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    Proboscidiens

    Evolution des Elephants

    Il y a 53 millions d’années, les premiers éléphants ne mesuraient que 60 cm au garrot. Ils n’avaient pas de trompe.
    L’apparition de la trompe est-elle liée à leur croissance progressive ? Peut-être.
    Actuellement, il ne reste que deux genres d’éléphants de ce vaste groupe d’ongulés appelé : Proboscidiens.

    Arbre généalogique des Proboscidiens

    Cet arbre généalogique couvre 55 millions d'années dévolution. Plus de 35 genres fossiles ont été recensés.

    Arbre généalogique des Proboscidiens

    Peu à peu, les éléphants devinrent de plus en plus grands et leurs membres prirent la forme de piliers. Des défenses se développèrent ainsi qu'une trompe.

     

    Les éléphants primitifs

    Les plus anciens proboscidiens date de l’éocène. Ils ont été découverts en Afrique du Nord. Phosphatherium, le plus primitif et le plus petit, a été exhumé au Maroc récemment. Il ne pesait que 15 kg.
    De son cadavre, il ne reste que quelques dents. Cette découverte a fait reculer l’apparition des proboscidiens de 5 millions d’années.

    Phosphatherium

    Reconstitution d'un Phosphatherium

    Numidotherium, daté de – 46 millions d’années, a été découvert dans le sud de l’Algérie. Le squelette est presque complet. Il mesurait environ 1 m et possédait une allure assez éléphantine.

    Des vestiges importants d’un troisième genre, Moeritherium, datent également de l’éocène. Les moerithères ont été retrouvés en Egypte et en Libye. Ils ont vécu pendant environ 10 millions d’années.

    Moeritherium

    Reconstitution de la tête de Moeritherium

    Ils habitaient près des rivages comme nos hippopotames. Leur squelette évoque un corps long et trapu sur de courtes pattes.
    Moeritherium et Numidotherium n’avaient probablement pas de trompe. On pense qu’ils avaient plutôt une lèvre supérieure très mobile et une paire de défenses encore petites. On devrait d’ailleurs plutôt parler de longues incisives.

    Phiomia vivait, lui, à l’oligocène. Il avait la taille d’un cheval. Son crâne comportait des poches d’air, appelées diploés. Il était donc léger malgré sa taille déjà imposante.

    Phiomia

    Crâne de Phiomia

    Les Deinothères : terribles mammifères

    Au miocène, les proboscidiens se multiplièrent. En Afrique de l’est, il y a 23 millions d’années, de puissants éléphants évoluaient dans les forêts chaudes et humides. Les deinothères n’avaient pas de défenses à la mâchoire inférieure.

    Deinotherium mesurait 4 m au garrot. Les géants vont dominer le continent africain pendant 20 millions d’années.

    Deinotherium

    Reconstitution d'un Deinotherium

    Vers – 18 millions d’années, ils colonisent les terres asiatiques et européennes avec d’autres proboscidiens (les éléphantoïdes).
    Cette migration entre continent a été rendue possible par la formation de deux « ponts » terrestres suite à la baisse du niveau des océans.

    Les premiers éléphantoïdes

    Les premiers éléphantoïdes, tels les gomphothères et les amébelodontidés, vivaient en Afrique au miocène inférieur (- 20 millions d’années).
    Ils se sont répandus en Eurasie et en Amérique au miocène (- 18 millions d’années) et au pliocène.
    Ils ont acquis des molaires adaptées à leur régime végétarien et qui se renouvelaient au fur et à mesure de leur usure.
    Ils possédaient deux paires de défenses.

    Tête de Deinothère (en haut) et d'amébélodonte (en bas). Le Deinothère ne possède qu'une seule paire de défenses recourbées vers le bas. L'amébélodonte a une double paire de défenses, l'une en forme de sabre et l'autre en forme de pelle. Il utilisait sa mandibule pour déraciner les tubercules.

    Gomphotherium avait la taille d’un éléphant d’Asie. Comme chez les éléphants actuels, les défenses des mâles étaient plus grosses que celles des femelles.

    Les Stégodontidés

    Les stégodontidés possédaient des défenses vraiment surprenantes. Leurs défenses supérieures atteignaient plus de 3 m de long et étaient spiralées.

    Les stégodontidés avaient la taille de nos éléphants actuels et ce groupe était dominant en Asie au pliocène et au pléistocène.

    Stégodonte

    Reconstitution d'un Stégodonte. Ses défenses étaient si rapprochées que sa trompe ne pouvait pas s'insinuer entre elles

    Ils avaient pour cousins les éléphantidés, famille qui comprend les éléphants actuels et les mammouths.
    Leurs molaires étaient particulières :

    • A croissance constante
    • Elles étaient formées d’une multitude de lames ce qui augmentait la longévité de la denture.

    On pense que leurs longues défenses recourbées sont apparues tardivement dans l’évolution de ce groupe.

    Des éléphants nains

    Dans certains milieux, l’évolution opte pour la diminution de la taille des espèces afin d’assurer leur survie.
    C’est ce qui s’est passé pour les éléphants qui, au pliocène, sont arrivés sur les îles méditerranéennes.
    L’espace était restreint et la végétation limitée. Ces caractéristiques de l’environnement ont engendré des formes naines.

    L’éléphant nain de Sicile mesurait alors un tiers de la taille de ses contemporains.

    Quand l’île de Malte s’est retrouvée isolée, les éléphants nains déjà présents ont encore régressé pour atteindre à peine 1 m au garrot.

    V.Battaglia (11.2003)

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    En Namibie, des chiens de berger protègent les guépards

     

    Les chiens de berger de Namibie

    Des chiens de berger ont été introduits en Namibie afin de surveiller les troupeaux de chèvres et éviter que les fermiers ne tuent les guépards.

    Les guépards sont menacées par les fermiers qui les abattent quand ils approchent des troupeaux de chèvres.
    Image: JENNIFER BRUCE/AFP

      

     Pour Retha Joubert, qui élève des chèvres et des moutons tout a changé avec l'arrivée de Bonzo.
    Image: JENNIFER BRUCE/AFP

      

     Bonzo mène son troupeau à travers la ferme de Retha Joubert.
    Image: JENNIFER BRUCE/AFP

     


     

     
     

     Theo Awochab conduit le troupeau de chèvres sur la ferme de Retha Joubert où il travaille en tant que fermier.
    Image: JENNIFER BRUCE/AFP

     

     Theo Awochab conduit le troupeau de chèvres sur la ferme de Retha Joubert où il travaille en tant que fermier.
    Image: JENNIFER BRUCE/AFP

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    Races les plus dispendieuses

    10. Shar Pei Les races dispendieuses

    10. Shar-Pei

    Ce chien d’origine chinoise se caractérise par une peau qui semble trop grande pour lui et qui retombe alors en plis. Il peut atteindre 25 kg. C’est un chien d’une grande loyauté, très fidèle à son maître. Il peut se laisser dépérir si celui-ci l’abandonne. Son prix varie selon l’élevage, mais aussi selon la couleur de son poil et peut atteindre 2600 $.

     

     Les races dispendieuses

    9. Akita Inu

    Cette race de chien japonais a connu une grande popularité notamment grâce à Hatchi, qui a aussi fait l’objet d’un film avec Richard Gere. Hatchi était si fidèle à son maître qu’il est demeuré tous les soirs à la gare pour l’attendre, et ce, des années après la mort de celui-ci. Aujourd’hui, Hatchi a une statue à son effigie. La race a failli s’éteindre à deux reprises. Il s’agit d’un chien pouvant peser jusqu’à 40 kg. Son prix varie selon la qualité de l’élevage, mais peut facilement atteindre 2600 $.

     

    8. Mau Egyptien Les races dispendieuses

    8. Mau égyptien

    Comme son nom l’indique, ce magnifique félin provient d’Égypte. Tout comme l’ashera et le bengal, il possède une robe rappelant les fauves sauvages. Il s’agit d’un chat habituellement docile, mais qui a un caractère typique et indépendant. Il peut se montrer distant avec les étrangers. Il faut compter environ 1500 $ pour en adopter un.

     

    7. Sphynx Les races dispendieuses

    7. Sphynx

    Cette race de chat originaire du Canada, dépourvue de poils, est donc sensible à la température et nécessite un entretien particulier également pour protéger sa peau. Il est décrit comme un chat affectueux, voire colleux, qui aime vivre en société. Son prix est de 2000 $ en moyenne.

      

    6. petit chien lion Les races dispendieuses

    6. Petit chien lion

    Presque disparue lors du 19e siècle, on retrouve des traces de cette race dans le 16e siècle. Il s’agit d’un petit chien intelligent, vif et affectueux, qui fait un excellent compagnon. Sa rareté fait que son prix peut varier de 4300 à 7400 $.

      

    5. Chien Chinois nu a crete Les races dispendieuses

    5. Chien chinois nu à crête

    Ce petit chien n’a des poils que sur la tête, les pattes et la queue. Il est très sensible aux coups de soleil. Il a un caractère enjoué et ne montre habituellement aucune agressivité. Cependant, vous pourriez devoir débourser jusqu’à 5000 $ pour en avoir un.

     

     

    4. Bengal Les races dispendieuses

    4. Bengal

    Autre véritable panthère, ce chat possède un pelage qui rappelle des léopards. Au Québec, il est de plus en plus connu, bien que les véritables éleveurs ne soient pas nombreux. On le dit vif, curieux et très affectueux. Prix pouvant aller jusqu’à 4000 $.

     

    3 Chien du pharaon Les races dispendieuses

    3. Chien du Pharaon

    Race de taille moyenne provenant de l’Égypte ancienne, d’où son nom, le chien du Pharaon demeure une race peu connue et peu commune également. Il a une prestance noble et rappelle un peu les lévriers. D’ailleurs, il est très rapide dans ses mouvements. Son prix peut atteindre 3000 

     

    2. Ashera Les races dispendieuses

    2. Ashera

    Du côté des chats, le chat le plus cher du monde est l’ashera. Il s’agit d’un gros matou pouvant atteindre 14 kg. Véritable panthère, il est issu d’un croisement entre un léopard d’Asie, un Serval africain et un chat domestique. Cette nouvelle race très convoitée, vendue entre 20 000 $ et 200 000 $, est aussi des plus contestées.

     

    1. mastif du Tibet Les races dispendieuses

    1. Mastiff rouge du Tibet

    Le mastiff du Tibet est une race rare, encore plus lorsqu’il est de « rouge ». Au Tibet lorsqu’un chien de cette race a cette couleur de pelage orangée, il est considéré comme un animal sacré apportant la bonne fortune à sa famille propriétaire. Pas étonnant qu’un homme n’ait pas hésité à débourser 1 million d’euros (environ 1,3 million $) pour mettre la main sur Big Splash (photo), qui est alors devenu le chien le plus dispendieux du monde. Un colosse qui peut atteindre 80 kg et mesurer jusqu’à 30 pouces au garrot (épaule).

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