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Par Frawsy le 15 Mars 2022 à 05:26
Le top 20 des plus beaux ports de France
La rédaction a voté pour ses ports de France préférés. Et du choix, il y en avait ! Manche, Atlantique, Méditerranée. La France métropolitaine compte presque 6.000 km de côtes. De quoi abriter mille petits ports de plaisance, de pêche et quelques grands ports industriels. Voici notre classement des plus beaux ports français.
1 - Le port de Barfleur - Manche (Basse- Normandie)
2 - Le port de Menton - Alpes-Maritimes (PACA)
La Fête du Citron
Au programme de cette manifestation phare de la Côte d'Azur : fanfares, saltimbanques, chars et agrûmes à tous les étages !
3 - Le port de La Rochelle - Charente-Maritime (Poitou-Charentes)
4 - Les 3 ports de Douarnenez - Finistère (Bretagne)
Le festival Temps fête
Pendant son festival maritime, Douarnenez accueille bateaux traditionnels (voir photo) et spectacles, pendant 6 jours.
5 - Le port de Honfleur - Calvados (Basse-Normandie)
6 - Le port de Collioure - Pyrénées-Orientales (Languedoc-Roussillon)
7 - Le port de plaisance de Calvi - Haute-Corse (Corse)
8 - Le Vieux-Port de Marseille - Bouches-du-Rhône (PACA)
9 - Le Miroir aux Oiseaux de Martigues - Bouches-du-Rhône (PACA)
10 - Port-Racine - le plus petit port de France - Manche (Basse-Normandie)
11 - Le port de Ciboure - Pyrénées-Atlantiques (Aquitaine)
12 - Le port du Havre : le mammouth des ports marchands français - Seine-Maritime (Haute-Normandie)
Une cité, une inscription en béton
La cité se structure autour du centre-ville, de la mer et du port. Une trame orthogonale organise la cité en îlots réguliers. Tout en béton, qui plus est apparent... Un tour, le nez en l'air, suffit pourtant à se convaincre de l'esthétisme moderne du Havre. Avant, on disait du Havre que c'était une ville grise, triste et froide. Depuis, l'inscription au patrimoine mondial de l'Unesco est passée par là, consacrant en 2005 l'architecture de la reconstruction signée du maître du béton armé Auguste Perret.
13 - Le port de Saint-Tropez - Var (PACA)
14 - La Pointe Courte à Sète - Hérault (Languedoc-Roussillon)
Un quartier mythique
Le quartier est devenu quasi mythique depuis que la cinéaste Agnès Varda lui consacra un film éponyme en 1954, considéré comme annonciateur de la Nouvelle Vague. Mais qu'a-t-il donc, cet endroit, pour exacerber autant l'imaginaire ? Agnès Varda fut, dit-elle, fascinée par « la lumière écrasante » de ce « quartier insolite ».
15 - Le port de Paimpol - Côtes-d'Armor (Bretagne)
Le Festival du chant marin
Toutes les années impaires à la mi-août, Paimpol accueille une flottille de voiliers anciens qui servent de support maritime au festival où nombre de spectacles se tiennent dans le port, les bateaux servant de scène.
16 - Le Port-Olona, Les Sables-d'Olonne - Vendée (Pays de la Loire)
17 - Le port de Sanary-sur-Mer - Var (PACA)
18 - N°1 des ports de pêche en France : Le port de Boulogne-sur-Mer - Pas-de-Calais (Nord-Pas-de-Calais)
19 - Le port de pêche d'Ajaccio - Corse-du-Sud (Corse)
20 (ex aequo) - Port-Grimaud dans le Golfe de Saint-Tropez - Var (PACA)
20 (ex aequo) - N°1 des ports de plaisance d'Europe : Port-Camargue - Gard (Languedoc-Roussillon)
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Par Frawsy le 23 Août 2019 à 16:48
ON EMBARQUE SUR LA CROISIÈRE
MSC, SIGNÉE MARTHA STEWART!
par Véronique Harvey du magazine Véro
Vivre une semaine sur les traces de la reine du lifestyle, voilà ce que propose MSC Cruises avec sa croisière dans les Caraïbes signée Martha Stewart.
En effet, la femme d’affaires de 78 ans a collaboré avec la compagnie de croisières suisse afin de bâtir des expériences sur mesure pour les passagers. On est donc monté à bord du navire MSC Seaside, pour un séjour en mer d’une semaine à départ de Miami, et voici 13 raisons qui vous convaincront de réserver à votre tour.
– Construit en 2017, le navire ultramoderne propose un décor luxueux et à la fine pointe de la technologie. Ici, aucun détail n’est laissé au hasard : tout est pensé pour le confort et le plaisir des passagers.
– La capacité maximale du bateau de croisière s’élève à 5100 personnes! Heureusement, ses 1060 pieds de longueur et ses 20 ponts font en sorte qu’on ne se sent jamais à l’étroit.
– La couleur accent, le violet, est omniprésente, sans toutefois être agressante. On la retrouve entre autres dans les quelques 2000 cabines du navire, inspirées des « condos de plage » de Miami et divisées en quatre catégories : cabine intérieure, cabine vue mer, cabine avec balcon et suites.
– L’imposant bar central, situé au cinquième étage, est le point focal du navire. Encadré de majestueux escaliers Swarovski, cet atrium haut de quatre étages devient le point de ralliement de tous les passagers, en fin de journée, alors qu’un DJ s’occupe de mettre l’ambiance.
– Les passagers qui prennent la mer à bord du MSC Seaside afin de célébrer une lune de miel, un anniversaire de mariage ou l’anniversaire d’un proche peuvent s’offrir l’un ou l’autre des forfaits festifs signés Martha Stewart. Ces derniers sont inspirés de l’amour que porte Martha pour le partage de délicieux repas entre amis. Des forfaits spéciaux pour Pâques, l’Action de grâce, Hanoukka, Noël et le Nouvel An sont aussi disponibles sur demande.
– De nombreuses activités sont offertes à bord du navire, afin de divertir les petits et les grands, dont quatre piscines, un casino, un théâtre de plus de 900 sièges, une salle d’arcades (avec deux allées de quilles, un simulateur de course et un cinéma 5D interactif), une galerie d’art, un club pour enfants, l’un des plus grands et des plus interactifs parcs aquatiques en mer (un mélange entre glissades d’eau et jeux vidéo), deux tyroliennes, un terrain de basketball extérieur, une salle de gym (avec cours de yoga, aérobie, spinning) et plus encore.
– Un spa balinais plus que complet est mis à la disposition des passagers sur le bateau, offrant de nombreux soins en cabine, dont des massages et des facials, ainsi qu’une expérience thermale unique, avec des installations respectant les toutes dernières tendances bien-être.
– Une panoplie d’options repas est offerte à bord, allant des buffets internationaux aux délicieux restaurants de spécialités de type steakhouse, teppanyaki ou fruits de mer. Et ce, sans oublier la chocolaterie fine et la crêperie, qui proposent des gourmandises à faire saliver.
– Évidemment, une pléiade de bars et de salons sont aménagés aux quatre coins du bateau, afin d’accueillir les passagers pour un verre, un café ou un thé d’après-midi. Mention spéciale au Bar à Champagne, qui offre une belle sélection au verre des plus grandes marques de ce vin recherché.
– Trois passerelles de verre (bridge of sighs) permettent d’obtenir une tout autre perspective, dont celle située au 16e étage, accessible par un ascenseur panoramique à couper le souffle.
– Une foule d’excursions à l’extérieur du navire sont disponibles pour chacune des escales effectuées, dont quelques-unes ont été pensées par Martha Stewart elle-même. Par exemple, à Porto Rico, la reine du lifestyle a mis sur pied un tour culinaire (Savor San Juan’s Culinary Delights) qui nous fait découvrir quelques-unes de ses meilleures adresses gourmandes sur l’île. À Nassau, aux Bahamas, Martha nous propose de découvrir l’origine des différentes plantes médicinales et de prendre le thé de l’après-midi à l’hôtel Graycliff, ouvert depuis 1740 (Bush Medicine Gardens & Tea Tour). Bref, des excursions exclusives qui mettent en valeur la beauté unique de chaque destination.
– Deux itinéraires sont offerts, à départ de Miami, soit Caraïbes orientales (Porto Rico; St.Thomas; Saint-Martin; Bahamas) ou Caraïbes occidentales (Jamaïque; Îles Caïmans; Mexique; Bahamas).
– Pour les adeptes de traitement royal, à noter que le navire possède une section VIP, le MSC Yacht Club, qui permet à une poignée de passagers de profiter d’une expérience prestigieuse et personnalisée. Les clients Yacht Club ont droit à un service privé de concierges et de majordomes, ont accès à leur propre restaurant à la carte, à un piano-lounge panoramique et à un solarium avec piscine privée. La classe!
À noter que Sunwing et Air Transat offrent des forfaits croisière MSC en partance de Montréal, Québec et Moncton – incluant les vols, les transferts aéroportuaires et trois repas par jour – à partir de 1400$/personne (occupation double).
*** Ce voyage a été rendu possible grâce à MSC Cruises
Crédit photos : MSC Cruises
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Par Frawsy le 15 Août 2018 à 16:36
Les phares du Saint-Laurent:
Pointe-à-la-Renommée
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Par Frawsy le 19 Août 2017 à 07:59
Une journée sur l'île d'Oléron
Autant Ré, sa voisine, est soucieuse de son image, autant Oléron cultive un petit côté bohème et préfère la discrétion. Sur cette île, la plus vaste de la côte atlantique, souffle un vent plaisant réchauffé par le Gulf Stream : celui de la liberté.
À quatre kilomètres au sud- ouest de Saint-Pierre, capitale de l’île, La Cotinière est une des attractions de la Côte Sauvage. Sur ce versant atlantique d’Oléron, voici l’un des ports de pêche les plus actifs de France, bien protégé de l’ensablement par une longue digue.
Préférez le bateau au viaduc
Oubliez qu’Oléron est relié à la terre ferme par un pont, long viaduc de trois kilomètres inauguré en 1966. Dédaignez cette aussière de béton pour un accostage en bateau sur les quais de Saint-Trojan-les-Bains, Château-d’Oléron, Boyardville ou Saint-Denis-d’Oléron. De Bourcefranc-le-Chapus, le bateau-passeur vous débarque au Château-d’Oléron, après une courte traversée du coureau d’Oléron (un coureau est un isthme parcouru par un courant entre l’île et le continent).
Première escale
Attardez-vous sur le port ostréicole piqueté de dizaines de cabanes peintes de couleurs vives, puis abordez la citadelle, un vrai condensé d’histoire maritime. Érigée par Pierre d’Argencourt en 1630, renforcée par Vauban, elle fut une pièce maîtresse de l’appareil de défense du port de Rochefort et de l’embouchure de la Charente. Ceinte d’une muraille, la petite ville close obéit aux rigueurs de l’architecture militaire : rues larges, tirées au cordeau et se recoupant à angle droit. Un urbanisme sans fantaisie égaillé par la végétation.
À Grand-Village-Plage, le port des Salines se visite d’avril à septembre. Un dépaysement très apprécié.
De Boyardville au port du Douhet, pédalez sans peine
Partout sur l’île, vous trouverez la possibilité de louer un vélo, la solution la plus raisonnable et la plus agréable pour parcourir les 175 kilomètres carrés de cette île, la plus vaste après la Corse. Les pistes cyclables parfaitement entretenues permettent d’élaborer nombre de circuits en fonction de vos envies. Mais attention, certains voisinent avec les petites routes secondaires, très fréquentées, donc dangereuses. Nez au vent, pédalez plein nord jusqu’à Boyardville. Ce village, dépendant de la commune de Saint- Georges-d’Oléron, sortit de terre afin d’offrir une base logistique aux ouvriers du chantier de construction du fort Boyard, décrété par Napoléon. Doté d’un port de plaisance à flot, Boyardville est très animé durant la saison estivale. Des scènes, parfois aussi cocasses que celles mises en scène dans le film de Bruno Podalydès, Liberté-Oléron, où l’on assiste aux manœuvres désespérées d’un dériveur lesté pour rentrer au bercail et s’amarrer, font le miel des insulaires ! Au bord du canal de la Perrotine, ostréiculteurs et pêcheurs ont leurs appontements.
L’ostréiculture est l’un des trésors de l’île. À l’aide de leur plate, les travailleurs de la mer inspectent les claires où les huîtres sont affinées et arrivent au terme de leur élevage. L’île d’Oléron compte 2100 hectares de claires pour 3000 hectares en mer.
À la sortie de Boyardville, par le port de plaisance, un accueillant chemin vous ouvre l’entrée de la forêt des Saumonards, odorante pinède s’étirant entre l’océan et les marais salants. En douceur, vous traversez le village de Foulerot, prenez un bain (de soleil ou de mer) sur la plage de Plaisance, rêvassez face aux bateaux de plaisance au port du Douhet (jetez un œil au bassin sud où se dresse la « maison- blockhaus », fantaisie architecturale en forme de paquebot) ou de Saint-Denis.
À la pointe occidentale, regardez l’île de très haut...
Le phare de Chassiron est tout près, mais pour l’atteindre, suivez le fléchage de l’office de tourisme qui vous conduit au cœur d’un entrelacs de ruelles. S’y égarer est la meilleure façon de les explorer. Dressant sa tête cyclopéenne à la pointe la plus septentrionale de l’île, au-dessus de belles falaises qui ne manquent de surprendre dans un univers si plat, le phare de Chassiron vous prête sa galerie perchée à cinquante mètres. Prenez votre élan et grimpez pour voir, au premier plan, le pertuis d’Antioche et sa haute tour jaune qui le balise, l’île de Ré, La Rochelle, La Pallice, les îles d’Aix et Madame, les forts défendant Rochefort...
Sur la Côte Sauvage, avec l’Atlantique pour témoin
Deux 124 marches plus bas, retrouvez votre vélo et laissez-vous glisser vers le sud par la Côte Sauvage ; sur cette « côte-au-vent », l’Atlantique marque le paysage de sa présence. Les Trois-Pierres, Chaucre (dont les habitants avaient au Moyen Âge une réputation de naufrageurs), Domino (et sa tonique plage des Sables-Vigniers), La Menounière, autant de petites pépites villageoises, éclatantes de blancheur (« Maisonnettes basses, aussi blanches de chaux que des kasbah d’Algérie », écrivait Loti), où la couleur des volets est raccord avec celles des guirlandes de roses trémières, de fuchsias, de glycines, de lauriers-roses. Saint-Pierre ? Impossible de le rater. Il n’y a qu’à suivre des yeux le haut clocher octogonal de l’église (XVIIIe siècle). Du sommet de sa plate-forme, l’île ne cache rien de ses formes. L’autre flèche de pierre s’élançant dans le ciel Saint-Pierrais est celle de la lanterne des Morts, érigée par les Anglais au XIIIe siècle. Une promenade dans les jardins du château de Bonnemie offre la possibilité de découvrir une élégante gentilhommière, construite sans doute au XIVe siècle, aujourd’hui propriété de la municipalité.
Des cabanes de pêcheurs de toutes les couleurs égayent l'île. Ici près de Château-d'Oléron.
Il est bientôt seize heures et la marée est haute. Filez à La Cotinière, seul havre de la côte ouest et «le» port de la Côte Sauvage. Avec sa centaine de bateaux (chalutiers pélagiques, ligneurs, fileyeurs), La Cotinière tient le peloton des dix plus importants ports de pêche de France. Côté bassin sud, faites un tour au marché Victorine. Sous les auvents de cabanes bleues, à seize heures pile, les Cotinards achètent leur poisson tout frais. Par la baie de la Perroche, retrouvez le calme et la fraîcheur en vous enfonçant dans la forêt domaniale de Saint-Trojan-les- Bains. Sur deux mille hectares, cette pinède est à l’origine du sauvetage de cette portion du littoral. Les pins maritimes actuels ont été plantés en 1840 afin de fixer le cordon dunaire qui était dangereusement repoussé vers l’intérieur de l’île. Plusieurs itinéraires cyclables par- courent la forêt ; certains croissent des circuits de randonnée pédestre, de bala- des équestres, et même un train ! Sur sa voie étroite (0,60 m), ce drôle de convoi – deux, trois wagons emmenés par des locotracteurs dont des rescapés de l’époque de la ligne Maginot ! – transporte depuis 1963 des milliers de passagers de la gare de Saint-Trojan au terminus de la plage de Maumusson : six kilomètres à travers un paysage de rêve... Et le meilleur moyen pour se rendre aux plages. Au bout de la Grande Plage, la pointe de Gatseau semble défier sa très proche voisine couronnant la presqu’île d’Arvert. Entre les deux circule le pertuis de Maumusson. Son calme estival ne doit occulter ses déchaînements toujours spectaculaires lors des marées d’équinoxes ou des tempêtes hivernales. Attention, si vous regagnez le continent ce soir, ne ratez pas le dernier bateau-passeur au départ de Saint-Trojan ou de Château-d’Oléron. Sinon, restez une nuit de plus, l’hospitalité oléronaise fait rarement défaut...
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