Le cerveau est extrêmement puissant

C’est grâce au cerveau humain que l’on peut fonctionner toute la journée. Il fait partie du système nerveux central et reçoit des tonnes d’informations. Le cerveau nous aide non seulement à penser et à apprendre de nouvelles choses, mais il contrôle également les mouvements et la parole. Voici quelques faits intéressants sur le cerveau.

Le cerveau lui-même ne peut pas ressentir la douleur

Vous êtes-vous déjà demandé comment les chirurgiens sont capables d’effectuer des interventions sur un cerveau alors que les patients sont éveillés?

Beth McQuiston, neurologue et directrice médicale de la division de diagnostic de la société de soins de santé Abbott, explique que même si le cerveau a des couches de revêtements et de vaisseaux sanguins qui contiennent des récepteurs de la douleur – les nocicepteurs –, le cerveau lui-même n’en a pas. Les muscles et la peau entourant le cerveau, cependant, peuvent ressentir de la douleur.

Les premiers symptômes d’un cancer du cerveau sont très semblables à ceux que vous donneraient d’autres maux relativement courants, du mal de tête à la dépression. 

Le cerveau est gourmand

Votre cerveau ne représente peut-être qu’environ 3% de votre poids corporel, mais il reçoit environ 30% du sang pompé par votre cœur. Cela montre combien d’attention et de soutien il nécessite par rapport aux autres zones importantes de votre corps.

«Le cerveau est comme un enfant gâté et exigeant, mais il est extrêmement intelligent et efficace», explique Bennet Omalu, médecin légiste, neuropathologiste, épidémiologiste, professeur clinicien à l’Université de Californie à Davis. «Il faut au cerveau environ 1/10000e de seconde pour répondre à quelque chose et générer une action.»

La majeure partie du cerveau est sollicité la plupart du temps

Le film «Sans Limites» avec Bradley Cooper n’est que la dernière version du mythe selon lequel nous n’utilisons que 10% de notre cerveau. «Cette idée fausse est née parce que le cerveau est si adaptable que parfois des dommages mineurs ne causent que de subtils problèmes», explique Brett Wingeier, ingénieur, neuroscientifique et co-fondateur de Halo Neuroscience (qui crée une technologie de stimulation cérébrale pour optimiser le corps, l’esprit, la santé et le bien-être en général). «Le fait est que la majeure partie du cerveau travaille constamment – pour ressentir, traiter, penser, bouger et même rêver.» Même lorsque l’on dort, le cerveau travaille toujours fort.

Les cerveaux adultes fabriquent encore de nouveaux neurones

Alors que la plupart des neurones sont issus de notre naissance, le cerveau en fabrique toujours de nouveaux. «Ce processus, connu sous le nom de neurogenèse, se produit dans une région spéciale appelée le gyrus denté», explique Wingeier. «Ces neurones sont considérés comme importants pour l’apprentissage, la mémoire et la réponse au stress.»

Ces faits cérébraux ont été très débattus, mais une étude de 2019 publiée dans la revue Nature Medicine, qui a examiné le tissu cérébral de 58 personnes récemment décédées, a révélé que le cerveau adulte peut, en effet, générer de nouveaux neurones. Comment pouvez-vous stimuler la neurogenèse? En ayant un mode de vie sain, un bon sommeil, en faisant de l’exercice et en ayant une alimentation équilibrée.

Près de la moitié de l’énergie d’un enfant sert à alimenter son cerveau

Le cerveau a besoin de quantités importantes d’énergie. Et cela est encore plus vrai pour les jeunes enfants qui apprennent et traitent les informations et qui se développent encore rapidement.

«Des scientifiques de la Northwestern University ont découvert récemment que pendant les années préscolaires, lorsque le développement du cerveau d’un enfant est plus rapide, la croissance physique est plus lente. C’est peut-être pour économiser de l’énergie pour le cerveau en développement», explique Wingeier. «Inversement, pendant la puberté, lorsque la croissance physique est plus rapide, le développement du cerveau est plus lent…»

La majorité des cellules cérébrales ne sont pas des neurones

Saviez-vous que pour tous les neurones du cerveau, il y a au moins autant de cellules gliales qui soutiennent et protègent ces neurones? «Ces héros microscopiques méconnus s’assurent que les neurones ont un apport constant en nutriments et en oxygène et aident à ‘’nettoyer’’ après des lésions neuronales», explique Wingeier. «Ils aident même à optimiser la communication entre les neurones.»

Pour stimuler la mémoire et garder l’esprit vif, les principes de base n’ont pas changé. 

L’exercice est aussi bon pour le cerveau que pour le corps

Les athlètes professionnels savent à quel point il est important d’alimenter leur cerveau pour s’assurer qu’ils sont capables de mettre un maximum d’efforts et d’énergie dans leurs entraînements. «C’est à cause de la stimulation mentale qui accompagne l’exercice, mais aussi parce qu’un système cardiovasculaire sain signifie une meilleure plomberie pour le cerveau», explique Wingeier. Surtout lorsque l’on essaie un nouveau cours ou programme d’exercices physiques pour la première fois, le cerveau travaille dur pour apprendre les mouvements et contrôler les muscles.

Le cerveau peut se recâbler

La neuroplasticité – la capacité du cerveau à se réorganiser et à se modifier tout au long de la vie d’une personne – est une chose vraiment remarquable.

Dans une étude datant de 2011 et publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, des chercheurs de l’Université de Montréal ont comparé l’activité cérébrale d’individus nés aveugles et d’individus ayant une vision normale. 

Les zones visuelles du cerveau sont tout à fait à l’arrière

Ces faits cérébraux peuvent sembler contre-intuitifs, étant donné que vos yeux sont à l’avant de votre tête, mais la partie de votre cerveau responsable de la vision, le lobe occipital, est située à l’arrière. «Cognez quelqu’un à l’arrière de la tête et il verra des étoiles, pas des sons», déclare Henry Soper, ancien membre du corps professoral de psychologie clinique de l’École de psychologie de la Fielding Graduate University.

De même, le côté gauche du cerveau contrôle la vision du côté droit et vice versa. «Bien que des théories évolutionnistes aient été proposées, l’essentiel est que nous ne savons vraiment pas pourquoi», déclare Soper.

Les scanneurs cérébraux peuvent «s’allumer» lorsqu’une personne est amoureuse

Certains peuvent penser qu’être «amoureux» n’est qu’une idée ou simplement un terme que les gens utilisent, mais les scanneurs cérébraux révèlent le contraire. «Pour les personnes amoureuses, les IRM cérébrales fonctionnelles peuvent montrer une activité là où la dopamine est présente», explique le Dr McQuiston. «D’autres zones du cerveau associées au plaisir et à la récompense peuvent également montrer une plus grande activité pour les personnes qui sont tombées amoureuses.»

L’activité cérébrale est aussi unique que les empreintes digitales

Une recherche publiée dans la revue Nature Neuroscience suggère que l’activité cérébrale d’une personne peut être aussi unique que ses empreintes digitales. Pour parvenir à leur conclusion, les scientifiques ont utilisé l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) pour créer des «profils de connectivité», ce qui a permis aux chercheurs d’identifier l’activité cérébrale de plus de 100 individus.

«L’apprentissage des connexions cérébrales individuelles a offert aux scientifiques des informations spécifiques sur l’intelligence ou la personnalité d’un individu», explique le Dr McQuiston. «Cela pourrait avoir des implications sur la façon dont la numérisation des cerveaux pourrait être utilisée à l’avenir pour aider à individualiser les soins pour chaque personne dans son unicité.»

Notre cerveau est plus petit que celui de nos ancêtres

C’est peut-être l’un des faits les plus effrayants sur le cerveau quand on y pense vraiment, mais la recherche paléoanthropologique suggère que notre cerveau rétrécit. Des preuves squelettiques de tous les continents habités étayent cette théorie. Certains scientifiques suggèrent que cela pourrait être lié au fait que la taille corporelle moyenne des humains a également diminué au cours des 10 000 dernières années. «Un corps plus grand nécessite un système nerveux plus grand, donc, à mesure que notre corps devenait plus petit, notre cerveau réagissait également», suggère le neurochirurgien Donald Krieff.

Le cerveau a plus de types de cellules que tout autre tissu du corps

Contrairement au foie ou à certains muscles de notre corps où la plupart des cellules sont du même type, le cerveau est composé d’une variété de types de cellules complexes et interconnectées, dont les neurones, explique Hermona Soreq, professeur de neurosciences moléculaires.

Lorsqu’on est éveillé, le cerveau produit suffisamment d’électricité pour alimenter une petite ampoule

Selon des informaticiens de l’université de Stanford, un robot doté d’un processeur pratiquement aussi intelligent que le cerveau humain aurait besoin d’au moins 10 mégawatts d’électricité pour fonctionner correctement.

«Les neurones du cerveau produisent suffisamment d’électricité pour faire fonctionner une ampoule – 100 milliards de cellules génèrent cette quantité d’énergie», explique Brandon Brock, infirmière praticienne familiale certifiée et clinicienne du Foundation Physicians Group.

Et le cerveau fonctionne aussi très vite, si vite qu’il est plus rapide que le plus grand ordinateur du monde. «Les informations transmises au cerveau par les bras et les jambes voyagent à 240 km/h.»

Les ondes cérébrales de deux musiciens peuvent se synchroniser lorsqu’ils jouent ensemble

Il y a une raison scientifique pour laquelle vos groupes et musiciens préférés se mélangent harmonieusement. Une équipe de scientifiques de l’Institut Max Planck pour le développement humain à Berlin, en Allemagne, a utilisé des électrodes pour enregistrer les ondes cérébrales de 16 duos de guitaristes alors qu’ils jouaient la même séquence musicale.

Même si les deux individus jouaient des partitions différentes, leurs ondes cérébrales se synchronisaient. «Cette étude suggère qu’il existe un plan neuronal pour coordonner ses actions avec celles des autres», explique Brandon Brock. «Les ondes cérébrales, les substances neurochimiques et les battements de cœur se synchronisent petit à petit chez les personnes qui chantent ensemble ou en chorale.»

Se faire plaisir et stimuler son cerveau en même temps c’est aussi possible grâce au chant! 

Les «brain freeze» surviennent quand le cerveau reconnaît une baisse de température

Afin de nous éviter de mourir de froid, le cerveau entre en action lorsqu’il détecte une baisse de température dans le palais. «Votre cerveau augmente rapidement la tension artérielle dans le but de vous ralentir ou de vous calmer», explique Brandon Brock.

«Le terme scientifique est ‘’ganglioneuralgie sphéno-palatine’’. C’est une façon pour le cerveau de dire qu’il pèse sur le frein afin d’éviter les changements indésirables dus à la température.»

La lecture à haute voix utilise des circuits cérébraux différents de la lecture silencieuse

Les chercheurs ont compris depuis longtemps que les enfants apprennent d’abord à lire en prononçant des mots à haute voix et qu’une fois cette connaissance établie, ils peuvent apprendre à lire tout seuls.

«Le bruit environnemental et le bruit chaotique utilisent des canaux différents», explique Brandon Brock. Dans le même ordre d’idées, le bruit sous forme de musique est traité différemment de la parole.

Le cerveau est principalement composé de graisse

Oui, le cerveau est l’organe le plus gras du corps! Il est composé d’un minimum de 60% de graisse. C’est pourquoi une alimentation riche en graisses saines, telles que les oméga-3 et les oméga-6, est vitale pour la santé du cerveau et du corps en général.

«La graisse stabilise les parois cellulaires du cerveau et transporte, absorbe et emmagasine les vitamines liposolubles dans la circulation sanguine», explique Brandon Brock. «Il réduit également l’inflammation et aide le système immunitaire à se réguler et à fonctionner correctement.»

Le cerveau n’est pas organisé de façon permanente dès la naissance

Les cellules nerveuses de la caboche continuent de changer en fonction de la fréquence à laquelle elles sont utilisées et stimulées au cours de la première année de vie. Cela est particulièrement vrai pour la parole et le langage.

«Certains tout-petits doivent subir des résections cérébrales étendues pour des raisons médicales, et ces procédures peuvent, malheureusement, signifier la suppression du centre principal du langage dans le cerveau», explique Jennifer Bickel, neurologue pédiatrique et directrice de la Comprehensive Headache Clinic au Children’s Mercy du Kansas.

«Si les adultes subissent une procédure similaire, ils sont souvent incapables de communiquer par écrit ou verbalement. Cependant, le cerveau d’un jeune enfant est si adaptable qu’il se réorganisera et la capacité d’utiliser le langage sera conservée. C’est cette capacité continue du cerveau à s’adapter qui est la raison pour laquelle les jeunes enfants ont besoin d’une exposition régulière au langage.

La lecture permet au cerveau de télécharger directement des informations

«Bien que les casques de science-fiction soient encore loin, la technologie, comme l’a fait la presse à imprimer jadis, amplifie les capacités humaines et nous aide à apprendre, traiter et communiquer depuis des siècles», explique Wingeier.

Lorsque vous avez appris à lire, votre cerveau a dû changer et se restructurer pour que vos systèmes visuels et linguistiques puissent transférer les informations de la page, vers la mémoire.

Plus le cerveau travaille dur, plus les ondes cérébrales sont petites

Pendant qu’il fonctionne, le cerveau crée des champs électriques. «Les champs sont mesurés sur le cuir chevelu, appelés électroencéphalogramme (EEG), et sont souvent plus grands lorsque le cerveau fonctionne moins», explique Wingeier.

«C’est parce que les neurones inactifs se synchronisent par défaut. Tout comme une foule qui chante à l’unisson, les neurones peuvent être entendus de loin», ajoute-t-il.

Les neurones traitant davantage d’informations se synchronisent pour leur part dans des schémas plus complexes. Ainsi, comme une foule dans laquelle les gens ont des milliers de conversations différentes, ces neurones sont plus difficiles à «entendre».

Tout comme ce que nous mangeons peut affecter notre cerveau, faire des exercices pour entraîner son cerveau est aussi essentiel. 

Les dinosaures n’avaient pas la capacité de penser et de raisonner

Il y a encore beaucoup de choses que les scientifiques découvrent sur ces reptiles disparus. Les dinosaures ne pouvaient pas penser ou raisonner comme les humains. «Les dinosaures n’avaient pas de néocortex, que nous utilisons pour penser, ni de lobes frontaux, que nous utilisons pour la planification et la résolution de problèmes», explique Soper.

«La capacité de penser des dinosaures ressemble à celle des poulets: ils pourraient apprendre certaines choses, mais de manière minimale par rapport aux mammifères», note Soper. Cependant, ils avaient un sens de l’odorat qui était bien meilleur que celui des humains!

Une grande partie de notre cerveau reste intacte en vieillissant

«Comme de nombreuses civilisations l’ont dit, les personnes âgées en savent plus en raison de leur expérience, même si leur mémoire n’est peut-être pas aussi bonne», explique Soper.

«En ce qui concerne le vieillissement, il faut exercer le cerveau quotidiennement! C’est pourquoi les mots croisés et les jeux comme le Sudoku, le bingo et le mah-jong peuvent être incroyablement utiles pour les personnes âgées. «Si les personnes âgées font des exercices mentaux, leur intelligence peut même augmenter», explique Soper, «et il en va de même pour le corps et ses exercices».

La capacité de stockage du cerveau est pratiquement illimitée

Il n’y a rien de tel que d’en savoir trop! «Le cerveau ne s’use pas comme la capacité de stockage de données dans un ordinateur ou un cellulaire», explique le Dr Krieff. «Il y a une puissance cérébrale sans fin! Bien que le manque de sommeil puisse affecter la capacité du cerveau à créer (et mémoriser!) de beaux souvenirs.»

L’utiliser ou le perdre

Le cerveau est semblable à un muscle, explique Shirley Newell, ancienne médecin-chef chez Aegis Living, chef de file dans le domaine des résidences-services pour personnes âgées aux États-Unis.

«Vous pouvez développer votre réserve cognitive, ou la capacité innée de votre cerveau à faire un travail, grâce à différents types d’apprentissages ou à de nouvelles expériences.» Les personnes ayant une réserve cognitive plus forte et en meilleure santé, renforcée par l’expérience acquise, se révèlent plus capables de faire face aux événements inattendus de la vie.

La mémoire à court terme dure généralement environ 20 à 30 secondes

Comment peut-on oublier complètement ce que l’on était sur le point de dire? C’est que le cerveau conserve de petites quantités d’informations dans l’esprit actif pour un accès facile, mais ne le fait que pendant une période d’environ une demi-minute.

Brandon Brock note que la plupart des gens retiennent les chiffres pendant environ 7,3 secondes en moyenne et 9,3 secondes en moyenne pour les lettres.

L’ablation chirurgicale de près de la moitié du cerveau est possible avec peu ou pas d’effet sur la personnalité ou la mémoire

Ces faits sur le cerveau peuvent sembler fous, mais une hémisphérectomie – ou ablation chirurgicale d’une partie du cerveau – peut se produire. C’est une procédure neurochirurgicale très rare qui est utilisée pour traiter une variété de troubles épileptiques. Cependant, ce type de procédure, comme on pourrait l’imaginer, ne se fait pas sans impact.

«Certains traits sont très spécifiques à un hémisphère. Cette opération peut donc donner des différences très subtiles à une personne», explique Brandon Brock. «Habituellement, la mémoire, l’humour et la personnalité se rétablissent, mais la cognition peut changer un peu.»

La privation de sommeil peut affecter le cerveau de plusieurs façons

Il y a une raison pour laquelle sept à neuf heures de sommeil par nuit sont recommandées: le corps et le cerveau ont besoin de repos pour fonctionner correctement, conserver leur mémoire et réagir rapidement.

Le jugement est même altéré lorsqu’il n’est pas précédé d’une bonne nuit de repos. «La privation de sommeil tue les cellules cérébrales, peut créer une psychose si elle dure longtemps et réduit la capacité du corps et du cerveau à guérir», explique Brandon Brock. «Toutes ces choses peuvent avoir un impact sur la cognition, le jugement ou le temps de réaction.»

Dormir suffisamment n’est peut-être pas la priorité de votre vie hyper-occupée. Pourtant, quand on ne dort pas assez, les conséquences d’un manque de sommeil sur la santé sont réelles et nombreuses. 

Ne pas harceler

«Le harcèlement cause plus de malheur dans les familles que l’extravagance, le mauvais entretien ménager et l’infidélité réunis.»
— Dorothy Carnegie, auteure de How to Help Your Husband Get Ahead (1953).

Garder ses plaintes privées

«Si vous devez critiquer quelque chose, faites-le en privé et sans colère.»
—Edward Podolsky, auteur de Sex Today in Wedded Life (1947).

Être patient

«Si vous êtes patients et doux, un envers l’autre… vous devriez sentir des sensations fortes bientôt…»
—Dr. Clifford R. Adams, auteur de How to Pick a Mate: The Guide for a Happy Marriage (1946).

Être généreux

«L’amour consiste à donner. Abondamment et généreusement.»
— Dorothy Carnegie, auteure de How to Help Your Husband Get Ahead (1953).

Célébrer chaque «première» de couple

«Chaque jour, vous ferez vos premiers pas. Et ces étapes sont des plus importantes.»
—Dr. Clifford R. Adams, auteur de How to Pick a Mate: The Guide for a Happy Marriage (1946).

Oublier les petits reproches

«Accepter les choses comme elles viennent et refuser d’être contrarié par des bagatelles renforcent le tissu de l’amour.»
— Dorothy Carnegie, auteure de How to Help Your Husband Get Ahead (1953).

Se rapprocher… dans la chambre à coucher

«Les couples mariés devraient comprendre l’importance des relations sexuelles comme moyen de réduire la tension.»
—Dr. Clifford R. Adams, auteur de How to Pick a Mate: The Guide for a Happy Marriage (1946).

Créer un cocon d’amour

«Ne nous enlisons pas dans la routine sans fin du ménage au point de perdre de vue son véritable objectif: créer un petit cocon d’amour, de sécurité et de confort pour les êtres qui nous sont chers.»
— Dorothy Carnegie, auteure de How to Help Your Husband Get Ahead (1953).

Le partage, un must

«Partager n’importe quoi, que ce soit une croûte de pain ou une idée, rapproche les gens. Partager nos intérêts particuliers et nos loisirs avec ceux que nous aimons est l’une des principales voies vers le bonheur dans les relations humaines.»
— Dorothy Carnegie, auteure de How to Help Your Husband Get Ahead (1953).

Tenir compte des besoins de l’autre

«Pour que deux personnes aient du succès dans leur couple, elles doivent pouvoir se comprendre comme seuls de vrais compagnons peuvent le faire. Elles doivent reconnaître les besoins de l’autre et être disposées à coopérer pour les satisfaire.»
—Dr. Clifford R. Adams, auteur de How to Pick a Mate: The Guide for a Happy Marriage (1946).

Dans un couple, certains comportements semblent romanesques et idéalisés socialement, mais ils sont en fait toxiques et peuvent littéralement empoisonner votre relation amoureuse. 

Se donner de la place pour évoluer

«L’amour doit être nourri et entretenu pour que les choses soient faites… avec et par amour.»
—Dr. Clifford R. Adams, auteur de How to Pick a Mate: The Guide for a Happy Marriage (1946).

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La pie

Avez-vous déjà rencontré un collègue qui vous assomme avec ses discussions interminables, aussi bien dans les couloirs que durant les réunions? C’est un véritable défi de ne pas tomber dans le piège de ses monologues. Cette personne peut être gentille, mais ne semble jamais reprendre son souffle. «Il y en a qui ont besoin d’entendre le son de leur voix parce qu’ils ont le sentiment que personne ne les écoute», explique la travailleuse sociale clinicienne new-yorkaise, Sherry Amatenstein, auteure de How Does that Make You Feel? True Confessions From Both Sides of the Therapy Couch. «Vous n’avez cependant pas à vous astreindre à l’écoute de ses confidences continues. Lâchez un profond soupir et faites-lui comprendre que vous devez répondre à une urgence et qu’il vous faut vous concentrer sur votre travail pour ne pas perdre votre emploi.»

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L’insatisfait

Vous l’avez évité toute la semaine. Vous ne pouvez plus supporter ses plaintes et sa frustration inconditionnelle. De plus, il n’y a rien de plus déprimant et démotivant pour une équipe que de faire affaire à un personnage aussi cafardeux. Voici comment confronter cet éternel rabat-joie. Selon Sherry Amatenstein, «il ne sera satisfait (et encore!) que s’il réussit à entraîner tout le monde avec lui dans son gouffre. Pour sortir de ce cul-de-sac, essayez de lui faire comprendre que vous êtes désolé pour lui, mais que votre équilibre est important au travail et que vous ne pouvez vous permettre d’adopter une telle vision négative».

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Le fainéant

Quoi de plus frustrant que de voir un ou une collègue se défiler à tout moment de ses obligations, alors que vous ne comptez plus vos heures pour réaliser les vôtres? Sherry Amatenstein conseille d’éviter à tout prix de vous mêler de ses affaires aussi longtemps qu’elles ne vous concernent pas, et d’essayer tout simplement de l’ignorer. «Si toutefois cela vient ralentir l’exécution de vos projets, expliquez-lui directement que vous allez indiquer au patron la part du travail que vous assumez et celle que votre collègue lui remettra. Vous pouvez ajouter que vous avez l’intention de terminer la vôtre pour 17h, et qu’il pourrait en faire autant.

Si la situation perdure avec ce fainéant, parlez-en en effet au patron en lui expliquant que vous vous partagez la tâche et confiez-lui que votre collègue semble mettre ses priorités ailleurs. Vous êtes bien d’accord pour continuer la collaboration, mais vous tenez à lui faire part de la situation afin de poursuivre constructivement et efficacement votre travail.»

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La brute

Le climat professionnel peut parfois rappeler celui de l’école, avec des adultes retors qui abusent de leur autorité. C’est le type d’individu qu’il faut absolument désarçonner sans attendre. «Ces brutes ont souvent été elles-mêmes victimes d’intimidation dans leur enfance. Prenez la situation en main. N’oubliez pas que vous n’êtes plus l’innocent écolier de 8 ans, et que cette personne dans votre milieu de travail est immature et profondément blessée pour pratiquer ainsi l’intimidation. Soyez vigilant et tenez-vous à l’écart. Si elle vous cible, ne tombez surtout pas dans son piège. Votre indifférence pourrait bien la faire renoncer à vous intimider et vous en débarrasser au détriment d’une autre victime», explique Sherry Amatenstein.

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Le collègue passif-agressif

Ce type de personnalité nocive cherche essentiellement à vous déstabiliser et à intoxiquer votre milieu de travail. Ce n’est certainement pas agréable d’avoir affaire à une telle personnalité dans son équipe. Fixez des limites et ne le laissez pas vous voir transpirer, conseille Mme Amatenstein. «Obtenir un signe visible qu’il ou elle vous tape sur les nerfs, c’est un peu comme lui ouvrir une porte. Souriez et continuez à avancer!