• Légendes du Pont Jaques-Cartier

     

     

    Légendes du Pont Jaques-Cartier

     

    Légendes du Pont Jaques-Cartier

     

    Trois faits historiques curieux concernant le pont Jacques-Cartier à Montréal :

     

    Selon les plans initiaux, le pont devait partir de la rue de Bordeaux. Cependant, Hector Barsalou, propriétaire d’une petite usine de savon dans la rue de Lorimier près du boulevard de Maisonneuve, refuse de céder son terrain pour laisser place à l’entrée du pont. Les lois d’expropriation des terrains donnant raison au propriétaire, l’emplacement de l’entrée du pont est donc changée.

     

    C’est après cet incident qui a coûté des millions de dollars à la municipalité et au gouvernement du Québec que la législation a été modifiée, donnant plus de pouvoir aux autorités pour résoudre ce type de problème.

     

    La pierre angulaire du pont, posée au moment du début des travaux de la construction, le 9 août 1926, contient une «capsule témoin de l’époque»: 59 objets les plus communs utilisés par les Montréalais dans les années 1920 y ont été placés. La capsule pourra être ouverte dans un futur lointain, lors de la démolition du pont. Cette pierre angulaire se trouve au coin des rues Notre-Dame et Saint-Antoine.

     

    Il existe une légende urbaine au sujet du pont. Certains prétendent que les quatre embouts de la travée principale du pont, qui ressemblent aux pieds de la tour Eiffel à Paris était destinés à l’origine à la construction d’une copie de cette tour à Montréal. Mais l’érection de cette tour Eiffel montréalaise aurait été annulée au moment de la Grande Dépression de 1929. Ceci est faux, car les premiers plans du pont, dressés en 1925, prévoient déjà ces embouts de six tonnes chacun.

     

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