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Par Frawsy le 26 Mars 2017 à 14:24
L’AFP est allée à la rencontre de Michel Robillard, un ébéniste qui a construit sa
L’avant de la 2 CV
La 2 CV a été fabriquée à la main par l’ébéniste Michel Robillard, raconte l’AFP. Il s’agit d’une réplique exacte réalisée dans du bois fruitier de Touraine. Ce véhicule grandeur nature est unique au monde. Le plus incroyable est que la voiture est capable de rouler et devrait passer très prochainement sa première inspection technique. Les heureux passants pourront alors peut-être l’apercevoir sur les routes françaises !
L’habitacle du véhicule
Les sièges
Un phare… en bois !
Les courbes de la 2 CV
Le moteur
Le volant
Publié par Rédaction
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Par Frawsy le 24 Septembre 2016 à 16:44
Dans un peu plus d'une semaine s'ouvre le Mondial de l'automobile à Paris (du 1 au 16 octobre). L'occasion pour nous de faire un classement des voitures les plus chères de la planète.
Zenvo ST1
Le premier modèle du constructeur automobile danois Zenvo a été mis sur le marché en 2009. Sa vitesse de pointe est limitée électroniquement à 375 km/h. La Zenvo ST1 possède un système anti-blocage de roues ainsi qu'un correcteur électronique de trajectoire. Son prix : 800 000 euros.
Hennessey Venom GT
Cette voiture de sport est l'œuvre du préparateur américain Hennessey Performance Engineering. Elle réalise le 0 à 100 en 2,7 secondes et atteint une vitesse maximale de 435,31 km/h, sur circuit. Son prix : 940 000 euros.
Pagani Huayra
L'automobile du constructeur italien Pagani a été présentée lors du Salon international de l'automobile de Genève, en 2011. Le chanteur canadien Snow ainsi que Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, possèdent une Pagani Huayra. Son prix : 1 028 000 euros.
Lamborghini Reventon Roadster
À sa sortie en 2008, elle est présentée comme la plus puissante et la plus onéreuse de toutes les Lamborghini jamais produites. Il n'existe que 21 exemplaires de cette supercar, dont un se trouve au musée Lamborghini. Son prix : 1 120 000 euros.
Ferrari LaFerrari
Également appelée F70 ou F150 chez le constructeur italien, la LaFerrari a été présentée au salon de Genève en 2013. A l'origine, sa production était limitée à 499 exemplaires. Toutefois, une 500e voiture a été mise en production après le tremblement de terre du 24 août 2016, qui a fait 290 morts. Les bénéfices de sa vente aux enchères seront reversés aux familles des victimes. Son prix : 1 200 000 euros.
McLaren P1
La McLaren P1 est la première hypercar hybride électrique/essence dans le monde. Elle a été présentée au Salon international de l'automobile de Genève de 2013. Son prix : 1 300 000 euros.
Aston Martin One-77
Son nom vient du nombre d'exemplaires qui seront produits en tout. Les clients pourront prendre part au design de leur automobile en dialoguant avec les designers et ingénieurs afin de concevoir leur voiture sur mesure. Son prix : 1 400 000 euros.
Koenigsegg One:1
Le modèle du constructeur suédois doit son nom à son rapport poids-puissance égal à 1. Il existe seulement cinq exemplaires dans le monde. Son prix : 1 450 000 euros.
Aston Martin Vulcan
Son moteur V12 atmosphérique de 7 litres et 812 chevaux fait de l'Aston Martin la voiture la plus puissante de l'Histoire. Son prix : 2 000 000 millions d'euros.
Koenigsegg Regera
La Regera peut atteindre 100 km/h en 2,7 secondes et 400 km/h en moins de vingt secondes. Cettte vitesse est atteinte plus de deux fois plus vite que la Bugatti Veyron 16.4, la première voiture de série à dépasser les 400 km/h. Son prix : 2 100 000 euros.
Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse
Selon Bugatti France, la Grand Sport Vitesse est "le roadster de série le plus rapide et le plus performant au monde", avec un record officiel établit à 408,84 km/h. Tous les modèles ont été vendus. Son prix : 2 100 000 euros.
Lamborghini Centenario
Elle a été présentée au Salon de l'automobile de Genève cette année et devrait être l'une des stars du salon international de Paris. Elle marque le centième anniversaire du fondateur de la marque, Ferruccio Lamborghini (1916-1993). Seuls 40 exemplaires sont prévus. Son prix : 2 100 000 euros.
W Motors Lykan Hypersport
Il s'agit de la première supercar produite par une entreprise du Moyen-Orient. Son prix est le résultat de l'accumulation d'extravagances telles que les phares incrustés de diamants ou encore d'une décoration intérieure dorée. Son prix : 2 500 000 euros.
Bugatti Chiron 2016
Elle tient son nom du pilote automobile monégasque Louis Chiron (1899-1979). Elle a été présentée au salon de Genève en 2016 et sa sortie est prévue pour l'automne de cette année. Son prix : 2 500 000 euros.
Lamborghini Veneno Roadster
C'est la voiture la plus chère du monde. Comme beaucoup de productions Lamborghini, son nom fait référence à la tauromachie. "Veneno" est un hommage à un taureau de combat connu en Andalousie pour avoir mortellement blessé le torero José Sanchez Rodriguez en 1914. Son prix : 3 530 000 euros.
Publié par Arnaud Boisteau
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Par Frawsy le 23 Mai 2015 à 06:31
Ces constructeurs automobiles disparus
L'Avions Voisin C25 Aerodyne, élue Voiture la plus élégante de l'année 2011 au concours d'élégance de Pebble Beach. © Kimballs Media / Pebble Beach Concours d'EleganceDelage, Hispano-Suiza, Facel-Vega, Matra, Triumph... Malgré leur histoire et leurs modèles mythiques, ces marques ne font plus partie du marché automobile actuel.
Comme son nom l'indique, la Société des Automobiles Avions Voisin fabriquait, à l'origine, des avions.
1918 : après avoir produit près de 10 000 appareils, le constructeur français transforme son usine aéronautique d'Issy-les-Moulineaux en usine automobile.
1919 : le premier modèle, la M-1, est présentée.
S'en suivent de nombreux modèles à succès : la C-1 et son moteur 4 cylindres, la C-2 et son V12, la sportive C-3 et l'entrée de gamme C-4. Ambitieux et inventif, Gabriel Voisin produira par la suite des modèles haut de gamme à l'instar de la C-25 Aerodyne ou de la C-28 Aerosport.
L'incendie de l'usine, la crise économique, la morosité du marché et la guerre, mettront à mal la santé financière du constructeur qui voit sa production arrêtée en 1958.- En savoir plus : Les amis de Gabriel Voisin
Delage
Delage 135 M. © Michab100 / FlickrLe constructeur français Delage a été fondé en 1905 à Levallois-Perret par Louis Delâge.
Au départ, l'entreprise n'est qu'une usine d'assemblage. Moteurs et châssis sont alors achetés puis habillés par une carrosserie maison. Le premier modèle est une Type A, motorisée par un bloc De Dion-Bouton.
1912 : l'entreprise prend de l'ampleur et déménage à Courbevoie. Le succès est au rendez-vous avec désormais un moteur 6 cylindres maison. Le constructeur remporte par ailleurs des compétitions.
Après-guerre, Delage s'oriente vers le haut de gamme et la course automobile. Malgré de nombreux succès sur route et lors des concours d'élégance, l'entreprise est ébranlée par la crise économique de 1929.
1935 marque la faillite de Delage, qui sera par la suite rachetée par Delahaye.
- En savoir plus : Les amis de Delage
De Dion Bouton
De Dion Bouton. © Nemor2 / Flickr1883 : Le comte Jules-Albert de Dion, le fabricant de jouets George Bouton et l'ingénieur Charles-Armand Trépardoux, fondent "Trépardoux et Cie, ingénieurs-constructeurs" et construisent une voiture à vapeur.
Davantage attirés par le moteur essence, les deux acolytes De Dion et Bouton délaissent Trépardoux et son moteur à vapeur. Ce pari risqué s'avèrera gagnant, puisque la société De Dion-Bouton verra le jour à Puteaux et produira de nombreuses voitures.
Moteur essence, suspensions, allumage électrique, guide et cartes routières, De Dion-Bouton est à la pointe de l'industrie auto.
1900 : La marque est l'un des plus grands constructeurs avec près 400 voitures produites et devient le motoriste de nombreuses marques.
Malheureusement, la crise économique de 1929 et la guerre pousseront De Dion-Bouton a abandonner la production d'automobiles en 1933.
- En savoir plus : Amicale De Dion-Bouton
Delahaye
Delahaye Type 97. © Zacke82 / FlickrVoici un autre poids-lourd de l'histoire automobile française : Delahaye.
1845 : La firme voit le jour à Tours, créée par Emile Delahaye. Dès 1895, le constructeur produit des voitures à moteurs dotées de l'allumage électrique. La marque s'est également fait connaître grâce à ses camions de pompiers.
1935 : Delahaye reprend Delage. Cette même année, le constructeur français lance son plus célèbre modèle, le type 135, réputé pour son luxe et ses performances.
Après-guerre, Delahaye mise sur l'automobile de luxe, mais la période n'est malheureusement pas favorable aux véhicules haut de gamme.
Malgré une victoire au rallye de Monte-Carlo en 1951, Delahaye ne suit plus le rythme de la concurrence et se voit rachetée par Hotchkiss en 1954.
- En savoir plus : Club Delahaye
Facel Vega
Facel Vega HK 500. © Pontfire / FlickrCréée en 1939 par Jean Daninos, la société Facel (pour Forges et Ateliers de Construction d'Eure-et-Loir) travaille au départ pour l'aéronautique militaire.
1952 : Jean Daninos souhaite créer une voiture luxueuse et performante, dotée d'un V8 Chrysler. Ce n'est qu'en 1954 que le constructeur automobile voit officiellement le jour, sous le nom Vega "construite par Facel", en référence à l'une des étoiles les plus brillantes dans le ciel. 1955, le constructeur devient Facel Vega et un an plus tard, le modèle Excellence est dévoilé au salon de Paris. S'en suivent des "grandes Facel-Vega" à moteur V8 telles que l'HK 500, la Facel II et des "petites" Facel Vega avec la Facellia, la Facel III et la Facel 6.
Si aujourd'hui encore Facel Vega est synonyme du luxe automobile à la française, le constructeur n'a jamais réussi à connaître un large succès.
1964 : Après 3 000 véhicules produits en 10 ans, les usines Facel ferment définitivement leurs portes.
- En savoir plus : Amicale Facel Vega
Hispano-Suiza
Hispano-Suiza. © Zruda / FlickrHispano-Suiza voit le jour en 1904 à Barcelone grâce à l'ingénieur suisse Marc Birkigt et l'industriel catalan Damian Mateu. Le constructeur s'installe à Levallois-Perret en 1911 pour produire des voitures de luxe. Le premier modèle, d'une puissance de 15 CV, est baptisé Alphonse XIII, du nom du premier propriétaire, le roi d'Espagne.
Lors de la Première Guerre mondiale, l'usine de Bois-Colombes participe à l'effort de guerre en produisant des moteurs d'avions, notamment celui du Spad VII de Georges Guynemer. Une cigogne dessinée sur son avion devient par la suite l'emblème de la marque.
La première Hispano-Suiza 32 CV H6 , surnommée la "Rolls-Royce française" est présentée à Paris en 1919.
1936, Hispano-Suiza arrête la production d'automobiles, pour se concentrer sur la fabrication de moteurs d'avions. Si récemment des concept-cars ont été présentés, aucune production n'a vu le jour.
Matra
L'année 1964 marque le début de la saga Matra-automobile. M.A.T.R.A. (pour Mécanique Aviation TRAction) commence son aventure automobile en rachetant le constructeur René Bonnet, qui produit alors la Djet, première voiture au monde de série à moteur central.
L'entreprise assemble, tour à tour, la Matra 530, la Bagheera, la Murena puis la Rancho. Dès 1984, Matra se développe grâce à la fabrication de l'Espace confiée par Renault. Malheureusement, l'échec commercial de l'Avantime en 2003 marquera la fin de Matra-automobile.
Mais Matra, c'est aussi le sport auto. Jackie Stewart à bord de sa Matra Sports devient champion du monde de Formule 1 en 1969 et la Matra 670 B remporte par trois fois les 24 Heures du Mans en 1972,1973 et 1974, avec Graham Hill, Gérard Larrousse et Henri Pescarolo.
- En savoir plus : Club Matra-Passion
NSU
NSU Spider. © Jenskramer / FlickrNSU, qui fabrique au départ des machines à tricoter, se lance en 1901 dans la fabrication de motos, puis de voitures avec le modèle Pipe en 1905. A partir de 1922, NSU s'oriente vers l'Italie et s'associe avec FIAT pour l'automobile et Lambretta pour les deux-roues.
La crise économique de 1929 affaiblit le constructeur, qui doit vendre son département auto à FIAT. Ce n'est qu'en 1957 que la marque revient sur le marché après le rachat du nom "NSU". A noter qu'en 1955, l'Allemand est le premier producteur mondial de deux roues.
1958 : NSU relance la production automobile et développe le moteur à piston rotatif Wankel. Dans les années 1960, NSU dévoile la Prinz (1000, TT, TTS et 1200 TT), la Spider et la berline Ro 80 à moteur birotor Wankel.
1969 : le groupe Volkswagen rachète NSU et le fusionne avec Audi et Auto-Union. La dernière Ro 80, construite en 1977, marque la disparition totale de NSU.
- En savoir plus : Club NSU
Panhard-Levassor
Panhard Levassor CD. © Jan 1968 / FlickrFondée par René Panhard et Emile Levassor, Panhard-Levassor ouvre à Paris (13e) la première usine d'automobiles à pétrole au monde en 1891. La "doyenne des marques" se lance alors dans la course auto pour accroître sa popularité. Emile remporte en 1895 la course Paris-Bordeaux-Paris. Il décèdera un an plus tard lors d'un Paris-Marseille-Paris. Cet engagement sportif a contribué à la bonne réputation de la marque.
Panhard-Levassor sera à l'origine, dès 1910, de nombreuses innovations et fabriquera par la suite des modèles de luxe qui brilleront aux concours d'élégance jusqu'à la fin des années 1930.
Après la Seconde Guerre mondiale, le constructeur produit des voitures plus abordables telles que la Dyna X et Z, la Junior, la PL 17 et la PL 24. Mais les problèmes financiers affaibliront la marque. Citroën rachète alors en 1965 la branche automobile et arrête la production dès 1967. Aujourd'hui Panhard produit des véhicules militaires.
- En savoir plus : Les doyennes de Pahand et Levassor
Talbot
Adolphe Clément et Charles Chetwynd (comte de Schrewsbury et Talbot) fondent en 1903 l'entreprise Clément-Talbot. Ces derniers assemblent et vendent au Royaume-Uni les automobiles Clément-Bayard.
1919 : L'entreprise Darracq rachète la firme et devient Talbot-Darracq.
1922 : Les voitures s'orientent vers le haut de gamme et adoptent le nom Talbot.
1934 : Alors que le constructeur connaît des difficultés financières, Anthony Lago reprend l'entreprise. Les voitures Talbot-Lago s'inspirent alors du design anglais et de la technologie française. Pendant les décennies 1940 et 1950 : Talbot-Lago remporte de nombreux Grands Prix devant Ferrari et Maserati et gagne également les 24 Heures du Mans.
S'en suit une longue période incertaine : Simca rachète Talbot en 1958, puis Simca est absorbé par Chrysler et revendu en 1978 à PSA Peugeot-Citroën.
Malgré la relance du nom Talbot, PSA ne commercialisera plus la marque au T cerclé dont la réputation est devenue mauvaise. Talbot s'éteint à l'aube des années 1990.
Simca
Simca 1000 Coupé Bertone. © Georg Sander / Flickr1907 : Ernest Loste fonde le premier réseau de distribution de Fiat en France. L'entreprise devient en 1926 la SAFAF "Société Anonyme Française des Automobiles Fiat". Puis en 1934, la firme devient SIMCA "Société Industrielle de Mécanique et de Carrosserie Automobile". Les premiers modèles sortiront dès 1935, badgés Simca-Fiat. Le constructeur sera toujours très proche de la marque turinoise jusqu'en 1961. Parallèlement Simca rachète la filiale française de Ford en 1954, puis Talbot en 1958.
1961 : Lancement de la Simca 1000. Ce fut un succès tel, que la voiture fut produite jusqu'en 1981.
1970 : Simca devient Chrysler France. 1979 : Le groupe américain vend sa filiale européenne à PSA Peugeot Citroën, qui transforme tout le groupe en Talbot. Le nom Simca disparaît à l'aube des années 1980, mais continue de produire des véhicules tels que l'Horizon, la Samba, la Tagora.- En savoir plus : Club Simca France
Triumph
Triumph TR4. © Martin Pettitt / FlickrTriumph fabrique dès 1902 des motos. Il faudra attendre les années 1920 pour voir la production automobile débuter. Malgré une large gamme qualitative, les ventes ne sont pas au rendez-vous. Ce n'est qu'après la Seconde Guerre mondiale, que Triumph se relance grâce au rachat de Sir John Black, directeur des automobiles Standard. Dans les années 1950, Triumph concurrence Jaguar et MG en proposant alors des roadsters (TR2 et TR3) qui connaissent un large succès, surtout aux Etats-Unis. Idem dans les années 1960 et 1970, avec ses roadsters TR4, TR5, TR6, TR7 et TR8.
1961 : Standard-Triumph est racheté par Meyland Motor Corporation, qui supprime Standard et développe Triumph. D'autres modèles voient ainsi le jour à l'image de la Spitfire, la berline 2000, la Herald et la compacte 1300.
Leyland fusionne avec British Motor Corporation en 1968. Triumph se trouve ainsi en concurrence interne avec Rover et MG. Cette nouvelle restructuration et les normes antipollution américaines, provoqueront la fin du constructeur en 1984.
- En savoir plus : Triumph Club de France
René Bonnet
René Bonnet Djet. © Christophe Ramonet / FlickrRené Bonnet travaille au départ pour Citroën. Puis l'homme se fait connaître grâce aux automobiles DB, qu'il fonde en 1947 avec Charles Deutsch. Les voitures DB participeront alors à des courses automobiles. Mais des divergences sépareront les acolytes et René Bonnet lancera sa propre marque.
Dès 1962, le constructeur engage un prototype sur le circuit du Nürburgring qui s'illustre en remportant la victoire dans sa catégorie. Galvanisé par les bons résultats, René Bonnet dévoile la mythique Djet, qui participe cette même année aux 24 Heures du Mans, puis une Aérodjet qui concourt également à l'épreuve reine en 1963 et 1964.
En parallèle, le constructeur commercialise des modèles de série tels que la Djet GT et Rallye, mais également les cabriolets Le Mans et Missile.
Malchance, succès commercial insuffisant et endettement, la Société des Automobiles René Bonnet est absorbée en 1964 par Matra.
- En savoir plus : Club René Bonnet Matra Sports
Pontiac
Fondé en 1926, le constructeur américain Pontiac est introduit sur le marché automobile par le géant General Motors. Dès la première année de production, 75 000 véhicules sont vendus. Malgré la crise de 1929, la marque renoue avec le succès dans les années 1930, grâce aux modèles 8 cylindres à l'allure haut de gamme mais au tarif accessible.
Après la Seconde Guerre mondiale, Pontiac produit la Star Chief, qui connaît un large succès. Puis dans les années 1960, la GTO et la Firebird surfent sur la mode des "muscle cars". Les années 1970 et les deux chocs pétroliers seront plus difficiles pour le constructeur qui devra entre 1980 et 1990, diversifier sa gamme avec des modèles familiaux. Pontiac tente alors de renouveler sa gamme, avec des voitures toujours plus abordables. Malheureusement, la crise générale du secteur automobile américain marquera l'arrêt de la production Pontiac en 2009.
- En savoir plus : Club Pontiac
Trabant
Trabant P 601. © Mskogly / FlickrTrabant naît en 1957 dans les usines de VEB Sachsenring en ex-RDA. Son nom vient de l'allemand qui signifie "satellite" mais également "compagnon". Robuste, fiable et économique, elle devient très vite l'icône de tout un peuple. Il faut en effet parfois patienter près de 15 ans pour recevoir enfin sa Trabant.
A l'instar d'autres marques, Trabant fait la promotion de sa voiture en l'engageant dans des compétitions automobiles. En 1968, deux Trabant s'offriront les 2e et 3e places du mythique Rallye de Monte Carlo dans leur classe de cylindrée.De 1957 à 1962, Trabant produit le modèle P 50. Puis la P 601 prend le relais entre 1964 à 1991.
Entre 1957 et 1991 furent fabriqués 3 051 385 exemplaires de la Trabant. La chute du mur de Berlin en 1989 provoquera la fin de l'aventure Trabant, qui ne pouvait pas lutter face à la concurrence venue de l'ouest.
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Par Frawsy le 29 Janvier 2015 à 21:33
Une série de belles et d'anciennes voitures
1904 Ford Model B - AACA Museum
1907 Ford Model R
1908 Ford Model K Roadster - AACA Museum
1909 Ford Model T Touring
1912 Stearns-Knight Runabout - AACA Museum
1914 Chevrolet Baby Grand - AACA Museum1913 Adams Bros. Truck
1906 Adams-Farwell Runabout - National Automobile Museum
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Par Frawsy le 16 Décembre 2014 à 02:46
Belles voitures de collection 2
Porsche 550 Spyder
Rétromobile 2014 : Porsche 550 Spyder de 1954.
© Olivier Bonnet / Linternaute.comPorsche 993 RS Club Sport
Rétromobile 2014 : Porsche 993 RS Club Sport de 1996.
© Olivier Bonnet / Linternaute.comFerrari 250 Gt SWB Aluminium Berlinetta Competizione
Retromobile 2014 : Ferrari 250 Gt SWB Aluminium Berlinetta Competizione de 1960.
© Olivier Bonnet / Linternaute.comLancia D24 Pininfarina Competition Barchetta
Rétromobile 2014 : Lancia D24 Pininfarina Competition Barchetta de 1954.
© Olivier Bonnet / Linternaute.comCitroën 11 A Familiale
Rétromobile 2014 : Citroën 11 A Familiale de 1936.
© Olivier Bonnet / Linternaute.comPorsche 917 "long tail"
Rétromobile 2014 Porsche 917 "long tail" de 1971.
© Olivier Bonnet / Linternaute.comAston Martin DBR 1
Rétromobile 2014 : Aston Martin DBR 1 de 1959.
© Olivier Bonnet / Linternaute.comAlfa Romeo 6C 2500 SS Pininfarina Cabriolet
Rétromobile 2014 : Alfa Romeo 6C 2500 SS Pininfarina Cabriolet de 1948.
© Olivier Bonnet / Linternaute.comCitroën 2CV AK Glacauto
Retromobile 2014 : Citroën 2CV AK Glacauto de 1964.
© Olivier Bonnet / Linternaute.comMercedes-Benz 300 S Roadster
Rétromobile 2014 : Mercedes-Benz 300 S Roadster de 1953 ex Rosso Bianco.
© Olivier Bonnet / Linternaute.comBizzarrini A3C 5 300 GT Strada
Retromobile 2014 - Bizzarrini A3C 5 300 GT Strada de 1966.
© Olivier Bonnet / Linternaute.comÀ SuivreSuivre le flux RSS des articles de cette rubrique