•  

    La grotte Melissani, ce véritable petit

    paradis à ciel ouvert

     

    Brice 
     

    Découverte en 1951 par Giannis Petrocheilos, Melissani Cave est un véritable petit paradis à ciel ouvert.

     

    Située sur l'île de Céphalonie , au nord-ouest de Sami en Grèce, la grotte s'est ainsi formée à partir d'une doline effondrée, typique de la roche karstique qui forme les montagnes de l'île. Cernée par la forêt d'un côté et par un versant de la montagne se trouvant à l'ouest, la cavité abrite un lac, à la couleur saumâtre (eau dont la teneur en sel est sensiblement inférieure à celle de la mer), un joli mélange d’eau douce et d’eau de mer sublimé par les rayons du soleil.

     

    Petite balade en image autour d'un lieu à la géologie incroyable, digne des plus beaux contes de fées :

     

    Aggelou Zias
     

    Longue de 50 mètres, large de 60 et haute de 35 mètres, la grotte (et le lac) se décompose en deux parties. L'un des plafonds de la grotte est ainsi ouvert au ciel, tandis que l'autre est éclairé à l'électricité.

     

    La partie qui nous intéresse est bien évidemment la première; d'une jolie couleur changeante selon les rayons du soleil, du turquoise à l'indigo en passant par des reflets violet, le lac est du plus bel effet vers midi, quand le soleil donne directement sur les eaux, avec un fond couvert de pierres. Vous pouvez bien sur visiter ces lieux en matinée, ou en soirée, mais l'atmosphère sera égèrement différente. Les roches des parois sont d'un joli brun clair tirant parfois au rose pâle. La végétation, quant à elle, et bel et bien présente, et croît jusqu'au bord du lac ...

     

     

    elsa11 on Flickr
     

    Comme il dit plus haut, la grotte fur découverte en 1951 par Giannis Petrocheilos, une exploration qui mena à la découverte d'une lampe très ancienne, aujourd'hui visible au musée archéologique de Argostoli.

     

    Melissani Cave tire son nom de la mythologie grecque. Melissani était la grotte des nymphes : elle s'y serait suicidée en se noyant dans le lac par désespoir, son aimé, Pan, ne l'aimant pas en retour (ça arrive). Selon une autre légende associée à la grotte, une bergère appelée Melisanthe s'y serait également noyée, en cherchant un mouton ...

     

    ILTWMT.com
     

    Un lieu mythique, gorgé d'histoire, et donc forcément prisé par les touristes. La balade se fera en bateau (chaloupe), un canal étroit vous menant d'une salle à l'autres à l'aide d'une corde pour tirer le bateau à travers. Un balcon près du sommet vous est également proposé pour admirer la vue d'en haut.

     

    Pour infos, l'accès à la grotte est payant (7 € par adulte), pour un temps de visite assez court (environ 10 min), mais la visite est incroyable, nous invitant à vivre l'instant présent. De plus les bâteliers, très accomodants, n'hésiteront pas à vous fournir toutes les infos nécessaires pendant la visite. Y'a plus qu'à comme on dit!

     


     
     
     
     
    ILTWMT.com
     
     
     
     
     
     
    Stina Baruh sur Flickr
     
     
     
    Andrey Grinyov
     
     
     
    Andrey Grinyov
     
     
     

    Alors, on part en balade ?

     

    Par Lucas Thanos

     

    Voyager en Images 2:  La grotte Melissani, ce véritable petit paradis à ciel ouvert + vidéo

    Pin It

    1 commentaire
  • Plus beaux villages d'Ile-de-France

      
    A quelques kilomètres de Provins, Saint-Loup-de-Naud possède l'un des plus beaux édifices romans d'Ile de France. Datant des XIe et XIIe siècles, son église est admirée pour son remarquable tympan au Christ en majesté entre les symboles des évangélistes.
    ©  CDT77

    Ballancourt, Essonne

    Au cœur de la vallée de l'Essonne, Ballancourt s'illustre par son domaine du Saussey bâti sur le territoire d'une ancienne commanderie templière et sur les ruines d'un château féodal du XVe siècle.
    ©  Annie Toscano

    Blandy-les-Tours, Seine-et-Marne

    A 10 km de Melun, Blandy-les-Tours est situé sur un promontoire qui domine la vallée du Ru d'Ancoeur et vaut le détour pour son château, dernier témoin de l'architecture militaire médiévale en Île-de-France.
    ©  CDT77

    Courances, Essonnes

    A l'extrémité ouest de la forêt de Fontainebleau, Courances s'illustre par la beauté de son château et de son parc, considéré comme l'un des plus beaux d'Ile-de-France. Ancien château médiéval, il fut transformé au XVIIe siècle en une somptueuse demeure renaissance.
    ©  CDT de l'Essonne

    Château-Landon, Seine-et-Marne

    Cité médiévale, située à une quinzaine de kilomètres au sud de Nemours, Château-Landon doit son surnom de "Rocamadour du Gâtinais" à ses fortifications accrochées à la falaise.
    ©  CDT77

    Moret-sur-Loing, Seine-et-Marne

    Chère au peintre Alfred Sisley, cette cité médiévale n'est pas sans rappeler un tableau impressionniste. Moret-sur-Loing est l'un des "plus beaux villages de France" à découvrir absolument.
    ©  CDT77

    Dampierre, Yvelines

    Le château de Dampierre, construit à la fin du XVIIe siècle illustre le génie de l'architecte Hardouin-Mansart et de Le Nôtre qui dessina ses jardins. En 1995, il servit de décor au film "Ridicule" de Patrice Leconte.
    ©  2009 Jean-Paul Carcel

    Auvers-sur-Oise, Val-d'Oise

    Le long de l'Oise, au milieu des champs de blé et des vergers, le village Auvers-sur-Oise a conservé son allure du XIXe siècle telle qu'il a été immortalisé par Vincent Van Gogh, qui y passa les derniers jours de sa vie.
    ©  Office de tourisme d'Auvers-sur-Oise

    Bourron-Marlotte, Seine-et-Marne

    Situé entre la forêt de Fontainebleau et le Loing, Bourron-Marlotte fut la résidence de nombreux artistes et écrivains au XIXe et XXe siècles. Le village n'a aujourd'hui rien perdu de son charme d'antan.
    ©  CDT77

    Chaussy , Val-d'Oise

    Situé dans l'ancienne province du Vexin français, le domaine de Villarceaux se situe dans la commune de Chaussy. Villarceaux constitue un ensemble unique avec un parc de 70 hectares et deux châteaux.
    ©  Jean-Pierre Verhaegue

    Thoiry, Yvelines

    Village situé sur le plateau du Mantois, Thoiry est particulièrement connu pour son château et son jardin historique des Comtes de La Panouse qui abritent un parc animalier.
    ©  2007 - Arthus Boutin

    Grez-sur-Loing, Seine-et-Marne

    Autrefois appelée Grez-en-Gatinais, le village accueillait jusqu'au XIIIe siècle la commanderie des Templiers de Beauvais-en-Gâtinais. Plus tard, au XIXe siècle, Grez séduira de nombreuses colonies de peintres étrangers qui vinrent peindre ce village de charme.
    ©  CDT77

    Chevreuse, Yvelines

    Au cœur du Parc Naturel de la Haute Vallée de Chevreuse, Chevreuse est surplombé par le château de la Madeleine, construit au XIe siècle, et qui servait autrefois à protéger la ville des pillages.
    ©  2006 - Jean-Paul Carcel

    Donnemarie-Dontilly, Seine-et-Marne

    Entre Provins et Montereau-Fault-Yonne, les vestiges architecturaux de Donnemarie-Dontilly se découvrent au fil de ses ruelles : églises, cloîtres, portes, porches et puits.
    ©  CDT77

    Saint-Martin-du-Tertre, Val-d'Oise

    Surnommée le "balcon de l'Ile-de-France", Saint-Martin-du-Tertre est, à 200 mètres d'altitude, le village francilien le plus haut. A flanc de coteau il domine, avec la forêt de Carnelle, la plaine de France au nord de Paris.
    ©  Patrick Fautrat

    Coulommiers, Seine-et-Marne

    Au cœur de la Brie, la petite ville de Coulommiers charme par son romantique parc des Capucins, abritant les ruines du château de la duchesse de Longueville, sa commanderie des Templiers,  ses maisons pittoresques et son marché typique.
    ©  L'Internaute Magazine

    Houdan, Yvelines

    A l'ouest des Yvelines, les nombreuses demeures des XVe et XVIe siècles inscrites aux Monuments historiques, tel l'ancien Hôtel du lys, confèrent à la petite cité médiévale d'Houdan beaucoup de cachet.
    ©  Jacques Veylet

    Rozay-en-Brie, Seine-et-Marne

    A 50 kilomètres à l'est de Paris, Rozay-en-Brie est resté cette petite ville briarde typique avec ses maisons à colombages et à encorbellements.
    ©  CDT77

    Crouy-sur-Ourcq, Seine-et-Marne

    Dominé par le château de Houssoy, dont il ne reste plus aujourd'hui que le donjon, Crouy, au cœur de la Vallée de l'Ourcq, était un port important au XIXème siècle.
    ©  CDT77

    Chamarande, Essonne

    Au creux de la vallée de la Juine, le petit village de Chamarande est très couru pour son château du XVIIe siècle qui abrite, depuis 2001, un centre d'art contemporain.
    ©  CDT de l'Essonne

    Villeconin, Essonne

    Au sud-ouest de Paris, Villeconin séduit par son château édifié en 1388 dont on peut admirer le donjon, la herse et le pont-levis. Le village possède également une église et un lavoir typiques.
    ©  CDT de l'Essonne

    Crécy-la-Chapelle, Seine-et-marne

    Surnommée la Venise briarde, Crécy-la-Chapelle est sillonnée de canaux qui bordent d'anciennes maisons de tanneurs, des lavoirs et les fortifications médiévales de la ville. La Collégiale Notre-Dame-de-l'Assomption, chef-d'œuvre architectural du XIIIe siècle, se visite également.
    ©  CDT77

    Barbizon, Seine-et-Marne

    A la lisière de la forêt de Fontainebleau, le charmant et tranquille petit hameau de Barbizon inspira de nombreux artistes du XIXe siècle, de Corot à Millet, qui venaient y pratiquer la peinture en plein air.
    ©  Emilie Beaufort

    Haute-Isle-Vétheuil, Val d'Oise

    Niché dans une boucle de la Seine, Vétheuil doit son succès à son église et à sa flèche gothique, immortalisée par Claude Monet qui habita trois ans au village et qui y peignit de nombreuses œuvres. Ici l'église troglodytique de Haute-Isle-Vétheuil.
    ©  Laurent Demontoux

    Saint-Sulpice-de-Favières, Essonne

    Au sud de l'Essonne, un peu hors du temps, le village de Saint-Sulpice-de-Favières possède un remarquable patrimoine architectural avec son église, l'un de plus beaux exemples gothiques d'Ile-de-France, et son château de Segrez où Proust séjourna.
    ©  CDT de l'Essonne

    <:FIGURE style="WIDTH: 630px" class=ccmcss_cms_figure><:FIGCAPTION>

     
    Pin It

    1 commentaire
  •   

     Un automne au Japon

    Le Japon, archipel formé de 6 852 îles, se caractérise par un automne haut en couleurs. En image, le jardin de Sankeien, situé à Naka Ward, Yokohama, est populaire pour ses cerisiers et ses feuilles changeantes à l'automne.
    ©  JNTO

    Spiritualité à Kumano

    Sur les routes de Kumano, une série d'anciens parcours de pèlerinage sillonnent la Hanto Kii, la plus grande péninsule du Japon.
    ©  JNTO

    Les cerfs sacrés de Nara

    Selon le folklore local, les cerfs du parc public de la ville de Nara ont été considérés comme sacrés en raison d'une visite de l'un des quatre dieux du sanctuaire Kasuga, Takenomikazuchi-no-Mikoto
    ©  JNTO

    Reflets d'automne

    Le mont Hakkodasan à Aomori se couvre de son feuillage d'automne.
    ©  Aomori Prefecture / JNTO

    Quiétude et immortalité

    Senso-ji est le plus ancien temple bouddhiste de Tokyo, construit en 645 et situé à Asakusa, un district de Taito à Tokyo. Il est dédié à la déesse de la miséricorde, bodhisattva Kannon.
    ©  Olivier Battail

    Crépuscule

    Fin de journée sur le torii flottant Miyajima, près de Hiroshima.
    ©  David Arnaud

    Temple d'Enkoji

    L'est de Kyoto abrite le temple Enkoji. Fondé en 1601, il est situé au pied du mont Hiei, célèbre pour ses nombreux temples.
    ©  Y.Shimizu / JNTO

    Un couloir écarlate

    Autre sorte de torii, le Fushimi Inari, situé au sud de Kyoto. Il comporte en fait 1 000 toriis, un parcours peut-être fait à travers la montagne, au coucher du soleil.
    ©  Ludovic Mazelier

    Les prières

    A l'entrée des temples, ces petits morceaux de bois accueillent les prières et les voeux des visiteurs.
    ©  Aude Muller

    Le corbeau : trésor national du Japon

    Le château de Matsumoto, situé dans la ville homonyme de la préfecture de Nagano, prend ses origines dans la période Sengoku. La tour principale du château, de couleur noire, est surnommée "le corbeau".
    ©  JNTO

    Dans le parc du Temple d'Or

    En automne, le Temple d'Or et son parc, méritent particulièrement leurs noms.
    ©  François Manen

    Architecture traditionnelle japonaise

    Le musée de la culture du Nord de Niigata, consacré aux arts et traditions du nord du Japon et de l'Asie, abrite la maison d'un fermier paysan du 19e siècle. En image, le jardin des roches se pare de ses belles couleurs d'automne.
    ©  JNTO

    Pleins feux sur Mino

    Washi Akari est une exposition d'art qui se déroule les 10 et 11 octobre à Mino, dans le district de Gifu. Pendant l'exposition, l'ancienne ville de Mino est décorée de sculptures de lumière utilisant le washi, un papier à base de fibres de mûrier fabriqué artisanalement au Japon depuis 1 300 ans.
    ©  Mino city

    Explosion de couleurs

    Le mont Kurikoma à Miyagi se pare, à l'automne, d'une formidable palette de couleurs.
    ©  Miyagi Prefecture / JNTO

    Chemin de pélerinage sur les monts Kii

    La région de Kumano figure dans le Nihon shoki,  la plus ancienne bible historique du Japon, en tant que lieu de culte naturel.
    ©  JNTO

    Festival de Kunchi

    Kunchi est le plus célèbre festival de Nagasaki. Du 7 au 9 octobre, les rues de la ville s'animent de défilés de chars et danses traditionnelles.
    ©  Nagasaki City / JNTO

    Tout d'orange vêtu

    Les feuillages d'automne tapissent les escaliers du temple de Gakuenji à Shimane.
    ©  JNTO

    A la lueur des lanternes

    De jolies lanternes à Gion, près de Kyoto.
    ©  Trung Latieule

    Géométrie de couleurs

    Le damier du temple Tofukuji de Kyoto.
    ©  Mr.Colin Sinclair / JNTO

    La danse du dragon

    Au cours des 3 jours de festivité du festival populaire de Kunchi à Nagasaki, la danse du dragon consiste à faire courir un dragon après un ballon d'or dansant au son d'instruments traditionnels.
    ©  Nagasaki City / JNTO

    Les ruines du château de Komoro

    Le parc Kaikoen, situé au centre de la ville de Komoro, contient les fondations du château de Komoro ainsi qu'un musée dédié à Shimazaki Toson et un zoo.
    ©  Nagano Prefecture / JNTO

    Le Grand Bouddha de Nara

    Le temple bouddhique Todai-ji de Nara abrite la plus grande statue du bouddha Vairocana. Les paupières du Bouddha auraient été symboliquement ouvertes en 752 par l'empereur Shômu qui lui insuffla la vie en peignant les pupilles de la statue.
    ©  Yasufumi Nishi / JNTO

    Ritsurin, l'un des parcs les plus célèbres du Japon

    Différents ponts, chemins et petites collines offrent une vue magnifique sur le parc Ritsurin et son paysage environnant, plus particulièrement le mont Shuin. Ses petits lacs sont remplis de milliers de poissons koi.
    ©  JNTO

    Tarentule automnale

    L'araignée géante du Roppongi Hills Mori Tower, un gratte-ciel de Tokyo qui mesure 238,1 mètres pour 54 étages.
    ©  Yasufumi Nishi / JNTO

    Un "arc-en-ciel" d'automne

    Suspendu au dessus de la baie de Tokyo, le pont Arc-en-ciel relie les quais de Shibaura à l'île artificielle d'Odaiba à Minato.
    ©  JNTO

    Gorges féeriques de Nagano

    Les gorges de Yokotani
    ©  Nagano Prefecture / JNTO

    Jeu d'O

    Située au pied des montagnes, la ville de Nikko est encerclée de forêts de cryptomerias, de cèdres et de pins.
    ©  Florian MOREAU

    Un automne à Asukamura

    Des vestiges de nombreux palais impériaux et de monuments funéraires mégalithiques, appelés kofun, se trouvent  au village d'Asukamura, dans la préfecture de Nara.
    ©  Nara Tourism Federation / JNTO

    Les gorges de Shibukawa

    A l'automne, le rougeoiement des feuilles d'érable appelées les momijl, descend du nord vers le sud.
    ©  Nagano Prefecture / JNTO

    Le Temple de la montagne de Yamadera

    A Yamadera, situé au nord de l'île de Honshu au Japon, un millier de marches se gravissent à flanc de montagnes, donnant sur des temples disséminés de-ci de-là.
    ©  JNTO

    Pin It

    votre commentaire
  • Prague, le joyau de la Bohême

    Un week-end à Prague

    vue sur le pont charles et le château de prague.
    Vue sur le pont Charles et le château de Prague. © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Prague, le joyau de la Bohême

    Du pont Charles au château de Prague en passant par le quartier juif et la place de la Vieille Ville, L'Internaute Magazine  vous emmène passer un week-end dans la capitale de la République tchèque. Pour cela, deux  circuits pédestres ont été concoctés afin de vous faire découvrir pas à pas les principales merveilles de cette cité. 

    Quand partir ? Avril et mai tout comme septembre et octobre sont les bons mois pour s'y rendre. La foule y est moins importante et le climat est plus clément. Attention, les 1er et  8 mai sont fériés dans le pays. Du coup, beaucoup de monuments sont fermés.

     Maintenant, suivez le guide pour un week-end placé sous le signe du romantisme.

     

     

     

     

    Hôtel de ville

    l'hôtel de ville
    L'Hôtel de ville © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Le bâtiment le plus important

    A gauche du beffroi de l'Hôtel de ville, une porte gothique sculptée par Mate Rejsek permet d'entrer dans l'édifice. Ceux qui ont envie de découvrir ce monument peuvent suivre la visite organisée par l'Office de Tourisme.

     Un guide emmène les visiteurs dans les souterrains et les salles voûtées de cet édifice. On y trouve puits, cachots, taverne médiévale et salles de réunion. Au premier étage, la salle du Conseil avec ses blasons de la ville et son plafond à caissons ainsi que la chapelle dévoilent leurs richesses. Il est également possible de grimper au sommet de la tour et de profiter de la vue donnant sur la place et le château.

    Mais le joyau du bâtiment reste son horloge astronomique.

     

     

     

     

    L'Hôtel de ville juif et la synagogue Vieille-Nouvelle

    a gauche, la synagogue vieille-nouvelle et en face, l'hôtel de ville juif
    A gauche, la synagogue Vieille-Nouvelle et en face, l'Hôtel de ville juif © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Du neuf dans du vieux

    Juste à côté, deux bâtiments d'importance dans l'histoire des juifs de Prague se jouxtent. Il y a tout d'abord la synagogue Vieille-Nouvelle, la plus ancienne d'Europe qui à l'origine s'appellait nouvelle mais comme d'autres furent créées par la suite, elle devint "vieille", d'où son nom. Son architecture est pleine de symboles. Ainsi le fait qu'elle soit par exemple à moitié enfoncée dans la terre est un signe d'humilité. A l'intérieur, de précieux manuscrits sont conservés. En sortant, levez le nez en direction de l'horloge située en haut de l'Hôtel de ville juif. Outre les chiffres en hébreux, ses aiguilles tournent de droite à gauche.

     

    Bon à savoir : l'Hôtel de ville juif ne se visite pas. Par contre pour visiter la synagogue Vieille-Nouvelle, il faut prendre un ticket à part pour lequel vous devrez verser 200 czk.

     

     

     

    La "Venise" pragoise

    le moulin du grand prieuré sur l'île kampa
    Le moulin du Grand Prieuré sur l'île Kampa © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    L'île des romantiques et ses moulins

     

    Visible depuis le pont Charles, l'île Kampa séduit les promeneurs par ses élégantes demeures des XVIIe et XVIIIe siècles. Havre de paix et de verdure très apprécié des pragois, elle propose une agréable balade entre jardins, ruelles et moulins à roue. Flânerie garantie !

     

    Y accéder : Au bout du pont Charles, sur la gauche, vous apercevrez des escaliers. Descendez-les. Vous voilà prêt à explorer tranquillement l'île Kampa.

     

     

     

     

     

     

    La cathédrale Saint-Guy

    la cathédrale saint-guy
    La cathédrale Saint-Guy © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Le plus grand édifice religieux

     

    Après avoir traversé plusieurs cours où se succèdent la chapelle de la Sainte-Croix, la galerie de peinture du château ou encore le pavillon du Jeu-de-Paume, le visiteur fait face au plus grand édifice religieux du pays, la cathédrale Saint-Guy. Il abrite entre autres les joyaux de la Couronne et la tombe du roi Venceslas. Lorsque l'on pénètre dans son enceinte, on est de suite frappé par la luminosité qui se dégage de l'édifice et par le mélange des styles qui caractérise son architecture.  

    A voir :  La chapelle Saint-Venceslas avec ses murs en pierres fines serties dans un crépi doré.

    La chapelle du Trésor avec l'anneau en tête de tigre du portail nord auquel saint Venceslas s'accrocha lorsqu'il fut assassiné.

    La porte d'Or

     

     

     

     

     

     

    Place Saint-Georges

    vue sur la basilique saint-georges
    Vue sur la basilique Saint-Georges © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Monuments clés de l'Histoire tchèque

    En sortant de la cathédrale Saint-Guy, vous voilà place Saint-Georges. On peut y découvrir le Palais royal, le couvent et la basilique Saint-Georges. Pour ceux qui ont le temps et l'envie, n'hésitez pas à vous lancer à l'assaut de leurs trésors. Sinon, faites un choix en fonction de vos centres d'intérêt.

     Le Palais royal est l'occasion de se replonger dans les grands événements qui ont marqué l'histoire du pays. Vous pourrez ainsi comprendre les tenants et aboutissants de la fameuse défenestration de 1618 qui marqua le début de la guerre de Trente Ans.

     Le couvent Saint-Georges offre quant à lui une halte plus artistique. Les grands maîtres de l'époque baroque tchèque comme Vaclav Vavrinec Reiner ou Petr Brandl n'auront plus aucun secret pour vous après cette visite.

     La basilique Saint-Georges avec sa façade baroque couleur rouille et son portail Renaissance.

     

     

     

     

     

    1er jour : Du pont Charles à la Nouvelle Ville

    sur le pont charles
    Sur le pont Charles © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Le pont Charles : un trait d'union entre Mala Strana et la Vieille Ville

    Situé au cœur de la ville, le pont Charles est un bon point de départ pour tous ceux qui souhaitent explorer les richesses que dissimule cette ville. Il s'agit, là, d'un des lieux les plus célèbres de Prague. Seul pont jusqu'en 1741 à franchir la Vltava, il doit surtout sa renommée aux trente statues de saints installés sur les parapets du pont.

    Ceux qui le veulent peuvent commencer leur journée en grimpant au sommet de la Tour du pont de la Vieille Ville pour y admirer la vue. Sinon, il suffit de passer en-dessous de cette tour gothique et de continuer son chemin en direction du quartier du Petit Côté.

    Informations : le pont est en rénovation jusqu'en 2010 mais reste ouvert au public pendant la durée des travaux.

     

     

     

     

    Le porte-bonheur du pont Charles

    situé au centre du pont charles, ce relief décrit le martyre de jean népomucène.
    Situé au centre du pont Charles, ce relief décrit le martyre de Jean Népomucène. Selon la légende, toucher la représentation du saint porte chance. © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Le très convoité saint Jean Népomucène

    Entre les réverbères et les statues qui font une haie d'honneur aux promeneurs, il y a un relief en particuliers auquel il faut faire attention sur ce pont. Il retrace l'histoire du martyre Jean Népomucène dont le corps avait été jeté dans la Vltava depuis le pont Charles. La légende raconte que ceux qui viennent toucher cette représentation du saint connaissent chance et bonheur.

    Localisation : il se situe au milieu du pont, sur le parapet droit, juste à côté de saint Antoine de Padoue et des saints Norbert, Venceslas et Sigismond. Il est généralement facile à localiser.

    Petit conseil : il est préférable de venir tôt le matin ou tard le soir pour éviter la foule. La balade sera plus agréable et permettra d'apprécier pleinement la part de mystère qui règne dans ces lieux.

     

     

     

     

    Berceau du Prague baroque

    eglise saint-nicolas
    Eglise Saint-Nicolas © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    La majestueuse église Saint-Nicolas

    Après ce petit tour sur l'île Kampa, les promeneurs se retrouvent sur la place de Mala Strana. A cet endroit, les attend la magnifique église Saint-Nicolas. Les plus grands artistes du XVIIIe siècle y ont participé. Ainsi, la fresque de la coupole représentant l'Exaltation de la Sainte Trinité vaut particulièrement le coup d'œil tout comme sa chaire, son dôme, son orgue et son clocher.

    Après cette halte culturelle, une balade poétique attend celles et ceux qui partent à l'assaut du château de Prague. A travers ruelles, escaliers et passages secrets, les promeneurs seront captivés par la beauté des palais baroques qui parsèment le parcours menant au château.

    Bon à savoir : entrée payante (70 czk), nombreux concerts organisés toute l'année.

     

     

     

     

    A l'assaut du château de Prague

    le château de prague 
    Le château de Prague © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    L'emblème de la ville

    Le château de Prague est un des monuments phares de la ville. Située dans le quartier de Hradcany, la demeure séculaire des rois de Bohême ouvre ses portes à tous ceux qui souhaitent se plonger dans l'histoire palpitante du pays. Le château de Prague comprend entre autres un palais mais également la cathédrale Saint- Guy, des églises, des jardins et la fameuse ruelle d'Or où vécut l'écrivain tchèque, Kafka. Cette belle balade d'une demi journée attend les amoureux de légendes et d'Histoire.

     

     Découvrez le château de Prague en vidéo

     

     

     

     

     

    La relève de la garde

    les deux combats de géants qui encadrent l'entrée du château sont des copies de
    Les deux combats de Géants qui encadrent l'entrée du château sont des copies de statues du XVIIIe siècle d'Ignac Platzer. © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Une entrée royale

     

    Après monter la rue Zamecke Schody, les visiteurs se retrouvent sur la place du Château. Là, deux géants en plein combat accueillent les visiteurs à l'entrée de cette vaste demeure. Avant de franchir le portail, attendez  la relève de la garde qui se déroule toutes les heures entre 5h et 23h. A midi, la relève se fait en fanfare et  trompettes. Une bonne occasion de divertir les enfants avant d'entamer la visite du château.

    Bon à savoir : il faut une bonne journée pour tout visiter en prenant son temps. Pour celle que nous vous proposons, il faut compter environ quatre heures.  Des visites guidées fort intéressantes sont organisées car souvent réalisées par des pragois eux-mêmes. 

     

     

     

     

     

    Balade dans la ruelle d'Or

    dans la petite maison située au n°22 de la ruelle d'or vécut l'écrivain franz
    Dans la petite maison située au n°22 de la ruelle d'Or vécut l'écrivain Franz Kafka. © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Flânerie au pays de Kafka

    Voici l'une des rues les plus pittoresques de Prague. Située dans l'enceinte du château, cette ruelle se constitue de 16 maisonnettes aux couleurs vives où logeaient les gardes du roi Rodolphe II au XVIe siècle. La légende raconte qu'en ces lieux, les alchimistes en quête de la pierre philosophale cherchèrent une formule pour transformer le plomb en or, d'où son nom de "ruelle d'Or". Elle fut par la suite le refuge de nombreux artistes et écrivains dont le plus célèbre fut Franz Kafka. Aujourd'hui, ce sont essentiellement des boutiques de verrerie et des librairies qui occupent les lieux.

    Bon à savoir : il faut s'acquitter d'un droit d'entrée pour pénétrer dans la ruelle. Il est compris dans le prix d'entrée du château.

    Idée pause gourmande : Lobkovicky Palac Café propose un vaste choix de salades et de sandwichs à déguster sur la terrasse avec sa magnifique vue sur Prague.

     

    L'église Notre-Dame-de-Lorette

    l'eglise notre-dame-de-lorette
    L'Eglise Notre-Dame-de-Lorette © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Douce mélodie

    Après être sorti de la ruelle d'Or, promenez-vous dans les jardins longeant les remparts. Vous bénéficierez d'une vue très agréable sur la ville tout en regagnant progressivement l'entrée du château. Prenez la rue Loretanska avec ces multiples palais comme Dietrichstein, Schwarzenberg, Hrzan et Cernin.

    Sur votre droite, se trouve Notre-Dame-de-Lorette. N'hésitez pas à franchir le pas de sa porte car les richesses qui s'y dissimulent valent le coup d'œil. Elle dispose dans sa cour intérieure d'une réplique de la Santa Casa, qui fit de cette église un haut lieu de pèlerinage. 

    Bon à savoir : toutes les heures, une mélodieuse symphonie est jouée par les 30 cloches de l'église. Un bon moment de détente en perspective.

    Informations : l'entrée est à 110 czk et elle est ouverte du mardi au dimanche de 9h à 12h15 et de 13h à 16h30.

     

     En vidéo : Prague, la ville aux cent clochers

     

     

     

    Monastère Strahov

    monastère strahov
    Monastère Strahov © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Le plus grand monastère de Bohême

    De la place de Lorette, dirigez-vous vers la place Pohorelec en empruntant la rue du même nom. Au niveau des n° 7 et 9, l'escalier voûté mène directement au monastère Strahov. Outre le fait qu'il s'agisse du plus grand monastère de Bohême, il possède une riche bibliothèque  baroque comprenant deux salles : la salle philosophique avec son superbe plafond et la salle théologique avec ses magnifiques globes terrestres. Environ 200 000 volumes, manuscrits et incunables sont ainsi conservés. 

     

    A voir également : 
     la galerie de Strahov et ses œuvres d'art
     le Cabinet des curiosités et ses collections de sciences naturelles

     

     
    • Découvrez les récits de voyages sur Prague des membres de Copains d'avant : lire

     

     

     

    Le parc de Petrin, un havre de verdure

    le parc de pétrin
    Le parc de Pétrin © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Balade nature au cœur de Prague

     

    Pour terminer cette journée, regagnez le centre ville via le parc de Petrin.  En vous y promenant, vous tomberez sur la tour panoramique, sorte de tour Eiffel  pragoise. Juste à côté se situe le palais des Glaces et son labyrinthe de miroirs déformants, une attraction qui devrait ravir particulièrement les enfants. Cette excursion "nature" est un moment de détente très appréciable avec l'arrivée des beaux jours. En effectuant cette descente, vous pourrez profiter à loisir des vues sur Prague.

    L'astuce : si jamais vous êtes fatigué, sachez qu'à mi-parcours, un funiculaire permet de rejoindre le bas du parc.

     

     

     

     

     

    La maison qui danse

    ginger et fred
    Ginger et Fred © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Ginger et Fred

    Prague est également une très jolie ville à découvrir à la nuit tombée. Nous proposons aux plus courageux de finir cette journée en longeant la Vltava à la rencontre de quelques monuments phares de la Nouvelle Ville.

    Lorsque vous sortez du parc Pétrin, dirigez-vous vers le pont Most Legii et traversez-le. Vous voici en face du Théâtre national, reconnaissable par son toit bleu nuit semé d'étoiles. De là, longez les quais jusqu'à la fameuse "maison qui danse", connue également sous le nom de "Ginger et Fred".  C'est ici que se termine donc cette première journée de découverte.

    A partir de là, vous pourrez reprendre le métro Karlovo namesti pour retourner en centre ville.

     

    Pour votre soirée :

     Idées de restaurants

     Idées de sorties

     

    Visualisez le circuit sur la carte

    du pont charles à ginger et fred
    Du pont Charles à Ginger et Fred © L'Internaute Magazine

    Voici la carte présentant les lieux à voir lors de cette première journée :

     

    1 : Pont Charles

    2 : Ile Kampa

    3 : Eglise Saint-Nicolas

    4 : Château de Prague

    5 : Notre-Dame-de-Lorette

    6 : Le parc de Pétrin 

    7 : La maison qui danse dite Ginger et Fred 

     

    2e jour : De la Vieille Ville à l'ancien quartier juif

    la maison municipale dans un pure style art nouveau.
    La Maison municipale dans un pure style Art nouveau. © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Une Maison municipale totalement design

    Pour bien commencer cette deuxème journée, rendez-vous à la Maison municipale. Cet édifice de style Art déco doit être considéré comme un témoin majeur de la création artistique pragoise du début du XXe siècle. Pour ceux qui connaissent  et apprécient les œuvres d'Alfons Mucha, sachez que certaines salles ont été décorées par l'artiste. Une halte dans son café-restaurant Art nouveau est vivement recommandée tant pour son design que pour les pâtisseries qui y sont servies.

     

     

     

     

     

     

    Entrer dans la Vieille Ville

    la tour poudrière, porte d'entrée dans la vieille ville
    La Tour poudrière, porte d'entrée dans la Vieille Ville © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    La Tour poudrière, un premier pas dans la Vieille Ville

     

    Cet édifice marque le début du parcours qui vous conduit dans la Vieille Ville avec son labyrinthe de ruelles et de passages pavés. La Tour poudrière est le dernier vestige existant des remparts de la Vieille Ville. Sa vocation initiale était de protéger militairement la ville mais à partir du XVIIIe siècle, elle servit de dépôt de poudre noire, d'où son nom. Sur sa façade, on peut remarquer de nombreuses décorations parmi lesquelles l'emblème de la ville. Il est possible d'atteindre le sommet de la tour par un étroit escalier en colimaçon.

     

    Passez en-dessous des arches de la Tour poudrière et suivez la plus ancienne rue de Prague, la rue Celetna.

     

     

     

     

     

    La maison à la Vierge noire

    la maison 'a la vierge noire' 
    La maison "A la Vierge noire" © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Une Voie royale

    La rue Celetna qui mène à la place de la Vieille Ville suit le tracé d'une ancienne route commerciale vers la Bohême orientale. Au XIVe siècle, elle devint un tronçon de la Voie royale, route empruntée par les cortèges des rois et reines de Bohême le jour de leur couronnement. Aujourd'hui, cette rue est essentiellement constituée de magasins et de commerces. 

    Arrêtez-vous devant le n°34, la maison "A la Vierge noire" dont la spécificité, comme son nom l'indique est d'être ornée d'une vierge noire à l'angle du bâtiment. Celle exposée est une copie, l'originale se situant dans la maison à la cloche en pierre sur la place de la Vieille-Ville. Elle abrite entre autres une très belle collection d'art cubiste tchèque.

    En continuant tout droit, vous voilà arrivé sur la place de la Vieille-Ville.

     

     

     

     

     

    L'Eglise Notre-Dame de Tyn

    l'église notre-dame de tyn
    L'église Notre-Dame de Tyn © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    La belle de la place de la Vieille-Ville

    La place de la Vieille-Ville est une des plus animées de Prague. C'est un point névralgique de la cité. Cafés et restaurants donnent vie à cette place tout au long de l'année. Parmi les monuments importants qui se situent tout autour de son centre, on trouve l'église Notre-Dame de Tyn. Cette église est reconnaissable par ses flèches  noires hérissées de tourelles de guet.

     

    A voir
     la statue de la vierge ornant sa façade 
    les reliefs de la Passion du Christ installés sur le portail nord

    En savoir plus sur : l'église Notre-Dame de Tyn

     

    La place de la Vieille-Ville

    portrait de saint venceslas sur la façade de la maison storch.
    Portrait de saint Venceslas sur la façade de la maison Storch. © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Une place qui a du cachet

    Palais rococo, maisons style baroque et portails Renaissance sont autant d'éléments qui viennent participer au rayonnement de la place de la Vieille-Ville. Elle est en effet bordée de maisons dont les styles vont du médiéval à l'Art nouveau. Voici quelques façades devant lesquelles s'arrêter.

    Au n°12, la demeure rose avec ses stucs rococo n'est autre que le palais Goltz-Kinsky. En ce lieu, Klement Gottwald annonça l'avènement du communisme en février 1948.

    Juste à côté au n°13, la maison "A la Cloche de Pierre" est reconnaissable à la cloche encastrée dans l'angle du bâtiment.

    A l'entrée de la rue Celetna, au n°16, une peinture de saint Venceslas à cheval orne un bâtiment néo-Renaissance nommé la maison Storch.

    Au n°20, se trouve la maison "A la licorne blanche", nommée ainsi à cause de son bas-relief représentant une vierge domptant une licorne.

     

    Eglise Saint-Nicolas

    l'église saint-nicolas 
    L'église Saint-Nicolas © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Lieu de culte tchécoslovaque hussite

    C'est ici que fut fondée le 11 janvier 1920, l'église tchécoslovaque hussite. Mais le bâtiment fut construit bien avant, au XIIIe siècle. Cette église a été décorée par les plus grands artistes du XVIIIe siècle. Ainsi les statues de la haute coupole proviennent de l'atelier du sculpteur Antonin Braun tandis que la magnifique fresque intérieure de la coupole racontant la légende de Saint Nicolas est l'œuvre de Kosmas Damian Asam.

    Bon à savoir : une messe y est célébrée le dimanche à 10h30 et de nombreux concerts y sont organisés d'avril à novembre.

     

     

     

     

    L'horloge astronomique

    l'horloge astonomique, une des curiosités de prague
    L'horloge astonomique, une des curiosités de Prague © L'Internaute Magazine/Laetitia Devillars

    Histoire d'heure

    Voici une des curiosités les plus vues de Prague.  A chaque heure, entre 9h et 21h, des automates se mettent en marche pour donner vie à cette horloge si particulière datant des XVe et XVIe siècles.

    Dans la partie inférieure est placée une plaque calendaire décorée par le peintre Josef Manes. Les douze petits médaillons intérieurs représentent les signes du zodiaque et ceux extérieurs symbolisent les douze mois de l'année.

    Cette horloge astronomique se situe sur le mur de l'Hôtel de ville à droite de la porte gothique. Réalisée par l'horloger Hanus, elle fonctionne grâce à un mécanisme ingénieux qui n'est pas suscité la curiosité des badauds.

     

    Direction l'ancien quartier juif de Prague

    la synagogue maisel
    La synagogue Maisel © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Trésors de l'ancien quartier juif

    Après avoir découvert les merveilles de l'Hôtel de ville, direction la place Male Namesti et son puits. En remontant les rues U Radnice et Maiseilova, débute alors votre périple au sein de l'ancien quartier juif nommé aussi Josefov en l'honneur de Joseph II de Habsbourg qui fut le premier à accorder des droits aux juifs. La première des synagogues sur le chemin est la synagogue Maisel. Elle renferme 6 000 objets cultuels : couronnes servant à décorer les rouleaux de parchemin de la Torah, yads, vaisselle de mariage, chandeliers, céramiques...

    Pratique : un billet forfaitaire permet d'accéder aux synagogues Maisel, espagnoles, Pinkas, Klaus et au vieux cimetière juif. Tarif : 480 czk

    Bon à savoir : ne visitez pas le quartier juif le samedi car tout est fermé.

     

     

     

     

     

    La synagogue Pinkas et le cimetière juif

    la synagogue pinkas
    La synagogue Pinkas © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Lieux empreints de mémoire

    Non loin de la synagogue Maisel, la synagogue Pinkas est un édifice à voûtes gothiques fondé en 1479 par le rabbin Pinkas. On raconte qu'il finança la construction de la synagogue avec les pièces trouvées dans le corps d'un singe qui fut jeté chez lui. Cette synagogue abrite une mikva ou bain rituel datant du Moyen Age qu'il est intéressant de voir. C'est également un lieu de mémoire dédié aux juifs tchèques déportés pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Après cette visite, rendez-vous dans l'ancien cimetière juif de Prague, le plus vieux cimetière juif d'Europe. Dans cet enchevêtrement de tombes, de stèles et de lierre, les mystères ne manquent pas.

     

     Pour en savoir plus sur le cimetière juif

     

    La synagogue espagnole

    la synagogue espagnole
    La synagogue espagnole © L'Internaute Magazine / Yann Boulic

    Un petit air d'Andalousie

    La synagogue espagnole tient une place atypique dans le paysage urbain du quartier juif de Prague. Elle doit son nom à la communauté juive espagnole installée à Prague au moment de l'Inquisition. Mais pas seulement. Son architecture actuelle, datant de la fin du XIXe siècle, participe également à cette appellation.

    En effet, la synagogue rappelle les édifices religieux arabes d'Andalousie. Son style néo-mauresque, avec sa belle coupole dorée, est caractéristique du sud de l'Espagne. A l'intérieur du bâtiment, les décorations et les moulures sont également d'inspiration arabe (stucs dorés, motifs orientaux gravés dans les murs et sur les piliers).

     

     

     

     

     

    Le métronome du parc Letna

    le métronome du parc letna
    Le métronome du parc Letna © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Avant de partir...

    En sortant de la synagogue, prenez la rue Dusni puis tournez sur votre gauche dans la rue Bilkova. Là, vous pourrez admirer les maisons cubistes. Tournez ensuite dans la rue Parizska avec ces cafés chics, ces restaurants tendance comme Pravda et Barock et ces boutiques de grandes marques. Dirigez vous vers le pont Cechiuv. Vous apercevrez au loin le fameux métronome du parc Letna.

    Pour y accéder, il faudra gravir un escalier qui conduit sur cette terrasse où siège aujourd'hui un gigantesque métronome. C'est à ce même endroit qu'une statue immense de Staline a dominé la ville jusqu'à ce qu'elle soit dynamitée en 1962. La balade dans le parc est des plus sympathiques et permet de finir la journée tranquillement.

     

     

      

     

    Circuit allant de la Vieille Ville à l'ancien quartier juif

    de la vieille ville à l'ancien quartier juif
    De la Vieille Ville à l'ancien quartier juif © L'Internaute Magazine

    Voici les grandes étapes prévues pour cette deuxième journée :

    1 : Maison municipale

    2 : Tour poudrière

    3 : La place de la Vieille-Ville

    4 : Horloge astronomique

    5 : Synagogue Pinkas

    6 : Hôtel de ville juif

    7 : Synagogue espagnole

    8 : Métronome du parc Letna

     

    Les spécialités gastronomiques locales

    le midi, faites-vous plaisir en dégustant un chlebicky !
    Le midi, faites-vous plaisir en dégustant un chlebicky ! © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Que va-t-on pouvoir manger à Prague ?

    Lorsque l'on part dans un pays étranger, on aime bien généralement faire des expériences culinaires. Lors d'une halte dans un Bufet, sorte de snack-bar ou dans un Lahudky qui désigne une épicerie fine, commandez un chlebicky, en-cas traditionnel en Tchécoslovaquie. Ce sont des tranches de pain sur lesquelles on dispose salami, jambon, sardine, macédoine, thon, pâté et même fromage au dessus d'une fine couche de mayonnaise. On en trouve partout en ville. C'est agréable d'en acheter pour aller les déguster dans un parc comme le font les pragois. 

    Au restaurant, voici quelques plats à goûter :  Polévka, soupe très simple composée de légumes, Svickova na smetane, plat à base de boeuf braisé servi avec des airelles et des planches de pâte, Veprove knedliky a zeli, plat dans lequel on retrouve du rôti de porc, des tranches de pâte et de la choucroute blanche.

     

    Prague, côté shopping

    les marionnettes de prague
    Les marionnettes de Prague © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Du cristal à la marionnette en bois

    Cristal de Bohême, céramique, jouets en bois, marionnettes, bijoux en grenat, chapeaux... Autant de souvenirs typiques à rapporter de votre séjour dans la capitale de Bohême.

    Quelques adresses à connaître :

    Obchod Pod Lampou pour ceux qui souhaitent revenir avec des marionnettes ou des jouets en bois. Adresse : U Luzického semináre 5, Prague 1

    Rott Crystal est la boutique où se rendre quand on veut revenir avec des verres ou des bijoux en cristal. Moser est l'une des plus célèbres marques du pays. Adresse : Malé námestí 3, Prague 1

     
    • Pour bien faire son shopping à Prague : Lire

     

     

     

    Idées de restaurants

    u tri pstrosu, la bonne adresse pour les amateurs de cuisine tchèque 
    U Tri Pstrosu, la bonne adresse pour les amateurs de cuisine tchèque © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Voici une sélection de restaurants où vous rendre pendant votre séjour :

    U Tri Pstrosu ( "Aux trois autruches") est la bonne adresse quand on a envie de se faire plaisir et de tenter la traditionnelle cuisine tchèque. Conseil de la rédaction, testez le "Srncí kýta na smetanes karlovarským knedlíkem"  : gigot de chevreuil à la crème, quenelles à la mode de Karlovy Vary. Comptez environ 1 500 czk pour un diner. Adresse : Drazického námestí 12, Praha 1

    U Modre Ruze ("La Rose Bleue") sert des plats tchèques qu'il dans des catacombes du XVe siècle. Le menu tchèque à 1 300 czk est assez copieux. Adresse : Rytíeská 16, Praha 1

     

    Les brasseries ou auberges (hospoda) font partie du très riche patrimoine pragois depuis des siècles.

    Parmi elles, la Pivovarsky Dum est l'adresse à connaître si vous êtes amateur de pivo (bière). 7 sortes de bière différentes peuvent accompagner votre déjeuner ou diner. Environ 1 000 czk dîner et bière. Adresse : Jecna/Lipova 15, Praha  2.

     

     

    Réserver un hôtel

    le grand salon du prague imperial hotel
    Le grand salon du Prague Imperial Hotel © Prague Imperial Hotel

    Des hébergements pour toutes les bourses :

    Les auberges de jeunesse sont nombreuses à Prague, réparties dans divers quartiers de la ville. La charmante Miss Sophie's qui se situe Melounova 3, Praha 2 propose un cadre sympathique pour un budget fort raisonnable entre 410 et 520 czk par personne et par nuit.

    Vous pouvez aussi opter pour une pension. La Tara Pension, non loin de la place de la Vieille-Ville, est une adresse de référence car bien située et  rapport qualité/prix imbattable.  2 300 czk pour une nuite en chambre double pour deux personnes.  Adresse : Havelska 15, Praha 1.

    Quant à ceux qui rêvent de luxe, les hôtels haut de gamme ne manquent pas. Vous pourrez par exemple vous rendre au Prague Imperial Hotel. Situé dans un immeuble Art Déco de 1914, il est réputé pour son célèbre café et propose des chambres de haut standing. Adresse : Na Poriçi 15, Praha 1.

     
    • Pour trouver et réserver un hébergement à Prague : voir

     

     

     

    Sortir à Prague

    le théâtre national de marionnettes
    Le Théâtre National de Marionnettes © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Prague by night

    A Prague, la vie nocturne est très animée. Boire un verre, danser, écouter de la musique, aller au théâtre ou à l'opéra, les possibilités de sorties sont nombreuses. Les bars ferment relativement tôt, aux alentours de minuit. Mais les discothèques et les clubs prennent largement le relais.

    Notre coup de cœur

    Si vous êtes de passage à Prague, il serait dommage de ne pas aller voir un spectacle de marionnettes. Cette tradition ancestrale plaira autant aux petits qu'aux grands. "Don Juan", la version réadaptée du célèbre opéra de Mozart est un spectacle unique en son genre. A découvrir au Théâtre National des Marionnettes. Adresse : Zatecká , Praha 1.

     

     

     

     

     

     

    Les grands rendez-vous festifs

    musiciens sur le pont charles
    Musiciens sur le pont Charles © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

    Voici quelques événements à découvrir tout au long de l'année :

     Le 30 avril : Bûchers de sorcières se déroulent au parc des expositions. Cette tradition consiste à jeter des vieux balais dans des feux de joie.

      Le 12 mai : le festival international de musique classique "le Printemps de Prague", un des plus prestigieux festivals au monde. 

     Tous les étés, sur l'île des Tireurs, une petite île sauvage et pittoresque située au cœur de la capitale tchèque, se tient le festival de cinéma en plein air


     Le Vinobrani a lieu tous les ans à partir du 1er août. A cette date, les murs de la Vieille Ville se couvrent d'affiches célébrant le Burcak, un jus de raisin fermenté obtenu à la fin des vendanges.

     

     Courses de natation dans la Vltava le 26 décembre où des centaines de nageurs courageux se réunissent pour nager dans une eau de 3° C.

    Pin It

    votre commentaire
  • Un portrait simple et délicat de la Chine

    Chine : portrait intime d'un empire

    François Picard a parcouru plus de 5 000 kilomètres de routes et de chemins chinois, il a ramené dans sa valise des souvenirs de rencontres et quelques photographies. Il les commente...
    ©  François PICARD

    Le grand départ

    "Je pars loin, très loin de l'activité économique chinoise, concentrée sur les côtes. À vélo, je constate l'isolement géographique du Far West chinois en traversant plusieurs centaines de kilomètres de désert."
    ©  François PICARD

    Mao et Bouddha

    "Je fais remarquer à cette commerçante que c'est bien étrange de faire cohabiter Mao et Bouddha sur ses étagères. Mais dans le village natal du Grand Timonier, on vient prier et faire des offrandes sous sa statue ! Des couples stériles viennent même à Shaoshan dans l'espoir qu'il leur rendra leur fertilité et en profitent pour jeter un œil à son slip XXL qui trône dans un musée pas loin."
    ©  François PICARD

    Cachée derrière

    "Cette photo a été prise sous les treilles de paysans ouïgours, dans les faubourgs de Hami, Xinjiang."
    ©  François PICARD

    Photo de famille

    "Lorsque je suis dans la même pièce qu'un enfant, mes hôtes ne me portent plus aucune attention. Certains disent que les enfants uniques sont des petits empereurs trop égoistes. Je suis sûr que baignés dans autant d'amour, ils s'en sortiront à merveille."
    ©  François PICARD

    Au menu ce soir...

    Arrivée à Lanzhou, Gansu : "un bon repas en perspective !"
    ©  François PICARD

    Escapade au Tibet

    Son voyage mène François Picard jusqu'au Tibet oriental : "un jeune moine m'amène chez lui pour me montrer ses photos cachées du Dalaï-Lama. Les touristes chinois sont nombreux dans ce monastère de Labrang (Xiahé)."
    ©  François PICARD

    Un monastère au Tibet

    "A Xiahé, Gansu, je passe quelques moments avec ces quelques moines tibétains."
    ©  François PICARD

    Sur le pas de la porte

    François Picard commente : "beaucoup d'enfants tibétains sont envoyés comme moines dans des monastères afin de pouvoir bénéficier d'une éducation et d'avoir de quoi vivre. Plus tard, c'est bien difficile pour eux de quitter les ordres car tout départ est définitif."
    ©  François PICARD

    Assemblée de moines

    "Ici, des membres de la secte des bonnets jaunes, dans le monastère de Labrang." L'actuel Dalaï Lama en est d'ailleurs issu.
    ©  François PICARD

    Spiritualité et jeux vidéo

    "Ici, les enfants moines tibétains jouent aux jeux vidéos."
    ©  François PICARD

    A la croisée des chemins

    Et la suite logique... "Un moine dans le village, un portable collé à l'oreille."
    ©  François PICARD

    Non loin de là...

    "Un commerçant aux bien étranges lunettes me sourit."
    ©  François PICARD

    Un chien pour le dîner ?

    "Les chiens sont des animaux domestiques de plus en plus prisés, même dans les villages. Je m'amuse à menacer de les manger, ce qui scandalise mes hôtes."
    ©  François PICARD

    De terre et de brume

    "Coulée d'eau boueuse dans le Yunnan."
    ©  François PICARD

    Ma verte vallée

    "Dans le sud-est, le Yunnan est une région très touristique. Elle est grande comme les trois-quarts de la France et je suis loin, très loin de ces flux économiques..."
    ©  François PICARD

    Dans les rizières

    "Dans sa rizière, ce paysan porte la fameuse casquette Mao. Un regard et un sourire complices qui transcendent la fameuse " barrière de la langue " qui fait peur à tant de voyageurs."
    ©  François PICARD

    Le travail dans les champs

    "Une rizière dans la province de Ghizou."
    ©  François PICARD

    Joie de vivre

    François Picard explique : "les Chinois m'ont peu souri jusqu'à l'arrivée au Yunnan."
    ©  François PICARD

    Au pied des montagnes

    Toujours dans la province de Ghizhou, sur la route un homme porte des fagots de bois.
    ©  François PICARD

    Instantanés de vie

    Portraits de toutes sortes dans la vitrine d'un photographe dans le Yunan.
    ©  François PICARD

    Au bord de l'eau

    Traversée d'un fleuve près de Zhaotong, dans le Yunnan.
    ©  François PICARD

    Folklore et souvenirs

    "A Lijiang, les touristes se déguisent en Naxi. La culture de ce peuple a été folklorisée et leur " village " est désormais visité par des centaines de voyageurs."
    ©  François PICARD

    Regards lointains

    "Chez les Geija, au sud de la Chine. Les femmes revenant du champs regardent les hommes au loin. Ils vont bientôt faire cuir un chien au feu de bois puis en ragoût. Cela mettra toutes les familles de bonne humeur et me permettra une nouvelle expérience gustative."
    ©  François PICARD

    Nouvelle rencontre

    Petite famille dans le sud de la Chine.
    ©  François PICARD

    Comme dans un rêve

    "Village dong, dans le Guizhou. Ce peuple de montagnard hérite depuis toujours des terres les moins fertiles. Ils ne peuvent faire qu'une récolte de riz par an. les problèmes d'éducations sont énorme et complexes pour eux."
    ©  François PICARD

    Soleil couchant sur la Chine

    "Les tours du tambour font partie des traditions dongs. Aujourd'hui, les villes et villages de cette partie du Guizhou se livrent une bataille pour qui construira la plus grande tour afin d'attirer quelques touristes."
    ©  François PICARD

    Incroyable édifice

    "Un imposant pont de bois dong."
    ©  François PICARD

    Direction... Hong Kong !

    Après l'étape chinoise... Honk Kong. "J'essaie de franchir la frontière avec Hongkong à vélo, mais je me fais vite intercepter par la police."
    ©  François PICARD

    Sur l'île

    Le sommet des tours de Hong Kong.
    ©  François PICARD

    La mariée et ses demoiselles d'honneur

    "Un mariage catholique à Hong Kong."
    ©  François PICARD

    Une île dynamite

    "Je m'attendais à des Hongkongais passionnés par la politique et fervents défenseurs de leur dernier précarré de liberté. Finalement, c'est business, as usual."
    ©  François PICARD
      

    Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique