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28 Avril 2014 à 05:02
Les sites les plus spectaculaires d'Islande
L'Islande est une petite île d'un peu plus de 100 000 km2 située sur le rift de Silfra à cheval sur les plaques tectoniques américaine et eurasienne. Cette situation géographique unique est à l'origine de phénomènes naturels exceptionnels. Ici, Landmannalaugar. Une zone située près du volcan Hekla en plein centre de l'île. L'activité volcanique donne aux terres des teintes irréelles.
© Martin M303 Fotolia
La terre brûlée de Namaskar Hverarond
Autre "spot géothermique" : Namaskar Hverarond. La terre, rongée par l'acidité du souffre revêt des couleurs étonnantes. On trouve également sur ce site d'imposants fumerolles et des cratères de boue bouillonnante.
© Fyle Fotolia
Thingvellir : un parlement dans la lave
Thingvellir est à la fois un site naturel et un site historique. C'est ici qu'en 930 se rassembla le premier et plus vieux parlement du monde. Le site fut choisi pour son acoustique et sa situation géographique sur l'île. Toutes les familles de migrants récemment installées s'y retrouvaient et étaient représentées par 36 chefs de clan. Aujourd'hui, on trouve y la maison du premier ministre islandais.
© Martin M303 Fotolia
Le cratère Viti
Situé sur le site volcanique de Krafla, le cratère Viti se caractérise par une belle couleur vert-bleutée qu'il doit aux algues qui s'y sont installées. Sa dernière éruption date du XVIIIe siècle.
© Max Topchii Fotolia
Les aurores boréales
Lorsque les vents solaires s'échappent dans l'espace et viennent frapper la Terre, ils forment des aurores boréales visibles dans les régions situées à des latitudes proches des 70 degrés. Pour en voir en Islande, il faudra s'y rendre entre septembre et mars, puis attendre un ciel bien dégagé. Ces vagues multicolores envahissent le ciel aux environs de minuit parfois pendant plusieurs dizaines de minutes.
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Geysir : le père de tous les geysers
Voici Geysir, le plus célébre des geysers. C'est d'ailleurs à partir de son nom qu'a été imaginé le nom commun "geyser". Situé dans le Triangle d'Or (avec Gullfoss et Thingvellir). Il n'explose que 2 ou 3 fois par jour, quelques instants avant, un gros globe d'eau bleutée se forme (voir la photo). Néanmoins, les voyageurs peuvent se rabattre sur Strokkur, son voisin plus accommodant.
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Strokkur : un geyser moins timide
Et voici Strokkur qui explose toutes les 5 à 10 minutes et envoie de l'eau jusqu'à une hauteur de 20 mètres (contre une centaine de mètres pour Geysir.)
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Blesi : la source d'eau chaude
Voici une source d'eau chaude baptisée Blesi. Elle est située dans une zone géothermique particulièrement dynamique où se trouve également Geysir, le fameux geyser. En dépit d'une eau bleutée magnifique, il est déconseillé d'y mettre la main !
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Les baleines d'Islande
Observer des baleines dans leur milieu naturel est une des choses les plus incroyables qui existent. Plusieurs spots d'observation existent en Islande depuis Reykjavik ou Husavik. On en voit toute l'année mais la période la plus propice reste juillet à octobre.
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Jokulsarlon : entre le feu et la glace
Attention : site exceptionnel. Jokulsarson est un lac glaciaire situé au bord de la mer et au pied du Vatnajokull, la deuxième plus grosse calotte glaciaire d'Europe. Des blocs de glace se détachent pour dériver sur le lac avant de rejoindre la mer et une plage de sable volcanique : tout simplement magique !
© Max Topchii Fotolia
Gullfoss : une chute d'or
Impossible de faire l'impasse sur cette cascade magnifique qui se fige totalement pendant l'hiver. D'une largeur de 70 mètres, il s'agit en fait d'une succession de deux chutes d'eau d'une hauteur totale de 32 mètres.
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Skogafoss : le trésor derrière la chute
Située dans le sud de l'île, près de la ville de Skogar, Skogafoss est très visitée (ce qui signifie une cinquantaine de personnes aux heures de pointe l'été.) Il est possible de passer derrière la chute où serait d'ailleurs caché un trésor (d'après la légende.)
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Les chevaux sauvages islandais
Amenés en Islande par les Vikings, ces petits chevaux galopent en semi-liberté dans les plaines et les champs de lave. Leur importation fut interdite en 982 par le parlement islandais. Les chevaux que vous croiserez lors de votre voyage sont donc issus de lignées parfaitement pures depuis plus d'un millénaire !
© Travelguide Fotolia
Eyjafjöll en 2010
En 2010, le volcan Eyjafjöll entre en éruption perturbant tout le trafic aérien dans le nord de l'Europe. Ici, une fontaine de lave.
© Raymo
Les fermes islandaises
Traditionnellement, le toit des fermes islandaises était recouvert de tourbe, isolant très efficace pendant l'hiver. Aujourd'hui, les maisons islandaises sont en bois et en tôle mais vous croiserez sans doute quelques unes de ces petites habitations.
© Kevin14 Fotolia
Le Blue Lagoon : à faire !
Le Blue Lagoon est l'un des sites touristiques les plus fréquentés d'Islande mais il mérite largement un détour. Il s'agit en réalité d'un très grand lac artificiel alimenté par les eaux de la centrale géothermique de Svartsengi. L'eau y est chargée en silice et à une température moyenne de 36 degrés. Particulièrement étonnant en hiver !
© Max Topchii Fotolia
Les bandes de macareux
Ces petits oiseaux marins particulièrement identifiables se sont installés sur les falaises rocheuses islandaises. Pour l'anecdote, il est possible d'en déguster rôti !
© Audrey Allix
Reynisfjara, l'incroyable plage noire
Reynisfjara est une plage de sable volcanique à flanc de falaise située près de Dyrhólaey. Pitons rocheux et bancs de sable donnent à ces paysages un air de bout du monde.
© Gilles Vallard
Skaftafell : un glacier en été
Le parc national de Skaftafell a été fondé en 1967. Ici, une langue glacière accessible uniquement en 4x4. Lorsque l'été arrive, une partie du glacier fond laissant place à ce paysage incroyable et indéfinissable.
© Audrey Allix
Dernière étape : marche sur le glacier
Ce glacier couvert de cendres volcaniques est l'image de l'Islande : entre la glace et le feu.
© Isabelle Godard
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28 Avril 2014 à 04:58
Les plaines de Mongolie vues du ciel
En Mongolie, on compte moins de 2 habitants au kilomètre carré (2,5 millions d'habitants pour un territoire grand comme trois fois la France). Une destination qui séduira les voyageurs en quête de grands espaces et de liberté.
© Franck SIMONNET
Cicatrices de la terre
Ici, les steppes arides de Mongolie affichent un camaïeu d'ocre étonnant.
© Franck SIMONNET
Les dunes de Gobi
Les formes abstraites des dunes du désert de Gobi
© Franck SIMONNET
Cette verte vallée
Le lit asséché d'une rivière serpente à travers la steppe herbeuse.
© Franck SIMONNET
Alignement de yourtes
Des yourtes, habitations traditionnelles en Mongolie, bien alignées. L'humidité qui s'en dégage a redonné un peu de vie au désert.
© Franck SIMONNET
Crêtes aux couleurs pastel
La Mongolie, c'est aussi une chaîne de montagnes dont les sommets dépassent les 1 000 mètres d'altitude.
© André MARTINEZ
En direction des montagnes
Le village semble bien petit au pied de ces montagnes...
© Franck SIMONNET
Traces et pistes
Des véhicules en tout genre ont laissé leurs traces dans la terre du désert de Gobi.
© Franck SIMONNET
Les routes et les nuages
Là encore, quelques traces humaines sous un nuage qui se promène à basse altitude.
© Franck SIMONNET
La faille
Cette faille offre au paysage une étrange perspective et semble fendre la terre en deux.
© Franck SIMONNET
Terrain accidenté
Les plaines laissent soudain apparaître une parcelle accidentée aux pics aigus.
© Franck SIMONNET
Rassemblement du troupeau
Un troupeau chemine au milieu de nulle part...
© Franck SIMONNET
Aux portes du désert
Le désert s'impose brutalement dans une vallée verdoyante.
© Franck SIMONNET
Aux abords de la ville
Ces familles, récemment installées en périphérie de la ville, sont restées attachées à leur yourte, dernier lien avec leur ancienne vie de nomades.
© Franck SIMONNET
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Frawsy dans
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28 Avril 2014 à 04:52
La côte sauvage entre Le Croisic et Le Pouliguen
Du Croisic au Pouliguen, en passant par Batz-sur-Mer, Je vous emmène en balade le long de la "côte sauvage", en Loire-Atlantique.
© Marie-A. D.
Le chemin côtier
Le chemin qui borde le littoral est absolument magnifique à cet endroit. Une végétation abondante, des rochers en dents de scie, les vagues qui viennent se jeter avec force sur le récif... La côte sauvage du Croisic porte très bien son nom et mérite le détour.
© Aurélie Lorant - Galerie photo
Rochers découpés
A cet endroit, la côte est particulièrement rocheuse. Le Croisic, Batz-sur-Mer (prononcez "Bas") et Le Pouliguen ("Pouligain") sont en effet situés sur d'anciens îlots rocheux reliés au continent par un dépôt de sable.
© David Landron - Galerie photo
De jolies criques
Entre Le Croisic et Le Pouliguen, les criques se succèdent, accessibles et sauvages en même temps.
© direction de la Communication - ville du Croisic
Le port du Croisic
Le terme "côte sauvage" désigne plusieurs franges du littoral en France. Celle de Loire-Atlantique s'étale sur une douzaine de kilomètres entre Le Croisic, au nord, et Le Pouliguen, au sud. Ici, le port du Croisic, qui a su conserver beaucoup de charme.
© Philippe Leprince - Galerie photo
Vue aérienne
Vue aérienne du Croisic, depuis un ULM.
© direction de la Communication - ville du Croisic
Le phare de la jetée du Tréhic
A l'extrêmité de la jetée du Tréhic se dresse ce phare, construit entre 1839 et 1844. C'est d'ici que part la départementale 45, qui longe la côte sauvage jusqu'au Pouliguen.
© Jean-Claude Lagarde - Galerie photo
Un port de pêche important
Le Croisic est le premier port de France pour la pêche à la crevette rose. Et si vous souhaitez déguster des langoustines, araignées, homards, langoustes ou palourdes, vous êtes au bon endroit !
© Marie-A. D. - Galerie photo
Le charme de vieilles maisons
Profitez d'une halte au Croisic pour vous balader dans les ruelles de cette ville de 4 000 habitants. Toitures en ardoise (typiques de la région) et facades à colombages (beaucoup moins répandues !) vous attendent au détour des ruelles croisicaises.
© Martine Caroff - Galerie photo
Coucher de soleil
La beauté et le calme de la côte sauvage s'apprécient aussi pleinement au moment où le soleil disparaît à l'horizon.
© Raphaël Landais - Galerie photo
Les salines
La côte sauvage s'insère dans la presqu'île guérandaise. Légèrement en retrait de l'océan, on trouve donc les fameux marais salants, qui font la renommée de la région. Le traict du Croisic (qu'empruntent les chalutiers pour rentrer au port) relie le port et la pointe de Pen Bron par un étroit passage. L'eau salée pénètre alors dans les terres pour alimenter les marais salants.
© Gwenaële Le Moignic - Galerie photo
Souffle marin
Le vent est généralement de la partie quand on se promène sur la côte du Croisic ! Cela renforce l'impression de liberté en haut des falaises.
© Jean-Paul Saillard - Galerie photo
Un goéland argenté
On croise essentiellement ce type d'oiseau en Bretagne et en Loire-Atlantique. En vous baladant sur la côte sauvage, n'hésitez pas à regarder la faune et la flore alentour, et pas uniquement la mer.
© Edith Fernandez - Galerie photo
Port-Lin
Saint-Goustan, Castouillet, Sable menu, Crucifix... Le Croisic compte plusieurs plages agréables. Celle de Port-Lin (au pied de la falaise représentée sur la photo) est une plage de sable familiale, bordée de jolies villas balnéaires.
© Marie-A. D. - Galerie photo
Avis de tempête
Les éléments se déchaînent sur la plage de Port-Lin au Croisic. Décembre 2007.
© Marie-A. D. - Galerie photo
Un lieu de balade privilégié
Le sentier des Douaniers longe la côte sauvage. On peut le découvrir à pied (certaines portions sont faisables en vélo mais cela se complique à d'autres endroits). Si vous êtes allergique à la marche, sachez que le départementale 45 borde le littoral au plus près. Et rien ne vous empêche de vous arrêter quelques minute... Lire la suite s pour prendre en photo le panorama... Réduire
© Anette Montagne - Galerie photo
Seuls face à l'océan
Un lieu de promenade romantique, non ? Contre-jour sur la côte sauvage, au Croisic.
© Alice Delaigue - Galerie photo
Le rocher de l'Ours
La nature est parfois un véritable artiste, sculpteur à ses heures... Entre le Croisic et Batz-sur-Mer, ne ratez pas l'une des curisoités de la côte sauvage : le rocher de l'Ours. Si on regarde bien, on distingue une tête de plantigrade fixant l'océan.
© Nestor Robin - Galerie photo
Batz-sur-Mer
Les marais salants sont également présents sur la commune de Batz-sur-Mer (3 200 habitants), au sud du Croisic. Ils couvrent même plus de 450 des 927 hectares de la superficie de la ville.
© Edith Fernandez - Galerie photo
Les falaises de Batz
Le littoral batzien prolonge la côte sauvage avec ses falaises en granit et ses baies. Ici aussi les roches déchiquetées jouent avec l'écume des vagues.
© Catherine Gil - Galerie photo
La plage Valentin
La plage Valentin se situe sur Batz-sur-Mer, juste après le Croisic, près de la pointe de Casse-Caillou. C'est Charles Louis Edouard Killian, dit Valentin, propriétaire du premier établissement de bains construit au XIXe siècle, qui a donné son nom à cette plage.
© Arnaud Valdenaire - Galerie photo
La Dilane
La Dilane est un promontoire rocheux, situé à 16 mètres au dessus du niveau de la mer. Lors de la Seconde Guerre mondiale, l'armée allemande avait installé sur ce gros bunker une batterie de marine côtière. Le blockhaus abrite désormais le musée de la Poche de Saint-Nazaire.
© David Landron - Galerie photo
Le moulin de la Falaise
Le moulin de la Falaise a été construit au XVIe siècle et déplacé en 1920 dans les dunes de Batz-sur-Mer. Renové en 1992, il est toujours en activité.
© Marc Grenier - Galerie photo
Le Pouliguen
Après Batz-sur-Mer, on découvre Le Pouliguen. Le littoral de la commune est très différent d'un côté et de l'autre de la pointe de Penchâteau, qui s'avance dans la mer au milieu du Pouliguen. L'ouest de la pointe est un prolongement de la côte sauvage avec ses falaises rocheuses, tandis que l'est offre une plage beaucoup plus lisse, dans la prolongement de celle de La Baule.
© Sébastien Virot - Galerie photo
Plage du Pouliguen
Depuis plus d'un siècle et demi, Le Pouliguen est une station balnéaire très prisée. L'arrivée du train en 1879 (et du TGV depuis plusieurs années) y a beaucoup contribué. La plage du Nau, très large, accueille de nombreux touristes l'été. La population de la commune passe alors de 5 000 à 40 000 habitants en août.
© Marie-Paule Euzénat-Vintenat - Galerie photo
Le port de plaisance
Le Pouliguen est réputé pour son port de plaisance.
© Philippe Leprince - Galerie photo
Sur le front de mer
Sur le remblais, prenez le temps d'admirer les vieilles demeures bourgeoises du Pouliguen.
© Danielle Niellez - Galerie photo
Vue de La Baule
Fin d'après-midi sur la plage de La Baule, le soleil se couche sur Le Pouliguen.
© Nathalie Hobé - Galerie photo
La plage Benoît
Au sud du Pouliguen se trouve la commune de La Baule et sa très longue plage Benoît (qui porte le nom de l'architecte qui a aménagé le lotissement de la plage ouest de la station balnéaire). Mais là, c'est un autre paysage qui s'offre aux randonneurs, une autre balade vers Pornichet, Saint-Marc-sur-Mer et Saint-Nazaire...
© Jean Sauvaget - Galerie photo
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28 Avril 2014 à 04:36
Flânerie le long du Canal du Midi
Axe historique aujourd'hui encore très fréquenté, le Canal du Midi est devenu une destination privilégiée pour les cyclotouristes. La ville de Toulouse y a notamment aménagé une voie verte, l'une des plus agréables et des plus fréquentées de la région. Ici, un pont en briquette du Lauragais, près de Toulouse.
© sherwoodd - Fotolia.com
Le Lac de Saint-Ferréol
Situé dans la Montagne Noire, le Lac de Saint-Ferréol est doté d'un barrage imaginé pour alimenter le Canal du Midi. Celui-ci a été construit entre 1667 et 1672 par Pierre-Paul Riquet, le créateur du Canal, considéré comme le plus grand chantier de France au XVIIe siècle.
© Jean-Paul Cano
Le Seuil de Naurouze
Nous sommes au Seuil de Naurouze, appelé également Seuil du Lauraguais. Il s'agit du point le plus élevé du Canal du Midi, à 189 mètres d'altitude. Il marque la séparation entre le Massif Central et les Pyrénées.
© Fabien Bouillet
Labastide d'Anjou
Tout près du Seuil de Naurouze, la commune de Labastide d'Anjou est située dans le Lauragais. La beauté du site, qui s'étend sur 241 kilomètres, lui a permis d'être classé dans la liste du patrimoine de l'humanité par l'Unesco depuis 1996.
© Jean-Pierre Mottay
Castelnaudary
Les couleurs de Castelnaudary le long du Canal.
© Jean-Pierre Mottay
Près de Castelnaudary
Une maison éclusière près de Castelnaudary. Lors de votre promenade, renseignez-vous sur ce type d'habitat parfois proposé à la location.
© illustrez-vous - Fotolia.com
L'écluse de Guilhermin
L'écluse de Guilhermin, à l'est de Castelnaudary.
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Bram
Petit port situé à mi-chemin entre Castelnaudary et Carcassonne, Bram est une commune audoise. De nombreux bateaux de location attendent les visiteurs.
© Marie-Claire Nocaudie
A l'approche de Carcassonne
A pied le long des berges, en vélo entre Carcassonne et Trèbes, en bateau ou en flânant au port de la ville, les promeneurs ont de multiples possibilités.
© Géraldine Deveau
"Villa Odette", Carcassonne
Aux environs de la cité, des paysages pittoresques se dévoilent sous le regard des visiteurs. Des bateaux habitables et ne nécessitant pas de permis sont ouverts à la location afin de découvrir ce lieu par les voies navigables.
© Géraldine Deveau
Ecluse
Un rideau d'eau à l'écluse près de Carcassonne. Le Canal du Midi compte 63 écluses qui permettent de franchir les dénivelés.
© albillottet - Fotolia.com
Le Minervois
Région naturelle située dans la région du Languedoc-Roussillon, le Minervois est réputé pour ses vins, ses paysages vallonnés et ensoleillés et son rafraîchissant Canal du Midi.
© Pat on stock - Fotolia.com
Trèbes
Ancienne ville romaine, Trèbes dispose d'un petit port de plaisance sur le Canal du Midi. Vous pourrez y effectuer une balade en vélo ou embarquer à bord d'une gabare traditionnelle.
© Yvann K - Fotolia.com
Le pont de la Rode, Trèbes
Toujours dans les environs de Trèbes, le pont de la Rode, l'un des plus populaires du Canal du Midi.
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Olonzac
Dans le département de l'Hérault, à quelques kilomètres du port de Homps, Olonzac est un charmant village au milieu des vignes.
© Jean-Pierre Tolomio
Le Grand Bief
Le Grand Bief est la portion la plus grande de canal sans écluse, entre Argens-Minervois et Béziers, qui court sur 54 kilomètres.
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Paraza
Le pont-canal de Répudre, près de Paraza, est le premier pont-canal construit en France, en 1676. Au milieu de sa façade on distingue une plaque de marbre rendant hommage à Paul Riquet.
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Le port du Somail
Construit en même temps que le Canal du Midi afin de loger les bateliers, le port du Somail était un port "étape-auberge".
© Jean Pierre Dromeray
Somail, adorable village
Le pont du Somail est typique de la première période du Canal du Midi. Pont dit "en dos d'âne", il permet d'admirer le hameau dans son entier. La chapelle date quant à elle du XVIIIe siècle.
© joelle lampin
Argeliers
Péniche à Argeliers, village bordé à l'est par le Canal du Midi.
© Herve LECLERC
Le pont vieux d'Argeliers
Le pont vieux d'Argeliers enjambe le Canal du Midi.
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Capestang
Capestang dispose d'une halte nautique pour accueillir les navigateurs. Ne manquez pas la visite de la collégiale, d'où vous disposerez d'une vue magnifique sur le village.
© Jean-claude FARO
Vers Béziers
Vers Béziers, la ville d'origine de Paul Riquet. Le Canal du Midi prend à l'entrée de la cité biterroise un nouveau visage, notamment grâce aux écluses de Fonsérannes.
© Serge Gleizes
Les écluses de Fonsérannes
L'escalier d'écluses de Fonsérannes est un ensemble de huit écluses construites en 1697. Cet ouvrage spectaculaire franchit un dénivelé de 21,50 mètres sur une longueur de 300 mètres.
© Philippe Calas / www.canalmidi.com
Le pont-canal de l'Orb
Construit au XIXe siècle, le pont-canal de l'Orb mesure 12 mètres de haut, 240 mètres de long et 28 mètres de large. Deux chemins de halage sont disposés de chaque côté.
© Daniel Lapierre
Cers
Dans le département de l'Hérault, traversée par le Canal du Midi, Cers est réputée pour ses vins.
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Couleurs d'automne à Portiragnes
Couleurs d'automne à Portiragnes. La saison automnale est l'occasion de visiter le Canal du Midi sans l'afflux des touristes estivaux. Vous pourrez y visiter une très belle église gothique en basalte, datant du XIVe siècle.
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Lever de soleil à Portiragnes
Lever de soleil à Portiragnes.
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Le pont des Trois Yeux
Entre Vias et Agde, le pont des Trois Yeux fait partie des 328 ouvrages conçus par Paul Riquet.
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Les ouvrages sur le Libron
A Vias, les ouvrages sur le Libron constituent une machinerie unique. Ce pont-bâche mobile, constitué de diverses structures métalliques, a été réalisé pour permettre à la rivière le Libron de rencontrer le Canal du Midi.
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Marseillan
Vers Marseillan, ville à quelques kilomètres d'Agde, non loin de l'endroit où le Canal du Midi se jette dans l'étang de Thau.
© Jacques Veylet
Agde
Lors de son passage au niveau d'Agde, en automne.
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Le port des Onglous
Le port des Onglous est l'endroit où le Canal du Midi se jette dans l'étang de Thau.
© Jean-Marcel Dellyes
Le Canal du Midi en novembre
Magnifique lever de soleil en novembre sur le Canal du Midi.
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