Nash est le grand champion. Venez l’affronter cette année !
Course de lits à roulettes – France
Chaque année en juillet se déroule la course de lits à roulettes à Mahalon (Bretagne) ! Le circuit de 345 m autour de l’église est à parcourir le plus vite possible en poussant le lit à roulettes ! De nombreuses autres activités insolites se passent pendant cette fête : lancer de bérets, crachats de noyaux d’abricots…
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Par Frawsy le 23 Juin 2015 à 02:40
Les 10 plus beaux châteaux du monde
1/10Le Palais Royal au Cambodge, est constitué de plusiseurs bâtiments, dont l'incontournable salle du Trône. (© Getty Images)2/10Le château de Schönbrunn, en Autriche, est renommé pour ses pièces immenses, mais également pour son labyrinthe végétal géant. (© Getty Images)3/10Le château Saint-Ange en Italie est connu pour son architecture tout en rondeur. (© Getty Images)4/10Le château d'Ashford en Irlande est aujourd'hui un hôtel de luxe 5 étoiles. (© Getty Images)5/10Le château de Peles, en Roumanie, a été le premier d'Europe a avoir l'électricité. (© Getty Images)6/10Le château de l'ordre Teutonique de Malbork, en Pologne, est réputé pour la couleur rouille de ses murs. (© Getty Images)7/10Le Palais national de Pena au Portugal, figure sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. (© Getty Images)8/10Le château de Matsumoto est l' un des quatre châteaux classés monuments historiques au patrimoine culturel du Japon. (© Getty Images)
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Par Frawsy le 23 Juin 2015 à 02:32
Les plus belles photos d'iPhone de 2015
Crédit photo: Michael Koralewski
Les IPPAWARDS, les iPhone Photography Awards, le plus vieux concours de photographie pour iPhone, annoncent les gagnants de sa 9ème édition.
Plus de 57 photographes ont été récompensés dans 19 catégories : abstrait, animaux, architecture, enfants, fleur, bouffe, paysage, mode de vie, actualité/événement, panorama, personnes, portrait, saisons, nature morte, coucher de soleil, voyage, arbre, autre et photographe de l'année.
Pour être éligibles, les photos devaient avoir été prises avec un iPhone, un iPad ou un iPod. Les photographes pouvaient utiliser une lentille externe adaptée ainsi qu'une application de retouche photo mais cette dernière devait être sur l'appareil et non une application de bureau telle que Photoshop.
Voici les grands gagnants pour 2015. Rendez-vous sur le site des IPPAWARDS pour connaître la liste de tous les récipiendaires.
Ahmed Solimani - Voyage
Amy Paterson - Fleur
Andre Malerba - Panorama
Ben Schuyler - Abstrait
Chris Belcina - Paysage
Christian Frank - Architecture
Cindy Buske - Nature morte
Daniele Colombera - Portrait
Fabio Alvarez - Mode de vie
Heather Goss - Saisons
Jeremy Kern - Enfant
Jesse Alkire - Actualité/Événement
Jose Luiz Saez Martinez - Autre
Michael Koralewski - Photographe de l'année
Robert Radesic - Coucher de soleil
Ruairdh McGlynn - Arbre
Sephi Bergerson - Animaux
Song Han - Personnes
Xu Lin - Bouffe
Yvonne Naughton - Nature
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