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     le Domaine de Chaumont-sur-Loire célèbre le Festival international des jardins. Parcourez 15 projets d'exception de ce  rendez-vous incontournable de la création paysagère. Ici Bulbes fertiles dont le gigantisme éveille la promesse de germinations futures. © Eric Sander

      

      

    Sculpture végétale ou animale, le sculptillonnage des paysagistes Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquier a pour vocation d'abriter les animaux, de nourrir, donner à boire et faciliter la vie au jardin. © Eric Sander

      

      

     
    Telle une taupe ou un ver de terre, les paysagistes Anne Blouin et Alessandra Blotto ont conçu La transparence du ver comme voyage dans le ventre d'une tanière, le refuge d'un animal que les visiteurs traversent ou s'approprient. © Eric Sander
      
     
    Yekaterina Yushmanova et Ruth Currey ont imaginé Le pollen exubérant qui capture l'histoire de chaque plante et de ses ancêtres et qui, au fil du vent, créé de nouvelles combinaisons de vie. © Eric Sander

      

    carte verte à dominique perrault
     
    En 2011, le festival donne carte verte à l'architecte Dominique Perrault qui propose avec l'Arbre-Roi d'enchanter le parc du domaine en drapant un de ses sujets d'une robe aux couleurs du temps. © DR
     

    carte verte à dominique perrault
     
    Également haut lieu de la biodiversité animale, les jardins de Chaumont ont ouvert leurs portes à l'installation de Philippe Caillaud Lépidohomes, faite de maisons à papillons. © DR
      
     
    Les Italiens Mattéo Pernigo et Claudio Benna ont imaginé le futur avec ce Jardin pixellisé en tenant compte des besoins de l'environnement. Un jardin durable, avec un impact réduit ou nul, qui utilise de l'eau avec parcimonie et se sert de matériaux récupérés, recyclés et réutilisés. © Eric Sander
      
     
    Autre invité de marque, la créatrice Loulou de la Falaise, à qui le festival des Jardins a donné carte verte. Dans ce jardin bijou sophistiqué et fragile, les fleurs ont la finesse des pierres précieuses. © Eric Sander
      
     
    La nature des choses, imaginé par les scénographes Soline Portmann, Aurélie Zita et Mioko Tanaka, met en scène une nature qui reprend ses droits. Loin d'une nature domestiquée, elles conçoivent un habitat végétalisé, un jardin d'avenir et de biodiversité, où l'homme et la nature vivent ensemble, sans contrôle de l'un sur l'autre. © Eric Sander
      
     
    Jardin en toc sous une bulle, enfermé sous respiration artificielle, L'envers du décor nous rappelle que nos préoccupations, notre rapport à la nature et à ses métaphores nous éloigne de l'exubérance végétale initiale. Cette installation est signée par les concepteurs de jardins Cathy Viviès et Vanessa Farbos. © Eric Sander
      
     
    Un jardin comme un conte évoquant un mystérieux jardin du futur, La bibliothèque du souvenir apparaît comme un lieu de mémoire de l'histoire du monde végétal. Une bibliothèque vivante dans laquelle se trouve une collection de graines de plantes disparues. Création Gaétan Macquet, architecte DPLG, Oreline Tixier, architecte et Pierre-Albert Labarrière, paysagiste © Photo Eric Sander
      
    lucy in the sky
     
    Ce jardin nous entraîne en ville sur le toit d'une tour et met en évidence tous les possibles d'un jardin urbain hors-sol. Lucy in the sky réalisé par Chilpéric De Boiscuille, Raphaëlle Chere, Pauline Szwed et Benjamin Haupais. © Eric Sander
     
    lucy in the sky
     
    Et si le jardin de demain était la rue ? Une rue où les lampadaires photovoltaïques se métamorphosent en baobab pour récolter et stocker les eaux de pluie ? Le jardin à la rue réalisé par Julien Maieli, architecte paysagiste et Germain Bourré, designer, France. © Eric Sander
      
     
    Manier avec précaution apparaît comme une métaphore sur l'urgence à respecter notre environnement et notre planète. Nos ressources s'épuisent, des catastrophes naturelles semblent se manifester plus fréquemment. Notre comportement doit changer immédiatement et nous devons réapprendre à manier la nature avec précaution. © Eric Sander
      
     
    Célébrons et tissons la (bio)diversité fête la biodiversité heureuse. Avec une grande diversité de tissus et de végétaux, le jardin joue sur cette richesse des formes et des textures des tissus et des végétaux. © Eric Sander
      
     
    Foisonnement de plantes, foisonnement d'étiquettes, Le jardin des plantes disparues est un jardin d'alerte qui attire notre attention sur ces espèces disparues et la dissociation violente qui s'est établie entre l'homme et la nature. Création : Denis Valette, architecte DPLG et Olivier Barthélémy, sculpteur. © Eric Sander
      
     
    Le jardin Graines d'espoir illustre la rencontre de deux écoles, Boulle et l'Ecole Du Breuil échangeant leurs regards sur la biodiversité. Il est composé de plantes ordinaires et extraordinaires, de la fleur à la graine. © Eric Sander
      
    FIN