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    10 images de Natl. Geographic 2

     

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    Expression du Jour:

     

    Expression du Jour:  La critique est aisée, mais l'art est difficile (2 pages)

     

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    Citation de Cyril Connolly:  Un Gant de Velours

     

    Un Gant de Velours

     

    Si la vie est une main de fer, l'amour est son gant de velours.  Il nous enveloppe avec douceur et nous inspire.  Il est partout, mais il faut, pour s'en nourrir, commencer par s'ouvrir...

     

    Il ne faut pas chercher plus d'amour;  il est déjà là, partout autour de nous.  Il faut simplement que notre coeur y soit réceptif.

     

    Je vois l'amour comme la force de vie qui fait battre les coeurs et éclore les fleurs.

     

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    La plongée profonde s'avère risquée pour

    les mammifères marins

     

    Pour les cétacés et les pinnipèdes, chasser leurs proies en apnée à de grandes profondeurs représente un défi physiologique et physique extrême. Ils seraient même victimes de troubles du rythme du cœur.

     

     
     

    Le phoque de Weddell, de la famille des pinnipèdes, peut passer une heure à chasser des poissons à 600 m de profondeur. © Changehali, Wikimedia Commons, cc by sa 2.0

    Le phoque de Weddell, de la famille des pinnipèdes, peut passer une heure à chasser des poissons à 600 m de profondeur. © Changehali, Wikimedia Commons, cc by sa 2.0

     
     

    Capturer des poissons en profondeur pourrait être dangereux pour la santé des mammifèresmarins, indique une étude parue dans Nature Communication. Au cours des plongées, les animaux souffriraient d’arythmies cardiaques, autrement dit, leurs contractions du cœur deviendraient un certain temps irrégulières.

     

    Pour le démontrer, une équipe de chercheurs a mesuré une série de paramètres sur un groupe degrands dauphins (Tursiops truncatus) en captivité et sur un groupe sauvage de phoques de Weddell (Leptonychotes weddellii) en Antarctique. Au moyen d’un appareillage, ils ont étudié sur ces animaux la fréquence cardiaque, la profondeur des sondes — jusqu’à 200 mètres —, le comportement de nage, etc.

     

    Les scientifiques constatent premièrement que les mammifères adoptent autant que possible des nages de faible intensité durant les plongées. En revanche, la nage s’intensifie durant les comportements de chasse, en vue de capturer leurs proies en fuite. Ils notent aussi une chose inattendue : des arythmies cardiaques surviennent dans plus de 73 % des apnées en profondeur.

     

    Une explication serait l’envoi au cœur de signaux contradictoires : il est admis que la fréquence cardiaque de ces animaux diminue pour économiser leur oxygène, un phénomène appelé bradycardie. Et il semble qu’en revanche, la poursuite des proies augmente leur fréquence cardiaque (tachycardie).

     

    Les grands dauphins océaniques peuvent rester 15 minutes à 200 m de profondeur sans respirer. © Nasa, Wikimedia Commons, domaine public
    Les grands dauphins océaniques peuvent rester 15 minutes à 200 m de profondeur sans respirer. © Nasa,Wikimedia Commons, domaine public

     

    Le phénomène aiderait à comprendre les échouages

    de cétacés

     

    « Le cœur reçoit des signaux contradictoires lorsque les animaux se déplacent intensément en profondeur, ce qui arrive souvent lorsqu’ils commencent leur ascension, rapporte Terrie Williams, professeure d’écologie et de biologie évolutive à l’université de Californie à Santa Cruz, aux États-Unis, et auteur principal de la publication scientifique. Nous n’observons pas d’arythmies mortelles, mais cela met le cœur dans un état instable qui pourrait le rendre vulnérable aux problèmes », ajoute-t-elle.

     

    Son équipe remarque aussi que les phoques de Weddell alternent, dans leurs moments de prédation, de brèves poursuites avec des glissés moins énergivores. Selon les chercheurs, cette attitude leur permettrait d’éviter les conflits cardiaques ainsi que les arythmies associées à la chasse.

     

    À les voir évoluer si facilement dans leur milieu, on pensait les mammifères marins adaptés entièrement à la vie aquatique. « Ce n’est pas le cas en matière de réaction à la plongée et de rythme cardiaque ; le système n’est pas parfait », rétorque Terrie Williams, même après 50 millions d’années d’évolution.

     

    Ces découvertes pourraient servir à mieux comprendre les échouages massifs de cétacés habitués des grandes profondeurs, comme les baleines à bec ou les baleines bleues. Exposées à des dérangements sonores occasionnés par des prospections sous-marines, par exemple, elles présenteraient les mêmes types de comportements associés à des anomalies cardiaques. « Cela soulève des questions sur ce qui se passe sur le plan physiologique lorsque des plongeurs extrêmes sont perturbés au cours d’une plongée et cela doit être approfondi », conclut Terrie Williams. Les travaux scientifiques pourraient par ailleurs être utiles à l’Homme, notamment pour expliquer pourquoi certains triathlètes sont victimes, au contact de l’eau, d’arythmies cardiaques parfois mortelles.

    Zoologie:  La plongée profonde s'avère risquée pour les mammifères marins

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    Un oeuf par jour sans problèmes

     

     

    L’oeuf est un aliment sain, complet et énergétique mais à cause du cholestérol, on hésite à le mettre souvent au menu. Pourtant, on peut manger un oeuf par jour sans problème. Rétablissons les faits.

     

    Un oeuf par jour sans problèmes

    iStockphoto.com

     

    «On peut manger un oeuf par jour sans problème, soutient le cardiologue Christian Constance, chef de l’unité coronarienne de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont. Selon lui, il faut rétablir la réputation de l’oeuf, aliment sain, complet et énergétique. «Les oeufs ont injustement écopé d’une mauvaise presse au début des années 1990 quand le cholestérol est devenu l’ennemi public numéro un, explique-t-il. Mais ce que nous savons aujourd’hui diffère un peu de ce que nous pensions à l’époque. Il faut nuancer.»

     

    Les vrais coupables

    Les vrais coupables sont en fait les gras trans et les gras saturés, qui accélèrent le dépôt de gras dans les vaisseaux sanguins, puis contribuent à déclencher la maladie cardiaque et les accidents vasculaires cérébraux. Beaucoup moins le cholestérol. «D’ailleurs, nous travaillons à bannir définitivement les gras trans de l’Amérique du Nord, lance le cardiologue. Essayons-nous d’éliminer le cholestérol? Non, pas du tout.» Il invite par la même occasion à se méfier de toute étiquette alimentaire annonçant «sans cholestérol». «Ça ne veut rien dire et ça cache souvent le fait que le produit peut être richement farci de gras trans et saturés, qui sont, et de loin, beaucoup plus dommageables.»

    Le cholestérol est indispensable à la vie, si bien que notre corps en fabrique. «On peut dire en gros que notre foie produit 50% du cholestérol et que l’autre 50% vient des aliments, explique le cardiologue. Si vous en mangez davantage, vous en fabriquez moins, et vice versa. Notre corps cherche un équilibre.» La proportion de cholestérol fabriqué par le corps et puisé dans les aliments varie d’un individu à l’autre. Par ailleurs, il faut dire que la moitié seulement du cholestérol alimentaire atteint le sang; l’autre moitié passe dans les selles.

    Un oeuf contient à peu près 200 mg de cholestérol, concentré dans le jaune, et 1,5 g de gras saturés, une dose négligeable. «Le problème, ce ne sont pas les oeufs, mais ce qui souvent les accompagne: bacon, saucisses, beurre, jambon... tous riches en gras saturés», illustre le cardiologue.

    Il recommandait auparavant à ses patients cardiaques de ne pas manger d’oeufs; aujourd’hui, il leur demande de s’en tenir à l’équivalent de un oeuf par jour ou de six oeufs par semaine. Le médecin utilise pour ce faire l’étude de Harvard portant sur un million d’individus en santé. «En scrutant leur diète, on a pu conclure que le fait de consommer jusqu’à six oeufs par semaine n’avait aucun effet sur la maladie coronarienne», dit-il.

    On sait aujourd’hui qu’une approche balancée, avec modification des habitudes de vie, rapporte beaucoup plus que de bannir quoi que ce soit de la diète : cesser de fumer, marcher de 5 000 à 10 000 pas par jour, perdre de 5 à 10 lb (2,5 à 5 kg) au besoin... Et les oeufs font partie d’une diète balancée.

     

    Oméga 3: encore mieux!

    Les oméga 3 protègent le coeur, assure le Dr Constance. En comprimés, il faut en prendre de 600 mg à 1 g par jour minimum. Cela n’éliminera pas la maladie cardiovasculaire, mais réduira les accidents d’à peu près 20% sur 5 ans. Par le biais de la diète, il faut consommer trois portions de poisson par semaine pour obtenir la bonne dose d’oméga 3. Or, il existe des oeufs dits oméga 3 parce que les pondeuses ont un régime riche en graines de lin. «Six de ces oeufs par semaine équivaut à deux plats de poisson, ce qui avantage les nombreux Québécois qui s’en tiennent à un seul repas de poisson hebdomadaire», illustre le cardiologue.

     

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