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    Balade en baie de Somme, entre terre et mer

    La baie de Somme, située en Picardie, est un territoire qui offre une belle harmonie entre terre et mer. L'Internaute Magazine vous propose une balade en images entre la pointe du Hourdel et celle de Saint-Quentin, qui délimitent la baie.
    ©  Pascal Van Belle

    Slikke et mollières

    C'est dans cette baie que la Somme, le fleuve, se jette dans la Manche. On y trouve donc une zone de vasières (localement nommée slikke), recouverte par la mer deux fois par jour, ainsi qu'une zone appelée schorre ou mollières, recouverte lors des marées à fort coefficient.
    ©  Véronique Missiaen - Galerie photo

    Une étendue de 70 km²

    La baie de Somme s'étend sur 7 000 hectares, soit 70 km². Elle est délimitée au sud par la pointe du Hourdel, s'enfonce à Saint-Valéry-sur-Somme, puis remonte vers Le Crotoy puis la pointe de Saint-Quentin-en-Tourmont.
    ©  Pierre Rougée - Galerie photo

    Le port de Saint-Valéry-sur-Somme

    Situé sur la rive sud de la baie de Somme, Saint-Valéry est un ancien port de pêche et de commerce. Aujourd'hui, il accueille aussi les plaisanciers. Il dispose de 250 places sur pontons et de 30 places pour les bateaux de passage.
    ©  Jean-Pierre Maillard - Galerie photo

    Le phare de Saint-Valéry-sur-Somme

    Cette photo du phare de Saint-Valéry-sur-Somme ressemble plus à un tableau... Elle procure une certaine sensation d'apaisement.
    ©  Odile Padé Guilbert - Galerie photo

    Rencontre avec les phoques

    Si vous voulez voir des phoques, c'est sur ce territoire picard qu'il faut vous rendre ! La colonie de phoques-veaux-marins de la baie de Somme, à la pointe du Hourdel (port de pêche de Cayeux-sur-Mer), est actuellement la plus importante des trois colonies de France et regroupe plus de la moitié de la population animale.
    ©  Evelyne Poesson Cotto - Galerie photo

    Menace d'ensablement

    A chaque marée, des sédiments sont chariés sur les côtes de la baie de Somme. Cela met en danger ce territoire, menacé d'ensablement.
    ©  Jean-Pierre Maillard - Galerie photo

    Zone de pêche

    La pêche est une activité phare de la baie : crevettes grise, coquilles Saint-Jacques, soles, raies, lottes... garnissent les filets des marins. La pêche à pied est également pratiquée dans les vasières.
    ©  André Dannely - Galerie photo

    Le parc ornithologique du Marquenterre

    Le mot Marquenterre vient de "Mares Kienterre" qui signifie "mer qui rentre dans la terre". Situé dans les terres, à l'écart de la baie de Somme, le parc est né en 1973, faute de pouvoir être transformé en terre agricole. Sur 3 000 hectares, il abrite plus de 280 espèces d'oiseaux, qui sont ici à l'abri des chasseurs et des gros prédateurs. Pour en savoir plus, consultez le diaporama sur le parc du Marquenterre.
    ©  Jean-Pierre Rochette / Marie Hacene / Bruno Hanniquet

    Balades à marée basse

    Pour visiter la baie, rien ne vaut une balade à pied dans les vasières et mollières. La première chose à faire est de vous renseigner sur les heures des marées avant de vous y aventurer. Il existe des circuits de visite accompagnée, à pied ou à cheval, avec un guide qui vous expliquera la vie de la baie. Pour votre sécurité, il est obligatoire de quitter la baie 3 heures avant la pleine mer.
    ©  Christian Dumont - Galerie photo

    Les dunes formées par le vent

    2 000 hectares de dunes, travaillées par le vent, rythment la baie de Somme. Le couvert végétal de ces bosses de sable comporte des plantes comme l'oyat, l'euphorbe maritime, la cakile maritime ou encore le sédum.
    ©  Véronique Missiaen - Galerie photo

    Le Crotoy

    Le Crotoy a été classé parmi les plus beaux et recherchés villages de France, d'après le magazine L'Express en 2004. Il faut dire qu'il possède de nombreux atouts : son port de plaisance et de pêche, ses nombreuses poissonneries, sa gare à l'allure d'antan, sa promenade de 2 km le long de la plage...
    ©  Aline Voivenel - Galerie photo

    Un paysage proche de celui du Mont Saint Michel

    La panorama rappellera certainement aux visiteurs qui y sont allés les paysages du Mont-Saint-Michel. La baie de Somme est soumise au même phénomène que celle de l'îlot rocheux : la mer entre plus rapidement dans la baie qu'elle ne peut en sortir.
    ©  Denis Lejeune - Galerie photo

    Sable original

    Dans la baie, rien ne ressemble vraiment aux plages classiques... Ici, le sable est strié en raison de la marée et prend une teinte particulière.
    ©  Marie Hasene - Galerie photo

    Un lieu prisé des cavaliers

    Si vous aimez l'équitation, la baie de Somme est faite pour vous. Les cavaliers profitent souvent du calme matinal pour sortir à cheval. Plusieurs associations ou établissements sont à votre disposition : Ecole d'équitation du Val de Selle du Crotoy, Ranch de la Baie des Phoques, Espace Equestre Henson dans le Marquenterre, Les Attelages de la Baie pour des promenades en calèche...
    ©  Isabelle Kovacs - Galerie photo

    Un spectacle magnifique

    La baie de Somme au soleil levant : un spectacle qui vaut le détour !
    ©  Régis Panlout - Galerie photo

    La hutte des 400 coups

    Située dans les terres, à quelques encablures de la mer, la hutte des 400 coups est l'une des curiosités de la baie de Somme. Erigée en 1904 par un passionné de gibier d'eau, au milieu du marais de Sailly-Bray, elle se fond parfaitement dans le paysage et permet d'observer en toute quiétude les oiseaux migrateurs : bécassines, sarcelles, canards pilets, chevaliers, grives, oies...
    ©  Jean-Pierre Maillard - Galerie photo

    La plage du Crotoy

    La baie de Somme est une destination prisée des touristes. Sur toutes les plages, la baignade est autorisée, même si peu pratiquée. De nombreuses activités nautiques sont également proposées : planche à voile, dériveur, kite-surf, char à voile et speed-sail, canoë et kayak de mer, catamaran... En revanche, les jet-skis sont interdits dans la baie.
    ©  DR / Archive de Madany Bordji - Galerie photo

    Balade en petit train

    Voici un moyen de locomotion original pour découvrir le site : le chemin de fer de la baie de Somme. Ce petit train à vapeur circule entre Le Crotoy, Novelles-sur-Mer, Saint-Valéry-sur-Somme et Cayeux-sur-Mer (en savoir plus sur Le Chemin de Fer de la Baie de Somme).
    ©  CFBS / Chemin de Fer de la Baie de Somme

    Calme du crépuscule

    A Saint-Valéry-sur-Somme, un soir d'été.
    ©  Denis Lejeune - Galerie photo

    Chalutier et baliseur

    Vous croiserez de nombreux chalutiers en baie de Somme. Mais le bateau "phare" du site est le Somme II, un bateau baliseur construit en 1950, restauré en 1983 et qui a cessé son activité en 1999. Ce navire, qui servait à la pose et l'entretien des balises et des bouées, a fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques en 2000. Il est actuellement en cours de restauration.
    ©  Marie Hacene - Galerie photo

    Polo sur la plage

    Plage du Marquenterre, Saint-Quentin-en-Tourmont.
    ©  David Pollet - Galerie photo

    Grandes marées

    Lors des grandes marées, l'eau est plutôt remuante dans l'estuaire... Ce phénomène naturel offre un spectacle intense.  L'attraction de la Lune sur la mer occasionne des nuances de couleurs, de lumières et des changements de paysages dignes d'un tableau impressionniste.
    ©  Jean-Pierre Maillard - Galerie photo

    Chevaux Hensons et Moutons pré-salés

    A marée basse, vous pourrez parfois apercevoir des moutons brouter dans la baie, sur l'estran. C'est le goût particulier de leur chair qui a inspiré leur nom de moutons pré-salés. Par ailleurs, la baie de Somme est également le lieu de naissance de la race équine des Hensons (photo).  
    ©  Dominique Prud'homme - Galerie photo

    Un lieu protégé

    La baie de Somme est un parc protégé, afin de sauvegarder la biodiversité et la richesse du site. Ses ressources sont exploitées dans le respect du milieu naturel.
    ©  Christian Dumont - Galerie photo

     

      

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  • Florence, rendez-vous avec la beauté

      

    Située en plein cœur des collines vallonnées de la Toscane, Florence est l'une des capitales mondiales de l'art. Pendant la Renaissance, la cité a illuminé l'Europe entière.
    ©  Catherine Targhetta

    Des cyprès sur les toits

    Façades élégantes aux couleurs chaudes mises en valeur par les cyprès, typiques de la région, Florence est une belle ville traversée par un fleuve : l'Arno. Ici, ses rives.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Le Ponte Vecchio

    Le Ponte Vecchio est le pont le plus célébre de Florence mais aussi le plus vieux. Il fut construit une première fois pendant la Rome antique, puis reconstruit au XIVe siècle. Depuis lors, il observe placide le cours de l'Arno et du temps.
    ©  Françoise Verkarre

    Bijoutiers et bijouteries

    Le Ponte Vecchio a la particularité d'accueillir des boutiques. A l'origine, il s'agissait de boucheries et de triperies, mais les Medicis n'en supportant pas l'odeur, elles furent remplacées par des bijouteries et des joailliers.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Les bijoux du Ponte Vecchio

    Quelques camées sur le Ponte Vecchio. En savoir plus sur le Ponte Vecchio
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    La Galerie des offices, un musée en or

    La Galerie des offices ("Galleria degli uffizi") est l'un des musées les plus importants d'Italie. L'impressionnante collection des Médicis, grands amateurs d'art, y est exposée. Vous y croiserez des ?uvres de Botticelli, de Léonard de Vinci, de Raphaël, de Michel Ange, de Titien ou encore du Caravage. En savoir plus sur la Galerie des offices
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Galerie des offices

    Devant la Galerie des offices à Florence, cette représentation de Hercule (Héraclès) et du satyre Cacus par le sculpteur du XVIe siècle : Baccio Bandinelli.
    ©  Jean-Louis Guianvarch

    La cathédrale Santa Maria del Fiore, dit "el Duomo"

    Sur la piazza del Duomo se trouve un somptueux tryptique architectural : la cathédrale Santa Maria del Fiore, son campanile, et son baptistère. Tous les trois sont de marbre blanc souligné de lignes et de figures vertes et rouges.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    A l'intérieur del Duomo

    La cathédrale est de style gothique, sa construction débute en 1296 et dure 140 ans. Près de 6 architectes se succèdèrent parmi lesquels Arnolfo di Cambio et Filippo Brunelleschi.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Sous la coupole

    La coupole de la cathédrale est aussi son morceau de bravoure. Il fallut 14 ans pour réaliser ce dôme monumental de 43 mètres de diamètre, disposé à 115 mètres de hauteur.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Détail de la coupole

    Le Jugement Dernier peint par Vasari au XVIe siècle assure plusieurs longues minutes de contemplation. Il est possible de monter sur la coupole (plus de 400 marches) et de se faufiler au plus près de la fresque.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Le baptistère

    Le baptistère est de forme octogonale et de style roman, sa construction remonterait au Ve siècle. On y observe notamment la "Porte du Paradis" réalisée par Lorenzo Ghiberti.
    ©  Claudine Crevola

    Sous le regard des papes

    Pour parfaire vos connaissances du site, direction le musée dell'Opera del Duomo où sont entreposées les œuvres qui ornaient, à l'origine, l'intérieur et la façade de la cathédrale.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    La Marie-Madeleine de Donatello

    Parmi les œuvres exposées, la Marie-Madeleine (Magddalena) du scupteur Donatello aux traits creusés et aux yeux caves. Elle date de 1455. En savoir plus sur le baptistère
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Les façades toscanes

    Entre deux musées ou deux églises, promenade dans les charmantes ruelles florentines...
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Le grandiose palais Pitti

    Construit pour la famille Pitti au XVe siècle, le palais Pitti possède une imposante façade de 200 mètres de long. A l'intérieur, il est possible d'y visiter la galerie Palatine, mais aussi le jardin Boboli (Giardino di Boboli) véritable puits de verdure au milieu de la ville.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Le jardin de Boboli

    De l'autre côté, un jardin planté sur la pente d'une colline au XVIe siècle, il offre ainsi un point de vue original sur Florence et ses monuments.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Au cœur de Florence

    Le jardin offre de belles allées ombragées, idéales pour une promenade au frais l'été. En savoir plus sur le palais Pitti et son jardin
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    D'un pont à l'autre

    Le ponte Santa Trinita face au ponte Vecchio fut construit au XVIe siècle, il est orné de quatre statues représentant les quatre saisons, ici l'été par Giovanni Battista Caccini.
    ©  Claudine Crevola

    Le voleur de bicyclette

    Charmante référence au cinéma italien et au film de Vittorio De Sica croisée au hasard d'une rue.
    ©  Renaldo Valentin

    Vintage et sacré

    Mais Florence c'est aussi une ville où il possible de faire du shoppping notamment sur la rue degli Strozzi où se trouve les boutiques de luxe. Ici, quelques accessoires vintage.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Dolce...

    Ici, la vitrine baroque et sucrée des stylistes milanais Dolce&Gabbana.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Ciao Pinocchio !

    Plus classique, ces Pinocchio en bois, parfaits pour des cadeaux-souvenirs aux parfums d'Italie. En savoir plus sur le shopping à Florence 
    ©  Isabelle Vaucher

    Sur la place Saint Marc

    La place Saint Marc et son église (à droite) et les incontournables petits bus jaunes qui sillonnent les rues de Florence.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Lumières de Toscane

    Lumières du crépuscule depuis le Ponte Vecchio. 
    ©  Jeanine Dubois

    David : l'icône

    Le David de Michel Ange, exposé dans son écrin de lumière à la Galleria dell'Academia, et une réplique sur la piazza della Signoria. Cette statue est considérée comme le chef d'œuvre de l'art de la Renaissance. Pour magnifier la beauté du héros, Michel Ange n'a pas respecté les proportions réelles du corps humain.
    ©  Michelle Tritan-Amiel / L'Internaute Magazine

    La basilique Santa Croce

    La façade immaculée de la basilique Santa Croce. C'est en sortant de cette église que l'écrivain français Stendhal fut frappé du syndrôme qui porte son nom : la contemplation de tant de beautés lui fit perdre connaissance.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Un haut lieu de civilisation

    Construite au XIIIe siècle, la basilique Santa Croce fut un carrefour pour les artistes, les hommes politiques et les théologiens d'Italie. Ici, deux splendides chapelles.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Les traces du sacré

    La nef de la basilique, et la relique de la tunique de Saint-François d'Assise, fondateur de l'ordre franciscain, exposée à l'intérieur.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Dante, figure locale... et mondiale

    Ici, un hommage à Dante Alighieri, né à Florence en 1265 et auteur de la Divine Comédie.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    "Et pourtant elle tourne..."

    On y croise également un mausolée à la mémoire de l'astronome et physicien Galileo Galilei né à Pise en 1564, et forcé d'abjurer ses théories par le Saint-Office en 1633.
    ©  Amandine Durad / L'Internaute Magazine

    Place sainte au crépuscule

    La Piazza della Santissima Annunziata bordée de gracieuses arcades à la tombée de la nuit.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    La basilique della Santissima Annunziata

    Près de la place se trouve la basilique du même nom. Elle fut fondée en 1250 par l'Ordre des Servites de Marie à l'emplacement d'une apparition supposée de la Sainte Vierge. Ici, un concert est organisé.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Marie des sept épées

    Dans l'une des chapelles de la basilique se trouve cette représentation de Marie, signature de l'ordre qui la représente avec sept épées dans le cœur, symbolisant les sept douleurs qui marquèrent son existence.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    L'ange Gabriel

    L'une des chapelles d'une grande finesse ornée d'une représentation de l'ange Gabriel.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    La chapelle de Très Sainte Annonciation

    Les encensoirs et les bougeoirs à l'entrée de la chapelle de style roman.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Florence by night

    Promenade nocturne sur les rives de l'Arno, particulièrement agréable l'été.
    ©  Claude Phily

    L'église Santa Maria del Carmine

    Peu engageante depuis l'extérieur, l'église Santa Maria del Carmine se révéle être un petit joyaux peu fréquenté. On y trouve un cloître encore en activité, et la voûte a été peinte par Domenico Stagi.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    La nuit tombe sur Florence

    Et les clochers des églises et des cathédrales se dessinent en ombres chinoises.
    ©  Amandine Durand / L'Internaute Magazine

    Fin de journée

    L'Arno aux couleurs de la Toscane.
    ©  Richard Moreau

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  • Les sites les plus spectaculaires d'Islande

      

    L'Islande est une petite île d'un peu plus de 100 000 km2 située sur le rift de Silfra à cheval sur les plaques tectoniques américaine et eurasienne. Cette situation géographique unique est à l'origine de phénomènes naturels exceptionnels. Ici, Landmannalaugar. Une zone située près du volcan Hekla en plein centre de l'île. L'activité volcanique donne aux terres des teintes irréelles.
    ©  Martin M303 Fotolia

    La terre brûlée de Namaskar Hverarond

    Autre "spot géothermique" : Namaskar Hverarond. La terre, rongée par l'acidité du souffre revêt des couleurs étonnantes. On trouve également sur ce site d'imposants fumerolles et des cratères de boue bouillonnante. 
    ©  Fyle Fotolia

    Thingvellir : un parlement dans la lave

    Thingvellir est à la fois un site naturel et un site historique. C'est ici qu'en 930 se rassembla le premier et plus vieux parlement du monde. Le site fut choisi pour son acoustique et sa situation géographique sur l'île. Toutes les familles de migrants récemment installées s'y retrouvaient et étaient représentées par 36 chefs de clan. Aujourd'hui, on trouve y la maison du premier ministre islandais.
    ©  Martin M303 Fotolia

    Le cratère Viti

    Situé sur le site volcanique de Krafla, le cratère Viti se caractérise par une belle couleur vert-bleutée qu'il doit aux algues qui s'y sont installées. Sa dernière éruption date du XVIIIe siècle.
    ©  Max Topchii Fotolia

    Les aurores boréales

    Lorsque les vents solaires s'échappent dans l'espace et viennent frapper la Terre, ils forment des aurores boréales visibles dans les régions situées à des latitudes proches des 70 degrés. Pour en voir en Islande, il faudra s'y rendre entre septembre et mars, puis attendre un ciel bien dégagé. Ces vagues multicolores envahissent le ciel aux environs de minuit parfois pendant plusieurs dizaines de minutes.
    ©  Boje10 Fotolia

    Geysir : le père de tous les geysers

    Voici Geysir, le plus célébre des geysers. C'est d'ailleurs à partir de son nom qu'a été imaginé le nom commun "geyser". Situé dans le Triangle d'Or (avec Gullfoss et Thingvellir). Il n'explose que 2 ou 3 fois par jour, quelques instants avant, un gros globe d'eau bleutée se forme (voir la photo). Néanmoins, les voyageurs peuvent se rabattre sur Strokkur, son voisin plus accommodant. 
    ©  Fyle Fotolia

    Strokkur : un geyser moins timide

    Et voici Strokkur qui explose toutes les 5 à 10 minutes et envoie de l'eau jusqu'à une hauteur de 20 mètres (contre une centaine de mètres pour Geysir.)
    ©  Andrea Izzotti Fotolia

    Blesi : la source d'eau chaude

    Voici une source d'eau chaude baptisée Blesi. Elle est située dans une zone géothermique particulièrement dynamique où se trouve également Geysir, le fameux geyser. En dépit d'une eau bleutée magnifique, il est déconseillé d'y mettre la main !
    ©  Fyle Fotolia

    Les baleines d'Islande

    Observer des baleines dans leur milieu naturel est une des choses les plus incroyables qui existent. Plusieurs spots d'observation existent en Islande depuis Reykjavik ou Husavik. On en voit toute l'année mais la période la plus propice reste juillet à octobre.
    ©  Defender06 Fotolia

    Jokulsarlon : entre le feu et la glace

    Attention : site exceptionnel. Jokulsarson est un lac glaciaire situé au bord de la mer et au pied du Vatnajokull, la deuxième plus grosse calotte glaciaire d'Europe. Des blocs de glace se détachent pour dériver sur le lac avant de rejoindre la mer et une plage de sable volcanique : tout simplement magique !
    ©  Max Topchii Fotolia

    Gullfoss : une chute d'or

    Impossible de faire l'impasse sur cette cascade magnifique qui se fige totalement pendant l'hiver. D'une largeur de 70 mètres, il s'agit en fait d'une succession de deux chutes d'eau d'une hauteur totale de 32 mètres.
    ©  Fyle Fotolia

    Skogafoss : le trésor derrière la chute

    Située dans le sud de l'île, près de la ville de Skogar, Skogafoss est très visitée (ce qui signifie une cinquantaine de personnes aux heures de pointe l'été.) Il est possible de passer derrière la chute où serait d'ailleurs caché un trésor (d'après la légende.)
    ©  Jirisykora83 Fotolia

    Les chevaux sauvages islandais

    Amenés en Islande par les Vikings, ces petits chevaux galopent en semi-liberté dans les plaines et les champs de lave. Leur importation fut interdite en 982 par le parlement islandais. Les chevaux que vous croiserez lors de votre voyage sont donc issus de lignées parfaitement pures depuis plus d'un millénaire !
    ©  Travelguide Fotolia

    Eyjafjöll en 2010

    En 2010, le volcan Eyjafjöll entre en éruption perturbant tout le trafic aérien dans le nord de l'Europe. Ici, une fontaine de lave.
    ©  Raymo

    Les fermes islandaises

    Traditionnellement, le toit des fermes islandaises était recouvert de tourbe, isolant très efficace pendant l'hiver. Aujourd'hui, les maisons islandaises sont en bois et en tôle mais vous croiserez sans doute quelques unes de ces petites habitations.
    ©  Kevin14 Fotolia

    Le Blue Lagoon : à faire !

    Le Blue Lagoon est l'un des sites touristiques les plus fréquentés d'Islande mais il mérite largement un détour. Il s'agit en réalité d'un très grand lac artificiel alimenté par les eaux de la centrale géothermique de Svartsengi. L'eau y est chargée en silice et à une température moyenne de 36 degrés. Particulièrement étonnant en hiver !
    ©  Max Topchii Fotolia

    Les bandes de macareux

    Ces petits oiseaux marins particulièrement identifiables se sont installés sur les falaises rocheuses islandaises. Pour l'anecdote, il est possible d'en déguster rôti !
    ©  Audrey Allix

    Reynisfjara, l'incroyable plage noire

    Reynisfjara est une plage de sable volcanique à flanc de falaise située près de Dyrhólaey. Pitons rocheux et bancs de sable donnent à ces paysages un air de bout du monde.
    ©  Gilles Vallard

    Skaftafell : un glacier en été

    Le parc national de Skaftafell a été fondé en 1967. Ici, une langue glacière accessible uniquement en 4x4. Lorsque l'été arrive, une partie du glacier fond laissant place à ce paysage incroyable et indéfinissable. 
    ©  Audrey Allix

    Dernière étape : marche sur le glacier

    Ce glacier couvert de cendres volcaniques est l'image de l'Islande : entre la glace et le feu.
    ©  Isabelle Godard

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  • Les plaines de Mongolie vues du ciel

    En Mongolie, on compte moins de 2 habitants au kilomètre carré (2,5 millions d'habitants pour un territoire grand comme trois fois la France). Une destination qui séduira les voyageurs en quête de grands espaces et de liberté.
    ©  Franck SIMONNET

    Cicatrices de la terre

    Ici, les steppes arides de Mongolie affichent un camaïeu d'ocre étonnant.
    ©  Franck SIMONNET

    Les dunes de Gobi

    Les formes abstraites des dunes du désert de Gobi
    ©  Franck SIMONNET

    Cette verte vallée

    Le lit asséché d'une rivière serpente à travers la steppe herbeuse.
    ©  Franck SIMONNET

    Alignement de yourtes

    Des yourtes, habitations traditionnelles en Mongolie, bien alignées. L'humidité qui s'en dégage a redonné un peu de vie au désert.
    ©  Franck SIMONNET

    Crêtes aux couleurs pastel

    La Mongolie, c'est aussi une chaîne de montagnes dont les sommets dépassent les 1 000 mètres d'altitude.
    ©  André MARTINEZ

    En direction des montagnes

    Le village semble bien petit au pied de ces montagnes...
    ©  Franck SIMONNET

    Traces et pistes

    Des véhicules en tout genre ont laissé leurs traces dans la terre du désert de Gobi.
    ©  Franck SIMONNET

    Les routes et les nuages

    Là encore, quelques traces humaines sous un nuage qui se promène à basse altitude.
    ©  Franck SIMONNET

    La faille

    Cette faille offre au paysage une étrange perspective et semble fendre la terre en deux.
    ©  Franck SIMONNET

    Terrain accidenté

    Les plaines laissent soudain apparaître une parcelle accidentée aux pics aigus.
    ©  Franck SIMONNET

    Rassemblement du troupeau

    Un troupeau chemine au milieu de nulle part...
    ©  Franck SIMONNET

    Aux portes du désert

    Le désert s'impose brutalement dans une vallée verdoyante.
    ©  Franck SIMONNET

    Aux abords de la ville

    Ces familles, récemment installées en périphérie de la ville, sont restées attachées à leur yourte, dernier lien avec leur ancienne vie de nomades.
    ©  Franck SIMONNET

      
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  • La côte sauvage entre Le Croisic et Le Pouliguen

    Du Croisic au Pouliguen, en passant par Batz-sur-Mer, Je vous emmène en balade le long de la "côte sauvage", en Loire-Atlantique.
    ©  Marie-A. D.

    Le chemin côtier

    Le chemin qui borde le littoral est absolument magnifique à cet endroit. Une végétation abondante, des rochers en dents de scie, les vagues qui viennent se jeter avec force sur le récif... La côte sauvage du Croisic porte très bien son nom et mérite le détour.
    ©  Aurélie Lorant - Galerie photo

    Rochers découpés

    A cet endroit, la côte est particulièrement rocheuse. Le Croisic, Batz-sur-Mer (prononcez "Bas") et Le Pouliguen ("Pouligain") sont en effet situés sur d'anciens îlots rocheux reliés au continent par un dépôt de sable.
    ©  David Landron - Galerie photo

    De jolies criques

    Entre Le Croisic et Le Pouliguen, les criques se succèdent, accessibles et sauvages en même temps.
    ©  direction de la Communication - ville du Croisic

    Le port du Croisic

    Le terme "côte sauvage" désigne plusieurs franges du littoral en France. Celle de Loire-Atlantique s'étale sur une douzaine de kilomètres entre Le Croisic, au nord, et Le Pouliguen, au sud. Ici, le port du Croisic, qui a su conserver beaucoup de charme.
    ©  Philippe Leprince - Galerie photo

    Vue aérienne

    Vue aérienne du Croisic, depuis un ULM.
    ©  direction de la Communication - ville du Croisic

    Le phare de la jetée du Tréhic

    A l'extrêmité de la jetée du Tréhic se dresse ce phare, construit entre 1839 et 1844. C'est d'ici que part la départementale 45, qui longe la côte sauvage jusqu'au Pouliguen.
    ©  Jean-Claude Lagarde - Galerie photo

    Un port de pêche important

    Le Croisic est le premier port de France pour la pêche à la crevette rose. Et si vous souhaitez déguster des langoustines, araignées, homards, langoustes ou palourdes, vous êtes au bon endroit !
    ©  Marie-A. D. - Galerie photo

    Le charme de vieilles maisons

    Profitez d'une halte au Croisic pour vous balader dans les ruelles de cette ville de 4 000 habitants. Toitures en ardoise (typiques de la région) et facades à colombages (beaucoup moins répandues !) vous attendent au détour des ruelles croisicaises.
    ©  Martine Caroff - Galerie photo

    Coucher de soleil

    La beauté et le calme de la côte sauvage s'apprécient aussi pleinement au moment où le soleil disparaît à l'horizon.
    ©  Raphaël Landais - Galerie photo

    Les salines

    La côte sauvage s'insère dans la presqu'île guérandaise. Légèrement en retrait de l'océan, on trouve donc les fameux marais salants, qui font la renommée de la région. Le traict du Croisic (qu'empruntent les chalutiers pour rentrer au port) relie le port et la pointe de Pen Bron par un étroit passage. L'eau salée pénètre alors dans les terres pour alimenter les marais salants.
    ©  Gwenaële Le Moignic - Galerie photo

    Souffle marin

    Le vent est généralement de la partie quand on se promène sur la côte du Croisic ! Cela renforce l'impression de liberté en haut des falaises.
    ©  Jean-Paul Saillard - Galerie photo

    Un goéland argenté

    On croise essentiellement ce type d'oiseau en Bretagne et en Loire-Atlantique. En vous baladant sur la côte sauvage, n'hésitez pas à regarder la faune et la flore alentour, et pas uniquement la mer.
    ©  Edith Fernandez - Galerie photo

    Port-Lin

    Saint-Goustan, Castouillet, Sable menu, Crucifix... Le Croisic compte plusieurs plages agréables. Celle de Port-Lin (au pied de la falaise représentée sur la photo) est une plage de sable familiale, bordée de jolies villas balnéaires.
    ©  Marie-A. D. - Galerie photo

    Avis de tempête

    Les éléments se déchaînent sur la plage de Port-Lin au Croisic. Décembre 2007.
    ©  Marie-A. D. - Galerie photo

    Un lieu de balade privilégié

    Le sentier des Douaniers longe la côte sauvage. On peut le découvrir à pied (certaines portions sont faisables en vélo mais cela se complique à d'autres endroits). Si vous êtes allergique à la marche, sachez que le départementale 45 borde le littoral au plus près. Et rien ne vous empêche de vous arrêter quelques minute... Lire la suite   
    ©  Anette Montagne - Galerie photo

    Seuls face à l'océan

    Un lieu de promenade romantique, non  ? Contre-jour sur la côte sauvage, au Croisic.
    ©  Alice Delaigue - Galerie photo

    Le rocher de l'Ours

    La nature est parfois un véritable artiste, sculpteur à ses heures... Entre le Croisic et Batz-sur-Mer, ne ratez pas l'une des curisoités de la côte sauvage : le rocher de l'Ours. Si on regarde bien, on distingue une tête de plantigrade fixant l'océan.
    ©  Nestor Robin - Galerie photo

    Batz-sur-Mer

    Les marais salants sont également présents sur la commune de Batz-sur-Mer (3 200 habitants), au sud du Croisic. Ils couvrent même plus de 450 des 927 hectares de la superficie de la ville.
    ©  Edith Fernandez - Galerie photo

    Les falaises de Batz

    Le littoral batzien prolonge la côte sauvage avec ses falaises en granit et ses baies. Ici aussi les roches déchiquetées jouent avec l'écume des vagues.
    ©  Catherine Gil - Galerie photo

    La plage Valentin

    La plage Valentin se situe sur Batz-sur-Mer, juste après le Croisic, près de la pointe de Casse-Caillou. C'est Charles Louis Edouard Killian, dit Valentin, propriétaire du premier établissement de bains construit au XIXe siècle, qui a donné son nom à cette plage.
    ©  Arnaud Valdenaire - Galerie photo

    La Dilane

    La Dilane est un promontoire rocheux, situé à 16 mètres au dessus du niveau de la mer. Lors de la Seconde Guerre mondiale, l'armée allemande avait installé sur ce gros bunker une batterie de marine côtière. Le blockhaus abrite désormais le musée de la Poche de Saint-Nazaire.
    ©  David Landron - Galerie photo

    Le moulin de la Falaise

    Le moulin de la Falaise a été construit au XVIe siècle et déplacé en 1920 dans les dunes de Batz-sur-Mer. Renové en 1992, il est toujours en activité.
    ©  Marc Grenier - Galerie photo

    Le Pouliguen

    Après Batz-sur-Mer, on découvre Le Pouliguen. Le littoral de la commune est très différent d'un côté et de l'autre de la pointe de Penchâteau, qui s'avance dans la mer au milieu du Pouliguen. L'ouest de la pointe est un prolongement de la côte sauvage avec ses falaises rocheuses, tandis que l'est offre une plage beaucoup plus lisse, dans la prolongement de celle de La Baule.
    ©  Sébastien Virot - Galerie photo

    Plage du Pouliguen

    Depuis plus d'un siècle et demi, Le Pouliguen est une station balnéaire très prisée. L'arrivée du train en 1879 (et du TGV depuis plusieurs années) y a beaucoup contribué. La plage du Nau, très large, accueille de nombreux touristes l'été. La population de la commune passe alors de 5 000 à 40 000 habitants en août.
    ©  Marie-Paule Euzénat-Vintenat - Galerie photo

    Le port de plaisance

    Le Pouliguen est réputé pour son port de plaisance.
    ©  Philippe Leprince - Galerie photo

    Sur le front de mer

    Sur le remblais, prenez le temps d'admirer les vieilles demeures bourgeoises du Pouliguen.
    ©  Danielle Niellez - Galerie photo

    Vue de La Baule

    Fin d'après-midi sur la plage de La Baule, le soleil se couche sur Le Pouliguen.
    ©  Nathalie Hobé - Galerie photo

    La plage Benoît

    Au sud du Pouliguen se trouve la commune de La Baule et sa très longue plage Benoît (qui porte le nom de l'architecte qui a aménagé le lotissement de la plage ouest de la station balnéaire). Mais là, c'est un autre paysage qui s'offre aux randonneurs, une autre balade vers Pornichet, Saint-Marc-sur-Mer et Saint-Nazaire...
    ©  Jean Sauvaget - Galerie photo

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