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Par Frawsy le 28 Mars 2015 à 02:26
Les plus beaux parcs régionaux de France
Le Parc naturel régional de Lorraine
Le Parc naturel régional de Lorraine fête cette année ses 40 ans. Plateaux calcaires, fronts de côte et vallées se succèdent et révèlent leurs richesses au gré des balades.
© PatrickMi - Fotolia.comLe Parc naturel régional de Chartreuse
Créé en 1995, le Parc naturel régional de Chartreuse étend ses 76 700 hectares sur l'Isère et la Savoie, entre Chambéry, Grenoble et Voiron. Massif préalpin calcaire, il culmine à 2 082 mètres d'altitude.
© gaelj - Fotolia.comLe Parc naturel régional de Millevaches en Limousin
C'est un château d'eau où naissent de nombreuses rivières comme la Vienne, la Vézère, la Creuse, la Corrèze... Le Parc naturel régional de Millevaches en Limousin est un territoire de moyenne altitude situé sur le flanc ouest du Massif-Central. La diversité de sa faune et de sa flore se loge dans de vastes paysages de landes, de forêt, de tourbières et de villages de granite.
© Jimjag - Fotolia.comLe Parc naturel régional de Corse
Le Parc naturel régional de Corse, territoire classé pour la première fois en 1972, et à nouveau classé pour 10 ans en juin 1999, recouvre aujourd'hui près de 40% de la superficie de l'île.
© Marie-Claude CoulotLe Parc naturel régional Scarpe-Escaut
Voici le tout premier parc naturel régional. Fondé en 1968, le Parc naturel régional Scarpe-Escaut abrite l'essentiel du patrimoine industriel et minier de la région. Situé dans le Nord-Pas de Calais, entre Lille, Douai et Valenciennes, il déploie les paysages du Hainaut avec ses campagnes, forêts et paysages miniers.
© Stephane LeignezLe Parc naturel régional des Landes de Gascogne
Créé en 1970, le Parc naturel régional des Landes de Gascogne s'étend du bassin d'Arcachon à celui de Brassenx. Sur son territoire, on note notamment la présence du Parc Ornithologique du Teich, reconnu d'importance internationale pour la conservation des oiseaux sauvages. On peut observer tout au long de l'année, plus de 260 espèces qui viennent y séjourner ou faire escale. Sur les rives du delta de la Leyre, © frederic boeufLe Parc naturel régional des Ballons des Vosges
Hautes chaumes, falaises, tourbières, collines calcaires, lacs, étangs... Le Parc naturel régional des Ballons des Vosges offre une étonnante diversité de milieux naturels. Situé au sud du massif vosgien, il s'étend sur plus de 3 000 km², à cheval sur 3 régions l'Alsace, la Lorraine et la Franche-Comté.
© Samuel WERNAINLe Parc naturel régional de Camargue
Créé en 1970, le Parc naturel régional de Camargue est encastré entre les deux bras du Rhône. Entre ses frontières d'eau, s'étend un pays où les traditions vivaces sentent la terre, le sel et la mer. Les couleurs sont brunes, rouges ou jaunes dans ces espaces qui se font immenses. Une contrée plate qui se parcourt à cheval au milieu des canaux, des rizières, des lacs tranquilles et dans laquelle on y vit un autre temps.
© Jean RivelLe Parc naturel régional du Massif des Bauges
Admirer des chamois sur les pentes escarpées de l'Arclusaz, dévaler les pistes de la station Savoie-Grand-Revard ou se balader dans le jardin alpin du Semnoz, ça vous tente ? Alors, direction les Alpes où le Parc naturel régional du massif des Bauges ... Lire la suite
© Benoit MOURENLe Parc naturel régional de la Forêt d'Orient
Ce territoire légendaire abrite d'immenses lacs-réservoirs nichés au creux de forêts profondes, qui feront le bonheur des amoureux de nature, culture, sports et loisirs... Le Parc naturel régional de la Forêt d'Orient se situe en Champagne-Ardenne. C'est dans cette région que s'est créée une vaste contrée mystérieuse où l'eau, la terre et la forêt ont donné naissance à un territoire singulier, fruit de la nature et des hommes.
© STEPHANE FIFILSLe Parc naturel régional de la Brenne
Voici l'une des plus importantes zones humides continentales françaises avec près de 2 000 étangs. D'une superficie de 167 200 hectares, le Parc naturel régional de la Brenne comprend également forêts, buttons, marais, prairies qui abritent de nombreuses espèces animales très diverses comme des libellules, papillons, chevaliers guignettes, cétoines, sonneurs à ventre jaune ou encore cette tortue que l'on nomme cistude d'Europe. Alors, ouvrez l'oeil !
© Myrtille LE TEXIERLe Parc naturel régional du Verdon
De l'Artuby au lac de Sainte-Croix en passant par les gorges, les lacs et montagnes du Verdon, le Plateau de Valensole et les Collines du haut Var, le Parc naturel régional du Verdon offre une large palette de paysages. Sur ce territoire situé entre littoral méditerranéen et massifs alpins, chauve-souris, chamois, chevreuil, outarde canepetière, mais aussi papillons y ont élu domicile.
© Anne LABARRELe Parc naturel régional du Gâtinais français
Situé au sud-est de l'Ile-de-France, ce "pays des mille clairières et du grès" est, depuis le 4 mai 1999 classé Parc naturel régional.
© Alain PetelLe Parc naturel régional d'Amorique
Fondé en 1969, le Parc naturel régional d'Amorique est un des plus anciens parcs de France. Situé à la pointe du Finistère, son territoire s'étend des confins des Côtes-d'Armor, à l'est, jusqu'à l'archipel de Molène et d'Ouessant, à l'ouest. Parmi les espèces que l'on peut y observer : loutre, castor, dauphin, phoque, crave à bec rouge, busard cendré ou encore océanite tempête.
© Franck BaxterLe Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises
Le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises est le petit dernier des parcs naturels régionaux. Il a été classé le 30 mai 2009. Au cœur du massif pyrénéen, il s'étend des Pré-Pyrénées au Nord, coteaux calcaires marquant la spécificité des Pyrénées Ariégeoises, à la frontière espagnole et andorrane au Sud en passant par les villages et collines du Piémont.
© Christelle MilesiLe Parc naturel régional du Luberon
Le Parc naturel régional du Luberon, créé en 1977, est également une réserve naturelle de biosphère de l' Unesco. Il est constitué de paysages lumineux et accidentés, de villages perchés et de mystérieuses bories ainsi qu'une faune exceptionnelle comme des couleuvres, psammodromes d'Edwards, fauvettes, merles bleus, hiboux grand duc, aigles de Bonelli...
© Sophie GUIONIELe Parc naturel régional de l'Avesnois
Voici celui que l'on nomme "la petite Suisse du Nord". Le Parc naturel régional de l'Avesnois se distingue par ses paysages verdoyants où se succèdent bocages, prairies, forêts et pelouses calcicoles. Côté espèces animales à voir, on trouve le cingle plongeur, la chouette chevêche, la chauve-souris, le chat sauvage ou encore le triton crêté.
© Marcel DevorsineLe Parc naturel régional du Queyras
2 500 habitants, 2 500 chamois, 2 500 espèces de fleurs... Telle est la richesse du Parc naturel régional du Queyras. Installé dans le département des Hautes-Alpes, il offre de nombreux trésors qui sont à dénicher au cours d'une balade menant les visiteurs des sous-bois de mélèzes jusqu'en altitude. On peut y croiser aigles royaux, marmottes, chamois, loups, hiboux grand duc, tétras lyre, truites fario, pin cembro, mélèze, edelweiss, lys martagon ...
© Michel GermainLe Parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande
Ce parc doit son nom à sa position en bordure des boucles de la Seine. Ce vaste territoire de 81 000 hectares, façonné par le cours de la Seine, se compose de vergers, de forêts, de pâturages, de vallées, de coteaux et de plateaux. Parmi les animaux emblématiques du parc, on trouve l'anguille, la cigogne, le triton crêté et la chevêche.
© Bertrand VieillevigneLe Parc naturel régional de Brière
Bienvenue au paradis des oiseaux d'eau et des plantes aquatiques. Situé en Loire-Atlantique, non loin des marais salants de Guérande, le Parc naturel régional de Brière a vu le jour en 1970. Pour se laisser imprégner par la magie des lieux, il suffira de partir au fil de l'eau, au gré du chaland dirigé à la perche par un guide briéron, d'observer les oiseaux, et de découvrir la vie et les activités du marais ou de parcourir ses agréables ... Lire la suite
© Danielle BEAUGENDRELe Parc naturel régional des Volcans d'Auvergne
Le plus vaste Parc naturel régional de France se trouve en Auvergne, à cheval sur les départements du Puy-de-Dôme et du Cantal. La présence de cinq ensembles volcaniques en fait un véritable paradis pour les randonneurs et les amateurs de paysages spectaculaires et verdoyants. Le milan royal, l'apollon arverne, la loutre, le chamois ne sont que quelques exemples de la rich... Lire la suite
© François BOURGOINLe Parc naturel régional du Haut-Jura
A cheval sur les Régions de Franche-Comté et de Rhône-Alpes, au cœur du Massif du Jura, entre les rives de l'Ain et du Rhône, le Parc naturel régional du Haut-Jura s'étend sur plus de 164 065 hectares. Forêts de montagne, prairies d'altitude, pré-bois, lacs, vallées, tourbières, c'est une riche mosaïque de milieux naturels qui s'offre aux promeneurs.
© NATHALIE PERRINLe Parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale
Le Parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale est né en mars 2000 du regroupement des Parcs du Boulonnais et de l'Audomarois. Des dunes aux coteaux bocagers en passant par des falaises de craies blanches et des landes ocidoclines, c'est une kyrielle de paysages qui s'offrent aux badauds de passage dans le parc.
© christian mac collLe Parc naturel régional des Causses du Quercy
Situé en région Midi-Pyrénées, le Parc naturel régional des Causses du Quercy regorge de sites prestigieux comme Rocamadour, Saint-Cirq-Lapopie, le gouffre de Padirac ou les grottes de Lacave.
© Bruno MONGINOUXLe Parc naturel régional des Grands Causses
En Aveyron, le Parc naturel régional des Grands Causses laisse apparaître châteaux perchés, citées templières et hospitalières, caves semi-troglodytiques, statues menhirs...et des paysages à couper le souffle.
© chantal vastLe Parc naturel régional des Pyrénées Catalanes
Plus de 60 lacs, des massifs impressionnants, des espèces rares comme le Gypaète barbu, le Desman des Pyrénées, le Grand tétras ou encore l'Ours... Autant de richesses qui ont permis la création du Parc naturel régional des Pyrénées Catalanes en 2004. Pour celles et ceux qui voudraient le découvrir, n'hésitez pas à emprunter le célèbre train touristique, le Train Jaune.
© Jacqueline DuboisLe Parc naturel régional de Guyane
Le Parc naturel régional de la Guyane a été créé en 2001. La Réserve naturelle de l'Amana en fait également partie. Il s'agit d'une réserve littorale qui s'étend de l'embouchure du Maroni à l'embouchure de l'Organabo. Elle se caractérise surtout par les espèces animales que l'on y rencontre : des tortues marines aux lamantins, des oiseaux de mer aux passereaux de forêt sans oublier les grands et petits échassiers ni les anatidés, des singes aux jaguars, des tortues d'eau douce aux serpents venimeux, des tamanduas aux ratons crabiers...
© Emilie Le CorvecLe Parc naturel régional de la Haute-Vallée de Chevreuse
Situé aux portes de l'agglomération parisienne, le Parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse offre de belles balades au vert : forêts, plateaux agricoles, vallées aux boisements linéaires, prairies humides... Le site idéal pour observer, entre autre, chouettes Chevêches et amphibiens en tout genre.
© C. Bazaud / PNR de la Haute-Vallée de ChevreuseLe Parc naturel régional Livradois-Forez
Créé en 1986, le Parc naturel régional du Livradois-Forez doit son nom aux deux principaux massifs qui séparent les vallées de la Loire et de l'Allier. Etendu sur deux départements, le Puy-de-Dôme et la Haute-Loire, il s'agit d'un des plus grands Parcs naturels régionaux de France. Avec 180 communes réparties sur 322 000 hectares, il offre une vaste gamme de paysages et un large panel d'activités.
© Parc naturel régional Livradois-ForezLe Parc naturel régional Normandie-Maine
Situé sur les contreforts du Massif armoricain, le Parc naturel régional Normandie-Maine présente une grande diversité de paysages. Les milieux et les sites naturels y sont remarquables : collines de Normandie et du Maine culminant à l'ouest, grandes landes, forêts, bocages, vergers de poiriers, rivières aux eaux parfois tumultueuses...
© Parc naturel régional Normandie-MaineLe Parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine
Créé en 1996 sur les départements d'Indre-et-Loire et de Maine-et-Loire, le Parc naturel de Loire-Anjou-Touraine s'étend sur une superficie de 235 000 hectares. Territoire de confluences, il est réparti principalement le long de nombreux cours d'eau.
© Francoise BaudouinLe Parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin
Prairies tourbeuses, marais, landes, dunes, prés-salés, estuaires, maillage bocager... Le Parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin couvre un territoire de 145 000 hectares dont 30 000 de zones humides.
© Parc naturel régional des Marais du Cotentin et du BessinLe Parc naturel régional Périgord-Limousin
A cheval sur deux régions, l'Aquitaine et le Limousin, et deux départements, la Dordogne et la Haute-Vienne, le Parc naturel régional Périgord-Limousin a été crée en 1998. Des rivières aux eaux vives aux plateaux calcaires avec leurs orchidées, en passant par le bocage limousin ou les vallées périgourdines, c'est une mosaïque de paysages qui se déploie devant les yeux des visiteurs.
© Parc naturel régional Périgord-LimousinLe Parc naturel régional de la Montagne de Reims
La Montagne de Reims est, à l'est, l'ultime promontoire de l'Ile-de-France. Vieille de 70 millions d'années, c'est un véritable mille-feuille géologique avec sa craie, ses sables, ses argiles, ses calcaires.
© Jean-Pierre RochetteLe Parc naturel régional du Haut-Languedoc
Véritable balcon ouvert sur les plaines viticoles du Languedoc et les vastes étendues céréalières du Lauragais, le Parc naturel régional du Haut-Languedoc s'appuie sur les derniers contreforts méridionaux du Massif Central
© Parc naturel régional du Haut-LanguedocLe Parc naturel régional du Vercors
Plateaux boisés, cirques majestueux, gouffres béants, gorges profondes, insondables forêts et grottes merveilleuses, le Parc naturel régional du Vercors est une terre de contraste. Une bonne bouffée d'air où l'on se laisse submerger par les flagrances de lavande de Provence et séduire par la magie des sommets enneigés.
© Parc naturel régional du VercorsLe Parc naturel régional du Morvan
Le Parc naturel régional du Morvan se situe aux confins de la Nièvre, de la Côte d'Or, de l'Yonne et de la Saône-et-Loire. Il se distingue notamment par son réseau hydrographique particulièrement dense. Du coup, on peut y observer certaines espèces de poissons emblématiques comme le Chabot, la Truite Commune ou la Lamproie Marine.
© Parc naturel régional du MorvanLe Parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée
Situé en Région Languedoc Roussillon, le Parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée entraine les promeneurs découvrir ses garrigues, ses vignes, ses dunes, ses étangs ou encore ses villages.
© Fabien BouilletLe Parc naturel régional Oise - Pays de France
Voici un parc aux multiples facettes. Niché sur la rive gauche de l'Oise, ce Parc naturel régional est attaché au Pays de France, terre d'élections des capétiens, lieu de résidence des mérovingiens. Il dispose d'un nombre élevé d'espèces animales ou végétales rares dont une cinquantaine de plantes vasculaires protégées ou encore une quarantaine d'insectes d'intérêt patrimonial.
© Parc naturel régional Oise - Pays de FranceLe Parc naturel régional de la Martinique
Depuis 1976, le Parc naturel régional de la Martinique exprime la beauté naturelle d'une île des Caraïbes, fascinante de diversité. Baignées à l'est par l'océan Atlantique et à l'ouest par la mer des Antilles, les côtes endossent des parures variées : anses de sable blanc, plages de sable noir, baies marécageuses et falaises rocheuses. Du sommet de la montagne Pelée (1 397 m) aux plaines méridionales, le relief de l'île, la diversité de se... Lire la suite
© L'Internaute Magazine / Mélanie LayecLe Parc naturel régional du Perche
La richesse du Parc naturel régional du Perche réside dans la diversité de ses milieux naturels : bocages bordés de haies, prairies, 36 000 hectares de forêts, étangs et milieux humides, coteaux et landes abritant plus de 1 200 espèces végétales, et une faune variée dont une trentaine d'espèces reconnues d'intérêt européen.
© Marc EngelLe Parc naturel régional du Pilat
Entre Saint-Etienne et la Vallée du Rhône, le massif du Pilat est une terre de contraste. Devenu Parc naturel régional en 1974, il est constitué de petites régions aux caractères bien tranchés qui s'opposent par leurs climats, leurs paysages, leurs types d'habitats et leurs modes de mise en valeur des terres.
© L'Internaute Magazine/Johanna StrugeonLe Parc naturel régional du Vexin français
Créé en 1995, le Parc Naturel Régional du Vexin Français s'étend entre les rivières de l'Epte à l'ouest et de l'Oise à l'est, et s'arrête à la Seine au sud. Des coteaux calcaires aux zones humides, des bois aux forêts, des impressionnantes falaises de craie aux lacs, il offre une mosaïque de paysages diversifiés qui font la richesse de ce territoire.
© Philippe DeschampsLe Parc naturel régional des Monts d'Ardèche
Le Parc naturel régional des Monts d'Ardèche s'étend sur 180 000 hectares, à l'extrême sud-ouest de la région Rhône-Alpes. Au détour d'une balade, on y découvre une jonquille printanière ou encore des orchidées rares et fragiles. Il y en a partout, jusque sur les murs des vieilles maisons
© L'Internaute Magazine / Charlène VinceLe Parc naturel régional des Vosges du Nord
La beauté de la campagne alsacienne n'est plus à démontrer. Pour la protéger, le Parc naturel régional des Vosges du Nord fut institué en 1975. Il s'étend sur la partie nord du Massif Vosgien, massif rocheux essentiellement constitué de grès, recouvert de forêts et de paysages parsemés de clairières et ... Lire la suite
© L'Internaute Magazine / Carole Pausé
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Par Frawsy le 23 Mars 2015 à 21:33
Flânerie le long du Canal du Midi
Axe historique aujourd'hui encore très fréquenté, le Canal du Midi est devenu une destination privilégiée pour les cyclotouristes. La ville de Toulouse y a notamment aménagé une voie verte, l'une des plus agréables et des plus fréquentées de la région. Ici, un pont en briquette du Lauragais, près de Toulouse.
© sherwoodd - Fotolia.comLe Lac de Saint-Ferréol
Situé dans la Montagne Noire, le Lac de Saint-Ferréol est doté d'un barrage imaginé pour alimenter le Canal du Midi. Celui-ci a été construit entre 1667 et 1672 par Pierre-Paul Riquet, le créateur du Canal, considéré comme le plus grand chantier de France au XVIIe siècle.
© Jean-Paul CanoLe Seuil de Naurouze
Nous sommes au Seuil de Naurouze, appelé également Seuil du Lauraguais. Il s'agit du point le plus élevé du Canal du Midi, à 189 mètres d'altitude. Il marque la séparation entre le Massif Central et les Pyrénées.
© Fabien BouilletLabastide d'Anjou
Tout près du Seuil de Naurouze, la commune de Labastide d'Anjou est située dans le Lauragais. La beauté du site, qui s'étend sur 241 kilomètres, lui a permis d'être classé dans la liste du patrimoine de l'humanité par l'Unesco depuis 1996.
© Jean-Pierre MottayCastelnaudary
Les couleurs de Castelnaudary le long du Canal.
© Jean-Pierre MottayPrès de Castelnaudary
Une maison éclusière près de Castelnaudary. Lors de votre promenade, renseignez-vous sur ce type d'habitat parfois proposé à la location.
© illustrez-vous - Fotolia.comL'écluse de Guilhermin
L'écluse de Guilhermin, à l'est de Castelnaudary.
© Philippe Calas / www.canalmidi.comBram
Petit port situé à mi-chemin entre Castelnaudary et Carcassonne, Bram est une commune audoise. De nombreux bateaux de location attendent les visiteurs.
© Marie-Claire NocaudieA l'approche de Carcassonne
A pied le long des berges, en vélo entre Carcassonne et Trèbes, en bateau ou en flânant au port de la ville, les promeneurs ont de multiples possibilités.
© Géraldine Deveau"Villa Odette", Carcassonne
Aux environs de la cité, des paysages pittoresques se dévoilent sous le regard des visiteurs. Des bateaux habitables et ne nécessitant pas de permis sont ouverts à la location afin de découvrir ce lieu par les voies navigables.
© Géraldine DeveauEcluse
Un rideau d'eau à l'écluse près de Carcassonne. Le Canal du Midi compte 63 écluses qui permettent de franchir les dénivelés.
© albillottet - Fotolia.comLe Minervois
Région naturelle située dans la région du Languedoc-Roussillon, le Minervois est réputé pour ses vins, ses paysages vallonnés et ensoleillés et son rafraîchissant Canal du Midi.
© Pat on stock - Fotolia.comTrèbes
Ancienne ville romaine, Trèbes dispose d'un petit port de plaisance sur le Canal du Midi. Vous pourrez y effectuer une balade en vélo ou embarquer à bord d'une gabare traditionnelle.
© Yvann K - Fotolia.comLe pont de la Rode, Trèbes
Toujours dans les environs de Trèbes, le pont de la Rode, l'un des plus populaires du Canal du Midi.
© Philippe Calas / www.canalmidi.comOlonzac
Dans le département de l'Hérault, à quelques kilomètres du port de Homps, Olonzac est un charmant village au milieu des vignes.
© Jean-Pierre TolomioLe Grand Bief
Le Grand Bief est la portion la plus grande de canal sans écluse, entre Argens-Minervois et Béziers, qui court sur 54 kilomètres.
© Philippe Calas / www.canalmidi.comParaza
Le pont-canal de Répudre, près de Paraza, est le premier pont-canal construit en France, en 1676. Au milieu de sa façade on distingue une plaque de marbre rendant hommage à Paul Riquet.
© Philippe Calas / www.canalmidi.comLe port du Somail
Construit en même temps que le Canal du Midi afin de loger les bateliers, le port du Somail était un port "étape-auberge".
© Jean Pierre DromeraySomail, adorable village
Le pont du Somail est typique de la première période du Canal du Midi. Pont dit "en dos d'âne", il permet d'admirer le hameau dans son entier. La chapelle date quant à elle du XVIIIe siècle.
© joelle lampinArgeliers
Péniche à Argeliers, village bordé à l'est par le Canal du Midi.
© Herve LECLERCLe pont vieux d'Argeliers
Le pont vieux d'Argeliers enjambe le Canal du Midi.
© Philippe Calas / www.canalmidi.comCapestang
Capestang dispose d'une halte nautique pour accueillir les navigateurs. Ne manquez pas la visite de la collégiale, d'où vous disposerez d'une vue magnifique sur le village.
© Jean-claude FAROVers Béziers
Vers Béziers, la ville d'origine de Paul Riquet. Le Canal du Midi prend à l'entrée de la cité biterroise un nouveau visage, notamment grâce aux écluses de Fonsérannes.
© Serge GleizesLes écluses de Fonsérannes
L'escalier d'écluses de Fonsérannes est un ensemble de huit écluses construites en 1697. Cet ouvrage spectaculaire franchit un dénivelé de 21,50 mètres sur une longueur de 300 mètres.
© Philippe Calas / www.canalmidi.comLe pont-canal de l'Orb
Construit au XIXe siècle, le pont-canal de l'Orb mesure 12 mètres de haut, 240 mètres de long et 28 mètres de large. Deux chemins de halage sont disposés de chaque côté.
© Daniel LapierreCers
Dans le département de l'Hérault, traversée par le Canal du Midi, Cers est réputée pour ses vins.
© Philippe Calas / www.canalmidi.comCouleurs d'automne à Portiragnes
Couleurs d'automne à Portiragnes. La saison automnale est l'occasion de visiter le Canal du Midi sans l'afflux des touristes estivaux. Vous pourrez y visiter une très belle église gothique en basalte, datant du XIVe siècle.
© Philippe Calas / www.canalmidi.comLever de soleil à Portiragnes
Lever de soleil à Portiragnes.
© Philippe Calas / www.canalmidi.comLe pont des Trois Yeux
Entre Vias et Agde, le pont des Trois Yeux fait partie des 328 ouvrages conçus par Paul Riquet.
© Philippe Calas / www.canalmidi.comLes ouvrages sur le Libron
A Vias, les ouvrages sur le Libron constituent une machinerie unique. Ce pont-bâche mobile, constitué de diverses structures métalliques, a été réalisé pour permettre à la rivière le Libron de rencontrer le Canal du Midi.
© Philippe Calas / www.canalmidi.comMarseillan
Vers Marseillan, ville à quelques kilomètres d'Agde, non loin de l'endroit où le Canal du Midi se jette dans l'étang de Thau.
© Jacques VeyletAgde
Lors de son passage au niveau d'Agde, en automne.
© Daniel GarciaLe port des Onglous
Le port des Onglous est l'endroit où le Canal du Midi se jette dans l'étang de Thau.
© Jean-Marcel DellyesLe Canal du Midi en novembre
Magnifique lever de soleil en novembre sur le Canal du Midi.
© Philippe Calas / www.canalmidi.com
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Par Frawsy le 11 Mars 2015 à 03:10
Tour du monde : les plus beaux lacs gelés
Le gigantesque lac Baïkal en Sibérie
Le lac Baïkal en Sibérie est l'une des plus grandes étendues d'eau douce du monde. Avec plus de 600 km de long, ce lac gigantesque est aussi l'un des plus purs. Pendant l'hiver, sa surface se fige jusqu'à permettre le passage d'engins et de voitures. Au printemps, avec la fonte des glaces, la surface se fissure faisant apparaître ces lignes de casse.
© asiliy Koval - Fotolia.comSur les rives d'un étang
A l'inverse, au bord de cet étang des Pays-Bas, le givre couvre délicatement la flore qui en occupe les rives.
© Nordreisender - Fotolia.comLes bulles du lac Abraham au Canada
Le lac Abraham au Canada laisse échaper des émanations naturelles de méthane. L'hiver, lorsque la surface du lac se fige, ces petites bulles restent piégées dans les eaux. Un paysage poétique... mais également inflammable.
© Lijuan Guo - Fotolia.comUn étang zen dans le Wisconsin
Un contributeur du site Reddit a partagé une photographie de l'étang près de chez lui dans le Wisconsin aux Etats-Unis. Chaque année, la glace s'y fige en mouvements circulaires donnant à l'ensemble des airs de jardins zen japonais.
© Odstane - RedditUne mer de glace en Sibérie
Avec l'arrivée du printemps, la surface du lac Baïkal prend devient un chaotique amas de glace translucide.
© Nordreisender - Fotolia.comLes eaux figées du nord de la Sibérie
Le Baïkal en hiver, loin d'être monotone affiche une infinité de variations de paysages tous plus suréalistes les uns que les autres.
© Anatoly Tiplyashin - Fotolia.comEn Arctique, les délicates fleurs de givre
Ces fleurs de givre posées à la surface de l'océan Arctique sont un phénomène naturel particulièrement rare. Elles se forment en quelques minutes lorsque l'air est totalement dénué de vent et que les températures descendent sous les -22ºC.
© Nordreisender - Fotolia.comAu pied du Mont-Fuji
Au Japon, le vénérable Mont-Fuji couvert de neige toute l'année accueille à ses pieds une mer de glace magnifique pendant l'hiver.
© Nordreisender - Fotolia.comLa lande figée dans la glace
Cette photographie a été prise dans les landes en Allemagne. Les terres humides se figent laissant apparaître la terre et les feuilles.
© Nordreisender - Fotolia.comA la veille du dégel
Le Baïkal sur lequel il est possible de se déplacer jusqu'à la mi-avril. Ensuite, mieux vaut éviter de se lancer dans une traversée à pieds...
© Nordreisender - Fotolia.comLac Michigan et les grands lacs
Le lac Michigan à la frontière des États-Unis et du Canada se fige à 60% dans la glace pendant l'hiver. Le vent et le froid créée d'incroyables constructions de glace comme cette grotte dont les parois sont entièrement couvertes.
© onawilliams - Fotolia.comLe printemps en Arctique
Avec l'arrivée des beaux jours, les eaux de l'Arctique se couvrent de bloc de glace de différentes tailles immobiles sur une eau encore figée par le froid.
© Nordreisender - Fotolia.comBulles d'air sur le point d'être libérées
La surface de glace va bientôt se briser, libérant ces petites bulles d'air prisonnières depuis le début de l'hiver.
© Nordreisender - Fotolia.comDans le sud de l'Argentine
Les eaux turquoise du glacier argentin Perito Moreno. L'un des seuls de Patagonie qui ne soit pas en régression à cause des changements climatiques.
© Galyna Andrushko - Fotolia.comUne mer de glace
Chaos de glace au printemps sur le lac Baïkal.
© big-label - Fotolia.comVague de glace en Autriche
Dans ce lac autrichien, les vagues abordant le rivage ont été figées en plein mouvement.
© Andreas Schindl - Fotolia.comLe phare de Marblehead dans l'Ohio
Un phare en plein coeur des terres ? Non ! Une surface gelée à perte de vue.
© Michael Shake - Fotolia.com
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Par Frawsy le 10 Mars 2015 à 02:53
Top 20 des photos prises sous la tente, le camping dépaysant
Il parait que le camping sauvage à des kilomètres de chez soi c’est inconfortable, humide, fatiguant, plein d’insectes et de mauvaises surprises.... Mouais... Perso j’échangerais bien mon lit douillet en banlieue parisienne contre quelques nuits sous une tente à l’autre bout du monde ! Pour me réveiller ailleurs même si je dois troquer mon Nespresso contre un Nescafé dégueulasse, mon canapé ultra moelleux contre un pauvre bout de roche et mon bain chaud contre l'eau glacée d'un fleuve... Même pas peur ! Parce que je rêve de changer d’horizon chaque jour et de me remplir de cette inestimable liberté que seuls les voyageurs intrépides connaissent. Les pieds souillés par la marche, au fin fond de mon logis nomade, j’aimerais savourer l’instant présent les yeux grands ouverts. Car mon instant présent de là tout de suite maintenant il fait pas franchement rêver . Alors, avis aux joyeux campeurs qui veulent échanger leur place contre la mienne, contactez-moi en MP comme on dit (d’urgence car moi j’en peux plus de cette routine) !
- Redfish Lake, Idaho, USA
Crédits photo : Vincent Anzalone
- Canyonlands National Park, Utah, USA
- Sai Kung, Hong Kong
- Mount Jefferson Wilderness, Oregon , USA
Source photo : Moutainhardwear
- Alauddin Lakes, Tajikistan
Crédits photo : Caters News/Oleg Grigoriev
- Fann Mountains, Tajikistan
Crédits photo : Caters News/Oleg Grigoriev
- Big Allo Lake, Tajikistan
Crédits photo : Caters News/Oleg Grigoriev
- Unna Visttasvággi, Norvège
- Mount Hood, McNeil Ridge, Oregon, USA
Crédits photo : Mountainamoeba
- Larke Phedi, Nepal
Crédits photo : Rick Mc Charles
- Hakatere Conservation Park, Nouvelle Zélande
Crédits photo : Random Letters
- Homer, Alaska
Crédits photo : Ben Christenson
- Quelque part en Antarctique
Crédits photo : Eugene Kaspersky
- Canyonlands National Park, Utah, USA
Crédits photo : Jared Hargrave
- Curtis Ridge, Mount Rainier National Park, USA
- Fleuve St Laurent, Québec
- Colorado River, USA
Crédits photo : Al_HikesAZ
- Tuc El Nuit Lake, Canada
- Ile aux crabes, Bénin
Crédits photo : Hugo van Tilborg
- Le ciel du Joshua National Park by night, USA
Source : Globe Trotting
votre commentaire - Redfish Lake, Idaho, USA
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Par Frawsy le 4 Mars 2015 à 01:04
Antarctique
L’Antarctique est situé au pôle Sud. Il est entouré de l'Océan Austral. Sa superficie est de 13,9 millions de kilomètres carrés.
Le terme Antarctique englobe parfois aussi la zone océanique (océan Austral) entourant la masse continentale à laquelle on réserve alors le nom d’Antarctide.Caractéristiques de l'Antarctique
Ce continent est resté longtemps inhabité. Son exploration s’est intensifiée au XIXe siècle. C’est en 1911 que le Norvégien Amundsen a atteint le pôle Sud. Cependant, on considère que le continent a été aperçu pour la première fois en 1820 par l'expédition russe de Mikhail Lazarev et Fabian Gottlieb von Bellingshausen.
.C’est l’Antarctique qui détient le record de la température la plus basse : 89,6°C en dessous de zéro enregistré à la station russe de Vostok.
Au centre du continent, les températures varient de – 15°C à -45°C pendant l’été et de -40°C à -70°C pendant l’hiver.C’est l’Antarctique qui détient le record de la température la plus basse. By Christian Revival Network . (Blog de l'auteur)
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne neige presque pas aux pôles. La moyenne annuelle de chutes de neige équivaut à 5 cm de pluie au centre de l’Antarctique.
Tout gèle en profondeur. Le sol qui gèle est appelé « pergélisol » ou « permafrost ».
En Antarctique, tout gèle en profondeur. By Christian Revival Network
Ni les herbivores, ni les carnivores ne peuvent s’installer dans ces déserts glacés. Pour survivre, la faune des pôles vit au bord des côtes ou dans la mer.
Gorfou macaroni . By Jamie Davies
L’Antarctique est recouvert à 98% par une calotte glaciaire appelée « inlandsis ». L’intérieur du continent est un désert absolu ou seuls les acariens et quelques insectes peuvent survivre en permanence.
Le volume de la glace représente 70% des réserves d’eau douce de la planète.
Des vents violents, appelés « vents catabatiques » atteignent plus de 300km/h.L’Antarctique est recouvert à 98% par une calotte glaciaire. By es0teric
L’Antarctique jouit d’un statut international. Conformément aux dispositions du traité de Washington du 1er octobre 1959, les 25 États parties consultatives ont tenu une conférence consacrée à la protection de l’environnement dans l’Antarctique.
Le traité de Washington stipule une internationalisation fonctionnelle de la zone, caractérisée par la liberté de recherche scientifique et par l’interdiction de toute activité à des fins militaires.L’Antarctique jouit d’un statut international. By 23am.com
En 1991, les membres signataires ont décidé le gel de son exploitation manière pour 50 ans. En 1994, la Commission baleinière internationale a décidé la création en zone antarctique d’un sanctuaire pour tous les cétacés.
Plusieurs États se partagent le continent austral :
- Antarctique indépendant :Terre Marie Byrd
- Argentine : Antarctique argentin
- Australie : Territoire australien de l'Antarctique
- Chili :Province de l'Antarctique chilien 53°W à 90°W 1940
- France : Terre Adélie
- Nouvelle-Zélande : Dépendance de Ross
- Norvège : Terre de la Reine-Maud . Île Pierre Ier
- Royaume-Uni : Territoire britannique de l'Antarctique
Faune de l'Antarctique
L’instinct de reproduction du manchot empereur le conduit à faire le chemin inverse des autres animaux. Il revient à terre au moment où la faune fuit vers le nord, là où le climat est plus doux en hiver.
La femelle pond alors un œuf unique qu’elle confie au mâle. Il le couve, au chaud dans un repli de son ventre, pendant trois mois.Manchot empereur. By Christian Revival Network
Mais, ce qui permet à la chaîne alimentaire sur terre et dans la mer de se maintenir, c’est le krill. Si le krill venait à manquer, l’ensemble de la chaîne alimentaire s’effondrerait.
Krill est le nom générique d’environ 85 espèces de crustacés.
Euphausia superba est le plus abondant d’entre eux. C’est un crustacé rose, transparent, ressemblant à une crevette, d’environ 4 cm de long.Krill ( Euphausia superba). Licence
Baleines, oiseaux ou phoques se nourrissent de krill. Le krill est si important pur la survie de l’ensemble des espèces qu’il a été surnommé « l’or rose de l’Antarctique ».
La faune ne s’installe sur les rivages que le temps de l’été austral, environ 3 mois. Ensuite, les oiseaux et les mammifères marins repartent en mer se nourrir de calamars, de poissons et surtout de krill.
Ces crevettes forment des bancs compacts de milliards d’individus.En Antarctique, la faune s'installe sur les rivages. By Pathfinder Linden
Il existe malheureusement des projets de pêche intensive du krill qui, s’ils se réalisent, mettront en péril la survie de milliers d’espèces des régions polaires.
Eléphants de mer. By Michael L. Baird
En juillet 2003, alors qu’il plongeait en apnée dans une station de recherche, un scientifique a été tué par un léopard de mer.
Le léopard de mer est un prédateur actif qui se nourrit de tout, du krill aux phoques, oiseaux et jeunes éléphants de mer.
Solitaire et agressif, ses nageoires antérieures sont armées de griffes.Léopard de mer. By 23am.com
Le phoque de Weddell est l’un des habitants permanents de la banquise. Ses dents sont vitales car ce sont elles qui lui permettent de racler la glace. Ce travail maintient ouvert le trou de glace dans lequel il doit venir respirer régulièrement.
Phoque de Weddell. By Billogs
Parmi les poissons endémiques à l’Antarctique, on trouve Chaenocephalus aceratus. Pour survivre près du point de congélation de l’eau de mer (-2°C), ce poisson produit des protéines naturelles antigel, les glycopeptides, qui empêchent la formation de cristaux de glace dans le sang.
Des orques en Antarctique . By Christian Revival Network
L’évolution a souvent permis aux animaux de s’adapter aux environnements extrêmes. Ainsi, les notothénioïdes, qui représentent 90% des poissons vivant en Antarctique, fabriquent un « antigel » biologique. Cette molécule chimique empêche la formation de cristaux de glace. Les protéines émises sont 300 fois plus efficaces que les antigels chimiques traditionnels.
Dans les eaux côtières peu profondes, évolue le lompe (Cyclopterus lumpus).
La « grosse poule de mer » des Québécois est connue essentiellement pour ses œufs, colorés en rouge ou en noir, et vendus comme faux caviar bon marché.Lompe . By Asbjorn hansen
Le gorfou macaroni (Eudyptes chrysolophus), qui porte sur la tête une houppe de plumes dorées, doit son nom à sa ressemblance avec un type de chapeau en vogue en Angleterre au XVIIIe siècle.
A la mi-octobre, le printemps austral, ces oiseaux se rassemblent en colonies d’au moins 200 000 individus sur l’île de Georgie du Sud pour la reproduction.Expédition en Antarctique. By Chregu
Dans les airs, l’albatros hurleur (Diomedea exulans) pousse des grognements en effectuant sa parade nuptiale. Cet albatros détient le record de la plus large envergure (3,50 m).
La majeure partie de l’année, il plane en solitaire au-dessus des océans australs. Pendant la période de reproduction, les albatros se regroupent sur les îles subantarctiques. Chaque couple construit un nid.
Mâle et femelle couvent à tour de rôle un œuf unique.Albatros hurleur en plein vol. By Michael clarke stuff
Etant donné sa taille impressionnante, l’albatros hurleur a besoin du vent pour décoller. Une fois dans les airs, il peut planer pendant des heures à plus de 70 km/h, se reposant seulement de temps en temps la nuit.
C’est un chasseur de haute mer qui adore les seiches.Le pôle sud est un lieu où il est facile d’étudier l’atmosphère et plus spécialement la couche d’ozone.
On constate que cette couche s’amenuise d’année en année.L’homme a tout intérêt à préserver l’Antarctique de toute pollution et activités humaines. Ce continent pourrait bien un jour devenir la dernière réserve d’eau douce du monde et donc notre seule chance de survie.
Une vie inconnue sous les glaces de l’Antarctique
Un nouvel écosystème a été découvert sous la calotte glaciaire Antarctique, dans les fonds marins.
La zone étudiée par l’équipe de l’US Antarctic Program était située sous la glace avant qu’un énorme iceberg de 3.250 km2 se détache de la plate-forme de glace de Larsen, en 2002.L’équipe de chercheurs a pris des images des fonds marins, à 850 mètres de profondeur. C’est ainsi qu’ils ont eu la surprise de voir que des bactéries et des coquillages peuplaient cet endroit peu propice à la vie.
Les images ont révélé la présence d’un tapis blanc semblable aux colonies de bactéries des grands fonds marins, d’où s’échappaient des bulles de gaz. Des coquillages se regroupent eux autour de ‘’volcans de boue’’, expliquent les chercheurs dans le journal de l’Union américaine de géophysique (Eos).
La lumière ne parvenant pas jusqu’à cet endroit, ces organismes ne vivent pas de la photosynthèse, précisent Eugene Domack et ses collègues. Il pourrait s’agir d’un ‘’cold-seep’’, ces sources situées au fond de l’océan qui laissent suinter des fluides très riches.
Malheureusement cette rare communauté est menacée de disparition, explique Domack. N’étant plus protégée par sa couche de glace, elle est peu à peu recouverte par les débris et les sédiments qui se déposent.
V. Battaglia (02.05.2007). M.à.J 10.2007
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