•    

    Guêpe

    La guêpe est très répandue dans le monde entier. Sous ce terme générique de « guêpe », on trouve une multitude d’espèces différentes.
    En Europe, nous connaissons bien la guêpe germanique (Vespula germanica), la guêpe européenne commune (Vespula vulgaris) et la poliste (Polistes gallica). Ce sont des guêpes sociales faisant partie de la famille des Vespidae.
    Toutes les guêpes ne font pas partie des insectes sociaux.
    Certaines guêpes de la famille des Sphecidae sont des chasseurs solitaires. L’ammophile des sables (Ammophila sabulosa), très répandue dans le sud de l’Europe, en fait partie.

    La classification des guêpes varie selon les ouvrages. Je vous donne donc la classification la plus communément employée.
    Les guêpes sont des insectes de l'ordre des hyménoptères. Pour plus de simplicité, on peut les diviser en trois familles ou superfamilles :

    • Les guêpes fouisseuses (Sphecoidea)
    • Les pompiles (Pompiloidea)
    • Les guêpes sociales et guêpes maçonnes (Vespoidea)

     

    La piqûre de guêpe

    Comme chacun le sait, les guêpes peuvent infliger de douloureuses piqûres. En été, on n’a rien à craindre de la guêpe germanique, affairée à nourrir ses larves.
    Mais, elle se montre agressive en automne quand la colonie devient importante. Du citron sur une piqûre de guêpe soulage la douleur.

    Guepe. Vespula vulgaris

    Vespula vulgaris. By Bill Hails

    L’aiguillon piqueur de la guêpe germanique est un oviscapte modifié (conduit servant à la ponte des œufs).
    Il se compose de deux lancettes et d’un stylet relié au sac à venin.

    Les lancettes dentelées s’ancrent profondément dans la chair des victimes et constituent une arme redoutable.

    Guepe. Vespula germanica

    Vespula germanica. By quinet

    La guêpe utilise son aiguillon pour se défendre mais aussi pour chasser. Le venin est formé d’un mélange d’enzymes, de protéines et de diverses substances.

    Le plus grand nid de guêpes

    C'est en avril 1963, en Nouvelle-Zélande, qu'a été découvert un nid de guêpes mesurant 3,7 m de long, 1,75 m de diamètre et 5,5 m de circonférence.

    Ce nid pesait si lourd qu'il est tombé de l'arbre auquel il était suspendu. Il s'agissait très probablement d'un nid de guêpes germaniques introduites dans le pays.

    Les guêpes sociales

    Ces guêpes enroulent ou replient leurs ailes longitudinalement au lieu de les placer à plat sur le corps.
    Presque toutes ont une livrée à base de nuances de brun ou de noir et d’orange ou de jaune. Les espèces les plus répandues construisent des nids à base de papier fait avec des fibres de bois mastiquées.

    Nid de guepes

    Nid de guêpes. By *clairity*

    La reine, à l’aide de ses puissantes mandibules, arrache un morceau d’écorce qu’elle imprègne de salive. Elle obtient une pâte qui deviendra du carton en séchant.
    Par contre, certaines guêpes maçonnes qui vivent en société élaborent leurs nids avec de la boue dans les crevasses.

    Nid de guepes

    Zoom sur les alvéoles. By Sir Mildred Pierce

    C’est la poliste qui construit le nid le plus simple en forme de coupole, suspendu à la tige d’une plante basse.

    La guêpe germanique construit souvent un nid souterrain dans par exemple un ancien nid de souris.

    Guepe

    Bien que peu appréciée, la guêpe est un insecte utile. By Lida Rose

    Comme les abeilles, ces guêpes vivent en colonies avec une hiérarchie stricte. Reines et ouvrières collaborent pour l’élevage des larves.
    Elles reconnaissent leur appartenance à une colonie grâce à des phéromones spécifiques au nid.
    Les chercheurs ont découvert qu’elles retrouvent la position de leur colonie en se repérant en fonction de la position du soleil.

    Guepe. Poliste

    Polistes dominula. By Urtica

    En principe, la reine et les mâles sont plus gros que les ouvrières. Mais ce n’est pas une généralité. Chez la poliste, les trois catégories présentent le même aspect et la même taille.

    Guepe germanique

    Guêpe germanique. © Entomart.ins

    D’ordinaire, la reine hiberne puis fait un nid au printemps. Elle élève seule la première génération de larves. Cette première génération est composée d’ouvrières (femelles stériles).
    Trois semaines plus tard, elles sont adultes et la reine se contente alors de pondre.

    Guepe

    Vespula squamosa. By Opo Terser

    Les reines fécondées peuvent choisir le sexe de leur progéniture en retenant le sperme lorsque le choix se porte sur un mâle, car celui-ci est produit par un œuf non fécondé.

    Guepe

    By Goldmund 100

    Les ouvrières agrandissent le nid, nourrissent la reine et les larves, surtout de mouches riches en protéines.
    Les guêpes sociales sont omnivores mais ont une prédilection pour la viande.
    Dans le nid, les larves se développent dans les cellules des rayons horizontaux. Si la chaleur est trop intense, les ouvrières vont chercher de l’eau et en projettent sur la paroi externe du nid.

    Vers la fin de l’été, ne naissent plus que des femelles et des mâles, mais pas d’ouvrières. C’est le moment de la reproduction.
    Après l’accouplement, toute la colonie meurt, y compris l’ancienne reine.
    Seules survivent les femelles fécondées qui vont hiberner avant de fonder de nouvelles colonies au printemps.

    L’utilité des guêpes

    Vespula vulgaris est très utile dans les jardins car elle consomme une grande quantité de chenilles et autres insectes.

    La guepe est utile dans les jardins

    La guêpe est utile dans les jardins. By Aussie Gall

    Toutes les guêpes se nourrissent en grande partie d’insectes nuisibles, notamment pour nourrir les larves.
    Une guêpe est donc utile à l’équilibre du biotope. Il convient de ne pas systématiquement détruire tous les nids de guêpes à partir du moment où ils ne représentent pas de danger (dans une habitation par exemple).

    Nid de guêpes

    Nid de guêpes. By Cesarastudillo

    Les guêpes adultes se nourrissent également de nectar et de substances sucrées. En butinant les fleurs de nos jardins, elles participent à la pollinisation.
    De plus, elles chassent les insectes parasites du bétail.

    Les guêpes solitaires

    Les eumènes sont des chasseresses solitaires appartenant à la famille des Eumenidae. Elles ressemblent beaucoup aux guêpes sociales et possèdent la même coloration jaune et noire.

    Construit en argile, le nid ressemble à un petit flacon rond. Il est souvent construit dans les bruyères.
    La femelle s’attaque aux autres insectes, aux araignées et surtout aux chenilles. Lorsqu’elle attrape une proie, elle la pique sans la tuer. En effet, le poison est paralysant. Encore vivante, la proie est emmenée dans le nid qui sert aussi de garde-manger.

    Ce stock est destiné aux larves. Ces dernières sucent le suc des chenilles lentement. De ce fait, les proies ne sont pas en putréfaction mais ne succombent qu’après avoir été vidées entièrement de leur substance.

    Après avoir construit plusieurs nids, dans chacun desquels elle pond un œuf unique, la femelle meurt d’épuisement.

    L’ammophile des sables (Ammophila sabulosa) est très répandue dans le sud de l’Europe. Cette espèce fait partie des guêpes appelées communément "guêpes fouisseuses". En effet, la plupart des espèces nichent dans la terre des lieux sablonneux ou argileux avec une végétation assez riche.

    L'ammophile des sables possède une morphologie très caractéristique.
    C’est une guêpe noire dont l’abdomen est porté par une tige rouge, longue et grêle.

    Ammophile

    Ammophila sabulosa . By PaulT

    Elle fréquente plutôt les terrains sablonneux que le sable à proprement parler.

    Elle aussi entasse dans son nid des proies vivantes, paralysées par son venin. Après avoir installé la chenille, la femelle pond un œuf dessus, tout près de la piqûre.
    Ainsi, quand la larve mordra, la chenille sera insensible à la douleur et ne risquera pas d’attaquer la larve.

    La femelle est plus grosse que le mâle (24 mm contre 18 mm)

    V.Battaglia (03.05.2007). M.à.J 08.2012

    Pin It

  •   

    Coccosteus

    Parmi les Placodermes, des poissons à mâchoires possédant de lourdes cuirasses, Coccosteus était un prédateur rapide et charognard.
    Coccosteus vivait au Dévonien moyen en Europe et en Amérique du Nord. Bien plus petit qu’un autre célèbre Placoderme, Dunkleosteus, Coccosteus ne dépassait pas 40 cm de long.
    Les fossiles de Coccosteus ont été notamment mis au jour dans le bassin écossais connu sous le nom de Vieux Grès Rouges.

      

      

    Portrait de Coccosteus

    Malgré sa petite taille, ce poisson était un carnivore redoutable grâce à l’amélioration de l’articulation du cou.
    La tête et le corps sont articulés extérieurement mais une articulation interne s’est également développée entre le haut des vertèbres et la base du crâne, lui offrant ainsi une plus grande inclinaison de la tête.

    Illustration © Encyclopédie Könemann

    Coccosteus avait un bouclier céphalique divisé en deux parties, l’une sur la tête elle-même, l’autre juste derrière, au-dessus de la région de l’épaule.
    Ces deux pièces s’articulaient l’une sur l’autre grâce à un système de rotule, de chaque côté du corps.

    Tous les Placodermes possèdent cette articulation qui permet au bouclier céphalique de se soulever pour laisser se mouvoir la tête.

    Cette caractéristique lui procurait une plus grande ouverture de la bouche par rapport à ses congénères.

    Les mâchoires de Coccosteus étaient très développées ce qui intensifiaient ses capacités de prédation.
    Nul doute que ce poisson devait être redouté. Cependant, les mâchoires s’ouvraient d’une façon qui nous semble inhabituelle. En effet, c’était la tête qui se soulevait.
    La mâchoire inférieure s’abaissait également un peu. Les deux mouvements combinés procuraient une plus grande ouverture de la bouche.

    © Site btinternet

    Cette caractéristique fit des placodermes appelés arthrodires les plus féroces prédateurs marins du Dévonien.
    Leurs mâchoires mobiles leur permirent d’attraper et de malaxer les proies, fonction impossible sans mâchoires.

    L’autre avantage du système d’articulation est que le mouvement vertical de la tête lui permettait une plus grande aspiration d’eau vers les branchies.

    Trois espèces ont été répertoriées : Coccosteus cuspidatus, Coccosteus decipiens, Coccosteus minor.

    © S.J Gould

    Coccosteus se nourrissait de poissons non cuirassés de taille moyenne. On en a retrouvé dans l’estomac de plusieurs spécimens.

    Mais, lui-même, était la proie d’un gros poisson à nageoires charnues appelé Glyptolepis, mesurant un mètre de long.

    Les poissons des Vieux Grès Rouges

    Les couches du Dévonien sont très riches en fossiles de poissons. L’un des sites les plus importants se situe dans le nord de l’Ecosse.
    Au Dévonien, de grands lacs recouvraient cette région. En effet, la Grande-Bretagne était alors située au niveau de l’Equateur.
    Les lacs orcadiens semblent avoir été une étendue d’eau douce mais d’autres sites dévoniens étaient marins.

    © S.J Gould

    Les collectionneurs des années 1830 constatèrent que dans certaines couches de grès fin et de microgrès, de couleur rouge, on pouvait mettre à jour des dizaines de squelettes de poissons très bien conservés.

    Ces découvertes ont suscité un intérêt international et plusieurs ouvrages furent publiés à l’époque sur les fossiles découverts dans ce bassin.

    L’évolution des poissons a été complexe. Les Agnathes sont les poissons les plus anciens. Ils ne possédaient pas de mâchoires. Aujourd’hui, ils sont représentés par notamment les Lamproies.
    Les Agnathes sont apparues au Silurien.

    Au Silurien, à côté des Agnathes, apparurent les premiers Vertébrés pourvus de mâchoires. Il s’agit de la classe des Acanthodiens, dits « Requins épineux ».

    Au cours du Dévonien, les Placodermes firent leur apparition. Apparus tout d’abord dans les eaux douces, ils migrèrent ensuite dans la mer.

    © S.J Gould

    La classe des Placodermes est divisée en trois ordres :

    • Les Arthrodires
    • Les Antiarches
    • Les Rhénanides

    Les Arthrodires, dont font partie Coccosteus et Dunkleosteus, étaient les plus répandus et les plus spectaculaires.

    Brisbane (Southbank), Australia. By Cas Liber. Licence

    Les poissons sans mâchoires (agnathes) ne sont pas communs dans les couches des Vieux Grès Rouges.
    Par contre, les placodermes sont nombreux. Ces poissons ont été retrouvés dans toutes les parties du monde mais uniquement au Dévonien.
    C’est le seul grand groupe de poissons à avoir eu une durée de vie aussi courte.

    V.Battaglia (28.05.2007)

    Pin It

  •      

    Ammonite

     

    Les Ammonoïdes, plus communément appelés ammonites, sont des Mollusques qui font partie de la classe des Céphalopodes.
    Les Ammonites peuplaient déjà les océans au Dévonien.
    Si le corps mou des Mollusques ne se fossilise pratiquement jamais, par contre la coquille externe ou interne, se transforme parfois en calcite stable au cours de la fossilisation.
    Les Mollusques donnent des indications particulièrement utiles sur le milieu où se sont formées les roches sédimentaires.
    Les Ammonites sont les fossiles marins les plus connus et les plus abondants de l’ère Mésozoïque.
    Leur vaste distribution géographique leur donne une importance primordiale pour la subdivision stratigraphique des sédiments marins du Mésozoïque

     

    Caractéristiques des Ammonites

    Les Ammonites sont apparues au Dévonien inférieur.

    La coquille des Ammonites se fossile parfaitement à cause de sa structure calcaire résistante. C’est la seule partie de l’animal que l’on connaisse.
    Les parties molles du corps sont inconnues.

    Ammonite

    Ammonite du genre Amaltheus du Jurassique inférieur découverte en Angleterre. © dinosoria.com

    Elles possédaient des coquilles enroulées, dotées de chambres servant à régler la flottaison.

    La coquille est divisée en trois parties :

    • Protoconque ou chambre initiale
    • Phragmocône
    • Chambre d’habitation

    Morphologie Ammonite

    Schéma. Morphologie d'une Ammonite

    La chambre initiale la plus au centre est la cavité la plus ancienne. Elle représente le stade embryonnaire de l’animal. Quand la jeune ammonite devenait trop grosse pour sa loge, elle en construisait une à côté pour s’y installer.
    Le processus se répétait tout au long de sa croissance.
    Ainsi, les anciennes chambres vides lui servaient de caisson de flottaison.

    Ammonite

    Ammonite sectionnée, à l'intérieur de laquelle les eaux filtrant à travers le sédiment ont déposé de magnifiques cristaux de calcite. © dinosoria.com

    Le phragmocône est une longue partie cloisonnée, divisée par des cloisons convexes vers l’ouverture en de nombreuses chambres, probablement remplies par un mélange gazeux.

    Un organe membraneux, appelé siphon, traversait ces chambres pour pomper l’eau et remplir les loges de gaz. Ce système ingénieux permettait à l’ammonite de rester légère et de flotter.
    L’animal était relié à la coquille par ce siphon.

    Ammonites

    Les Ammonites étaient des Céphalopodes. © dinosoria.com

    L’animal vivait dans la dernière chambre, la plus externe, appelée chambre d’habitation. Cette chambre était ouverte vers l’extérieur. Il pouvait s’y retirer en refermant l’ouverture par un opercule calcaire (aptycus).

    On suppose que l’animal possédait les traits caractéristiques des Mollusques : yeux, mâchoires et tentacules.

    Ammonite

    Ammonite du Crétacé inférieur. France. © dinosoria.com

    Les coquilles sont souvent recouvertes d’une ornementation. C’est sur cette ornementation très variée que se fondent principalement les subdivisions en genres et espèces.

    La taille des ammonites allait de moins de 1 cm de diamètre à 2 m. Les dernières étaient de vrais géants et ont vécu principalement à la fin du Jurassique.

    Parapuzosia, une ammonite géante

    Parapuzosia, une ammonite géante. © dinosoria.com

    Des centaines d’espèces différentes ont évolué tout au long du Jurassique et du Crétacé.

    Il semble que les premières Ammonites avaient une coquille rectiligne. Elles commencèrent à s’enrouler plus tard, au Dévonien inférieur.

    Mode de vie des Ammonites

    On sait très peu de choses sur la vie des Ammonites. La reconstitution de leur mode de vie a été obtenue uniquement en observant leur nage.

    Des expériences ont été réalisées sur des modèles. On sait qu’elles se déplaçaient en maintenant vertical le plan d’enroulement de leur coquille et en gardant son ouverture tournée vers le bas.

    Il est presque certain que les Ammonites nageaient en pleine eau et non sur les fonds marins.

    Ammonite

    Ammonite du Jurassique découverte en France. © dinosoria.com

    Un certain nombre de fossiles d’Ammonites présentent des marques de dents disposées en rangées, et ces empreintes correspondent à la denture de certains mosasaures.

    Une grosse  Ammonite d’Amérique du Nord porte les traces de plusieurs morsures produites par un mosasaure géant du Crétacé supérieur.

    Ammonite

    Ammonite du Jurassique supérieur. Polyptychites sp. © dinosoria.com

    Les Ammonites étaient également appréciées des Ichtyosaures. Les Placodontes du Trias se nourrissaient en broyant des Mollusques dont les Ammonites.

    Déclin et extinction des Ammonites

    Au Jurassique, de grands changements affectèrent les mers, avec l’apparition des groupes de poissons modernes.
    Les Ammonites prirent leur essor au Jurassique.

    Ammonite

    Ammonite du Jurassique inférieur. Grammoceras sp. © dinosoria.com

    C’est avec le Crétacé que débute le déclin des Ammonites. Elles commencèrent à produire des formes aberrantes enroulées de manière irrégulière.
    Il semble que dès le début du Crétacé, l’extinction du groupe se préparait.

    Les Ammonites ont peuplé les mers pendant environ 330 millions d’années. Elles s’éteignirent complètement à la fin du Crétacé. Elles ont disparu en même temps que les dinosaures, les ptérosaures, les reptiles marins et plus de la moitié des différentes familles planctoniques dans la mer.

    Ammonite

    Ammonite du Jurassique supérieur. Lytoceras montanum. © dinosoria.com

    Les coquilles fossilisées sont les seules preuves de leur existence.

    On ne connaît pas les causes exactes de cette extinction. Tout au plus, on peut dire que l’extinction n’a pas été le fait d’une catastrophe subite mais d’un déclin progressif.

    On recourt très souvent aux Ammonites pour dater les sédiments marins. Elles donnent un niveau de précision atteignant souvent un quart de millions d’années, ce qui est très affiné, étant donné que ces couches géologiques s’étendent sur plus de 150 millions d’années.

    Classification: Animalia. Mollusca. Cephalopoda. Ammonoidea

    V. Battaglia  (01.2004). M.à.J 09.2009

    Pin It

  •  Incroyables Icebergs   

    Pin It

  • Vieillir en beauté


    C'est  vieillir avec amour,
    Savoir donner sans rien attendre en retour,
    Car où que l'on soit, à l'aube du jour.
    Il y a  quelqu'un à qui dire bonjour.

    Vieillir en beauté, c'est vieillir avec espoir.
    Être content de soi en se couchant le soir.
    Et lorsque viendra le point de non recevoir.
    Se dire qu'au fond, ce n'est qu'un aurevoir.

    Vieillir en beauté, c'est donner un coup de pouce.
     À ceux qui se sentent perdus dans la Brousse.
    Qui ne croient plus que la vie peut-être douce.
    Et qu'il y aura toujours quelqu'un à la rescousse.

    Vieillir en beauté, c'est vieillir positivement.
    Ne pas pleurer sur ses souvenirs d'antan.
    Être fier d'avoir des cheveux blancs
    Car pour être heureux on a encore le temps...

    Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son coeur.
    Sans remords, sans regrets, sans regarder l'heure.
    Aller de l'avant, arrêter d'avoir peur.
    Car à chaque âge se rattache un Bonheur...

    Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son corps.
    Se garder sain en dedans, beau en dehors.
    Ne jamais abdiquer devant un effort.
     L'âge n'a rien à voir avec la mort.....

    Auteur inconnu

    Pin It