•  Dame Trude, conte des frères Grimm Il était une fois une petite fille extrêmement têtue et imprudente qui
    n'écoutait pas ses parents et qui n'obéissait pas quand ils lui avaient
    dit quelque chose. Pensez-vous que ça pouvait bien tourner ?
    Un jour, la fillette dit à ses parents :
    - J'ai tellement entendu parler de Dame Trude que je veux aller chez
    elle. Il paraît que c'est fantastique et qu'il y a tant de choses étranges
    dans sa maison, alors la curiosité me démange.
    Les parents le lui défendirent rigoureusement et prévinrent :
    - Écoute, Dame Trude est une mauvaise femme qui pratique toutes
    sortes de choses méchantes et impies. Si tu y vas, tu ne seras plus
    notre enfant !
    L
    a fillette se moqua de la défense de ses parents et alla quand
    même là-bas. Arrivée chez Dame Trude, la vieille lui demanda :
    - Pourquoi es-tu si pâle ?
    - Oh ! dit-elle en tremblant de tout son corps, c'est que j'ai eu si peur
    de ce que j'ai vu !
       - Et qu'est-ce que tu as vu ? demanda la vieille.
    - J'ai vu sur votre seuil un homme
    NOIR
    , dit la fillette.
    - C'était un charbonnier, dit la vieille.
    - Après, j'ai vu un homme
    VERT
    , dit la fillette.
    - Un chasseur dans son uniforme, dit la vieille.
    - Après, j'ai vu un homme tout
    ROUGE
    de sang.
    - C'était un boucher, dit la vieille.
    - Ah ! Dame Trude, dans mon épouvante, j'ai regardé par la fenêtre
    chez vous, mais je ne vous ai pas vue. J'ai vu le diable en personne
    avec une tête de feu.
    - Oh ! Oh ! dit la vieille, ainsi tu as vu la sorcière dans toute sa
    splendeur ! Et cela, je l'attendais et je le désirais de toi depuis
    longtemps ! Maintenant tu vas me réjouir.
    E
    lle transforma la fillette en une grosse bûche qu'elle jeta au feu,
    et quand la bûche fut bien prise, en train de flamber, Dame Trude
    s'assit et s'y chauffa délicieusement en disant :
    - Le bon feu, comme il flambe bien clair, pour une fois !
       Jacob et Wilhelm GRIMM

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  •       

    le Roi Grenouille, conte des frères Grimm Jacob & Wilhelm GRIMM

    le Roi Grenouille, conte des frères Grimm     le Roi Grenouille, conte des frères Grimm   Il était une fois une belle Princesse écervelée. Le Roi, son père,
    dont elle était l'unique enfant, lui donnait tout ce qu'elle pouvait
    désirer. Son jouet préféré était une balle dorée qu'elle emportait
    partout, la lançant et la rattrapant sans cesse.
    Un jour, se promenant au fond du parc du château, elle arriva près
    d'un vieux puits. Elle s'assit sur la margelle, tout en jouant avec sa
    balle. Hélas ! La jolie balle dorée lui échappa et tomba tout au fond
    du puits. La Princesse sanglotait, penchée sur le bord du puits
    quand une voix froide et mouillée lui dit :
    - Si je vais chercher ta balle dorée au fond du puits, promets-tu
    ..de me laisser manger à ta table, de me laisser dormir dans ton lit,
    ..et voudras-tu m'embrasser si je te le demande ?
    La Princesse se redressa et regarda autour d'elle. Il n'y avait per-
    sonne ! Elle entendit de nouveau la voix. Cette fois, elle reconnut
    qu'elle venait du puits.
    En regardant mieux, elle vit qu'une grenouille lui tenait ce discours.
    La Princesse était si troublée qu'elle ne trouva pas étrange qu'une
    grenouille lui parle. Aussi lui répondit-elle :
    - Grenouille, je te promets ce que tu veux si tu rapportes ma balle
    ..dorée. La grenouille plongea et ramena la balle dorée de la Princesse.
    En rentrant au palais la Princesse avait, naturellement, oublié toutes
    les promesses faites à la grenouille. Mais, pendant le dîner, un bruit
    étrange se fit entendre à la porte de la salle à manger.
    Les valets ouvrirent et une grenouille verte, en trois bonds, vint se
    percher sur les genoux de la Princesse !
    L
    e Roi, furieux qu'un tel animal vint troubler la majesté de son re-
    pas, exigea des explications auprès de sa fille consternée.
    La Princesse finit par lui avouer qu'elle avait promis à la grenouille
    qu'elle pourrait manger à la table du Roi. Elle se garda, cependant,
    de parler des autres promesses.
    - On doit toujours tenir ses promesses, dit le Roi. N'oublie jamais
    ..
    cela, mon enfant !
    A ces mots, la grenouille commença à manger dans l'assiette de la
    Princesse. La Princesse ne dit mot, mais elle détestait cette pré-
    sence humide.
    V
    int le moment d'aller au lit. La Princesse entra dans sa chambre,
    très anxieuse de ce qu'elle allait y trouver. Elle renvoya ses servan-
    tes et tira elle-même les rideaux de son baldaquin.
    La grenouille était installée sur son oreiller !
         
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  • Légende des Chaudrons du Diable

    Légende du Québec 

    Vers 1884, au tout début de la colonisation du village de Grosses-Roches, les premiers défricheurs coupeurs de bois devenaient draveurs au printemps.

    Pour ce faire ils construisirent des digues sur les petites rivières avoisinantes. Ces ouvrages servaient à retenir l’eau en amont et les billes de bois destinées au sciage étaient transportées à l’aide de chevaux et mis à la flotte dans le bassin ainsi créé. Une petite scierie érigée un peu plus bas recevait les billes qui étaient relâchées au printemps  lors de la crue des eaux.

    À l’époque la ferveur divine alimentait généreusement la motivation des pionniers. Ainsi, le curé du village agissait aussi en maître d’oeuvre en matière de développement. On raconte qu’un dimanche après la messe dominicale, le propriétaire de la scierie serait allé rencontrer le curé du village pour lui faire part de ses nouvelles difficultés.

    En effet depuis quelque temps trois de ces travailleurs avaient prisent la mauvaise habitude de s’absenter du travail, et de se rendre pêcher l’anguille à un certain endroit en amont de la rivière. Parait-il qu’ils y feraient des pêches quasi miraculeuses…

    - Ho…Là je comprends …de dire le curé qui déplorait également leurs absences de plus en plus fréquentes à la messe du dimanche.

    Le jour même, M. le curé se fit conduire à cet endroit mystérieux, situé à environ cent pieds plus bas  que le Barrage des Draveurs du Quatrième rang, à environ une heure de route à dos de cheval.

    On raconte que rendu sur place, le prêtre aurait été à la fois émerveillé et confus par la grande beauté du site.

    chaudrons du diables grosses roches

    Le représentant de Dieu a raconté avoir été séduit et envoûté par une sensation aussi étrange que irrésistible, à la vue de trois grands bassins ressemblants à d’immenses chaudrons sculptés dans la rivière.

    Dans les faits, il avait été attiré bien malgré lui jusque au bord du premier Chaudron Géant, formée d’un mélange de gravier et de ciment, de forme si étrangement circulaire que seul un être humain pouvait en être l’artisan…

    Sous le charme, M. le curé n’aurait pas résisté à monter sur le palier suivant. En cet endroit, le Prêtre découvrit un autre Chaudron, tout aussi imposant,mais encore plus impressionnant, une forme de coeur quasi parfaite à demi remplie d’eau… une eau si clair et si limpide que seul Dieu pouvait l’avoir distillé…

    C’est à cet endroit précis que le prêtre ressentit encore plus l'irrésistible envie de continuer plus loin. Sur le troisième palier, il découvrit un Troisième Chaudron, un trou béant rempli à ras bord d’une eau si sombre que seul le Diable pouvait l’en avoir remplie… Dans cette eau épaisse et terne à vous en donner des frissons, il pouvait entrevoir à la surface, un nombre incalculable de jeunes anguilles se dandinant de manière un peu trop invitantes…

    - De véritables Queues de Diable… de dire le Curé.

    Le dimanche suivant M. le curé fit un sermon de Défense solennelle à tous les paroissiens de ne pas s'approcher à moins d'une terre de distance (un mille) de cet endroit, sinon la foudre de Dieu pourrait s’abattre sans pitié sur leur Tête…

    Les années se succédèrent sans le moindre incident, jusqu'au jour de la disparition d’un dénommé Ti-Claude, un paroissien dissident. Celui-ci aurait témérairement défié l'interdiction, en continuant à jouir de l’abondance de poissons défendus. Il s’en était même fortement enrichi et ce n’était pas un secret pour personne au village.

    Après de longues recherches infructueuses alimentant de nombreuses rumeurs, M. le Curé retourna au lieu maudit. Cette fois-ci, il prit soin d’emporter sa Bible, des Huiles Saintes, de l’Eau Bénite et de l'Encens, qu'il épandit généreusement à la surface des Trois Chaudrons.

    Dès son retour au village, il déclara avoir combattu le Démon et que ce Lieu Maudit n’était nul autre que l’Oeuvre du Diable. Désormais quiconque s’en approcherait enverrait de lui même son âme en Enfer…

    On raconte que dans les années qui suivirent, les gens virent monter un grand nombre de loutres dans la rivière, ce qui aurait causé la disparition total des anguilles, ne laissant sur place  que de rares truites de couleur noir…

    Ce serait pour ces raisons qu’aujourd'hui, la petite rivière porte le nom de ruisseau à la Loutre, que le sentier jadis emprunté par le disparu, aurait reçu le nom de Route à Ti-Claude, et que aucun des colons rochelois n’a accepté les terres avoisinantes aux Trois Chaudrons, lorsque le Gouvernement du Québec les offrit en colonisation.

    Pendant près d’un siècle, le site des Trois chaudrons du Diable fut quasi oublié par les villageois. Cependant, notre ère moderne vit réapparaître de nouveaux braconniers, insatiables pêcheurs de truite dans ces mêmes chaudrons et au pied du barrage un des rares vestiges encore apparent du courage et de la détermination de nos ancêtres défricheurs Rochelois, colonisateurs et fiers bâtisseurs de notre village.

    Source de la légende : domaineeltim.spaces.live.com (reproduite avec l’autorisation du site Web).

    Photos offertes © par le site Web domaineeltim.spaces.live.com Tous droits réservés.

    pierre

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  • - EDWARD TEACH -

    Légendairement connu sous le nom de Barbe Noir




    Barbe Noire (vers 1680 - 22 novembre 1718), également connu sous le nom d'Edward Teach, Edward Thatch, Tash ou Tach et Edward Drummond (supposément son vrai nom et celui que lui donne Daniel Defoe) est un pirate anglais qui régna par la terreur sur les Caraïbes de 1716 à 1718.

    Barbe Noire avait l'habitude de porter, au combat ou non, plusieurs épées, couteaux et pistolets. Il était connu également pour son habileté à coudre le chanvre et il avait l'habitude, avant les assauts, d'allumer des mèches de poudre à canon dans son abondante barbe noire, ce qui lui valut son surnom.
    Cependant, cette habitude rencontre le scepticisme de certains historiens. En effet, il est possible que cette image de « pirate à la barbe de flammes » ne soit qu'une des nombreuses exagérations dues à la notoriété toute particulière du personnage. Une autre version serait qu'il cachait des mèches à canon sous son chapeau et en attachait les tresses de sa barbe.

    Vie et aventures

    On ne connaît pas bien la jeunesse de Barbe Noire. Il serait né en 1680 à Bristol en Angleterre. Sa carrière maritime commence sur un navire corsaire patrouillant les eaux proches de la Jamaïque pendant la guerre de Succession d'Espagne (1701 - 1714). En 1716, il rencontre à New Providence le pirate Benjamin Hornigold et rejoint son équipage. Il devient capitaine alors qu'il est au service de Hornigold le 28 novembre 1717 : ils capturent La Concorde, un navire français en provenance de Nantes et transportant des esclaves, près de la Martinique. Selon le gouverneur de l'île, Edward Teach commandait deux navires pirates britanniques, armés l'un de huit canons, l'autre de douze et embarquant un total de 250 hommes. La Concorde est un véritable trésor : une frégate de 300 tonnes armée de 40 canons, qui avait sillonné les côtes africaines et capturé de nombreux navires britanniques, hollandais et portugais. Barbe Noire lui donne le nom de Queen Anne's Revenge (La Vengeance de la Reine Anne).

    Ils pillent six autres navires en 1717, sur la côte américaine et dans les Caraïbes. Vers la fin de l'année, ils capturent un navire français chargé d'or, de pierres précieuses et d'autres richesses, après quoi les deux pirates se séparent : Barbe Noire se dirige vers l'Amérique alors que Benjamin Hornigold retourne à New Providence.

    Durant les deux années qui suivent, Barbe Noire se forge une solide réputation de pirate téméraire et cruel en attaquant régulièrement les installations navales et côtières des Antilles et de la côte atlantique de l'Amérique du Nord. Cette notoriété est renforcée lorsqu'il sort victorieux d'un duel contre le Scarborough, un bâtiment de guerre de la couronne de Grande-Bretagne armé de 30 canons

     

    Il continue d'attaquer les navires marchands, les forçant à laisser ses hommes monter à bord du navire et transborder toutes les richesses, les alcools et les armes. Si l'équipage n'offre pas de résistance, Barbe Noire laisse le navire repartir et continuer sa route. Sinon, ils sont tous tués.

    Barbe Noire installe plusieurs quartiers généraux aux Bahamas ainsi qu'en Caroline du Nord et en Caroline du Sud. Il vit essentiellement sur l'île de New Providence où on l'appelle souvent Magistrat de la République des Corsaires. Le Gouverneur de la Caroline du Nord, Charles Eden, reçoit régulièrement des parts du butin en échange d'une protection non officielle et plus tard d'un pardon royal. Barbe Noire sera ensuite forcé de quitter New Providence lorsque le Gouverneur Woodes Rogers lance la chasse aux pirates.

    Barbe Noire retourne à la piraterie quelques semaines plus tard. En 1718, il bloque le port de Charleston. Il capture le fils de Woodes Rogers et demande une rançon : liberté contre médicaments. Face à l'augmentation du nombre de ses attaques, Charles Eden perd patience et envoie des troupes à sa poursuite. Barbe Noire est acculé par le Pearl, un bâtiment de guerre de la Couronne de Grande-Bretagne dirigé par Robert Maynard, au large des côtes d'Ocracoke. Il reçoit plus de 25 blessures dont 5 par balles au cours d'une lutte devenue célèbre avant de mourir et d'être décapité par Maynard. Sa tête sera placée en guise de trophée sur le beaupré du Pearl. Une légende raconte que son corps après avoir été jeté à la mer, aurait fait 2 fois le tour du bateau à la nage avant de couler.

    Comme beaucoup d'autres pirates célèbres, Barbe Noire est devenu une légende. On le représente avec une barbe tressée, aux bouts fumants, et avec des pistolets accrochés aux cartouchières qui lui bardent le torse. Il fait l'objet de documentaires, de films et de livres. On a retrouvé son navire près de Beaufort en 1996.

    PIERRE

      

    Sources:

    wikipedia.org

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  •  

    - RENÉ DUGUAY-TROUIN -

    Un des plus grands corsaires de l'histoire de la France


    René Trouin du Gué, dit Duguay-Trouin (10 juin 1673 à Saint-Malo - 27 septembre 1736 à Paris) est né dans une famille d'armateurs bretons. En 1689, il débute sa carrière de corsaire français et dès 1691, reçoit le commandement d'un navire. Son courage, le respect qu'il a gagné auprès de ses hommes, ainsi que ses victoires contre les Anglais et les Néerlandais au cours des guerres lancées par le Roi Louis XIV l'ont fait rapidement progresser dans la hiérarchie.

    D'une famille honorablement connue dans la marine marchande, il était destiné à l'état ecclésiastique, et fit ses études à Rennes et à Caen. Mais son goût pour les plaisirs contrariant les vues de ses parents, on lui permit de s'embarquer en 1689 sur un navire armé en course contre les Anglais et les Hollandais. En 1691, bien qu'il n'eût que 18 ans il reçut de sa famille, en récompense de ses exploit, le commandement d'une frégate de 14 canons. Jeté par une tempête sur la côte d'Irlande, près de Limerick, il s'empara d'un château appartenant au comte de Clarc, et incendie deux navires pris dans la vase. En croisant dans la Manche, il fit de nombreuses prises.

    En 1694, il tomba, prés des Sorlingues, au milieu de 6 vaisseaux anglais, soutint pendant quatre heures un combat inégal, et ne se rendit qu'après avoir tout épuisé et reçu une blessure. Emmené captif à Plymouth, il dut la liberté à l'amour d'une jeune Anglaise. Ses nouveaux exploits après son retour en France attirèrent l'attention de Louis XIV, qui le fit entrer dans la marine royale. Tantôt sous les ordres de Nesmond, tantôt seul, il continua de capturer les navires ennemis.

    En 1696, il vainquit et fit prisonnier l'amiral hollandais Wassenaer. Pendant la guerre de la succession d'Espagne, il désola les côtes d'Espagne, de Hollande et d'Angleterre.

    René Duguay-Trouin - Le corsaire français

      

    En 1704 il prit sur les côtes d'Angleterre un vaisseau de guerre de cinquante-quatre canons ainsi que douze vaisseaux marchands. Capitaine de vaisseau en 1706, il attaqua une flotte brésilienne avec 3 vaisseaux, à la hauteur de Lisbonne, flotte du Brésil, qui était chargée de vivres et de munitions pour l'Archiduc et qu'escortaient dix vaisseaux de guerre : le combat dura deux jours.

    Duguay-Trouin ne montra plus d'intrépidité, mais des circonstances malheureuses firent échouer ses projets. En 1707, il répara cet échec en s'emparant d'un convoi de 200 voiles, escorté par 6 gros vaisseaux de guerre, succès qui acheva de ruiner en Espagne les affaires de l'archiduc. En 1709, on raconte qu'il a capturé 300 navires marchands et 20 vaisseaux de guerre ou corsaires. Pour le récompenser de ses services, Louis XIV décide de l'anoblir.

    De toutes les expéditions de Duguay-Trouin, la plus célèbre est la prise de Rio de Janeiro en 1711). Les fortifications de cette place paraissaient inexpugnables. En onze jours elles furent toutes enlevées. Il forcera la ville à payer de lourdes rançons et à libérer 1000 prisonniers français.

    En 1715, il fut nommé chef d'escadre, membre du conseil des Indes en 1723, et en 1728 lieutenant général. En 1731, il reçut de Louis XV le commandement d'une escadre destinée à soutenir les intérêts du commerce, menacés par les Barbaresques et réprima les corsaires de Tunis. Ce fut là son dernier fait d'armes. Ses infirmités l'obligèrent bientôt à se retirer.

                                     Pierre

      

     

     

    Sources:

    wikipedia.org

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