• Histoire...Le débarquement en images

    Le débarquement en images

    Le jour le plus long en images

    Le 6 juin 1944, se déroule "le jour le plus long" de la Seconde Guerre mondiale. Enfin, l'Opération Overlord aboutit. Hommes, navires, chars et avions débarquent sur les plages normandes pour libérer la France de la dictature nazie. De nombreuses répétitions ont été nécessaires pour organiser l'opération (photo).
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Soldats aux aguets

    A bord d'un LCA ("Landing Craft Assault" ou barge de débarquement), des soldats américains observent l'activité des plages. Ils ne sont pas les premiers : de nombreux navires et camions sont déjà sur place.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Une opération colossale

    Le débarquement est l'opération la plus grandiose de la Seconde Guerre mondiale : 7 000 navires, 11 000 avions, 160 000 hommes, 20 000 véhicules et 15 000 chars débarquent sur les plages normandes.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Vue aérienne

    Les Alliés ont surnommé les plages normandes du débarquement Utah, Omaha, Gold, Juno et Sword. Ici, un bombardier survole l'une d'entre elle sur laquelle on distingue les colonnes de fumée blanche laissées par l'impact des bombes.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Les tirs antiaériens

    Depuis leur bâtiment, des soldats de l'US Navy procèdent à des tirs antiariens à l'aide d'une mitrailleuse. Pendant la traversée de la Manche, les commandants des navires de guerre ont ordre de tirer sur tout avion volant à basse altitude, qu'il soit ami ou ennemi.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    La flotte armée

    Après avoir investi des plages, des immenses LST ("Landing Ship Tank" ou cargo du débarquement) déversent quantités de véhicules et de matériel. Pour empêcher toute attaque aérienne, les bâtiments sont reliés à des ballons dirigeables par des câbles d'acier. C'est moins le ballon qui les protège que les câbles qui pourraient couper les ailes d'un avion s'approchant de trop près.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    "Stars and stripes"

    La flotte alliée, qui navigue tous drapeaux dehors, avance dans des nuages de fumée artificielle formés à l'avant des bâtiments pour camoufler l'armada.  
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Touchés coulés

    Les passagers d'un navire en train de couler, très certainement touché par un bombardement, appellent à l'aide.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    La Normandie en ruine

    Les bombardements des Alliés ont détruit une grande partie de la Normandie, mais il n'existe pas d'estimation exacte des dégâts. Routes, villages, usines, télécommunications ont été victimes de "dommages collatéraux" et certaines villes, telles que Le Havre, ont été presque entièrement démolies.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Nom de code "Neptune"

    Le Débarquement a nécessité une organisation lourde et la mise en place de différentes opérations militaires. Notamment, l'opération Neptune qui désigne excusivement le débarquement de la flotte alliée sur les côtes normandes. Elle a permis de mener à bon port, le 6 juin 1944, 5 forces principales, une par plage, chacune subdivisée en 8 à 16 convois.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Vol à la tire

    Alors que la flotte de l'armada alliée traverse la Manche, 3 460 bombardiers lourds et 1 650 bombardiers légers et moyens larguent des centaines de bombes sur les fortifications du Mur de l'Atlantique.
    ©  Conseil Régionale de Basse-Normandie / National Archives USA

    Prisonniers de guerre allemands

    A la fin de la Seconde Guerre mondiale, 430 000 prisonniers de guerre allemands sont emprisonnés à l'étranger, dont 380 000 aux Etats-Unis. Ironie du sort, les "Liberty ships" (bateau de la liberté), qui ont servi à transporter soldats et marchandises à l'aller, sont mobilisés pour leur transport vers les camps américains.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    L'Opération Overlord

    Le débarquement a nécessité une préparation de longue haleine pour les troupes anglo-saxones. Entraînement des hommes, ravitaillement, armement, soins médicaux... Les Alliés ont tout prévu pour soutenir l'assaut en Europe. A droite, un camion chargé de réserves monte sur un LST, dans un port anglais. A gauche, des soldats britanniques s'entraînent en Angleterre.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    La chapelle de la Madeleine

    Des soldats du génie américain, qui viennent de débarquer sur Utah Beach, traversent ce qu'il reste de la petite Chapelle de la Madeleine et de son cimetière.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Ceux qui se battent prendront le train

    Des lignes de chemin de fer ont été tirées jusqu'à la mer pour permettre de placer directement les wagons sur rail à leur descente des navires. Ils étaient ensuite remplis d'armes, munitions ou ravitaillement.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    En attendant la Normandie

    Les soldats ont dû s'armer de patience. A gauche, deux USMP (Police militaire américaine chargée d'organiser le convoi de véhicules) attendent de charger leur jeep sur un bateau. A droite, des troupes américaines à bord d'un LCT (Landing Craft Tanks ou porte chars).
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Let's go !

    Les hommes sont lâchés ! Lourdement armés, les soldats alliés dominent la première journée de combat. Au soir du 6 juin 1944, le bilan est d'ailleurs plutôt positif. 156 000 hommes ont débarqué dont 73 000 unités américaines et 83 115 anglo-canadiennes. 10 000 d'entre eux ont néanmoins péri dans cette première journée.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Le port de Cherbourg

    Le matériel des Alliés est déchargé dans le port artificiel de Cherbourg, construit à côté de la plage Napoléon pour faire face à l'affuence de cargos. Moins de 15 jours plus tard, dans la nuit du 19 au 20 juin, le port artificiel a été détruit dans une tempête.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Les péniches de débarquement

    Dans le cadre d'un entraînement en Grande-Bretagne, des troupes américaines à bord d'un LCA s'apprêtent à rejoindre un navire de la flotte alliée.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Le Mur de l'Atlantique

    Dès 1941, les Allemands ont commencé à se prémunir contre une attaque par voie maritime. Ils barricadent le littoral atlantique, de la Norvège au Pays-Basque espagnol : des milliers de kilomètres de barbelés, de mines, de bombes forment le "Mur de l'Atlantique". Le front normand, sous la responsabilité de Rommel, est particulièrement protégé, notamment par une batterie d'artillerie.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    La mer comme ennemie

    Ces soldats sont sauvés in extremis de la noyade par leurs camarades. Deux possibilités peuvent expliquer leur détresse : soit ils ont été victimes des violentes tempêtes qui ont sévi sur la Manche les 4 et 5 juin 1944 ; soit leur embarcation a été détruite par un bombardement allemand.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Le dessous des cartes

    Quelques jours après le débarquement, deux soldats canadiens, qui ont vraisemblablement investi un ancien local nazi, observent une maquette des plages normandes.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / Archives Nationales du Canada

    Des soldats à flot

    Le 6 juin 1944, les barges du débarquement vont et viennent, déversant un flot continu de soldats.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Embarquement des prisonniers

    A gauche, un soldat des US Engineers (ingénieurs américains) inscrit le nom des prisonniers de la Wehrmacht. Celui-ci, de type asiatique, est surement un soldat de l'armée russe incorporé dans les rangs allemands. A droite, une longue file de prisonniers de la Wehrmacht est supervisé par des officiers britanniques.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Hôpital sans frontières

    Un hôpital de secours a été dressé en secteur américain, en pleine campagne, au moment de la libération de la Normandie durant l'été 1944. Les GI's américains disposent d'excellents soins médicaux car de nombreux appelés et volontaires sont médecins, chirugiens, infirmiers ou dentistes.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Air force américaine

    Les 82e et 10e divisions américaines ont été désignées pour être parachutées à l'ouest et au sud-ouest d'Utah Beach. Mais 75% des effectifs n'ont pas été largués au bon endroit, entraînant une désorganisation importante des opérations aéroportées. Un parachutiste s'est noyé dans un marais alors qu'un autre est resté accroché pendant 2h au clocher de Sainte-Mère-Eglise.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Fourbi sur Utah Beach

    Vélos, barbelés, barrières, caisses, hommes , armement... La plage d'Utah Beach s'est transformée en un vaste fourbi où quelques soldats, à gauche de la photo, font une pause déjeuner.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Le débarquement vu du ciel

    Sur ce cliché pris du ciel, on distingue clairement des navires de taille impressionnante ainsi que des chars d'assaut et camions qui pullulent sur la plage.
    ©  Conseil régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Renouvellement des troupes

    Au lendemain du D-Day, des troupes fraîches de l'armée américaine débarquent des LCM's ("Landing Craft Mechanized" ou plateforme flottante) et des LCT's (Landing Craft Tank).  
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

    Omaha Beach

    Cette prise de vue d'Omaha Beach illustre la prolifération impressionnante d'hommes et de matériel. En premier plan, des files de 6x6 et de jeeps s'apprêtent à quitter la plage alors que de nouveaux bâtiments, protégés par des dirigeables, accostent encore.
    ©  Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA
     

     
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