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Par Frawsy le 31 Juillet 2015 à 17:59
Le passé est le passé
Ici, nous trouvons une contradiction,
bien qu’elle n’en soit pas une.
De laisser partir le passé, tout en ne
l’oubliant pas.
Nous ne devons pas vivre dans le passé,
mais nous en rappeler pour bâtir le futur !
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Le passé est le passé
Le passé est le passé
Il ne reviendra plus
Bien qu’il ait bien plu
Aujourd’hui il est dépassé
Je suis désolé ami
Tu y étais attaché
Tu es très fâché de
Laisser partir un tel ami
Que de bons moments
Tu as passé avec lui
Mais hélas aujourd’hui
Ce n’est plus le moment
Tu dois lui dire adieu
Le laisser enfin partir
Triste de son souvenir
Avec les larmes aux yeux
Ne l’oublie pas enfin
Garde ces bons moments
Qui t’on rendu content
Car ce n’est pas la fin
Aujourd’hui apporte demain
De belles choses à découvrir
Avec de nouveaux plaisirs
Dans ce nouveau lendemain
Passé, tu m’as plu
Je dois t’abandonner
Ceci est un fait
A mon grand regret
Ne sois pas triste ami
Buvons pour l’avenir
Buvons pour en finir
Merci d’être mon ami
Patrick Etienne
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Par Frawsy le 17 Juillet 2015 à 15:46
Un si bel oiseau
Posée sur un piquet, la douce tourterelle
Penchant son cou gracile, observe le jardin.
Son plumage rosé, digne d'une aquarelle,
De tout un tableau pourrait être le dessein.Ouvrant ses ailes avec infiniment de grâce,
En un vol alangui elle vient sur le sol,
Marchant à petits pas pour gagner la place
Où gisent en tas des graines de tournesol.Les plumes de sa queue, mélange harmonieux
De noir et de blanc, aussi de beige rosé,
Equilibrent ce corps aux contours gracieux.Et le fin collier noir si joliment posé
Sur la nuque si frêle, doucement courbée,
En éclat n'a d'égal que l'ambre de ses yeux.Nicole Bouglouan
Le 26 Juillet 1997
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Par Frawsy le 1 Juillet 2015 à 02:24
La grande chevauchée
Chaque matin, j'avais pris l'habitude beau temps mauvais temps, de faire une randonnée à cheval sur l'une de mes terres boisées. J'ai souvenir d'un matin, d'où la brume ne c'était pas encore dissipée et que la symphonie des oiseaux étaient complètement absente. Donc après quelques minutes de ma chevauchée, j'aperçus devant moi à quelques cinquante mètres comme un nuage fourmillant. Dès que j'y entra deux chevaliers casqués chevauchaient à mes cotés. Ils étaient d'allure translucide et brillante, leurs casques d'or étaient sertis de diamants et leurs gants semblaient être fait de filaments d'argent. Intérieurement je me suis dit que je devais être à l'intérieure d'un nuage chimique quelconque et que j 'hallucinai. Alors je n'en tenu pas compte et je continua comme si de rien n'était.
Après un certain temps j'aperçus au loin une énorme forme rouge ressemblant à un rubis. Quand je pus enfin distinguer de quoi qu'il s'agissait j'en fus renversé d'admiration. Ce tenait là devant moi un énorme château aussi étincelant que la lumière du soleil et d'un rouge écarlate. Comme nous approchâmes de la porte d'entrée un garde nous invita a y entrer. À l'intérieure tout était lumière mais sans qu'il n'y est pour autant des appareilles d'éclairage tel que nous le connaissons. D'énormes colonnes d'or aux sculptures de créatures étranges soutenaient une voute ressemblant à du jaspe incrusté de marbre blanc. Les murs eux dépourvues de fenêtres semblaient être fait d'un majestueux marbre noir d'une pureté absolue,bigarrées de multiples courants aux couleurs or.
Bizarrement je ne ressentais aucune crainte je me sentais plus tôt calme, serein et empreint d'une extase indescriptible. Escorté par mes deux chevaliers servants nous entrâmes dans une autre pièce duquel je ne pouvais en mesurer l'étendue due à son immensité. Des que je fus à l'intérieure de cette pièce une chose étrange se passa. J'étais comme eux avec un corps translucide, aussi je pouvais voir tout au tour en haut en bas en avant et en arrière tout comme si j'étais un œil en forme de bille qui peut voir dans toute les directions. Puis je vis arriver une nué de gens précédé de par mes parents, frère, sœurs,et tout la parenté du coté de mon père et de ma mère, je fus envahis d'une joie immense il y a une chose que je ne peut m'expliquer même si nos corps étaient immatérielles, je pouvais ressentir la douceur de la main de ma petite sœur, lorsqu'elle caressa ma joue et que dire de l'étreinte que nous nous fîmes moi et ma mère j'aurais pu demeurer dans ses bras pour l'éternité tellement que je me sentais bien.
Nous communiquions avec notre esprit, tout était silence aucun bruit n'existait tout était d'une beauté inimaginable, nous ressemblions tous à du cristal multicolore, je ne vivait pas le temps car il semblait ne pas exister. J' interrogeais mes parents de nombreuses questions entre autre celle de savoir si, ce que je vivais présentement reflétait la réalité de la vie après la mort. On me fit connaître et comprendre une multitudes de choses qu'en tant qu'être humain je n'aurais pu ni saisir ni comprendre. Je ne ressentais pas le besoin de vouloir demeurer à cet endroit, c'est tout comme si instinctivement je savais qu'il fallait que je finisse mon temps sur terre. Mes deux chevaliers servant me firent savoir mentalement que nous devions quitter et m'invitèrent à les suivre à l'extérieur. Sur mon beau cheval noir je repartis à toute vitesse non sans avoir une dernière fois jeter un dernier regard sur ce magnifique endroit, d'où jaillissait cinq colonnes de lumière aux couleurs de l'arc-en-ciel comme pour me salué d'un au revoir.
Chevauchant à toute allure et toujours accompagné de mes deux chevaliers nous sortîmes enfin de ce nuage gazeux et au même instant je me retrouvas seul. Regardant derrière moi je vis que tout était redevenu à la normal.. Je m'arrêta quelques instant pensif et interrogateur, puis je repartis vers ma demeure ne me questionnant même pas sur la durée du temps et ni de tout ce que je venais de vivre. Tout ce que je sais est que je me sentais léger comme un nuage et remplie d'ivresse.
Maintenant je savais!!!..... oui je sais maintenant!!!!........
Pierre Duteau 14 novembre 2010
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Par Frawsy le 18 Juin 2015 à 03:12
Il pleure dans mon coeur
Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?
Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s'ennuie,
Ô le chant de la pluie !
Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s'écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?...
Ce deuil est sans raison.
C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !
Verlaine (Romances sans paroles)
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Par Frawsy le 17 Juin 2015 à 03:07
"Au rythme de nos coeurs"
Tant que ton coeur battra au ryhtme de mon coeurs
Au coeur de mes hivers au coeurs de tes étés
Tant que ton coeur épris de pure vérité
Me dira que toi seule a compris ma candeurTant que ton coeur croira qu'il est de la noblesse
Aux aveux dépouillés des humaines faiblesses
Tant que ton coeur contrit devant un coeur chagrin
Fera naître l'espoir qu'il est un lendemain.Tant que nos coeurs seront l'un par l'autre embrasés
Tant que nos coeurs verront les voûtes constellées
Nous rirons de nos peurs victorieux de l'Heure
Et l'echo de mes mots apaisera tes peurs.Tant que nos coeurs battront tant que nos coeurs croiront
Tant que nos coeurs seront tant que nos coeurs prieront
Nous rirons de nos pleurs victorieux de l'Heure
Et l'écho de mes mots apaisera tes peurs.
Auteur anonyme
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