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    Expression du Jour:

    Expression du Jour:  Bourré comme un coing (4 pages)

    Expression du Jour:  Bourré comme un coing (4 pages)

    Expression du Jour:  Bourré comme un coing (4 pages)

    Expression du Jour:  Bourré comme un coing (6 pages)

    Expression du Jour:  Bourré comme un coing (6 pages)

     

    Expression du Jour:  Bourré comme un coing (6 pages)

     

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  • Les sites les plus spectaculaires d'Islande

      

    L'Islande est une petite île d'un peu plus de 100 000 km2 située sur le rift de Silfra à cheval sur les plaques tectoniques américaine et eurasienne. Cette situation géographique unique est à l'origine de phénomènes naturels exceptionnels. Ici, Landmannalaugar. Une zone située près du volcan Hekla en plein centre de l'île. L'activité volcanique donne aux terres des teintes irréelles.
    ©  Martin M303 Fotolia

    La terre brûlée de Namaskar Hverarond

    Autre "spot géothermique" : Namaskar Hverarond. La terre, rongée par l'acidité du souffre revêt des couleurs étonnantes. On trouve également sur ce site d'imposants fumerolles et des cratères de boue bouillonnante. 
    ©  Fyle Fotolia

    Thingvellir : un parlement dans la lave

    Thingvellir est à la fois un site naturel et un site historique. C'est ici qu'en 930 se rassembla le premier et plus vieux parlement du monde. Le site fut choisi pour son acoustique et sa situation géographique sur l'île. Toutes les familles de migrants récemment installées s'y retrouvaient et étaient représentées par 36 chefs de clan. Aujourd'hui, on trouve y la maison du premier ministre islandais.
    ©  Martin M303 Fotolia

    Le cratère Viti

    Situé sur le site volcanique de Krafla, le cratère Viti se caractérise par une belle couleur vert-bleutée qu'il doit aux algues qui s'y sont installées. Sa dernière éruption date du XVIIIe siècle.
    ©  Max Topchii Fotolia

    Les aurores boréales

    Lorsque les vents solaires s'échappent dans l'espace et viennent frapper la Terre, ils forment des aurores boréales visibles dans les régions situées à des latitudes proches des 70 degrés. Pour en voir en Islande, il faudra s'y rendre entre septembre et mars, puis attendre un ciel bien dégagé. Ces vagues multicolores envahissent le ciel aux environs de minuit parfois pendant plusieurs dizaines de minutes.
    ©  Boje10 Fotolia

    Geysir : le père de tous les geysers

    Voici Geysir, le plus célébre des geysers. C'est d'ailleurs à partir de son nom qu'a été imaginé le nom commun "geyser". Situé dans le Triangle d'Or (avec Gullfoss et Thingvellir). Il n'explose que 2 ou 3 fois par jour, quelques instants avant, un gros globe d'eau bleutée se forme (voir la photo). Néanmoins, les voyageurs peuvent se rabattre sur Strokkur, son voisin plus accommodant. 
    ©  Fyle Fotolia

    Strokkur : un geyser moins timide

    Et voici Strokkur qui explose toutes les 5 à 10 minutes et envoie de l'eau jusqu'à une hauteur de 20 mètres (contre une centaine de mètres pour Geysir.)
    ©  Andrea Izzotti Fotolia

    Blesi : la source d'eau chaude

    Voici une source d'eau chaude baptisée Blesi. Elle est située dans une zone géothermique particulièrement dynamique où se trouve également Geysir, le fameux geyser. En dépit d'une eau bleutée magnifique, il est déconseillé d'y mettre la main !
    ©  Fyle Fotolia

    Les baleines d'Islande

    Observer des baleines dans leur milieu naturel est une des choses les plus incroyables qui existent. Plusieurs spots d'observation existent en Islande depuis Reykjavik ou Husavik. On en voit toute l'année mais la période la plus propice reste juillet à octobre.
    ©  Defender06 Fotolia

    Jokulsarlon : entre le feu et la glace

    Attention : site exceptionnel. Jokulsarson est un lac glaciaire situé au bord de la mer et au pied du Vatnajokull, la deuxième plus grosse calotte glaciaire d'Europe. Des blocs de glace se détachent pour dériver sur le lac avant de rejoindre la mer et une plage de sable volcanique : tout simplement magique !
    ©  Max Topchii Fotolia

    Gullfoss : une chute d'or

    Impossible de faire l'impasse sur cette cascade magnifique qui se fige totalement pendant l'hiver. D'une largeur de 70 mètres, il s'agit en fait d'une succession de deux chutes d'eau d'une hauteur totale de 32 mètres.
    ©  Fyle Fotolia

    Skogafoss : le trésor derrière la chute

    Située dans le sud de l'île, près de la ville de Skogar, Skogafoss est très visitée (ce qui signifie une cinquantaine de personnes aux heures de pointe l'été.) Il est possible de passer derrière la chute où serait d'ailleurs caché un trésor (d'après la légende.)
    ©  Jirisykora83 Fotolia

    Les chevaux sauvages islandais

    Amenés en Islande par les Vikings, ces petits chevaux galopent en semi-liberté dans les plaines et les champs de lave. Leur importation fut interdite en 982 par le parlement islandais. Les chevaux que vous croiserez lors de votre voyage sont donc issus de lignées parfaitement pures depuis plus d'un millénaire !
    ©  Travelguide Fotolia

    Eyjafjöll en 2010

    En 2010, le volcan Eyjafjöll entre en éruption perturbant tout le trafic aérien dans le nord de l'Europe. Ici, une fontaine de lave.
    ©  Raymo

    Les fermes islandaises

    Traditionnellement, le toit des fermes islandaises était recouvert de tourbe, isolant très efficace pendant l'hiver. Aujourd'hui, les maisons islandaises sont en bois et en tôle mais vous croiserez sans doute quelques unes de ces petites habitations.
    ©  Kevin14 Fotolia

    Le Blue Lagoon : à faire !

    Le Blue Lagoon est l'un des sites touristiques les plus fréquentés d'Islande mais il mérite largement un détour. Il s'agit en réalité d'un très grand lac artificiel alimenté par les eaux de la centrale géothermique de Svartsengi. L'eau y est chargée en silice et à une température moyenne de 36 degrés. Particulièrement étonnant en hiver !
    ©  Max Topchii Fotolia

    Les bandes de macareux

    Ces petits oiseaux marins particulièrement identifiables se sont installés sur les falaises rocheuses islandaises. Pour l'anecdote, il est possible d'en déguster rôti !
    ©  Audrey Allix

    Reynisfjara, l'incroyable plage noire

    Reynisfjara est une plage de sable volcanique à flanc de falaise située près de Dyrhólaey. Pitons rocheux et bancs de sable donnent à ces paysages un air de bout du monde.
    ©  Gilles Vallard

    Skaftafell : un glacier en été

    Le parc national de Skaftafell a été fondé en 1967. Ici, une langue glacière accessible uniquement en 4x4. Lorsque l'été arrive, une partie du glacier fond laissant place à ce paysage incroyable et indéfinissable. 
    ©  Audrey Allix

    Dernière étape : marche sur le glacier

    Ce glacier couvert de cendres volcaniques est l'image de l'Islande : entre la glace et le feu.
    ©  Isabelle Godard

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  • Les plaines de Mongolie vues du ciel

    En Mongolie, on compte moins de 2 habitants au kilomètre carré (2,5 millions d'habitants pour un territoire grand comme trois fois la France). Une destination qui séduira les voyageurs en quête de grands espaces et de liberté.
    ©  Franck SIMONNET

    Cicatrices de la terre

    Ici, les steppes arides de Mongolie affichent un camaïeu d'ocre étonnant.
    ©  Franck SIMONNET

    Les dunes de Gobi

    Les formes abstraites des dunes du désert de Gobi
    ©  Franck SIMONNET

    Cette verte vallée

    Le lit asséché d'une rivière serpente à travers la steppe herbeuse.
    ©  Franck SIMONNET

    Alignement de yourtes

    Des yourtes, habitations traditionnelles en Mongolie, bien alignées. L'humidité qui s'en dégage a redonné un peu de vie au désert.
    ©  Franck SIMONNET

    Crêtes aux couleurs pastel

    La Mongolie, c'est aussi une chaîne de montagnes dont les sommets dépassent les 1 000 mètres d'altitude.
    ©  André MARTINEZ

    En direction des montagnes

    Le village semble bien petit au pied de ces montagnes...
    ©  Franck SIMONNET

    Traces et pistes

    Des véhicules en tout genre ont laissé leurs traces dans la terre du désert de Gobi.
    ©  Franck SIMONNET

    Les routes et les nuages

    Là encore, quelques traces humaines sous un nuage qui se promène à basse altitude.
    ©  Franck SIMONNET

    La faille

    Cette faille offre au paysage une étrange perspective et semble fendre la terre en deux.
    ©  Franck SIMONNET

    Terrain accidenté

    Les plaines laissent soudain apparaître une parcelle accidentée aux pics aigus.
    ©  Franck SIMONNET

    Rassemblement du troupeau

    Un troupeau chemine au milieu de nulle part...
    ©  Franck SIMONNET

    Aux portes du désert

    Le désert s'impose brutalement dans une vallée verdoyante.
    ©  Franck SIMONNET

    Aux abords de la ville

    Ces familles, récemment installées en périphérie de la ville, sont restées attachées à leur yourte, dernier lien avec leur ancienne vie de nomades.
    ©  Franck SIMONNET

      
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  • La côte sauvage entre Le Croisic et Le Pouliguen

    Du Croisic au Pouliguen, en passant par Batz-sur-Mer, Je vous emmène en balade le long de la "côte sauvage", en Loire-Atlantique.
    ©  Marie-A. D.

    Le chemin côtier

    Le chemin qui borde le littoral est absolument magnifique à cet endroit. Une végétation abondante, des rochers en dents de scie, les vagues qui viennent se jeter avec force sur le récif... La côte sauvage du Croisic porte très bien son nom et mérite le détour.
    ©  Aurélie Lorant - Galerie photo

    Rochers découpés

    A cet endroit, la côte est particulièrement rocheuse. Le Croisic, Batz-sur-Mer (prononcez "Bas") et Le Pouliguen ("Pouligain") sont en effet situés sur d'anciens îlots rocheux reliés au continent par un dépôt de sable.
    ©  David Landron - Galerie photo

    De jolies criques

    Entre Le Croisic et Le Pouliguen, les criques se succèdent, accessibles et sauvages en même temps.
    ©  direction de la Communication - ville du Croisic

    Le port du Croisic

    Le terme "côte sauvage" désigne plusieurs franges du littoral en France. Celle de Loire-Atlantique s'étale sur une douzaine de kilomètres entre Le Croisic, au nord, et Le Pouliguen, au sud. Ici, le port du Croisic, qui a su conserver beaucoup de charme.
    ©  Philippe Leprince - Galerie photo

    Vue aérienne

    Vue aérienne du Croisic, depuis un ULM.
    ©  direction de la Communication - ville du Croisic

    Le phare de la jetée du Tréhic

    A l'extrêmité de la jetée du Tréhic se dresse ce phare, construit entre 1839 et 1844. C'est d'ici que part la départementale 45, qui longe la côte sauvage jusqu'au Pouliguen.
    ©  Jean-Claude Lagarde - Galerie photo

    Un port de pêche important

    Le Croisic est le premier port de France pour la pêche à la crevette rose. Et si vous souhaitez déguster des langoustines, araignées, homards, langoustes ou palourdes, vous êtes au bon endroit !
    ©  Marie-A. D. - Galerie photo

    Le charme de vieilles maisons

    Profitez d'une halte au Croisic pour vous balader dans les ruelles de cette ville de 4 000 habitants. Toitures en ardoise (typiques de la région) et facades à colombages (beaucoup moins répandues !) vous attendent au détour des ruelles croisicaises.
    ©  Martine Caroff - Galerie photo

    Coucher de soleil

    La beauté et le calme de la côte sauvage s'apprécient aussi pleinement au moment où le soleil disparaît à l'horizon.
    ©  Raphaël Landais - Galerie photo

    Les salines

    La côte sauvage s'insère dans la presqu'île guérandaise. Légèrement en retrait de l'océan, on trouve donc les fameux marais salants, qui font la renommée de la région. Le traict du Croisic (qu'empruntent les chalutiers pour rentrer au port) relie le port et la pointe de Pen Bron par un étroit passage. L'eau salée pénètre alors dans les terres pour alimenter les marais salants.
    ©  Gwenaële Le Moignic - Galerie photo

    Souffle marin

    Le vent est généralement de la partie quand on se promène sur la côte du Croisic ! Cela renforce l'impression de liberté en haut des falaises.
    ©  Jean-Paul Saillard - Galerie photo

    Un goéland argenté

    On croise essentiellement ce type d'oiseau en Bretagne et en Loire-Atlantique. En vous baladant sur la côte sauvage, n'hésitez pas à regarder la faune et la flore alentour, et pas uniquement la mer.
    ©  Edith Fernandez - Galerie photo

    Port-Lin

    Saint-Goustan, Castouillet, Sable menu, Crucifix... Le Croisic compte plusieurs plages agréables. Celle de Port-Lin (au pied de la falaise représentée sur la photo) est une plage de sable familiale, bordée de jolies villas balnéaires.
    ©  Marie-A. D. - Galerie photo

    Avis de tempête

    Les éléments se déchaînent sur la plage de Port-Lin au Croisic. Décembre 2007.
    ©  Marie-A. D. - Galerie photo

    Un lieu de balade privilégié

    Le sentier des Douaniers longe la côte sauvage. On peut le découvrir à pied (certaines portions sont faisables en vélo mais cela se complique à d'autres endroits). Si vous êtes allergique à la marche, sachez que le départementale 45 borde le littoral au plus près. Et rien ne vous empêche de vous arrêter quelques minute... Lire la suite   
    ©  Anette Montagne - Galerie photo

    Seuls face à l'océan

    Un lieu de promenade romantique, non  ? Contre-jour sur la côte sauvage, au Croisic.
    ©  Alice Delaigue - Galerie photo

    Le rocher de l'Ours

    La nature est parfois un véritable artiste, sculpteur à ses heures... Entre le Croisic et Batz-sur-Mer, ne ratez pas l'une des curisoités de la côte sauvage : le rocher de l'Ours. Si on regarde bien, on distingue une tête de plantigrade fixant l'océan.
    ©  Nestor Robin - Galerie photo

    Batz-sur-Mer

    Les marais salants sont également présents sur la commune de Batz-sur-Mer (3 200 habitants), au sud du Croisic. Ils couvrent même plus de 450 des 927 hectares de la superficie de la ville.
    ©  Edith Fernandez - Galerie photo

    Les falaises de Batz

    Le littoral batzien prolonge la côte sauvage avec ses falaises en granit et ses baies. Ici aussi les roches déchiquetées jouent avec l'écume des vagues.
    ©  Catherine Gil - Galerie photo

    La plage Valentin

    La plage Valentin se situe sur Batz-sur-Mer, juste après le Croisic, près de la pointe de Casse-Caillou. C'est Charles Louis Edouard Killian, dit Valentin, propriétaire du premier établissement de bains construit au XIXe siècle, qui a donné son nom à cette plage.
    ©  Arnaud Valdenaire - Galerie photo

    La Dilane

    La Dilane est un promontoire rocheux, situé à 16 mètres au dessus du niveau de la mer. Lors de la Seconde Guerre mondiale, l'armée allemande avait installé sur ce gros bunker une batterie de marine côtière. Le blockhaus abrite désormais le musée de la Poche de Saint-Nazaire.
    ©  David Landron - Galerie photo

    Le moulin de la Falaise

    Le moulin de la Falaise a été construit au XVIe siècle et déplacé en 1920 dans les dunes de Batz-sur-Mer. Renové en 1992, il est toujours en activité.
    ©  Marc Grenier - Galerie photo

    Le Pouliguen

    Après Batz-sur-Mer, on découvre Le Pouliguen. Le littoral de la commune est très différent d'un côté et de l'autre de la pointe de Penchâteau, qui s'avance dans la mer au milieu du Pouliguen. L'ouest de la pointe est un prolongement de la côte sauvage avec ses falaises rocheuses, tandis que l'est offre une plage beaucoup plus lisse, dans la prolongement de celle de La Baule.
    ©  Sébastien Virot - Galerie photo

    Plage du Pouliguen

    Depuis plus d'un siècle et demi, Le Pouliguen est une station balnéaire très prisée. L'arrivée du train en 1879 (et du TGV depuis plusieurs années) y a beaucoup contribué. La plage du Nau, très large, accueille de nombreux touristes l'été. La population de la commune passe alors de 5 000 à 40 000 habitants en août.
    ©  Marie-Paule Euzénat-Vintenat - Galerie photo

    Le port de plaisance

    Le Pouliguen est réputé pour son port de plaisance.
    ©  Philippe Leprince - Galerie photo

    Sur le front de mer

    Sur le remblais, prenez le temps d'admirer les vieilles demeures bourgeoises du Pouliguen.
    ©  Danielle Niellez - Galerie photo

    Vue de La Baule

    Fin d'après-midi sur la plage de La Baule, le soleil se couche sur Le Pouliguen.
    ©  Nathalie Hobé - Galerie photo

    La plage Benoît

    Au sud du Pouliguen se trouve la commune de La Baule et sa très longue plage Benoît (qui porte le nom de l'architecte qui a aménagé le lotissement de la plage ouest de la station balnéaire). Mais là, c'est un autre paysage qui s'offre aux randonneurs, une autre balade vers Pornichet, Saint-Marc-sur-Mer et Saint-Nazaire...
    ©  Jean Sauvaget - Galerie photo

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  • Flânerie le long du Canal du Midi

    Axe historique aujourd'hui encore très fréquenté, le Canal du Midi est devenu une destination privilégiée pour les cyclotouristes. La ville de Toulouse y a notamment aménagé une voie verte, l'une des plus agréables et des plus fréquentées de la région. Ici, un pont en briquette du Lauragais, près de Toulouse.
    ©  sherwoodd - Fotolia.com

    Le Lac de Saint-Ferréol

    Situé dans la Montagne Noire, le Lac de Saint-Ferréol est doté d'un barrage imaginé pour alimenter le Canal du Midi. Celui-ci a été construit entre 1667 et 1672 par Pierre-Paul Riquet, le créateur du Canal, considéré comme le plus grand chantier de France au XVIIe siècle.
    ©  Jean-Paul Cano

    Le Seuil de Naurouze

    Nous sommes au Seuil de Naurouze, appelé également Seuil du Lauraguais. Il s'agit du point le plus élevé du Canal du Midi, à 189 mètres d'altitude. Il marque la séparation entre le Massif Central et les Pyrénées.
    ©  Fabien Bouillet

    Labastide d'Anjou

    Tout près du Seuil de Naurouze, la commune de Labastide d'Anjou est située dans le Lauragais. La beauté du site, qui s'étend sur 241 kilomètres, lui a permis d'être classé dans la liste du patrimoine de l'humanité par l'Unesco depuis 1996.
    ©  Jean-Pierre Mottay

    Castelnaudary

    Les couleurs de Castelnaudary le long du Canal.
    ©  Jean-Pierre Mottay

    Près de Castelnaudary

    Une maison éclusière près de Castelnaudary. Lors de votre promenade, renseignez-vous sur ce type d'habitat parfois proposé à la location.
    ©  illustrez-vous - Fotolia.com

    L'écluse de Guilhermin

    L'écluse de Guilhermin, à l'est de Castelnaudary.
    ©  Philippe Calas / www.canalmidi.com

    Bram

    Petit port situé à mi-chemin entre Castelnaudary et Carcassonne, Bram est une commune audoise. De nombreux bateaux de location attendent les visiteurs.
    ©  Marie-Claire Nocaudie

    A l'approche de Carcassonne

    A pied le long des berges, en vélo entre Carcassonne et Trèbes, en bateau ou en flânant au port de la ville, les promeneurs ont de multiples possibilités.
    ©  Géraldine Deveau

    "Villa Odette", Carcassonne

    Aux environs de la cité, des paysages pittoresques se dévoilent sous le regard des visiteurs. Des bateaux habitables et ne nécessitant pas de permis sont ouverts à la location afin de découvrir ce lieu par les voies navigables.
    ©  Géraldine Deveau

    Ecluse

    Un rideau d'eau à l'écluse près de Carcassonne. Le Canal du Midi compte 63 écluses qui permettent de franchir les dénivelés.
    ©  albillottet - Fotolia.com

    Le Minervois

    Région naturelle située dans la région du Languedoc-Roussillon, le Minervois est réputé pour ses vins, ses paysages vallonnés et ensoleillés et son rafraîchissant Canal du Midi.
    ©  Pat on stock - Fotolia.com

    Trèbes

    Ancienne ville romaine, Trèbes dispose d'un petit port de plaisance sur le Canal du Midi. Vous pourrez y effectuer une balade en vélo ou embarquer à bord d'une gabare traditionnelle.
    ©  Yvann K - Fotolia.com

    Le pont de la Rode, Trèbes

    Toujours dans les environs de Trèbes, le pont de la Rode, l'un des plus populaires du Canal du Midi.
    ©  Philippe Calas / www.canalmidi.com

    Olonzac

    Dans le département de l'Hérault, à quelques kilomètres du port de Homps, Olonzac est un charmant village au milieu des vignes.
    ©  Jean-Pierre Tolomio

    Le Grand Bief

    Le Grand Bief est la portion la plus grande de canal sans écluse, entre Argens-Minervois et Béziers, qui court sur 54 kilomètres.
    ©  Philippe Calas / www.canalmidi.com

    Paraza

    Le pont-canal de Répudre, près de Paraza, est le premier pont-canal construit en France, en 1676. Au milieu de sa façade on distingue une plaque de marbre rendant hommage à Paul Riquet.
    ©  Philippe Calas / www.canalmidi.com

    Le port du Somail

    Construit en même temps que le Canal du Midi afin de loger les bateliers, le port du Somail était un port "étape-auberge".
    ©  Jean Pierre Dromeray

    Somail, adorable village

    Le pont du Somail est typique de la première période du Canal du Midi. Pont dit "en dos d'âne", il permet d'admirer le hameau dans son entier. La chapelle date quant à elle du XVIIIe siècle.
    ©  joelle lampin

    Argeliers

    Péniche à Argeliers, village bordé à l'est par le Canal du Midi.
    ©  Herve LECLERC

    Le pont vieux d'Argeliers

    Le pont vieux d'Argeliers enjambe le Canal du Midi.
    ©  Philippe Calas / www.canalmidi.com

    Capestang

    Capestang dispose d'une halte nautique pour accueillir les navigateurs. Ne manquez pas la visite de la collégiale, d'où vous disposerez d'une vue magnifique sur le village.
    ©  Jean-claude FARO

    Vers Béziers

    Vers Béziers, la ville d'origine de Paul Riquet. Le Canal du Midi prend à l'entrée de la cité biterroise un nouveau visage, notamment grâce aux écluses de Fonsérannes.
    ©  Serge Gleizes

    Les écluses de Fonsérannes

    L'escalier d'écluses de Fonsérannes est un ensemble de huit écluses construites en 1697. Cet ouvrage spectaculaire franchit un dénivelé de 21,50 mètres sur une longueur de 300 mètres.
    ©  Philippe Calas / www.canalmidi.com

    Le pont-canal de l'Orb

    Construit au XIXe siècle, le pont-canal de l'Orb mesure 12 mètres de haut, 240 mètres de long et 28 mètres de large. Deux chemins de halage sont disposés de chaque côté.
    ©  Daniel Lapierre

    Cers

    Dans le département de l'Hérault, traversée par le Canal du Midi, Cers est réputée pour ses vins.
    ©  Philippe Calas / www.canalmidi.com

    Couleurs d'automne à Portiragnes

    Couleurs d'automne à Portiragnes. La saison automnale est l'occasion de visiter le Canal du Midi sans l'afflux des touristes estivaux. Vous pourrez y visiter une très belle église gothique en basalte, datant du XIVe siècle.
    ©  Philippe Calas / www.canalmidi.com

    Lever de soleil à Portiragnes

    Lever de soleil à Portiragnes.
    ©  Philippe Calas / www.canalmidi.com

    Le pont des Trois Yeux

    Entre Vias et Agde, le pont des Trois Yeux fait partie des 328 ouvrages conçus par Paul Riquet.
    ©  Philippe Calas / www.canalmidi.com

    Les ouvrages sur le Libron

    A Vias, les ouvrages sur le Libron constituent une machinerie unique. Ce pont-bâche mobile, constitué de diverses structures métalliques, a été réalisé pour permettre à la rivière le Libron de rencontrer le Canal du Midi.
    ©  Philippe Calas / www.canalmidi.com

    Marseillan

    Vers Marseillan, ville à quelques kilomètres d'Agde, non loin de l'endroit où le Canal du Midi se jette dans l'étang de Thau.
    ©  Jacques Veylet

    Agde

    Lors de son passage au niveau d'Agde, en automne.
    ©  Daniel Garcia

    Le port des Onglous

    Le port des Onglous est l'endroit où le Canal du Midi se jette dans l'étang de Thau.
    ©  Jean-Marcel Dellyes

    Le Canal du Midi en novembre

    Magnifique lever de soleil en novembre sur le Canal du Midi.
    ©  Philippe Calas / www.canalmidi.com

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