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    Humour 2:  Faut-il en rite ou en pleurer?

     

     

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    Humour 2:  Faut-il en rite ou en pleurer?

     

    Humour 2:  Faut-il en rite ou en pleurer?

     

    Humour 2:  Faut-il en rite ou en pleurer?

     

    Humour 2:  Faut-il en rite ou en pleurer?

     

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    Humour 2:  Faut-il en rite ou en pleurer?

     

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    Éphéméride 5:   Le 6 juin 2019

     

     

    Éphéméride du 157ème jour de l’année :

     

    6 juin

     

    Débarquement de la Normandie

     

    Éphéméride du Jour 5:   6 juin et le Débarquement de la Normandie

     

    Le débarquement de Normandie, également appelé débarquement en Normandie, ou encore débarquement allié en Normandie, nom de code opération Neptunec, est une opération militaire amphibie alliée de la Seconde Guerre mondiale lancée dans la nuit du 5 au 6 juin 1944.

    C'est la phase d'assaut d'une plus vaste opération qui vise à créer une tête de pont alliée de grande échelle dans le nord-ouest de l'Europe et l'ouverture d'un nouveau front à l'Ouest. Ce débarquement marque le début de l'opération Overlord, nom de code de la bataille de Normandie.

    Cette opération Neptune incluait de nombreux mouvements :

    la traversée de la Manche par plusieurs milliers de navires ;
    les opérations aéroportées américaine et britannique la nuit précédente ;
    les bombardements préparatoires aériens et navals des défenses côtières allemandes ;
    le débarquement des troupes dès le 6 juin au matin (« Jour J ») sur les plages du nord-est du Cotentin et de l'ouest du Calvados dans les secteurs (d'ouest en est) d'Utah Beach et Omaha Beach et de la pointe du Hoc pour les Américains, Gold Beach pour les Britanniques, Juno Beach pour les Canadiens et Sword Beach pour les Britanniques (incluant les Français libres des commandos Kieffer).
    Une fois les plages prises, l'opération se poursuit par la jonction des forces de débarquement et l'établissement d'une tête de pont sur la côte normande puis l'acheminement d'hommes et de matériels supplémentaires. Les jours suivants voient la mise en place des structures logistiques (ports artificiels Mulberry, oléoduc sous-marin PLUTO) pour le ravitaillement du front et le débarquement de troupes supplémentaires. L'opération cesse officiellement le 30 juin 1944.

     

     

    Saint du jour :


    Saint-Norbert, né en Rhénanie à Xanthen vers 1080, mort à Magdebourg le 6 juin 1134, devint évêque de Magdebourg en 1126, mena une vie édifiante après avoir été un abbé de cour et fonda l’ordre des Prémontrés en 1120.


    Étymologie :


    Norbert
    , du germanique north « nord », et berth « brillant »



    Autres prénoms fêtés ce jour :


    Bonne fête aux :
    Claude et ses variantes masculines Claudel, Claudi, Claudien, Claudio, Claudius et Claudy et féminines Claudette, Claudie, Claudia et Claudy.
    Norbert, et ses formes féminines Norberte et Norbertine.

    Et aussi aux :
    Agobard
    Goal, et ses dérivés bretons : Guoidwal, Guidguale, etc.
    Gurval, et ses dérivés bretons : Gurwal, etc.
    Marcellin et ses variantes Marcelin et Marcellino.
    Tawba, féminin



    Patron(nes) :


    Saint-Norbert
     est le patron des Prémontrés (plus rarement norbertins) « ordre canonial catholique » et Cisterciens.
    Saint-Claude de Jura est le patron des bimbelotiers, tailleurs de pierres et tourneurs.


    Dictons :


    Les bains que prend Saint-Norbert, inondent toute la terre.



    Quelques célébrations du jour :


    ►Journée de la langue Russe, fixée au jour de la naissance du poète russe Alexandre POUCHKINE. (Voir le 20 mars - Journées des langues à l’O.N.U.)
    ►Journée de la mini-jupe (2015)
    ►Journée mondiale de la maladie de Verneuil (2012)
    - Maladie chronique encore appelée « hidrosadénite », se caractérise par l’apparition de nodules cutanés douloureux et d’abcès provoqués par une inflammation des glandes sudoripares.
    ►Journée mondiale prévention des nuisibles (2017)
    ►Journée nationale des sapeurs-pompiers (1982) mais celle-ci n’est pas suivie.
    - Voir le 6 mai (2000) nouvelle journée, mais suivie cette fois.
    ►Semaine « Fraich’attitude » (2005) Promotion et information pour encourager les enfants à consommer des fruits et légumes frais {Date variable}



    Argentine : Fête de l’ingénierie argentine.
    Belgique : Anniversaire d’Albert II, 6ème roi des Belges.
    Bolivie : Fête des professeurs « Jour du maître », commémore la fondation de la première École normale à Sucre et la naissance de Modesto Omiste TINAJEROS, enseignant (Journée mondiale le 5 octobre)
    Chili : Journée nationale du commerce. Date à la mémoire de la mort de José de Diego Portales de Víctor Pedro y PALAZUELOS, marchand et ministre (1937)
    Corée du Nord : Jour de la fondation de l’union des enfants de Corée. Commémore la fondation en 1946 de l’union des enfants en Corée.
    Corée du Sud : Journée des Victimes de guerre ou fête du Mémorial, pour honorer les coréens morts sous les drapeaux et en particulier pendant le Guerre de Corée.
    États-Unis : Journée nationale de la Chorée de Huntington (Maladie héréditaire et orpheline)
    France : Normandie - Débarquement allié, sous le nom d’opération « Overlord » ou D Day, (6 juin - 21 août)
    Queensland (Australie) : Fête commémorant la naissance de l’État.
    Suède : Sacre de Gustav VASA (Gustavus Ier) en 1523 (Jour de l’indépendance, de l’Union de Kalmar ; Soit : Union des trois royaumes scandinaves de Danemark, Suède et Norvège), événement considéré comme la naissance de la Suède moderne. Fête de la constitution (1809, 1974) Fête nationale, férié depuis 2005 seulement.
    - Anciennement commémoration du drapeau de la Suède depuis 1983. (Voir le 6 novembre)



    Expression(s) :


    Parler ex professo.

    Parler en homme compétent, qui connaît parfaitement son sujet.

    Engueuler comme du poisson pourri.
    Accabler d’injures.


    Collectionneur(s) (Fin en : « Phile » - « Philie » - « Philiste ») :
    Horologionphile :
    Horloges - Pendules.


    Phobie(s) (Peur) :
    Extraphobie :
    Peur des suppléments.


    Infos diverses :
    Code QR
    Le code QRpedia vous fournit l’article Wikipédia correspondant en anglais, en espéranto, en russe, etc., en fonction de la langue de votre mobile.


    Humour :
    Une vielle demande à son mari qui s’affaire dans la salle de bain : Qu’est-ce que tu fais ?
    Je me lave les dents !
    Alors lave les miennes aussi, tu veux !

     

     

    Éphéméride 5:   Le 6 juin 2019

     

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    Route des grandes Alpes :

    itinéraire en 5 étapes

     

    Par Détours en France

    La route des Grandes Alpes, sans aucun doute l'itinéraire le plus prestigieux dont on puisse rêver en France. Des berges du lac Léman aux rivages de la Méditerranée en longeant quasiment la ligne de crête des Alpes ! Un parcours de plus de 700 kilomètres, 17 grands cols, la traversée de trois parcs naturels nationaux : de Thonon-les-Bains à Menton. Un itinéraire d'une petite semaine à prévoir pour en profiter pleinement. Et pour les plus courageux, certains cols valent le coup d’être gravis à vélo.

     

     

    Route des grandes Alpes
     
     

    C'est une route authentiquement historique que celle aujourd’hui appelée des Grandes Alpes. C'est en 1911 que fut conçu l’itinéraire dit « Route des Alpes », qui reliait entre eux tous les grands cols. Pour dire la dimension de cet immense chantier : les travaux s’achevèrent seulement en 1937, avec l’ouverture du col de l’Iseran. Pour faciliter la lecture, nous avons divisé cet itinéraire en cinq tronçons, de grand col en grand col. Ces parties ne doivent surtout pas être considérées comme des suggestions d’étapes, ces dernières dépendant de paramètres aussi divers que la puissance du véhicule utilisé, les conditions météorologiques, l’état de la route et de la circulation...

     

    Le massif de Aravis

     

    Dans le massif des Aravis (74), les chalets des Saytels sont situés au-dessus du Grand-Bornand et des combes des Aravis

    Du lac Léman au col des Aravis

    Entre Thonon-les-Bains (372 m) et le col des Aravis (1 498 m), on traverse tout le département de la Haute-Savoie, sillonnant les pays du Chablais et du Faucigny pour atteindre celui des Aravis. C’est le voyage aux alpages ponctués de chalets fleuris, terroir d’origine de l’abondance, la célèbre vache laitière qui, avec la tarine (quant à elle, originaire de Tarentaise) fournissent deux fromages fameux : l’abondance, dans le Chablais, et le reblochon, dans les Aravis. La Haute-Savoie a su conserver son authenticité. Et c’est peut-être dans ses vieilles stations de sports d’hiver que l’on s’en rend le mieux compte, ainsi Morzine, le Grand-Bornand (et son marché au reblochon) et la Clusaz. La hâte de s’attaquer aux cols alpins ne doit pas faire oublier le charme de Thonon, ville thermale au bord du Léman, qu'il s'agisse de sa plage, de son port ou des parcs autour du château. On pourra ensuite s’engager dans les spectaculaires gorges du Pont du Diable. À ne pas manquer en cours de route : le coup d’œil sur la chartreuse du Reposoir (après Scionzier) et le panorama depuis les cols de la Colombière (1 613 m) et surtout celui des Aravis où la vue s’ouvre sur le massif du Mont-Blanc, le toit de l’Europe !

     

    Photo de Thonon-les-Bains

     

    Thonon-les-Bains (74) et les montagnes du Chablais depuis la lac Léman

    Du col des Aravis au col de l'Iseran

    En franchissant le col des Aravis, on est passé de Haute-Savoie en Savoie, et avec les massifs du Beaufortain et de la Tarentaise, on entre dans les pays de la haute montagne. Et quel contraste entre montagne artificielle et sanctuaire de la nature sauvage ! La première est le domaine des grandes stations de sports d’hiver d’altitude : les Arcs, La Plagne, Courchevel, Méribel, Les Menuires et Val Thorens... Les embouteillages pendant les vacances d’hiver ont fait la réputation de la Tarentaise. Le sanctuaire alpin est le parc national de la Vanoise, que longe la Route des Grandes Alpes. Entrons donc directement en Vanoise. Comme la route s’élève au-dessus de Bourg-Saint-Maurice, l’ambiance minérale de la haute montagne s’impose. Ici, tout semble démesuré, à commencer par le barrage de Tignes décoré d’une fresque de 12 000 mètres carrés ! Puis avant Val-d’Isère, la vue depuis le téléphérique du Rocher de Bellevarde, qui laisse apercevoir le versant italien du mont Blanc. Et ensuite le Belvédère de la Tarentaise où la vue porte sur l’ensemble des sommets de la Vanoise. Encore une série de virages, et voici le col de l’lseran, à 2770 mètres d’altitude.

     

    Le hameau du Monal à Sainte-Foy
     
    Dans le massif de la Vanoise (73), en Haute Tarentaise, le mont Pourri et le hameau du Monal à Sainte-Foy : une montagne pleine de charme

    Du col de l'Iseran au col du Galibier

    Le col de l’Iseran nous fait passer dans la vallée de la Maurienne, longeant maintenant le flanc sud de la Vanoise, après avoir fait une halte au Belvédère de la Maurienne où le panorama est à couper le souffle avec, dans l’alignement du village de Bonneval-sur-Arc, la silhouette en forme d’enclume de l’Albaron (3 638 m). L’arrêt à Bonneval s’impose, pour apprécier combien ce village a su conserver son cachet ancien. À voir aussi, Vincendières et la vallée d’Avérole où se succèdent hameaux et oratoires, jusqu’à un refuge, au pied de l’Albaron. Un autre détour s’impose à Lanslebourg-Mont-Cenis, où la route nationale 6 monte vers le col et le lac du Mont-Cenis : si l’été, elle donne accès au val de Suse, en Italie, l’hiver, elle devient une piste de ski de descente ! À Saint-Michel-de-Maurienne, on n’est plus qu’à 654 mètres d’altitude! C’est pourquoi la pente est forte et les villages nombreux pour atteindre, en moins de 12 kilomètres, les 1 566 mètres du col Télégraphe puis la station de Valloire. Et ce n’est encore rien puisque, dans la foulée, nous attend le col du Galibier avec ses 2 646 mètres d’altitude.

     

    Sommet du col de l'Iseran
     

    Arrivés au col de l'Iseran, nous sommes à 2770 mètres d'altitude

    Du col du Galibier au col de Vars

    Du département de Savoie, nous passons à celui des Hautes-Alpes, franchissant tout de suite le col du Lautaret (2 057 m) où une longue halte s’impose. Son jardin alpin réunit 2000 plantes d’altitude en provenance de massifs du monde entier, tandis que le massif de la Meije et ses pics majestueux à plus de 3800 mètres valent aussi le coup d’œil. Descendant ensuite vers le Briançonnais, on longe la face nord-est du parc national des Écrins, défilant au pied de la Barre des Écrins et du Pelvoux. Pour ses remparts et sa citadelle, Briançon mérite l’étape : bien sûr, on remontera la Grande Gargouille, et au bout de la rue d’Asfeld, on appréciera la porte de la Durance et son fabuleux point de vue sur les vallées. Du Briançonnais, le col de l’Izoard (2 361 m) donne accès au massif du Queyras, et c’est peut-être ici que l’on mesure le mieux les différences d’ambiance entre Alpes du Nord et du Sud. L’itinéraire de la Route des Grandes Alpes ne pénètre pas dans le Queyras ; il serait dommage de ne pas faire le détour par Saint-Véran, un des plus beaux villages de toutes les Alpes, mais aussi réputé comme le plus élevé d’Europe, avec ses 2 040 m d’altitude. On descendra ensuite les gorges de la Combe du Queyras jusqu’à Guillestre où la route remonte, raide, vers le col de Vars. Notez, dès les premiers virages, la vue sur la remarquable forteresse de Mont-Dauphin, une des plus belles réalisations de Vauban. Au col de Vars (2 111 m), on entre dans les Alpes-de-Haute-Provence.

     

    Jardin botanique-alpin du Lautaret
     
    Dans les Hautes-Alpes (05), le jardin botanique alpin du Lautaret et le massif de la Meije, pour une pause végétale

    3 800 MÈTRES

    Une halte au col du Lautaret (2057 m) s’impose. Son jardin alpin réunit 2000 plantes d’altitude en provenance de massifs du monde entier, tandis que le massif de la Meije et ses pics majesteux à plus de 3800 mètres valent aussi le coup d’œil.

     

     

    Du col de Vars à la Méditerranée

    Au pied du col de Vars, on descend la vallée de l’Ubaye et à Barcelonnette, on s’engage dans une route étroite, plus sinueuse et plus raide que tout ce que l’on a pu connaître jusqu’alors. C’est la route de la Bonnette, réputée la plus haute de France, même si le col éponyme se trouve à « seulement » 2 715 mètres d’altitude. Et si ensuite, on roule dans les Alpes-Maritimes, on est loin d’en avoir fini avec la montagne. D’ailleurs, on traverse le parc national du Mercantour : sous le col, Saint-Dalmas-le-Selvage, Saint-Étienne-de-Tinée et Auron sont le point de départ vers les plus sauvages de ses sanctuaires naturels. Au bout des gorges de Valabres, après Saint-Sauveur-sur-Tinée, on rejoint le col Saint-Martin (1 504 m), porte de La Vésubie. On y trouve de vrais paysages alpestres. Plus au sud, le col de Turini est le dernier col vraiment montagnard du grand voyage commencé sur les rives du lac Léman. Si son altitude n’est que de 1 604 mètres, la route y est particulièrement étroite, sinueuse et escarpée. Mais ne pas hésiter non plus à faire le détour par le massif de l’Authion qui offre, depuis ses 2078 mètres, un panorama exceptionnel sur le sud des Alpes. Après un arrêt à Sospel, le col de Castillon marque le début de la plongée vers la mer puisque, à 706 mètres d’altitude, il n’est éloigné de Menton que de 24 kilomètres à vol d’oiseau.

     

    Ville de Menton
     
     
     
    Perle des Alpes-Maritimes, Menton et sa basilique Saint-Michel

    Les villas mexicaines de la vallée de l'Ubaye

    Au XIXe siècle, la vallée de l’Ubaye connut un mouvement d’émigration vers le Mexique, où plusieurs enfants du pays bâtirent des fortunes dans le commerce, la banque, le textile... On les appelait Barcelonnettes, du nom de la principale agglomération de la vallée. De retour en France, ils se faisaient construire des demeures dignes de leur nouveau rang social, parfois de véritables châteaux : les villas mexicaines. Il en existe encore plusieurs à Barcelonnette et à Jausiers où se trouve la plus extraordinaire d’entre elles : le château des Magnan.

     

    Partir à l'Aventure:  Route des grandes Alpes : itinéraire en 5 étapes

     

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    Les plus beaux villages médiévaux

    de France

     

    Par Clio Bayle
     
     
     

    Châteaux forts, maisons à pans de bois, ruelles pavées, demeures Renaissance… La France regorge de villages construits au Moyen-âge, ayant résisté aux assauts ennemis comme à ceux du temps, pour arriver quasi-intacts jusqu’à nous. Ils sont souvent juchés au cœur d’une nature sauvage et leurs vielles pierres exercent sur nous un irrésistible pouvoir d’attraction. Découvrez notre sélection des 20 plus beaux villages médiévaux de France.

     

    Village médiéval en Bretagne

     

    Le village de Locronan (Finistère)

     

     
     

    Le bourg breton de Locronan est classé au titre des Monuments Historiques depuis 1924. Ses pittoresques ruelles bordées de maisons Renaissance et d’échoppes artisanales vous disent sûrement quelque chose, car elles ont servi de décor à de nombreux films et téléfilms, dont Tess de Polanski, Chouans ! avec Sophie Marceau, ou encore Un long dimanche de fiançailles.

     

     

    Le village de Rocherfort-en-Terre (Morbihan) 

     

     
     

    La pierre et les fleurs ! Voilà qui résume parfaitement le village breton de Rochefort-sur-Terre, perché sur un éperon schisteux de la vallée du Gueuzon. Quelle diversité architecturale pour un si petit bourg : maisons à pans de bois, bâtiments de style gothique, demeures Renaissance, hôtels classiques, architecture XIXe… Le tout admirablement entretenu et fleuri. Rochefort-en-terre doit en grande partie son visage actuel au peintre américain Alfred Klots. Amoureux du village, il racheta les ruines du château au début du XXe siècle, et y investit sa fortune. Il impulsa de nombreuses activités touristiques et fut à l’origine du premier concours de fenêtres fleuries, en 1911.

     

     

    Village médiéval en Normandie

    Le Mont-Saint-Michel (Manche)

     

     
     

    Inscrit au Patrimoine Mondial par l'Unesco en 1979, le Mont-Saint-Michel s’élève tel un mirage au cœur de sa baie gigantesque. Son village, organisé depuis le Moyen-âge au pied de l’abbaye, sur le flanc sud-est du rocher, a depuis toujours une vocation commerciale, destiné à accueillir les pèlerins venus de tout l’Occident chercher auprès de Saint-Michel, archange du jugement, l'assurance de l'éternité.

     

     

    Village médiéval en Auvergne Rhône Alpes 

    Le village de Crémieu (Isère)

     

     
     
     

    Situé près de Lyon, le village médiéval de Crémieu possède un très beau patrimoine architectural, dont les vestiges les plus anciens, comme son château delphinal, remontent au XIIe siècle. Pour le découvrir, rien de tel que d’y aller durant les Médiévales, fin septembre, un week-end durant lequel la ville vibre au rythme des spectacles équestres, joutes et combats, jongleurs, échassiers hauts en couleurs, lanceurs de drapeaux, cracheurs de feu, musiciens et magiciens. Le samedi soir, un traditionnel banquet médiéval est servi sous l’impressionnante charpente en bois de ses halles du XVe siècle.

     

     

    Le village de Salers (Cantal)

     

     
     
     

    Comme posé au milieu des pâturages du Cantal, Salers semble un imposant vaisseau, enchevêtrement de toits de lauze, piqueté de tourelles, austère en hiver, mais majestueux. Son château des barons de Salers fut rasé sous l’ordre de Louis XIV en 1666. Heureusement, cette vindicte contre les nobles auvergnats a épargné la ville, aujourd’hui préservée. On découvre avec émerveillement ses hôtels particuliers des XVe et XVIe siècles, témoins de la richesse de la cité à l’époque.

     

     

    Le village de Blesle (Haute-Loire) 

     

     
     
     

    Ce bourg auvergnat, niché aux confins du Cantal et du Puy-de-Dôme, posté sur la route de Saint-Jacques de Compostelle, opère rapidement son charme sur les visiteurs. La bourgade, née autour d’une abbaye bénédictine du XIe siècle dont ne subsiste que la ravissante église Saint-Pierre, garde de son histoire religieuse et seigneuriale quelques superbes curiosités, telle quelques façades portant le blason des familles religieuses, sa « Tour aux vingt angles » et sa tour du Massadou (XIIIe siècle) juchées sur un piton rocheux.

     

     

    Village médiéval en Bourgogne

    Le village de Chateauneuf-en-Auxois (Côtes-d’Or) 

     

     

     

    Châteauneuf-en-Auxois est un superbe exemple de l'architecture militaire bourguignonne du XIVesiècle. Ses tours et courtines témoignent de la politique de défense engagée pendant la guerre de Cent Ans pour défendre les plaines de l’Auxois. Le village conserve de très belles demeures bourgeoises du XIVe, XVe, XVIe et XVIIe siècle, témoins de la prospérité marchande de la ville à l’époque.

     

     

    Le village de Vezelay – (Yonne)

     

     
     
     

    Quand on arrive à Vézelay depuis la route – elles viennent toutes du Sud –, le village s’étend au pied de la basilique Sainte-Marie-Madeleine, tel autant de joyaux échappés d’une malle aux trésors superbe. Ici, se côtoient beauté et sacré. Pour les ressentir tous les deux, il faut emprunter ses superbes ruelles baignées de lumière.

     

     

    Village Médiéval en Aquitaine Limousin Poitou Charentes

    Le village de Saint-Émilion (Gironde)

     

     
     
     

    Juchée au sommet d'une colline calcaire du Libournais, entourée de vignobles évidemment, la petite cité médiévale de Saint-Émilion a été bâtie au XIIe siècle. Ses tertres, nom donné aux ruelles pavées pentues de la région, se prêtent volontiers à la déambulation, surtout à la tombée du jour, quand les touristes se font moins nombreux, et que la lumière déclinante pare ses pierres de Gironde de teintes ocre. Le bourg a notamment conservé son enceinte, ses portes et une belle série de monuments archéologiques.

     

     

    Le village de Collonges-la-Rouge (Corrèze)

     

     
     
     

    C’est dans ce village aux confins du Quercy en 1982, qu’est née l’idée de l’association des plus beaux villages de France. Il faut dire que cet écrin rougeoyant, à l’architecture harmonieuse, a tout pour inspirer l’idée. Le bourg possède un exceptionnel ensemble de castels, notamment celui de Vassinhac, avec ses grosses tours, ou le Castel de Maussac, version miniature d’un château fort…

     

     

    Le village de Turenne (Corrèze)

     

     
     
     

    Ce village du causse corrézien, situé à quelques kilomètres au sud de Brive-la-Gaillarde, porte toujours avec fierté les marques de sa riche histoire et de sa splendeur passée. Parmi elles, de superbes maisons bourgeoises et hôtels particuliers des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, les tours César et du Trésor, vestiges du château dominant le village, et des demeures plus simples, mais tout aussi charmantes, arborant les couleurs du terroir : calcaire gris des causses, grès rouge ou jaune de Collonges et de Gramont.

     

     

    Village médiéval en Languedoc-Roussillon

    Le village de Saint-Guilhem-le-désert (Hérault)

     

     
     
     

    Au nord-ouest de Montpellier, se trouve l’un des plus jolis villages de l’Hérault. Construit autour de l’Abbaye de Gellone, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco au titre des Chemins de Saint-Jacques de Compostelle, aux abords de falaises vertigineuses, Saint-Guilhem-le-désert est un joyau serti dans un écrin de nature exceptionnelle, prisée des randonneurs. Le village peut s’enorgueillir de la proximité d’un autre site classé, celui du Pont du Diable.

     

     

    Village médiéval en Midi-Pyrénées

    Le village de Rocamadour (Lot - Vallée de la Dordogne)

     

     
     
     

    Encore un village qui ne ressemble à aucun autre. Accroché à flanc de falaise dans le canyon de l’Alzou, dans le Haut-Quercy, Rocamadour collectionne les trésors, et pas seulement religieux. Certes, son sanctuaire attire chaque année des milliers de pèlerins, qui gravissent parfois à genoux les marches qui mènent à la basilique ou à ses sept chapelles, mais elle a également d’autres atouts de taille, comme par exemple sa grotte des Merveilles, une grotte ornée paléolithique découverte en 1920.

     

     

    Le village de Bruniquel (Tarn-en-Garonne)

     

     
     
     

    Encore un village perché dans un écrin de nature extraordinaire ! Dominant la rivière Aveyron, Bruniquel est un bourg fortifié bâti en étages et surmonté non pas d’un, mais de trois châteaux : le château« vieux » du XIIIe siècle et le « jeune » du XVIe siècle. Au centre de l’ensemble, un donjon surnommé tour Brunehaut, en référence à la reine mérovingienne, à qui la légende attribue la fondation de Bruniquel.

     

     

    Le village de Cordes-sur-ciel (Tarn)

     

     
     
     

    Portes fortifiées, remparts, façades gothiques sculptées… Cordes-sur-Ciel annonce toute de suite ses couleurs médiévales. Dominant l’Albigeois, cette cité fondée au XIIIe siècle, a conservé les demeures luxueuses de son faste d’antan. Sur les riches façades de grès rose qui se succèdent le long des ruelles escarpées, nombre de sculptures fantastiques s’animent : dragons, monstres et de personnages grimaçants…

     

     

    Le village de Saint-Cirq-Lapopie (Lot)

     

     
     
     
     

    Le poète surréaliste André Breton y avait trouvé son « paradis terrestre » ! Il faut dire que le village de Saint-Cirq Lapopie a de quoi faire rêver, juché en surplomb au-dessus du Lot, et s’ouvrant sur le causse de Limogne. Ses belles façades blondes et ses toitures brunes, étagées à flanc de colline, sont surmontées d’un clocher fortifié, celui de l’église gothique du XVIe siècle, avec sa chapelle romane et sa terrasse offrant une vue inoubliable sur la vallée.

     

     

    Village médiéval en Provence 

    Le village de Gordes (Vaucluse)

     

     
     

    Perché sur le flanc sud des monts de Vaucluse, Gordes un village perché au charme irrésistible qui culmine à près de quatre cents mètres d’altitude. Il se distingue par ses ruelles en pente pavées, appelées calades. Bordées de hautes bâtisses de pierre sèche, elles forment un véritable labyrinthe dans lequel on se perd avec délice. Le meilleur moment pour s’y rendre ? Quand ses champs de lavande sont en fleurs et que les alentours du village s’habillent de mauve.

     

     

    Le village des Baux-de-Provence 

     

     
     
     

    Dominant la vallée des Alpilles, le village des Baux de Provence trône tel un vaisseau de pierre sèche au sommet d’un éperon rocheux de calcaire. Au sommet, les ruines de la « cité morte », ancien château médiéval des seigneurs des Baux, avec son donjon, ses tours et sa chapelle Sainte-Blaise, cohabitent avec les belles demeures restaurées du village.

     

     

    Village médiéval en Alsace

    Le village d'Eguisheim (Haut-Rhin) 

     

     
     
     

    Situé au cœur du vignoble d’Alsace, sur les derniers contreforts du massif des Vosges, Eguisheim est un véritable décor de carte postale. Les façades colorées de ses maisons à colombages Renaissance, ses rues pavées et fleuries enroulées en cercles concentriques autour de son cœur historique… Impossible de ne pas tomber sous le charme de ce joyau de la Route des vins.

     

     

    Village médiéval dans les Hauts-de-France

    Le village de Gerberoy (Oise) 

     

     
     
     

    Ne dit-on pas que tout ce qui est petit est mignon ? Avec moins de 100 habitants, Gerberoy, qui revendique son titre de plus petite ville de France, donne raison au dicton populaire. Située au sommet d’une butte, cette minuscule cité semble tout droit sortie d’un film d’époque. Rues pavées, maisons aux pans de bois et colombages colorés, briques roses, ardoises gris graphite… Ses nombreuses façades fleuries lui ont valu le surnom de « Cité des roses ».

     

    Photos-Villes du Monde 4:  Les plus beaux villages médiévaux de France

     

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