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    Le passé est le passé

     

    Poésie 2:  Le Passé est le Passé de Patrick Étienne

     

    Ici, nous trouvons une contradiction,
    bien qu’elle n’en soit pas une.
    De laisser partir le passé, tout en ne
    l’oubliant pas.
    Nous ne devons pas vivre dans le passé,
    mais nous en rappeler pour bâtir le futur !
    ***********************************
    Le passé est le passé

    Le passé est le passé
    Il ne reviendra plus
    Bien qu’il ait  bien plu
    Aujourd’hui il est dépassé

    Je suis désolé ami
    Tu y étais attaché
    Tu es très fâché de
    Laisser partir un tel ami

    Que de bons moments
    Tu as passé avec lui
    Mais hélas aujourd’hui
    Ce n’est plus le moment

    Tu dois lui dire adieu
    Le laisser enfin partir
    Triste de son souvenir
    Avec les larmes aux yeux

    Ne l’oublie pas enfin
    Garde ces bons moments
    Qui t’on rendu content
    Car ce n’est pas la fin

    Aujourd’hui apporte demain
    De belles choses à découvrir
    Avec de nouveaux plaisirs
    Dans ce nouveau lendemain

    Passé, tu m’as plu
    Je dois t’abandonner
    Ceci est un fait
    A mon grand regret

    Ne sois pas triste ami
    Buvons pour l’avenir
    Buvons pour en finir
    Merci d’être mon ami

    Patrick Etienne

     

    Poésie 2:  Le Passé est le Passé de Patrick Étienne

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    Un si bel oiseau

    Posée sur un piquet, la douce tourterelle
    Penchant son cou gracile, observe le jardin.
    Son plumage rosé, digne d'une aquarelle,
    De tout un tableau pourrait être le dessein.

    Ouvrant ses ailes avec infiniment de grâce,
    En un vol alangui elle vient sur le sol,
    Marchant à petits pas pour gagner la place
    Où gisent en tas des graines de tournesol.

    Les plumes de sa queue, mélange harmonieux
    De noir et de blanc, aussi de beige rosé,
    Equilibrent ce corps aux contours gracieux.

    Et le fin collier noir si joliment posé
    Sur la nuque si frêle, doucement courbée,
    En éclat n'a d'égal que l'ambre de ses yeux.

    Nicole Bouglouan
     Le 26 Juillet 1997

     

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    La grande chevauchée

     

     

    Chaque matin, j'avais pris l'habitude beau temps mauvais temps, de faire une randonnée à cheval sur l'une de mes terres boisées. J'ai souvenir d'un matin, d'où la brume ne c'était pas encore dissipée et que la symphonie des oiseaux étaient complètement absente. Donc après quelques minutes de ma chevauchée, j'aperçus devant moi à quelques cinquante mètres comme un nuage fourmillant. Dès que j'y entra deux chevaliers casqués chevauchaient à mes cotés. Ils étaient d'allure translucide et brillante, leurs casques d'or étaient sertis de diamants et leurs gants semblaient être fait de filaments d'argent. Intérieurement je me suis dit que je devais être à l'intérieure d'un nuage chimique quelconque et que j 'hallucinai. Alors je n'en tenu pas compte et je continua comme si de rien n'était.

    Après un certain temps j'aperçus au loin une énorme forme rouge ressemblant à un rubis. Quand je pus enfin distinguer de quoi qu'il s'agissait j'en fus renversé d'admiration. Ce tenait là devant moi un énorme château aussi étincelant que la lumière du soleil et d'un rouge écarlate. Comme nous approchâmes de la porte d'entrée un garde nous invita a y entrer. À l'intérieure tout était lumière mais sans qu'il n'y est pour autant des appareilles d'éclairage tel que nous le connaissons. D'énormes colonnes d'or aux sculptures de créatures étranges soutenaient une voute ressemblant à du jaspe incrusté de marbre blanc. Les murs eux            dépourvues de fenêtres semblaient être fait d'un majestueux marbre noir d'une pureté absolue,bigarrées de multiples courants     aux couleurs or.                                                                                                                                                                     

    Bizarrement je ne ressentais aucune crainte je me sentais plus tôt calme, serein et empreint d'une extase indescriptible. Escorté par mes deux chevaliers servants nous entrâmes dans une autre pièce duquel je ne pouvais en mesurer l'étendue due à son immensité. Des que je fus à l'intérieure de cette pièce une chose étrange se passa. J'étais comme eux avec un corps translucide, aussi je pouvais voir tout au tour en haut en bas en avant et en arrière tout comme si j'étais un œil en forme de bille qui peut voir dans toute les directions. Puis je vis arriver une nué de gens précédé de par mes parents, frère, sœurs,et tout la parenté du coté de mon père et de ma mère, je fus envahis d'une joie immense il y a une chose que je ne peut m'expliquer même si nos corps étaient immatérielles, je pouvais ressentir la douceur de la main de ma petite sœur, lorsqu'elle caressa ma joue et que dire de l'étreinte que nous nous fîmes moi et ma mère j'aurais pu demeurer dans ses bras pour l'éternité tellement que je me sentais bien.

     Nous communiquions avec notre esprit, tout était silence aucun bruit n'existait tout était d'une beauté inimaginable, nous ressemblions tous à du cristal multicolore, je ne vivait pas le temps car il semblait ne pas exister. J' interrogeais mes parents de nombreuses questions entre autre celle de savoir si, ce que je vivais présentement reflétait la réalité de la vie après la mort. On me fit connaître et comprendre une multitudes de choses qu'en tant qu'être humain je n'aurais pu ni saisir ni comprendre. Je ne ressentais pas le besoin de vouloir demeurer à cet endroit, c'est tout comme si instinctivement je savais qu'il fallait que je finisse mon temps sur terre. Mes deux chevaliers servant me firent savoir mentalement que nous devions quitter et m'invitèrent à les suivre à l'extérieur. Sur mon beau cheval noir je repartis à toute vitesse non sans avoir une dernière fois jeter un dernier regard sur ce magnifique endroit, d'où jaillissait cinq colonnes de lumière aux couleurs de l'arc-en-ciel comme pour me salué d'un au revoir.                                                                                                                                                                                               

    Chevauchant à toute allure et toujours accompagné de mes deux chevaliers nous sortîmes enfin de ce nuage gazeux et au même instant je me retrouvas seul. Regardant derrière moi je vis que tout était redevenu à la normal.. Je m'arrêta quelques instant pensif et interrogateur, puis je repartis vers ma demeure ne me questionnant même pas sur la durée du temps et ni de tout ce que je venais de vivre. Tout ce que je sais est que je me sentais léger comme un nuage et remplie d'ivresse.

    Maintenant je savais!!!..... oui je sais maintenant!!!!........

    Pierre Duteau 14 novembre 2010

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    Il pleure dans mon coeur

    Il pleure dans mon coeur

    Comme il pleut sur la ville ;

    Quelle est cette langueur

    Qui pénètre mon coeur ?

     

    Ô bruit doux de la pluie

    Par terre et sur les toits !

    Pour un coeur qui s'ennuie,

    Ô le chant de la pluie !

     

    Il pleure sans raison

    Dans ce coeur qui s'écoeure.

    Quoi ! nulle trahison ?...

    Ce deuil est sans raison.

     

    C'est bien la pire peine

    De ne savoir pourquoi

    Sans amour et sans haine

    Mon coeur a tant de peine !

     

    Verlaine (Romances sans paroles)

     

     

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    "Au rythme de nos coeurs" 


    Tant que ton coeur battra au ryhtme de mon coeurs
    Au coeur de mes hivers au coeurs de tes étés
    Tant que ton coeur épris de pure vérité
    Me dira que toi seule a compris ma candeur  

    Tant que ton coeur croira qu'il est de la noblesse
    Aux aveux dépouillés des humaines faiblesses
    Tant que ton coeur contrit devant un coeur chagrin
    Fera naître l'espoir qu'il est un lendemain.  

    Tant que nos coeurs seront l'un par l'autre embrasés
    Tant que nos coeurs verront les voûtes constellées
    Nous rirons de nos peurs victorieux de l'Heure
    Et l'echo de mes mots apaisera tes peurs.  

    Tant que nos coeurs battront tant que nos coeurs croiront
    Tant que nos coeurs seront tant que nos coeurs prieront
    Nous rirons de nos pleurs victorieux de l'Heure
    Et l'écho de mes mots apaisera tes peurs.
     
    Auteur anonyme

     

     

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