• Art et Culture

     

  • Sur les murs de Paris

    Passage du Moulin des Près dans le XIIIe arrondissement,"La musique adoucit les murs" par l'artiste Jef Aerosol, un artiste à l'imagerie très pop, mettant parfois en scène des icônes rock.
    ©  Yvette GOGUE
     

    Lascar Picsou

    Rue de la Reine-Blanche dans le XIIIe arrondissement, un Picsou signé Speedy Graphito dont les oeuvres, souvent exécutées au pochoir ou au pinceau, sont directement inspirées de la publicité, des mangas ou des dessins animés.
    ©  Alain Roy
     

    Chats par Miss. Tic

    Les sulfureuses brunes de Miss.Tic et leurs messages effrontés ont fait le tour de Paris, mais voilà que l'artiste parsème la capitale de chats, attention ouvrez l'œil, ils sont souvent très discrets.
    ©  Alain Roy
     

    Icônes

    Deux icônes de la musique, Serge Gainsbourg et Bob Dylan se partagent l'affiche rue de la Reine-Blanche. Pour l'artiste Jef Aérosol, qui a également réalisé des pochoirs de Jimmy Hendrix, Jim Morrison, Elvis ou John Lennon, la musique adoucit les murs.
    ©  Alain Roy
     

    Cultivateurs de crayons

    Dans le quartier de la Maison-Blanche, la rue Paulin Méry abrite une œuvre de THTF, Two hands ten fingers, un collectif composé de deux illustrateurs, Pstolë & Supapouik, qui se présentent comme "deux cultivateurs de crayons qui ont décidés de mettre à profit leurs récoltes au service de trucs chelou appelés plus ou moins illustrations."
    ©  Alain Roy
     

    Woody Allen

    Rue Quincampoix le pochoir de Woody Allen et celui de Mimi le clown, alias Miguel Donvez, se côtoient.
    ©  Yvette GOGUE
     

    Space Invader

    A l'angle de la rue Bobillot et de la rue de Tolbiac, une mosaïque de Space Invader qui glisse, de Paris à Los Angeles, ses petits carreaux inspirés des jeux vidéo des années 1970-1980 dans des endroits souvent inaccessibles.
    ©  Alain Roy
     

    Reine d'un jour

    Reine d'un jour rue Amelot dans le XIe arrondissement.
    ©  Alain Roy
     

    Poisson d'eau douce

    Passage Hébard dans le Xe arrondissement, un petit poisson signé Nemi Uhu.
    ©  Alain Roy
     

    Polaroïd signé Jana und Js

    Dans leurs pochoirs de rue, Jana und Js, un couple franco-autrichien, s'amusent à représenter des bâtiments urbains en cours de destruction qu'un personnage prend en photo, tout en invitant le passant à assister à la scène.
    ©  Evald Durand
     

    Le jazz est dans la rue

    Le jazz est dans la rue dans le XIIIe arrondissement avec ce pochoir The Golden days of Jazz et un hommage à Eddie Lang et Joe Venuti.
    ©  Alain Roy
     

    Guépard

    Rue des cascades un Guépard signé Mosko et associés, deux artistes du pochoir bien connus pour leurs animaux multicolores sur les murs de Paris.
    ©  Alain Roy
     

    Retrouvailles amoureuses

    Collage rue Quincampoix dans le quartier de Beaubourg
    ©  Yvette GOGUE
     

    Hitchcock, Life is beautiful

    Le maître du suspens représenté Quai de Jemmapes par l'artiste Mr Brainwash.
    ©  Jean-Pierre Tolomio
     

    Nemo le poète

    L'univers poétique et onirique de Nemo séduit les passants de la rue du Renard. Aisément reconnaissable par ses silhouettes d'hommes jouant avec une canne à pêche ou un parapluie, l'artiste ne s'attaque qu'aux murs condamnés de Paris.
    ©  Gisèle Cerisier
     

    Boxer

    Boxer par l'artiste Tian, quai de Valmy dans le Xe arrondissement.
    ©  Alain Roy
     

    Speedy Graphito

    Héritier du Pop Art et pionnier du street-art français, Speedy Graphito nous réveille avec son univers graphique pop, ici à Mouffetard dans le Ve arrondissement.
    ©  E.Durand
     

    Miss.Tic, féministe féminine

    Aguicheuses, insolentes mais tellement irrésistibles... Les femmes de l'artiste Miss.Tic adressent leurs regards charbonneux aux passants, ici rue Domrémy dans le XIIIe arrondissement.
    ©  Alain Roy
     

    Le néo-symboliste de Artiste-ouvrier

    Figure reconnue du street-art, Artiste-ouvrier se distingue par sa réinterprétation des maîtres symbolistes tels Gustave Moreau ou Gustave Klimt. Il est également un des rares pochoiristes à travailler d'après modèle. Ici une "Angélique" rue des Gobelins.
    ©  Evald Durand
     

    Icône rock

    Icône rock, pochoir réalisé par Spizz, rue de Mirbel dans le Ve arrondissement.
    ©  Yvette Gogue
     

    Rue de l'Espérance

    Rue de l'Espérance dans le quartier de la Butte aux Cailles, XIIIe arrondissement par Jef Aérosol.
    ©  Yvette Gogue
     

    Les frigos de Paris

    Ancien entrepôt frigorifique de Paris, aujourd'hui résidence d'artistes, sa façade présente une oeuvre du peintre Dominique Larrivaz, intitulée la "Vache folle chien".
    ©  Alain Roy
     

    Portrait de Casque d'or

    Sur les murs de la rue des Orteaux où elle vécut quelques années, le portrait d'Amélie Hélie, plus connue sous le nom de Casque d'Or.
    ©  Yolande Sarvisé

    Chevreuil sortant de la forêt

    Chevreuil sortant de la forêt rue des Saules dans le XVIIIe arrondissement.
    ©  Jean-Pierre Tolomio
     

    L'entrée du terrier

    Rue de Burq dans le XVIIIe arrondissement.
    ©  Jean-Pierre Tolomio
     

    Le bonheur des femmes vu par Miss.Tic

    Perchées sur leurs talons aiguilles, les femmes des pochoirs de l'artistes Miss.Tic donnent du glamour et de la poésie aux murs de la capitale en général, et du XIIIe arrondissement en particulier, quartier de prédilection de l'artiste.
    ©  Evald Durand
     

    Regards urbains

    Fidèles à leur thématique fétiche, celle du regard urbain, Jana und Js signent ce pochoir de la rue Gustave Geffroy dans le XIIIe arrondissement.
    ©  Evald Durand
     

    Aerographe

    Dans une rue du XIIIe arrondissement, autopotrait d'un graffeur.
    ©  Evald Durand
     

    La Savane de Mosko & associés

    A l'angle des rues Buzelin et Riquier dans le XVIIIe arrondissement, une girafe vue par les artistes Mosko & associés.
    ©  Jean-Pierre Tolomio
     

    Artiste-ouvrier

    Rue des Gobelins, un pochoir à l'iconographie très classique traitée de manière symboliste par Artiste-ouvrier.
    ©  Evald Durand
     

    Fauteuil

    Pochoir rue Saint-Rustique dans le XVIIIe arrondissement.
    ©  Yolande SARVISÉ
     

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  • Les festivals insolites à travers le monde

    aux pays-bas, la couleur rousse revient en force grâce à la journée des rouquins
    Aux Pays-Bas, la couleur rousse revient en force grâce à la journée des rouquins ! © Gijs Wobben / Flickr

    La "roux pride" à Bréda

    Le "Roodharigendag" est fêté tous les ans dans la ville néerlandaise de Bréda. Ce festival hors du commun est le premier endroit au monde où tous les roux paradent et affirment leur fierté capillaire. La Journée des rouquins a été créée un peu par hasard par le peintre Bart Rouwenhorst, qui cherchait des modèles aux cheveux roux, et a donc organisé une sorte de "casting" géant en 2005. Depuis, l'événement a pris de l'ampleur, et plus de 4 000 personnes s'y rassemblent autour d'ateliers et d'activités dédiées aux roux.

     
    • Où : Bréda, Pays Bas
    • Quand : Le premier week-end de septembre
    • Combien : Le festival et ses activités sont gratuits
    • Comment s'y rendre : En avion (aéroports d' Eindhoven et de Rotterdam), en train (gare de Bréda via Rotterdam), en voiture
    • Plus d'infos : Le Roodharigendag


     

    La Tomatina à Bunol

    a la fin de la tomatina, tout le monde nage dans la pulpe de tomate... et la
    A la fin de La Tomatina, tout le monde nage dans la pulpe de tomate... Et la bonne humeur. © Flydime / Flickr

    A l'origine, La Tomatina était une sorte de carnaval qui se déroulait tous les ans dans la ville de Bunol, en Espagne. En 1945, un groupe de personnes s'est amusé à faire une bataille de tomates... Après avoir été interdit durant plusieurs années, le festival de la Tomatina est devenu une tradition. Organisé par la mairie de la ville, ce joyeux combat de nourriture accueille des dizaines de milliers de touristes qui se bataillent à l'aide de tomates invendues fournies par la ville. En fin de journée, des rues entières sont rouges, seules quelques bâches permettent de protéger les murs !

     
    • Où : Bunol, Espagne
    • Quand : Le dernier mercredi d'août
    • Combien : Festival gratuit
    • Comment s'y rendre : En train à partir de Valence, en bus à partir d'une dizaine de villes espagnoles
    • Plus d'infos : La Tomatina

    Festivals des haricots secs et de l'ail en Californie

    il faut vraiment aimer l'ail pour se rendre au festival de gilroy.
    Il faut vraiment aimer l'ail pour se rendre au festival de Gilroy. © Bill Strange / Gilroy Garlic Festival

    Depuis 1987, la ville de Tracy, en Californie, organise un festival des haricots secs qui a été inspiré par le festival de l'ail, créé par la mairie de la ville de Gilroy en 1979. A Gilroy, les cuisiniers ont trois jours pour régaler les visiteurs avec de délicieuses spécialités à l'ail. A Tracy, les haricots et particulièrement le chili sont à l'honneur. On trouve des ingrédients plus surprenants : glaces à l'ail, gâteaux à la farine d'haricot... Bien entendu, le festival de Gilroy est sponsorisé par une marque de dentifrice !

     
    • Où : Gilroy, Californie, Etats-Unis
    • Quand : Fin juillet
    • Combien : Environ 12 euros
    • Comment s'y rendre : En voiture
    • Plus d'infos : Le Gilroy Garlic Festival
     
    • Où : Tracy, Californie, Etats-Unis
    • Quand : Début septembre
    • Combien : Le festival est gratuit
    • Comment s'y rendre : En voiture
    • Plus d'infos : Le Tracy Dry Bean Festival

    Le festival des couleurs d'Holi en Inde

    chaque couleur qu'on se jette a une signification précise.
    Chaque couleur qu'on se jette a une signification précise. © Marc Taquet

    Impressionnant et joyeux, le festival des couleurs se déroule tous les ans en Inde le lendemain de pleine lune, en mars. Les villes de Mathura, Nandgaon, Vrindavan ou encore Goverdhan, proches du culte de Krishna, y participent largement. Toute la population des villages fête le printemps en se jetant des pigments de couleur sur le visage et les vêtements. La fête, très joyeuse, attire chaque année des milliers de touristes et rassemble toutes les populations.

     

     
    • Où : Un peu partout en Inde
    • Quand : Lors de la pleine lune de mars
    • Combien : La fête n'est pas payante
    • Comment s'y rendre : En avion, train, bus, voiture

    Le festival des ovnis à Roswell

    le concours de costumes est l'occasion de se travestir en aliens.
    Le concours de costumes est l'occasion de se travestir en aliens. © Mike Peters / Flickr

    La ville de Roswell, dans le Nouveau-Mexique, est bien connue pour le soi-disant crash d'un vaisseau extra-terrestre en 1947. Elle est depuis devenue le lieu de pèlerinage de tous les curieux avides de rencontrer des extra-terrestres. S'il y a bien un moment de l'année où on est sûr d'en croiser, c'est pendant le festival des ovnis ! Les quatre jours du festival sont l'occasion d'organiser des concours de costumes d'extra-terrestres aussi bien pour les humains que pour les animaux, d'assister à une parade de vaisseaux spatiaux, de participer à une chasse aux aliens mais aussi de profiter de concerts et de rencontrer des figures de la science-fiction.

     
    • Où : Roswell, Nouveau Mexique, Etat-Unis
    • Quand : Début juillet
    • Combien : La plupart des activités du festival sont gratuites
    • Comment s'y rendre : En voiture, en avion, en soucoupe volante
    • Plus d'infos : Le UFO Festival de Roswell

    La conférence annuelle des sorciers à Catemaco

    la conférence accueille aussi bien des guérisseurs que les sorciers.
    La conférence accueille aussi bien des guérisseurs que les sorciers. © Raúl Méndez Velázquez / Flickr

    La ville de Catemaco se trouve dans le Veracruz, au Mexique. Elle se situe au bord d'un magnifique lac autour duquel se retrouvent tous les ans les Brujos, des sorciers-guérisseurs locaux, lors de la grande conférence annuelle des sorciers. Dans cette région où les plantes médicinales sont nombreuses, on assiste depuis les années 1970 aux démonstrations et aux colloques réunissant les spécialistes des sciences médicinales occultes. Les touristes s'y rendent pour assister à des impressionnants rites mais aussi pour se faire soigner par les médecines parallèles et la magie.

     
    • Où : Catemaco, Mexique
    • Quand : La nuit du premier jeudi de mars
    • Combien : Festival gratuit mais prestations payantes
    • Comment s'y rendre : En bateau (ports de Laguna Sontecomapan et Laguna del Ostion), en avion (Minatitlan/Coatzacoalcos and Veracruz), en voiture
    • Plus d'infos : Les Brujos de Catemaco

    Le festival d'automne du West Side Nut Club

    pas de panique ! des hamburgers normaux et des spécialités traditionnelles au
    Pas de panique ! Des hamburgers normaux et des spécialités traditionnelles au maïs sont également vendus sur les stands. © Mikko Pitkänen / Fotolia

    Les concours d'aliments sont légion aux Etats-Unis, mais la ville d'Evansville, dans l'Indiana, abrite un événement culinaire un peu à part. Le célèbre festival de nourriture du West Side Nut Club, qui se déroule tous les ans durant la fête de l'automne, propose aux amateurs de découvrir de nouveaux gouts. Les spécialités ? Le bacon et les sauterelles au chocolat, le hamburger à la cervelle, le ragoût de crocodile, les sucettes aux insectes et les bâtonnets de beurre frit... Le festival d'automne est l'un des plus grands événements des Etats-Unis et il existe depuis 90 ans.

     
    • Où : Evansville, Indiana, Etats-Unis
    • Quand : Le premier week-end d'octobre
    • Combien : Prévoir le coût de la nourriture
    • Comment s'y rendre : En avion (aéroport régional d'Evansville), en bus, en voiture
    • Plus d'infos : Le West Side Nut Club

    La fête des singes à Lopburi

    les singes du temple de prang yam sot, à lopburi.
    Les singes du temple de Prang Yam Sot, à Lopburi. © Eric Masson

    Les sanctuaires kmers de San Phra Kan et de Prang Sam Yot en Thaïlande sont toute l'année le lieu de résidence de nombreux singes, qui y vivent en liberté. Ils accueillent le plus surprenant des festivals organisés dans le pays, la fête des singes. Les habitants de la ville de Lopburi mettent la main à la pâte à chaque fin du mois de novembre pour préparer un grand banquet dont les convives sont... Les singes ! Principale attraction touristique du lieu, les primates sont remerciés de leur aide précieuse à l'aide de sucreries et de sodas dont ils raffolent. Une grande table très décorée est dressée pour eux.

      
     
    • Où : Lopburi, Thaïlande
    • Quand : Fin novembre
    • Combien : Le festival est gratuit
    • Comment s'y rendre : En avion puis en train jusqu'à Lopburi

    Le festival de la boue à Boryeong

    la boue, c'est peut-être sale, mais il parait que c'est bon pour la santé...
    La boue, c'est peut-être sale, mais il parait que c'est bon pour la santé... © Stéphane Nef

    Boryeong, en Corée du Sud, est réputée pour sa boue, dont les qualités cosmétiques et médicinales sont vantées par les habitants de la ville. C'est pourquoi le festival de la boue a été créé ! Il propose une énorme quantité de boue exposée sur la plage ainsi que des jeux (toboggans, combats et massages de boue, peinture sur corps...) auxquels des centaines de milliers de visiteurs venus du monde entier participent. En fin de journée, chacun est couvert de boue verdâtre pour se rendre au feu d'artifice qui clôt le festival.

     
    • Où : Boryeong (Daecheon), Corée du Sud
    • Quand : Fin juillet
    • Combien : La plupart des activités du festival sont gratuites
    • Comment s'y rendre : En train

    La parade des 1 000 samouraïs à Nikko

    la procession du festival du printemps est certainement la plus impressionnante.
    La procession du festival du printemps est certainement la plus impressionnante. © Jeff Henig / Flickr

    Les samouraïs existent encore au Japon, pour preuve, cet immense festival qui a lieu deux fois par an, en automne et au printemps, dans la ville de Nikko. Des centaines de figurants participent à une grande parade militaire des XVIIème et XVIIIème siècles. Parmi les samouraïs en armure et les tenues traditionnelles, certains participants se promènent à cheval, notamment des archers qui proposent une représentation de Yabusame. La procession se déroule au cœur des sanctuaires de la ville, qui ont été inscrits sur la liste du patrimoine mondial par l'Unesco.

      
     
    • Où : Nikko, Japon
    • Quand : Le 17 octobre / les 17 et 18 mai
    • Combien : Compter entre 10 et 15 € pour l'entrée du sanctuaire
    • Comment s'y rendre : En bus et en train depuis Tokyo

    Le festival des fiançailles d'Imilchil

    représentation de la foule lors du moussem d'imilchil.
    Représentation de la foule lors du Moussem d'Imilchil. © Bernard Combe

    Il s'agit certainement du festival le plus connu du Maroc : tous les ans, le Moussem d'Imilchil accueille des dizaines de tribus berbères pour une grande foire aux fiancés. Cet événement extrêmement important pour la culture berbère est l'occasion d'organiser des mariages entre jeunes gens. L'idée est de faire se rencontrer autour des deux lacs (celui du fiancé Isli et celui de la fiancée Tislit) des jeunes de tout le pays, de célébrer leur amour et de planifier des mariages. Le festival est un grand moment de partage et s'accompagne d'un souk et d'un festival de musique pour attirer les touristes.

     
    • Où : Imilchil, Maroc
    • Quand : Mi-septembre
    • Combien : Prévoir le coût de l'hébergement
    • Comment s'y rendre : En voiture, en randonnée

     

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  • 30 chefs-d'œuvre des musées français

    Conservée au Musée du Louvre, La Dentellière est une œuvre du peintre hollandais Johannes Vermeer (1632-1675), célèbre pour ses peintures de genre, des intérieurs montrant des scènes de la vie quotidienne.
    ©  RMN / Gérard Blot

    Autoportrait par Vincent Van Gogh

    L'autoportrait est un exercice de style auquel Van Gogh aimait à se livrer. Dans ce Portrait de l'artiste, il se représente sans complaisance avec les traits durs et émaciés, le regard cerné, et choisit le veston plutôt que la vareuse de peintre. La rigueur de la pose contraste avec la touche expressive de l'arrière plan.
    ©  RMN / Gérard Blot

    La Joconde par Léonard de Vinci

    Le Portrait de Mona Lisa réalisé par Léonard de Vinci entre 1503 et 1506 est une des ?uvres les plus célèbres du monde. Le portrait de la Florentine Mona Lisa del Giocondo, ne quitte jamais l'artiste de son vivant, qui l'emporte probablement avec lui lors de sa visite à François Ier à Amboise. Il est aujourd'hui exposé au Louvre.
    ©  Photo L'Internaute Magazine / Tiphaine Bodin

    La Liberté guidant le peuple par Eugène Delacroix

    Le 28 Juillet : La Liberté guidant le peuple, signée Delacroix,  présentée au Salon de 1831, est devenue le symbole des Trois glorieuses, insurrection populaire des 27, 28 et 29 juillet 1830 à Paris. L'artiste place le spectateur au c?ur des barricades où les républicains révoltés sont menés ... Lire la suite   
    ©  RMN / Hervé Lewandowski

    Madeleine à la veilleuse par Georges de La Tour

    Pécheresse repentie, La Madeleine à la veilleuse du Louvre peinte par Georges de La Tour vers  1642-1644, est représentée en pleine méditation sur la vie et sa fragilité, évoquée par le crâne et la  flamme qui n'éclaire que son visage.
    ©  RMN / Gérard Blot

    Olympia par Edouard Manet

    Objet de tous les scandales, L'Olympia de Manet, peinte en 1863, fut l'?uvre la plus controversée de l'artiste par l'atmosphère érotique qui se dégage de cette scène provocante. Loin des références mythologiques, cette odalisque nue ne fait référence à aucune divinité mais semble bien plus relever d'une scène de maison close.
    ©  RMN / Hervé Lewandowski

    Descente de Croix par Peter Paul Rubens

    La Descente de Croix du Palais des Beaux-Arts de Lille, a été peinte vers1617 par Rubens, peintre majeur de la peinture flamande du XVIIe siècle, pour le maître-autel du couvent des Capucins de Lille. Dans cet enchevêtrement de mouvements formant un ligne sinueuse, Rubens compose une mise en scène grandiose.
    ©  Palais des Beaux-Arts de Lille

    Grande Odalisque par Jean-Auguste-Dominique Ingres

    En 1914, avec sa Grande Odalisque, Ingres transpose le thème du nu mythologique en Orient. Un orientalisme sensuel évoqué par cette femme de harem nue portant un turban et par le rendu des étoffes précieuses. Mais les libertés anatomiques prises par le peintre, les lignes allongées et sinueuses du modèle, ser... Lire la suite   
    ©  RMN / Hervé Lewandowski

    Le radeau de la Méduse par Théodore Géricault

    ?uvre majeure dans la peinture française du XIXe siècle, peinte par Géricault entre 1817  et 1819, Le Radeau de la Méduse s'inspire d'un fait réel, le naufrage d'une frégate en 1816 près des côtes du Sénégal. Le peintre compose avec le plus grand réalisme, une immense toile où les hommes, livrés à eux-mêmes, se divisen... Lire la suite   
    ©  RMN / Gérard Blot

    Paul Alexandre devant un vitrage par Amedeo Modigliani

    Premier collectionneur de l'artiste et ami proche, le peinture et sculpteur italien Modigliani laissera de nombreux portraits de Paul Alexandre, dont celui de 1913 exposé au musée des Beaux-Arts de Rouen. L'oeuvre annonce pour la première fois une stylisation extrême du travail de l'artiste.
    ©  L'Internaute Magazine / Tiphaine Bodin

    La classe de danse par Edgar Degas

    Sujet de prédilection du peintre Degas, la danse donnera lieu à de nombreuses œuvres à partir de 1970. Spectateur assidu d'Opéra, il fréquente également le foyer de danse, où il se plaît à observer le travail des ballerines. La classe de danse est exposée au musée d'Orsay à Paris.
    ©  RMN / Hervé Lewandowski

    Le Jeune Mendiant par Bartolomé Esteban Murillo

    Inspiré par la grande misère qui régnait dans les rues de Séville au XVIIe siècle, Murillo représente un Jeune Mendiant en train de se débarrasser de puces. Dans cette ?uvre de jeunesse de Murillo datant des années 1645-1650, l'artiste assez influencé par la technique du Caravage, offre ici une peinture de genre dont le car... Lire la suite   
    ©  RMN / Hervé Lewandowski

    Pommes et biscuits par Paul Cézanne

    Artiste proche du mouvement impressionniste, le travail de Paul Cézanne marque cependant l'art du XXe siècle par ses recherches sur le volume et l'épuration des formes, annonçant ainsi les prémices du cubisme de Picasso. Pommes et biscuits est l'une des natures mortes les plus épurées de l'artiste.
    ©  Photo RMN - © Franck Raux

    Le Serment des Horaces par Jacques Louis David

    Achevé en 1785, Le Serment des Horaces est une immense toile peinte par David et considérée comme l'un des chefs-d'?uvre du néoclassicisme. Tiré de l'histoire romaine, David choisit de représenter le moment, avant le combat pour la cité de Rome qui opposera les Horaces aux Curiaces, le serment des  trois frères de se b... Lire la suite   
    ©  RMN / Gérard Blot / Christian Jean

    Impression, soleil levant par Claude Monet

    Peint au port du Havre en 1872, Claude Monet présente Impression Soleil levant lors d'une exposition où sont réunies des ?uvres de Degas, Pissarro, Renoir et Sisley... Un critique malveillant, s'inspirant du nom du tableau, ironise en l'appelant  "l'Exposition des Impressionnistes".  L'expression donnera... Lire la suite   
    ©  L'Internaute Magazine / Charlène Vince

    La Vierge du chancelier Rolin par Jan Van Eyck

    Peint par l'artiste flamand Jan Van Eyck vers 1435, La Vierge du chancelier Rolin représente une scène d'adoration où Nicolas Rolin, chancelier du duc de Bourgogne et commanditaire de l'œuvre, est béni par l'enfant Jésus assis sur les genoux de la Vierge.
    ©  RMN / Gérard Blot

    Femmes de Tahiti ou Sur la plage par Paul Gauguin

    Peintre majeur du XIXe siècle, Gauguin a inspiré de nombreux courants picturaux. En 1891, il s'installe à Tahiti loin des superficialités occidentales. Pendant ce séjour, Gauguin produit de nombreuses ?uvres, séduit par le le charme indolent des Polynésiennes comme en témoigne Femmes de Tahiti, plus inspirées par le primi... Lire la suite   
    ©  RMN / Hervé Lewandowski

    Le Temps par Goya

    Le Temps ou Les Vieilles, est un tableau du peintre espagnol Goya datant des années 1808-1812. Peintre du roi d'Espagne et portraitiste sans concession, l'artiste est également connu pour ses caprices, satires sinistres et énigmatiques des défauts et des vices de la société. C'est dans cette veine qu'il réalise Les Vieilles... Lire la suite   
    ©  Palais des Beaux-Arts de Lille

    Printemps pluvieux par Alfred Sisley

    Figure du mouvement impressionniste, le peinture d'Alfred Sisley, comme le témoigne Printemps pluvieux peint en 1879 et conservé au Musée des Beaux-Arts de Nantes, puise l'essentiel de son inspiration dans le paysage.
    ©  L'Internaute Magazine / Tiphaine Bodin

    Portrait de l'artiste par Rembrandt

    Peintre majeur du Siècle d'or néerlandais, Rembrandt a réalisé une centaine d'autoportraits tout au long de sa carrière, témoignant de l'évolution de son style. Le Portrait de l'artiste en costume oriental de 1631 et conservé au Petit-Palais présente la particularité d'être le seul autoportrait en pied.
    ©  L'Internaute Magazine / Carole Pausé

    Aurore et Céphale par François Boucher

    Peintre français majeur du XVIIIe siècle, Premier Peintre de Louis XV et artiste à la mode grâce aux faveurs de Madame de Pompadour, François Boucher réalise en 1733, Aurore et Céphale, dans le plus pur style rococo, une scène mythologique représentant Aurore, tentant de séduire le fidèle Céphale.
    ©  L'Internaute Magazine / Carole Pausé

    La clownesse Cha-U-KO, artiste au Moulin Rouge par Henri de Toulouse-Lautrec

    Peintre du post-impressionnisme, Toulouse-Lautrec était considéré comme "l'âme de Montmartre".  Passionné de cabaret comme de maisons closes, l'artiste croque sans indulgence et affranchi de toute contrainte morale les personnalités rencontrées au cours de ses virées nocturnes telles La clownesse Cha-U-KO, artiste du Moulin Rouge.
    ©  RMN / Hervé Lewandowski

    Autoportrait aux bésicles Jean-Baptiste Chardin

    Si Chardin a marqué la peinture du XVIIIe siècle par ses natures mortes et ses peintures de genre, ses pastels sont également devenus de grands chefs-d'œuvre comme l'atteste cet Autoportrait aux bésicles de 1773.
    ©  Musée des Beaux-Arts d'Orléans

    Galatée par Gustave Moreau

    Peintre, graveur, dessinateur, Gustave Moreau est l'un des principaux représentants du courant symboliste français du XIXe siècle. En 1880, il s'inspire des Métamorphoses d'Ovide et peint Galatée. Dans cette oeuvre la jeune femme, amoureuse du beau berger Acis, subit la jalousie du cyclope Polyphème.
    ©  RMN / René-Gabriel Ojéda

    La Belle Jardinière par Raphaël

    La Vierge, le Christ et saint Jean-Baptiste dit La Belle Jardinière, peint par le florentin Raphaël vers 1507-1508, est l'un des chefs-d'oeuvre du Louvre. Dans une composition pyramidale, la Vierge et l'Enfant Jésus sont représentés en compagnie du petit saint Jean-Baptiste dans un paysage bucolique.
    ©  RMN / Jean-Gilles Berizzi

    Les Périssoires par Gustave Caillebotte

    Ami et mécène des impressionnistes, l'œuvre de Caillebotte s'inspire du Paris haussmannien, d'intérieurs bourgeois ou du labeur ouvrier. Les Périssoires, canots à fond plat, s'inscrivent ainsi dans une thématique chère aux impressionnistes, celle des loisirs nautiques.
    ©  MBA, Rennes, Distribution RMN / Louis Deschamps

    Scène de patinage par Pieter Brueghel Le Jeune

    Peintre flamand de la Renaissance, fils de Pieter Bruegel l'Ancien et frère de Jan Bruegel l'Ancien, Pieter Brueghel Le Jeune, comme son père, est connu pour ses scènes de genre et illustre le réalisme flamand comme en témoigne cette Scène de patinage.
    ©  L'Internaute Magazine / Ariane Gaudefroy

    Cirque par Georges Seurat

    Pionnier du pointillisme et du divisionnisme, Seurat s'illustre dans une technique picturale où des points colorés juxtaposés forment une vibration lumineuse. Et si le thème du Cirque est fréquemment traité à la fin du XIXe siècle par les artistes, Seurat l'explore avec une conception toute scientifique de la peinture.
    ©  RMN / Patrice Schmidt

    Au bal par Berthe Morisot

    Présente à toutes les expositions impressionnistes, Berthe Morisot, peintre mais également femme, se distingue par ses scènes familiales et compose de nombreux portraits de femmes et d'enfants, comme en témoigne Au bal, œuvre du Musée Marmottan datant de 1875.
    ©  L'Internaute Magazine / Charlène Vince

    Cérès foulant aux pieds les attributs de la guerre par Simon Vouet

    <:FIGURE style="WIDTH: 630px" class=ccmcss_cms_figure>

    <:FIGCAPTION>Peintre du roi Louis XIII, Simon Vouet, peintre français formé en Italie, est l'artiste qui au XVIIe siècle importe en France le style baroque italien comme en témoigne sa fougueuse Cérès foulant aux pieds les attributs de la guerre conservée au Musée des Beaux-arts Thomas Henry à Cherbourg.
    ©  Cherbourg-Octeville, musée d'art Thomas-Henry / L'Internaute
     

     
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  • Pont-Aven, la cité des peintres

    En Cornouaille, entre Concarneau et Lorient, Pont-Aven se love au creux d'une vallée verdoyante. Au XIXe siècle, ce bourg traversé par les eaux tumultueuses de l'Aven a attiré de nombreux peintres. Port de Pont-Aven, Finistère, octobre 2007.
    ©  Hubert Guiziou

    Moulin de Rosmadec

    Les quatorze moulins de Pont-Aven ont marqué l'histoire de la ville. Le moulin de Rosmadec date du XVe siècle. Il a cessé son activité en 1925 et abrite à présent un restaurant gastronomique. A l'intérieur, on peut toujours admirer les deux meules du moulin. Moulin de Rosmadec au bord de l'Aven, Pont-Aven, Finistère, avril 2004.
    ©  Michèle Coulon

    L'Aven

    Le fleuve Aven parcourt la ville dans toute sa longueur. Riche en truites et en saumons, l'Aven prend sa source à Coray au lieu-dit Pen Aven, pour se jeter dans l'océan trente-sept kilomètres plus loin, au niveau de la station balnéaire de Port Manec'h.
    ©  Alain Le Cloarec - OTSI Pont-Aven

    Eglise de Nizon

    L'église de Nizon date du XVIe siècle. Cet édifice restauré avec harmonie renferme une belle collection de statues polychromes. Le calvaire qui trône sur la place de l'église a inspiré quelques toiles à Gauguin. Eglise de Nizon, Pont-Aven, Bretagne, août 2004.
    ©  Henri Manguy

    La pointe de Trévignon

    Sur la côte Atlantique, à quelques kilomètres de Pont-Aven, la pointe de Trévignon compte de magnifiques plages et des dunes cachant de jolis étangs.
    ©  Henri Manguy

    Biscuiterie de Pont-Aven

    Moment de gourmandise à Pont-Aven. Deux usines se partagent la recette des célèbres galettes de Pont-Aven. Tout au long de l'année, sur rendez-vous, vous pouvez visiter les fabriques ou tout simplement acheter les galettes dans une des biscuiteries de la ville. Pont-Aven, août 2006.
    ©  Serge Agombart

    Moulin de Pont-Aven

    Pont-Aven a rapidement su profiter de l'opportunité de l'Aven. De nombreux moulins ont ainsi vu le jour sur ses berges. En se baladant dans la ville, vous en croiserez forcément un.
    ©  Alain Le Cloarec - OTSI Pont-Aven

    Quais de Pont-Aven

    Sur les quais du port de Pont-Aven, quelques restaurants accueillent les visiteurs pour un dîner romantique face au fleuve Aven. Port de Pont-Aven.
    ©  Alain Le Cloarec - OTSI Pont-Aven

    Toits de chaume

    Les vieilles maisons de Pont-Aven sont recouvertes de toits de chaume. Cette paille s'associe joliment avec la pierre bretonne. Pont-Aven, Bretagne, Juillet 2002.
    ©  Alain Brunel

    Roue d'un moulin

    Les moulins de Pont-Aven ont régulièrement été peints ou décrits par les artistes installés dans la ville. Roue d'un moulin, Pont-Aven.
    ©  Alain Le Cloarec - OTSI Pont-Aven

    Centre-ville

    Le centre-ville de Pont-Aven accueille les visiteurs tout au long de l'année. Cette cité lumineuse et fleurie est peuplée de maisons en granit. Place de Pont-Aven.
    ©  Alain Le Cloarec - OTSI Pont-Aven

    Moulin du Grand Poulguin

    Installé sur un point tumultueux de l'Aven, le moulin du Grand Poulguin est connu pour le bruit qu'il produit. Longtemps utilisé pour entreposer du vin, il abrite à présent une crêperie. Moulin du Grand Poulguin sur les bords de l'Aven, Pont-Aven, août 2006.
    ©  Serge Agombart

    Le Bois d'Amour

    A deux pas du centre-ville, le Bois d'Amour propose un circuit au bord de l'Aven et au cœur des sous-bois. Vous pourrez flâner en toute tranquillité et peut-être découvrir à l'orée du bois la chapelle de Trémalo. Le Bois d'Amour, Pont-Aven.
    ©  Alain Le Cloarec - OTSI Pont-Aven

    Port fleuri

    L'estuaire de l'Aven est connu pour son calme et sa beauté. Les bateaux et les visiteurs s'arrêtent ici pour apprécier le calme et l'air frais de la Bretagne. Port fleuri de Pont-Aven.
    ©  Alain Le Cloarec - OTSI Pont-Aven

    Pension Gloanec

    La célèbre pension Gloanec servait de point de ralliement aux peintres, à la fin du XIXe siècle. Pension Gloanec, Pont-Aven.
    ©  Alain Le Cloarec - OTSI Pont-Aven

    Pierres bretonnes

    A gauche, la promenade Xavier Grall, qui porte le nom d'un poète breton. A droite, la chapelle de Trémalo du XVIe siècle. Dans la nef de ce charmant édifice, on découvre le crucifix en bois polychrome qui inspira Gauguin pour son "Christ Jaune". 
    ©  Alain Le Cloarec - OTSI Pont-Aven

    Les peintres sur le port

    Tout au long de l'année, des peintres en herbe ou professionnels investissent régulièrement la ville afin de capter son essence, à la manière de Gauguin et des nombreux artistes qui séjournèrent ici.
    ©  Alain Le Cloarec - OTSI Pont-Aven

    Le pont du centre-ville

    Ce pont de granit est la colonne vertébrale de la ville. Pont-Aven s'est construit autour de ce pont situé dans le centre ville. Pont-Aven.
    ©  Alain Le Cloarec - OTSI Pont-Aven

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    LES 20 CHÂTEAUX LES PLUS

    SPECTACULAIRES DU MONDE

    Windsor au Royaume-Uni
    Quand il s'agit de se bâtir des résidences à la hauteur de leur rang, les rois, les empereurs ou même les présidents ne manquent ni de ressources, ni d'imagination.Ici, le château de Windsor, l'une des demeures de la famille royale d'Angleterre, situé dans le Berkshire. Il est actuellement le plus grand château habité au monde, mais aussi la demeure royale qui est restée le plus longtemps habitée sans discontinuité (plus de 1 000 ans !)
    ©  Veneratio - Fotolia
     
     

    HIMEJI AU JAPON

    Himeji au Japon
    A quoi ressemblaient les châteaux médiévaux au Japon ? En voici l'un des plus beaux exemples. Construit au XIVe siècle, il est l'un des seuls bâtiments de cette époque à avoir survécu au temps et aux bombardements de la Seconde Guerre Mondiale. A noter : la commune d'Himeji est jumelée avec celle... de Chantilly en France !
    ©  Josemaria Toscano - Fotolia.com
     
     

    LE FORT DE MEHRANGARH EN INDE

    Mehrangarh en Inde
    Les courbes spectaculaires de ce palais incroyable ne vous sont pas inconnues ? Vous avez peut-être vu le fort de Mehrangarh dans le film de Christopher Nolan "The Dark Knigh Rises" (lorsque le jeune enfant puis Batman, parviennent à s'extraire du trou...) Il est situé à Johdpur, dans le Rajasthan et sa construction a débuté en 1459.
    ©  Christian Villain
     
     

    LE POTALA AU TIBET

    Potala
    "Potala" signifie "montagne mythique" en sanskrit. Celui-ci est situé au Tibet, au coeur de la ville de Lhassa. Il est l'ancienne résidence d'hiver du Dalaï Lama ry est constitué d'un palais rouge (réservé à l'étude religieuse) et d'un palais blanc (où séjournait le Dalaï Lama). On les distingue nettement sur la photo.
    ©  wusuowei - Fotolia.com
     
     

    MALBORK EN POLOGNE

    Malbork
    Le château de Malbork (également appelé Forteresse teutonique de Marienbourg) est situé dans la ville du même nom. Constitué de trois châteaux imbriqués les uns dans les autres, il fut l'un des plus grands d'Europe. Il a accueilli l'Ordre des Chevaliers Teutoniques qui tentèrent d'en faire le siège de leur théocratie au XIIIe siècle.
    ©  Patryk Kosmider - Fotolia.com
     
     

    NEUSCHWANSTEIN EN ALLEMAGNE

    Neuschwanstein en Allemagne
    Ce château ne vous est pas inconnu et pour cause, c'est celui qui a inspiré Walt Disney dans "La Belle au Bois dormant". C'est Louis II de Bavière qui a lancé sa construction sur un éperon rocheux de 200 mètres d'altitude.
    ©  Claudine Crevola
     
     

    SPIS EN SLOVAQUIE

    Spis en Slovaquie
    Le château de Spis, aujourd'hui en ruines, fut l'une des plus importantes places fortifiées d'Europe orientale. Au XIIe et au XIIIe siècle, il était un haut lieu politique et administratif. Très endommagé suite à un incendie au XVIIIe siècle, il a été partiellement rénové au XXe siècle.
    ©  oscity - Fotolia.com
     
     

    VERSAILLES EN FRANCE

    Versailles
    Faut-il encore présenter ce joyaux, résidence de Louis XIV et de Louis XV ? D'une superficie de plus de 6 hectares, il comprend 2 300 pièces. Avant la Révolution française, son jardin s'étendait sur plus de 8 000 hectares (contre "seulement" 750 aujourd'hui.)
    ©  Gilles Oster
     
     

    SCHONBRUNN EN AUTRICHE

    Schonnbrunn
    Et voici la déclinaison autrichienne de notre Versailles national. Classé au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1996, le château de Schönbrunn, dans le centre de Vienne, offre un formidable témoignage du cadre de vie de la famille impériale. Considéré comme l'un des plus importants châteaux baroques en Europe, il illustre l'ascension et la gloire des Habsbourg.
    ©  Manuel Thuault
     
     

    EDIMBOURG EN ECOSSE

    Edimbourg
    Planté sur un éperon rocheux en plein coeur de la ville d'Edimbourg, ce château semble tout droit sorti d'un conte de fée. Situé sur Castle Hill, il offre un panorama superbe des toits d'Edimbourg. Ses murs anciens renferment les éblouissants joyaux de la couronne écossaise.
    ©  herculaneum79 - Fotolia.com
     
     

    L'ALHAMBRA EN ESPAGNE

    L'Alhambra en Espagne
    L'Alhambra ("la rouge" en arabe) de Grenade est un témoignage grandiose de l'architecture islamique en Espagne. Ce palais témoignage de la présence musulmane à partir du VIIIe siècle.
    ©  Robert Picavet
     
     

    L'ERMITAGE À ST-PETERSBOURG

    L'Ermitage à St-Petersbourg
    Véritable joyaux de l'art baroque russe, l'Ermitage avant de devenir le plus grand musée du monde devant le Louvre et le Prado, fut la résidence principale de l'empereur de Russie.
    ©  Jean-claude-Allin
     
     

    PALAIS DU PLANALTO À BRASILIA

    Palais du Planalto à Brasilia
    Dans un style beaucoup plus moderne, voici le palais présidentiel situé à Brasilia, capitale du Brésil. Tout de verre et de béton, il se trouve sur la Place des Trois Pouvoirs, où siègent également le judiciaire et le législatif.
    ©  Acervo da SETUR / Ricardo-Stuckert
     
     

    LE CHÂTEAU DE CHANTILLY

    Le château de Chantilly
    Attention merveille ! Cette ancienne demeure princière de style Renaissance date en réalité... du XIXe siècle. Construit au XIIe siècle, le château devient une prison pendant la Révolution française, la Terreur a raison de lui et il faudra attendre 1876 pour que le Duc d'Aumale débute sa reconstruction d'après les plans de l'architecte Honoré Daumet.
    ©  Gérard Mignon
     
     

    LA CITÉ INTERDITE EN CHINE

    La Cité Interdite en Chine
    Classé au Patrimoine mondial de l'Unesco, la Cité Interdite, source de fantasmes et de secrets, s'étale sur une surface de 72 hectares, soit plus de 8 000 pièces différentes. 24 empereurs se succédèrent en son sein de 1420 à 1911. Véritable ville dans la ville, ces derniers sortaient de la Cité Interdite de façon très exceptionnelle.
    ©  Henriette Cortier
     
     

    LE PALAIS DE L'ALCAZAR À SÉVILLE

    Le Palais de l'Alcazar à Séville
    Difficile de passer à Séville sans visiter l'Alcazar, ce joyau architectural andalou. Sa construction débute avec les Omeyyades d'Espagne en 844. Le vaste palais est ensuite agrandi, enrichi et modifié durant la période musulmane. La famille royale d'Espagne utilise encore actuellement un étage du palais.
    ©  Alan Reed - Fotolia.com
     
     

    LE PALAIS DE WESTMINSTER

    À LONDRES

    Le palais de Westminster à Londres
    D'apparence médiévale, le palais de Westminster, habité par Edouard le Confesseur pendant de XIème siècle, fut agrandi et embelli pendant le Moyen Age. Détruit pendant l'incendie de 1834, il ne subsiste aujourd'hui de la structure originale que le Westminster Hall.
    ©  Bertrand Kulik
     
     

    FATEHPUR SIKRI EN INDE

    Fatehpur Sikri en Inde
    Le meilleur de l'art mogol figure sur ce site exceptionnel, parfaitement conservé et rénové par les autorités indiennes. A l'intérieur, repose le tombeau en marbre du saint Salim Chisti, qui avait prédit à Akbar la naissance de ses trois fils. L'endroit est devenu un lieu de prière pour les femmes souhaitant avoir des enfants.
    ©  Alice Aubert
     
     

    PALENQUE AU MEXIQUE

    Palenque au Mexique
    Le site de Palenque accueillait un site Maya d'exception et notamment l'un des plus beaux palais de l'époque, aujourd'hui à l'état de ruines et recouverts d'une végétation particulièrement dense.
    ©  Claudine Crevola
     
     

    KNOSSOS EN GRÈCE

    Knossos en Grèce
    Pendant la période minoenne, Knossos était une capitale puissante qui abritait le palais du légendaire roi Minos. Ses vestiges furent découverts en 1878, son plan est celui d'un labyrinthe compliqué appelé "dédalique".
    ©  William Tremblet

     

    Art et Culture:   20 châteaux spectaculaires à travers le monde

     

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