• Paranormal: Poltergeist à la clinique d’Arcachon

     

    Que l'on croit ou non aux phénomènes paranormaux, la preuve de leur existence la plus convaincante reste encore leur manifestation.

     

    Pour beaucoup, le paranormal est lié aux fantômes. Le terme "fantôme" évoque un personnage vêtu d'un suaire blanc, sorti de sa tombe pour terroriser les vivants. Mais dans les annales du paranormal, ces apparitions spectrales se présentent sous des formes très variées.

     

    Les phénomènes paranormaux sont des événements qui sortent des schémas connus et surtout pouvant être scientifiquement expliqués. Cependant, on doit se demander si ces événements violent réellement les lois scientifiques. En effet, nos connaissances évoluent en permanence.

     

     

    Poltergeist à la clinique d’Arcachon

     

    Paranormal:  Poltergeist à la clinique d’Arcachon

     

    Un poltergeist a semé la panique dans la clinique orthopédique d’Arcachon (France) en 1963. L’un des plus connus de tous les phénomènes paranormaux est celui du poltergeist, mot allemand qui se traduit littéralement par « esprit tapageur ».

     

    Les activités de ces esprits turbulents sont très probablement liées à un phénomène psychique.

     

    Les évènements qui se sont produits à la clinique d’Arcachon ont fait l’objet d’un rapport de police suite à l’appel au secours du directeur de la clinique, le docteur Cuénot.

     

    C’est ce dernier qui raconta le déroulement des incidents.

     

    Pendant l’été de 1963, les malades hospitalisés ont reçu approximativement 200 à 300 cailloux de tous calibres.

     

    La trajectoire des pierres, les cibles ou le nombre furent très variables. De même, l’horaire de la chute de pierres variait chaque jour.

     

    Curieusement, le poltergeist semblait vouloir impressionner plus que blesser puisqu’aucun malade ne fut jamais atteint par une pierre.

     

    Fait intéressant, les premiers incidents ont débuté lorsque circula la nouvelle de la mise en vente de la clinique. Au moment de l’annonce, tous les malades avaient été réunis dans le parc.

     

    Les pierres, lancées de très haut, tombaient presque verticalement à travers les feuillages des gros platanes.

     

    Suite à ce premier incident, le directeur appela la police. Un agent vint sur place et fouilla les lieux.

     

    M.T. André était en train d’inspecter un étage quand il vit une pierre sortir d’une chambre désaffectée du deuxième étage, mais sans voir le bras qui la lançait.

     

    L’agent de police fouilla l’étage, mais trouva toutes les portes fermées.

     

    Un soir où l’agent de police était sur la terrasse nord, les cailloux se mirent à pleuvoir en grande quantité. En colère, le policier cria à la cantonade « Il y en a assez ! Cet imbécile ne peut-il s’arrêter ? »

     

    Aussitôt les chutes de pierre cessèrent pour reprendre avec moins d’ardeur une demi-heure plus tard.

     

    En septembre, les portes de la clinique se mirent à s’ouvrir toutes seules. Des parapsychologues avaient été appelés à la rescousse, mais ils ne purent que constater et entendre des coups retentissants.

     

    Les manifestations cessèrent aussi brusquement qu’elles avaient commencé. On ne sut jamais qui était responsable de ces évènements.

     

    V.Battaglia (27.04.2008)

     

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