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    Les plus beaux bateaux français célèbres

     

     

    Par Dominique Le Brun et Clio Bayle
     
     
     

    Qu’est-ce au juste qu’un grand voilier ? À partir de quelle taille la prestigieuse appellation se justifie-t-elle ? En fait, le critère n’est pas vraiment la longueur de sa coque et la hauteur de ses mâts. Le grand voilier est un navire dont le mode de navigation perpétue les traditions de la voile à l’ancienne, c’est à dire qui met en avant la cohésion de son équipage, la rigueur dans les manœuvres, et un sens constant de l’élégance marine. 

     
     

    Belem, les vies bien remplies d’un ancêtre

     

    Le Belem à quai à Bordeaux
     
     
    Pour les marins, il y aura toujours un « avant » et un « après » le retour de ce trois-mâts sous pavillon tricolore. En 1977, on apprit que le Belem, lancé à Nantes en 1896, était à vendre... À l’époque, le trois-mâts barque avait déjà connu plusieurs vies. Lancé en 1896 par les chantiers nantais Dubigeon pour le compte de l’armateur Crouan, il transporta pendant 17 ans du cacao entre Belem, au Brésil, et Nantes. En 1914, le duc de Westminster fut séduit par le beau navire, qu’il acheta pour en faire un yacht. En 1922 en revanche, le brasseur lord Guinness qui s'en porta acquéreur le rebaptisa Fantôme II . En 1951, Fantôme II fut cédé à un organisme italien : la Fondation Cini. L’objet de cette dernière étant de former des orphelins aux métiers de la mer, le trois-mâts barque fut réamanégé en navire-école. Il reçut alors un gréement de trois-mâts goélette, et fut une fois de plus renommé. Pendant vingt-quatre ans, le Giorgio Cini embarqua des centaines de cadets. Mais en 1975, la fondation dut admettre qu’elle n’avait plus les moyens d’entretenir son navire. Elle en fit donc don aux Carabinieri. Lesquels, devant le montant des factures d’entretien, ne tardèrent pas à le confier aux Chantiers navals de Venise. Ce sont eux qui lui redonnèrent son gréement d’origine, avant de le mettre en vente. Bel été que celui de 1979, quand des remorqueurs de la Marine convoyèrent le Belem à Toulon puis Brest où il subit une refonte générale. Pourtant, ce n’est pas avant 1986 que le trois-mâts embarqua ses premiers stagiaires : comme on peut s’en douter, le réarmement s’était avéré bien plus coûteux et plus long que prévu. De ces 7 ans de gestation, le Belem passa une bonne partie amarré à un quai de la Seine, en plein cœur de Paris.
     

    Caractéristiques techniques du Belem

    • gréement : trois-mâts barque
    • port d'attache : Nantes
    • lancement : 1896
    • longueur : 50,96 m / 58
    • largeur : 8,80 m
    • équipage : 48 stagiaires, encadrés par 16 permanents...
    • armateur : Fondation Belem

     

     

    Marité, le souvenir de l’épopée morutière

     

    Le Marité et la Cancalaise

     

    Le Marité, à gauche, et la Cancalaise, à droite, lors des Fêtes maritimes de Brest en 2016. 

    Avec le Marité, la France retrouve un authentique terreneuvier. Ainsi appelle-t-on les trois-mâts goélettes qui, jusqu’aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, allaient traquer la morue sur les bancs de Terre-Neuve. C’était la plus rude des pêches, puisqu’elle se pratiquait à partir du navire, sur de petites embarcations menées à l’aviron, et appelées dori. L’histoire du Marité que nous connaissons aujourd’hui commence un jour de juillet 1999, lorsque, gréée en goélette à trois mâts et huniers, menée par un équipage de Suédois enthousiastes, elle fait escale à Fécamp. Le beau navire avait à peine eu le temps de consolider ses amarres à quai qu’il était identifié. Personne n’envisageait de le revoir un jour puisqu’il avait été acheté par un armateur danois qui avait l’intention de l’utiliser comme caboteur sur les côtes scandinaves. Puis, en 1935, le Marité fut acheté par un armateur des îles Faerœ qui voulait en refaire un bateau de pêche. Durant la Seconde Guerre mondiale, il redevint un caboteur. Il eut assez de chance pour échapper aux mines et aux attaques. Nul ne sait trop aujourd’hui ce qu’il advint du bateau jusqu’à 1977, lorsque des Suédois la découvrirent dans le port de Torshavn, la capitale des îles Feroé. Ils étaient en quête d’un navire à restaurer afin de pratiquer le charter. Ils décidèrent donc de le remettre dans son état d’origine. Cela leur prit dix ans. Le nouveau voilier navigua dès lors considérablement : ne le vit-on pas à Porto-Rico et à New York, entre autres. C’est au cours d’une de ses croisières que le Marité fit escale à Fécamp. Soixante-neuf ans donc après son départ, le trois-mâts fut reconnu, des passionnés se mobilisèrent, alertèrent les élus régionaux, et le navire fut acheté. Le Marité connut immédiatement la notoriété avec un tour des côtes de France où il servit de support aux émissions de Thalassa.

     

    Caractéristiques techniques de Marité

    • gréement : trois-mâts goélette
    • port d'attache : Granville
    • lancement : 1922
    • longueur : 35 m/ 47 m
    • largeur : 8 m
    • équipage : équipiers payants
    • armateur : association Marité

     

     

    Étoile et Belle Poule, les goélettes islandaises de la Marine

     

    Étoile et Belle Poule à quai
     
     

    En 1930, lorsque la Marine nationale comprit que seule la navigation à la voile permettait de développer un vrai sens marin chez ses officiers, elle choisit d’armer deux voiliers de petite taille, très évolutifs, plutôt qu’une seule unité importante, comme un trois-mâts. Ainsi naquirent la Belle-Poule et l’Étoile. La commission chargée de déterminer quels pourraient être ces navires porta vite son choix sur les goélettes que les pêcheurs de Paimpol et de Gravelines armaient pour pêcher la morue au large des côtes islandaises. Les qualités exigées de ce type de bateau pour fréquenter les mers boréales constituaient la meilleure des garanties. Ces voiliers particulièrement marins étaient dans le même temps très rapides, capables d’accomplir les traversées vers l’Islande y compris par vent debout. Lancées en 1932, les goélettes de la Marine n’ont jamais cessé de naviguer depuis. Y compris durant la Seconde Guerre mondiale : étant passées en Angleterre dès 1940, elles rejoignirent les Forces navales Françaises Libres. C’est pourquoi elles arborent à l’escale, à l’extrémité du bout dehors, un pavillon tricolore à croix de Lorraine. Parmi les plus belles navigations effectuées par les goélettes, on notera une croisière en Islande en 2000, dans le sillage des flottilles morutières. Et surtout les traversées de l’Atlantique effectuées en 2009 lors du Tall Ship Atlantic Challenge, et au printemps 2012 pour une série de célébrations sur la côte est des États-Unis.

     

    Comment distinguer Étoile de Belle Poule ?

     

    Bien entendu, les deux voiliers étant identiques, la question se pose de savoir comment les distinguer l’un de l’autre. Les spécialistes connaissent deux différences : la mâture de la Belle-Poule est plus sombre que celle de l’Étoile. Et leurs radars ne sont pas montés au même endroit : sur le chouque du grand-mât pour l’Étoile, et sur un mâtereau pour la Belle-Poule !

     

    Caractéristiques techniques de Étoile et Belle Poule

    • gréement : goélette à hunier
    • port d'attache : Brest
    • lancement : 1932
    • longueur : 32,50 m / 25,30 m
    • largeur : 7,20 m
    • équipage : Marine nationale
    • armateur : Marine nationale

     

     

    Mutin, un thonier pour l'école des Pilotes de la Flotte

     

    Le Mutin à Brest
     
     

    Moins connu que les goélettes, le Mutin est le plus ancien bâtiment encore en service de la Marine. Depuis sa mise à l’eau en 1927, il n’a cessé de naviguer, et souvent dans des conditions périlleuses. Dans la même logique qui amena la Marine nationale a armer deux goélettes de faible tonnage plutôt qu’un grand voilier, un bâtiment encore plus petit fut mis en service à la même époque. Il s’agissait cette fois, non d’entraîner des officiers et des équipages à la manœuvre, mais de former les pilotes, c’est à dire des navigateurs possédant la connaissance de tous les ports et de toutes les passes des côtes françaises. Cet enseignement était dispensé à l’École des pilotes de la Flotte, basée à Saint-Servan. Le type de navire choisi fut un cotre à tape-cul construit et gréé sur le modèle des thoniers des Sables d’Olonne. Ces voiliers se caractérisaient par leurs bonnes performances sous voile, leur tenue à la mer, et leur capacité à tenir le grand large pour des campagnes de deux semaines en moyenne. Le Mutin connut un destin étonnant pendant la Seconde Guerre mondiale. En 1940, afin de ne pas tomber aux mains de l’armée allemande, il passa en Angleterre où la Marine anglaise l’utilisa pour des missions secrètes de liaisons, d’abord dans la Manche, et ensuite en Méditerranée ! Une fois la paix revenue, le Mutin rejoignit la flotte française qui l’affecta alors aux écoles qui se trouvaient alors installées à Loctudy (Finistère Sud) ; puis il retrouva Saint-Servan et l’École des pilotes qu’il servit jusqu’à la fermeture de cette dernière, en 1964. Le cotre à tape-cul fut dès lors affecté à l’École de manœuvre, et aujourd’hui encore, il forme chaque année des dizaines de marins.

     

    Fiche technique

    • gréement : cotre à tape-cul
    • port d'attache : Brest
    • lancement : 1927
    • longueur : 21 m / 33 m
    • largeur : 6,70 m
    • équipage : Marine nationale
    • armateur : Marine nationale

    La Recouvrance, l'élégance des anciennes goélettes avisos

     

    La Recouvrance voguant
     
     

    La Recouvrance a moins de 30 ans. À l’époque où la ville décida de construire un voilier emblématique du grand port militaire, le choix retenu fut celui des goélettes aviso du XIXe siècle. Un bâteau à la fois élégant et d’une tenue de mer remarquable. Avec son immense voilure déployée sur ses mâts très inclinés ; avec son bout-dehors interminable et sa bôme de grand-voile qui dépasse le tableau arrière de plusieurs mètres, La Recouvrance paraît bien plus grande que ses 25 mètres au pont. Au XIXe siècle, ces fines et puissantes goélettes à hunier étaient armées en aviso. C’est-à-dire qu’elles assuraient les liaisons entre les vaisseaux d’une escadre au large, partaient en éclaireur au contact des flottes ennemies, pratiquaient l’espionnage, ou encore étaient chargées de garantir les intérêts des possessions françaises outre-mer. C’est l’Iris, conçue en 1817, qui servit de modèle à la future Recouvrance, sans nul doute le plus impressionnant de tous les voiliers traditionnels lancés en France ces dernières années. Sa construction elle-même, dans un hangar ouvert au public sur le port de commerce de Brest, fut un merveilleux spectacle. Des foules entières sont venues voir assembler les énormes pièces de charpente qui avaient été façonnées au Chantier du Guip, dans le Morbihan. Et le lancement de la goélette constitua sans doute le moment le plus émouvant du rassemblement de Brest 92. Aujourd’hui, c’est toujours un spectacle magnifique que de la voir appareiller du bassin de la Douane, où elle a son poste d’amarrage.

     

    Des aménagements intérieurs originaux

     

    Seuls ceux qui ont eu l’honneur d’embarquer connaissent les étonnants aménagements de la goélette, les plus originaux de toute la flotte de voiliers traditionnels qui fréquentent nos ports. Dans le carré, les colonnes de faux marbres tranchent sur les boiseries gris perle rehaussées de moulures bleu lavande et de motifs en bronze. On reconnaît au premier coup d’œil le style Restauration ! Les constructeurs de La Recouvrance ont été jusqu’au bout de leur démarche historique. Mais à propos, pourquoi ce nom ? N’importe quel Brestois vous dira que Recouvrance, sur la rive droite de la Penfeld, au bout du grand pont levant, est le joyeux quartier des marins.

     

     

    L'Hermione, mythique frégate du 18e siècle de La Fayette

     

    L'Hermione pesant sous le pont transbordeur de Rochefort
     
     

    Nul besoin d'être marin ou historien pour tomber sous le charme de ce voilier d'anthologie. Le subtil équilibre de ses lignes lui confère une personnalité entre puissance et élégance. En avril 2015, cette reproduction d’une frégate du XVIIIe siècle a traversé l’Atlantique, cap sur Boston. Elle a  ainsi refait le voyage accompli par L’Hermione en 1780, avec à son bord le général La Fayette, en avant-garde du corps d’armée qui allait aider les Américains à se libérer de la domination anglaise. On connaît la suite : grâce aux renforts français, Washington obtient l’indépendance. Tandis que les combats se succèdent sur terre, aboutissant lentement mais sûrement à la victoire, L’Hermione combat sur mer et fait de nombreuses prises. La tradition veut que les États-Unis n’aient jamais oublié l’aide apportée par la France pour acquérir son indépendance. Ainsi, pendant la Première Guerre mondiale, lorsqu’un corps expéditionnaire américain débarqua à Brest pour soutenir la France et l’Angleterre contre l’Allemagne, le général Pershing aurait lancé en débarquant : « La Fayette, nous voici ! ». 

     

    Caractéristiques technique de L'Hermione

    • gréement : trois-mâts carré
    • port d'attache : Rochefort
    • lancement : 2014
    • longueur : 66 m
    • largeur : 11,24 m
    • armateur : association Hermione - La Fayette

     

     

    Le Renard, le pirate (corsaire) des mers

     

    Le Renard au large de Saint-Malo
     
     

    Vers l’aube des années 1990, lorsque Saint-Malo décida de lancer un voilier emblématique de la ville, la logique historique conduisit à un navire corsaire. À défaut de s’offrir une trop coûteuse frégate, on choisit de construire une réplique du dernier bateau de Surcouf. En 1812, ayant fait fortune à la pointe de son sabre d’abordage en océan Indien, le corsaire Robert Surcouf s’établit comme armateur à Saint-Malo. Et comme en cette époque de guerre contre l’Angleterre, la course demeurait une activité rentable, il arma plusieurs petits navires, dont le Renard. Quand on considère aujourd’hui cette coque très ronde de 19 m, on peut se demander comment un si petit bâtiment osait s’attaquer aux gros navires marchands. La vérité oblige à dire que le vrai Renard mesurait 25m et que l’extrémité de sa bôme dépassait le couronnement de plusieurs mètres. À bord s’entassaient 60 hommes. Mais justement, pour prendre un gros navire à l’abordage, un petit bâteau s’avérait idéal : sa coque basse sur l’eau passait sous le tir des canons ennemis, placés trop hauts ; et une fois à bord avec sa proie, ses vergues servaient de passerelles pour lancer l’assaut ! De plus, le gréement de cotre à hunier présentait tous les avantages. Sous ses voiles auriques en effet, il pouvait remonter dans le vent pour couper la route des gros navires sous voiles carrées. Tandis que ses huniers permettaient, aux allures portantes, d’atteindre la vitesse nécessaire pour échapper à une mauvaise rencontre ! Cela arrivait... Mais le mode de fonctionnement normal des corsaires était qu’une fois le bâteau ennemi saisi, un équipage de prise restait à bord pour le ramener en France. On notera que dès lors, à bord du Renard, chacun disposait d’un petit peu plus d’espace vital !

     

    Caractéristiques techniques Le Renard 

    • lancé en 1991 sur un plan de 1793
    • longueur : 19 m à la coque, 29 hors-tout.
    • largeur : 5,78 m
    • tirant d'eau : 2,78 m
    • surface de voiles maximum : 249 m2

    La Granvillaise et La Cancalaise, les bisquines de la baie du Mont-Saint-Michel

     

    La cancalaise voguant au large
     
     

    L’empilement audacieux de leurs voiles, déployées sur trois mâts, fait des bisquines les plus impressionnants « vieux gréements » des côtes françaises. Les ports de Granville et de Cancale en ayant armé chacun une, on assiste chaque été à de spectaculaires duels. La tradition ostréicole de Cancale trouve ses origines dans l’existence très ancienne de bancs d’huîtres sauvages en baie du Mont-Saint-Michel. Il s’agissait d’huîtres comme on n’en voit plus aujourd’hui, si grosses qu’on les appelait pied-de-cheval. Les voiliers utilisés pour le dragage des huîtres étaient des bisquines, dont La Cancalaise et La Granvillaise sont les répliques fidèles : les coques de 18 mètres sont gréées de trois mâts, supportant jusqu’à neuf voiles au total, dont la superficie totale atteint 350 mètres carrés. Pourquoi un tel « moteur » ? D’abord afin de pouvoir traîner au fond de l’eau le fer, sorte de râteau maintenant ouvert un grand filet métallique, y compris par vent faible. Pour cela, il leur fallait disposer d’une surface de voile immense. Par ailleurs, il existait des zones où les huîtres étaient plus nombreuses. Les patrons de bisquines les repéraient vite, et cherchaient à s’y placer ; pour cela, il fallait manœuvrer mieux et aller plus vite que les autres. D’où chez les équipages de bisquines, un esprit de compétition permanent. Les bisquines ont disparu en même temps que les huîtres sauvages, au début du XXe siècle. Mais dans les années 1980, arriva l’époque de la redécouverte du patrimoine maritime. En 1987 fut lancée La Cancalaise ; La Granvillaise suivit en 1990. Toutes deux construites sur des plans anciens, elles diffèrent sensiblement dans leurs formes. Sans doute La Granvillaise paraît-elle plus élégante, mais La Cancalaise marche en général mieux.

     

    Caractéristiques techniques de la Cancalaise et la Granvillaise

    La Cancalaise

    • lancée en 1987 sur un plan de 1905
    • longueur : 18,10 m à la coque, 30 hors-tout.
    • largeur : 4,80 m
    • tirant d'eau : 2,50 m
    • surface de voiles maximum : 350 à 430 m2

    La Granvilllaise

    • lancée en 1991 sur un plan de 1900
    • longueur : 18,28 m à la coque, 32,30 hors-tout.
    • largeur : 4,76 m
    • tirant d'eau : 2,75 m
    • surface de voiles maximum : 350 à 430 m2

     

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