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Cavalier des steppes en Asie centrale
© Nicolas Ducret
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Les paysages montagneux d'Islande sont
magnifiques, voici quelques photographies
pour le prouver
L'Islande : son climat, ses habitants, ses volcans, mais surtout ses paysages fascinent de plus en plus de personnes à travers le monde. Il faut dire qu'avec tous ces talentueux photographes qui nous offrent énormément de clichés époustouflants de ce pays, il y a de quoi fasciner.
Alban Henderyckx est un photographe français qui aime rendre compte de la beauté fabuleuse de cette île nordique, notamment de ses paysages montagneux et de ses geysers. Pour certaines de ses prises de vue, il raconte qu'il avait passé "plus de 24 heures éveillé".
Bien sûr, ça donne envie mais il faut aussi avoir l'âme d'un grand aventurier pour parcourir ces chemins pentus et escarpés !
Source :Boredpanda.com
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Des photographies en noir et blanc
reprennent progressivement leurs couleurs
grâce à des GIF
La colorisation d'anciennes photographies en noir et blanc a connu un bel essor depuis plusieurs années. Grâce à Internet, de nombreux artistes ont pu partager leur travail, permettant ainsi de (re)découvrir des scènes d'antan sous un nouveau jour.
Voici donc une nouvelle approche à ce phénomène. Le site néerlandais NSMBL a en effet mis en ligne une série de GIFs, des images animées, qui mettent en scène cette colorisation. On peut y voir des photographies de John Fitzgerald Kennedy, Martin Luther King ou encore d'autres scènes plus banales.
L'effet produit est saisissant : on a l'impression de voir quelqu'un retoucher ces clichés en direct avec un logiciel. D'une image en noir et blanc toute simple, l'on passe progressivement à une photographie en couleurs (même si certains clichés présentent quelques défauts dans leur colorisation).
Source :Mymodernmet.com
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20 animaux aux couleurs inattendues,
mais naturelles
Les photos qui vont suivre ne sont pas photoshopées (promis), ces couleurs sont naturelles et nous prouvent une fois de plus à quel point maman la Nature peut être surprenante. Qu'ils soient noirs, roses, jaunes, ou bleu, ces 20 animaux sont étrangement colorés, mais bien réels, et illustrent parfaitement toute la palette de couleurs disponibles dans nos lointaines contrées :
Le Ayam Cemani, le coq noir
Le Ayam Cemani est une race Indonésienne de poulet très rare (et très chère). Particularité de ce coq, il est complètement noir, de la tête aux pattes et même ses os.
Cette limace rouge
Cette grenouille jaune (Indian Bullfrog)
Ce homard bleu
Seulement un homard sur quatre millions est bleu, une mutation génétique qui rend cette créature hors du commun.
Ce corbeau albino
Cet écureuil
Ou ce paon
Cet escargot de mer couleur pourpre, couleur de la royauté
Cette perruche verte et bleue
Ce homard chimérique
Le cardinal rouge
Ce pigeon de nicobar
Ce criquet arc-en-ciel
Ce crabe d'Halloween
Ce dauphin rose
Un dauphin qui vit exclusivement en rivière, donc un dauphin d'eau douce
Cette mante religieuse rose
Ce serpent coloré (Regal Ringneck Snake)
La guêpe coucou
Cette sauterelle rose
Et la "fourmis de velours" (Mutillidae)
En raison de leur apparence intermédiaire entre les fourmis et les guêpes
Source :Boredpanda.com
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Cavalier des steppes dans les plaines d'Asie centrale
Cavalier émérite amateur de voltige cosaque, Nicolas Ducret s'est lancé le défi de traverser l'Asie centrale à cheval. Parti seul depuis les contreforts de l'Altaï avec un étalon et un hongre de bât, il chemine sur plus de 3 000 kilomètres, franchissant les monts Célestes et les chaînes du Pamir et de l'Hindu Kush.
© Nicolas DucretL'aventure commence au Kazakhstan
Mai 2007, Nicolas Ducret débarque au Kazakhstan dans les montagnes de l'Altaï à la frontière avec la Russie, la Mongolie et la Chine. Il lui faut trouver deux chevaux qui seraient capables de le mener sur plus de 3 000 km, de l'Altaï à Kaboul, à travers la steppe kazakhe, les Tian shan, le Pamir et l'Hindou-Kouch.
© Nicolas DucretDans la chaleur d'un foyer kazakhe
Début juin, après avoir acheté deux chevaux, il quitte son refuge de l'Altaï et se lance seul sur les pistes de l'Asie centrale. Le soir, il trouvait souvent la chaleur d'un foyer et le goût amer de la vodka qui réchauffait les corps et les esprits.
© Nicolas DucretLe collecteur de lait aux aguets
Le collecteur de lait se rend au volant de son camion-citerne de ferme en ferme.
© Nicolas DucretSur les traces des fermes collectives soviétiques
Des sovkhozes, il ne reste plus rien, seulement des ruines, des véhicules rouillés et des pancartes reconverties.
© Nicolas DucretDans l'aridité des steppes
En dehors de la frange est du pays, la steppe sèche et ensoleillée s'étend sur des milliers de kilomètres.
© Nicolas DucretVacances d'été à la kazakhe
Durant les vacances d'été, les enfants partent dans les pâtures avec leurs parents et participent pleinement aux travaux quotidiens.
© Nicolas DucretUn panneau de ci de là
Des panneaux apparaissent parfois dans l'isolement des steppes, comme pour rappeler que la vie ne s'est pas arrêtée.
© Nicolas DucretLa dure épopée du cavalier
Nicolas Ducret parcourait avec ses deux chevaux près de 35 km par jour en s'arrêtant quelque temps toutes les dizaines de jours.
© Nicolas DucretAu pays du nomadisme
Les montagnes kazakhes se couvrent 6 mois par an de yourtes et de bétail.
© Nicolas DucretUn cavalier honorable
Il existe une étrange solidarité entre les cavaliers, fils du vent et de la steppe. La nuit, il y en a toujours un pour l'héberger.
© Nicolas DucretArrivée aux Monts Célestes
La porte d'entrée des Monts Célestes était ce col à 3 800 mètres que Nicolas Ducret franchît sous la neige. De l'autre côté, un ancien poste de contrôle soviétique lui servit de refuge.
© Nicolas DucretL'étape difficile : la chaîne du Ferghana
Franchir la chaîne du Ferghana fut très dur pour les chevaux. Il passait des journées à chercher d'hypothétiques cols dans des pierriers interminables, où la vitesse tombait à 3km/h.
© Nicolas DucretUn lait pas comme les autres
Aux cascades de thé succédaient bientôt des litres de Kumus (lait de jument fermenté) qui le nourrissaient quotidiennement, sans avoir vraiment le choix...
© Nicolas DucretSeul au monde
En entrant dans les Monts Célestes, Nicolas Ducret traversait des régions si isolées, que même les populations semblaient avoir fui ces conditions de vie difficiles.
© Nicolas DucretA proximité de la frontière tadjike
Entrée dans le village de Sary Tash, dernier village avant la frontière tadjike. De là, il organise le ravitaillement en orge pour la traversée du Pamir.
© Nicolas DucretCavalier devant l'éternel
Ce n'est pas le poids des années qui le maintient au fond d'une yourte. Avec l'âge, les anciens troquent leurs chevaux pour un âne, bête plus calme.
© Nicolas DucretKirghizes sur le chemin du retour
Début septembre, les Kirghizes prennent le chemin du retour. L'herbe dans les pâtures est pauvre. Désormais, il lui faudra acheter de l'orge pour nourrir ses chevaux.
© Nicolas DucretAux petits soins des chevaux
L'herbe était si rare dans les montagnes du Pamir qu'il était obligé de donner 8 kg d'orge chaque jour à chaque cheval, en 5 repas. Les chevaux transportaient près de 100 kg d'orge afin d'avoir l'autonomie nécessaire.
© Nicolas DucretLe lac Karakul
Le lac Karakul, non loin de la frontière tadjike, se dresse à 4 000 mètres. Son eau est salée et une herbe jaune et desséchée pousse sur ses bords. Nicolas Ducret y est passé deux jours pour que les chevaux se reposent avant d'attaquer quatre jours de désert.
© Nicolas DucretUn cheval bien fatigué...
Tsigane, le meneur de la caravane, avait perdu l'appétit, il était fatigué du chemin parcouru. Il sélectionnait les épis un par un, retardant au maximum le moment de brouter les herbes desséchées.
© Nicolas DucretLes femmes des terres tadjikes
Nicolas Ducret croisait souvent sur la route des femmes habillées de couleurs vives et qui parcouraient des kilomètres à pied d'un village à l'autre.
© Nicolas DucretLa lassitude des terres désolées
A progresser quotidiennement dans des terrains secs et pierreux, le moral des chevaux s'altérait et la lassitude s'installait.
© Nicolas DucretUn hôte sympathique du Pamir
Les peuples du Pamir sont d'une extrême sympathie. Chaque soir, une maison lui ouvrait ses portes et il passait de longues soirées à discuter en russe avec ses hôtes.
© Nicolas DucretLa fière allure de la caravane
Au sein de la caravane, une forte solidarité s'était forgée au fil des kilomètres.
© Nicolas DucretLes plateaux arides du Badakhschan afghan
En octobre 2007, la caravane atteignait les plateaux arides du Badakhschan afghan. Dans quelques centaines de kilomètres, elle arrivait à Kaboul.
© Nicolas DucretDans les vallées profondes de l'Hindou-Kouch
Nicolas Ducret employa un guide pour assurer les négociations avec les seigneurs de guerre puis la caravane s'enfonça dans les vallées profondes de l'Hindou-Kouch.
© Nicolas DucretLes tribus pashtounes
Les chameaux de Bactriane des tribus pashtounes arpentent les pistes depuis des siècles, transportant les marchandises de vallée à vallée. Ils sont devenus néanmoins plus rares que les camions bruyants.
© Nicolas DucretL'homme au turban
Les hommes enturbannés, nichés dans des palais construits sur les crêtes de montagnes, lui ouvraient leur demeure pour la nuit et lui offraient leur protection. On ne peut traverser l'Afghanistan sans l'aval des commandants, ex-seigneurs de guerre, aujourd'hui chefs de district.
© Nicolas DucretLe jeu du bouzkachi
Fin octobre 2007, Nicolas Ducret entre dans Kaboul. Il est invité à disputer le premier bouzkachi de la saison, célèbre jeu afghan où des hordes de cavalier en piste se battent des heures durant pour une chèvre sans tête.
© Nicolas Ducret
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