• Les fresques italiennes du baroque aux Lumières

    200 ans des plus belles fresques italiennes

    Les éditions Citadelles et Mazenod ont publié en nvembre le quatrième volume d'une série consacrée aux fresques italiennes. De 1600 à 1797, retour en images sur les plus belles oeuvres, du baroque aux Lumières. Ici, Pierre de Cortone peint Les trois vertus théologales (foi, espérance, charité) confectionnant une couronne de lauriers autour des abeilles des Barberini (la famille propriétaire du Palais du même nom).
    ©  Antonio Quattrone, Florence

    Baroque à l'oriental

    Les fresques décoraient avec majesté les différentes pièces des palais ou villas italiennes. A gauche, un Jeune oriental tenant une poire (Stefano et Giuseppe Pozzi) qui orne le salon turc du Palais Colonna, à Rome. A droite, Giovanni Luigi Valesio a peint le plafond de la bibliothèque de la villa Ludovisi, à Rome également.
    ©  Antonio Quatrone, Florence / Luciano Pedicini, Naples

    Les voûtes du Palais Colonna

    Le Palais Colonna s'est transformé en résidence baroque au début du XVIIe siècle, grâce au travail de l'architecte Antonio del Grande. Ici, une partie du décor de la bordure de voûte, où sont représentés trophées, armes, armures, étendards et groupes de figures orientales.
    ©  Antonio Quattrone, Florence

    Le Palais Pitti, maison des Medicis

    Ottavio Vanini a peint sur le mur ouest du Palais Pitti, à Florence, cette fresque intitulée Laurent de Médicis avec des artistes et des vertus. Une façon de rendre hommage à "Laurent le Magnifique", ancien maître des lieux et grand protecteur des arts et des artistes.
    ©  Antonio Quattrone, Florence

    Les plafonds du Palais Colonna

    Un autre élément du décor de la bordure de la voûte, au Palais Colonna à Rome.
    ©  Antonio Quattrone, Florence

    Les trompe-l'oeil du Palais Pitti

    Les trompe-l'oeil se multiplient au cours du XVIIIe siècle dans les palais italiens. Au Palais Pitti, Angelo Michele Colonna et Agostino Mitelli les ont employés en nombre pour recouvrir les plafonds des trois salles de l'appartement d'été.
    ©  Antonio Quattrone, Florence

    Retour aux mythes païens

    Sur le mur est du Palais Pitti de Florence, Giovanni Manozzi a repris à son compte l'allégorie des Arts et des Sciences chassés du Parnasse. Une fresque gigantesque qui résume le programme iconographique du Palais Pitti, une synthèse entre allégorie, mythe et histoire.
    ©  Antonio Quattrone, Florence
      
     

     
    Pin It

  • Le Versailles d'argent du Roi Soleil

    Louis XIV, avec Versailles, avait voulu éblouir le monde. Pour y arriver, le Roi Soleil avait meublé son palais d'argent : trône, candélabres et balustres, créés par les plus grands artistes européens. Depuis novembre, l'exposition "Quand Versailles était meublé d'argent" vous entraîne dans ce monde de faste et de luxe. Réalisé par le peintre Philippe Laurent, ce trompe-l'oeil (photo) reconstitue à l'identique le trône d'argent de Louis XIV, tout comme les... Lire la suite   
    ©  J-M. Manaï

    Le lion de Rosenborg

    Ce lion d'argent brillant, doré sur les yeux et la crinière, est le protecteur des souverains danois. La plupart des pièces d'argent ayant été fondues par Louis XIV pour financer la guerre contre l'Europe protestante, les 200 pièces d'orfèvrerie qui composent l'exposition ont été prêtées par les cours européennes.
    ©  De Danske Kongers Kronologiske Samling / Kit Weiss

    Le trône du sacre

    Ce trône appartient aussi à la famille royale danoise. Il fut commandé en 1731 par Christian VI et la reine Sophie à l'occasion de leur sacre.
    ©  J-M. Manaï

    Cabinet d'argent

    Entièrement recouvert de plaques d'argent, ce cabinet a été découvert au château de Rosenborg, au Danemark, lors d'un inventaire en 1781. Mais son auteur reste inconnu. Son style et ses motifs rappellent toutefois l'orfèvrerie parisienne du temps de Louis XIV.
    ©  De Danske Kongers Kronologiske Samling / Kit Weiss

    Bassin du Kremlin

    En argent repoussé et ciselé, ce bassin représente "Les Captifs turcs devant l'empereur Léopold Ier" et provient du Grand Palais du Kremlin. Les bassins étaient fixés au mur comme éléments de décoration murale.
    ©  © Musées d'Etat du Kremlin, Moscou

    La table aux armes

    Le brillant de l'argent, éclatant de lumière, avait aussi son importance à la Cour des Stuart. Cette table en argent massif ciselé faisait partie de la collection du roi d'Angleterre Guillaume III. Il appartient toujours à la famille royale et fait partie du mobilier du château de Windsor.
    ©  Royal Collection Trust

    Le miroir d'Esterházy

    Ce miroir du maître strasbourgeois Johann Betz faisait partie du trésor Esterházy. Héritier de la maison hongroise, le comte Paul Esterházy voulait, comme le Roi Soleil, magnifier ses succès militaires et diplomatiques en Hongrie en se dotant d'une grandiose collection d'objets d'art. Haut de presque 2 mètres, ce miroir est composé de 6 feuilles d'argent, représentant des fleurs et des feuilles d'acanthe.
    ©  J-M. Manaï

    La passion de l'argent

    Mythique, légendaire, le mobilier d'argent de Louis XIV est l'apothéose du genre en Europe à son époque. Son exécution par les plus grands maîtres de l'orfèvrerie prit plus d'un quart de siècle. De ce Versailles meublé d'argent, il ne reste que les témoignages écrits des comtemporains ou des représentations iconographiques, à l'instar de cette tapisserie.
    ©  Photos RMN

    Les trésors du Kremlin

    Les musées du Kremlin ont contribué à l'exposition "Quand Versailles était meublé d'argent" en prêtant cette collection de bassins en argent datant du siècle du Roi Soleil.
    ©  J-M. Manaï

    Un buffet étincellant

    L'argent étincelait aussi sur les tables des cours européennes au XVIIe siècle. Cloches, assiettes, plateaux... Symbole du pouvoir et de la richesse, l'argent est utilisé pour tout.
    ©  J-M. Manaï
      
     

     
    Pin It

  • Splendeurs des cadeaux impériaux

    Le 24 novembre 2008, une centaine de cadeaux royaux et impériaux, offerts notamment par l'impératrice russe à sa s?ur Thyra, princesse du Danemark, sont mis en vente à Londres par la maison Sotheby's. La collection, estimée à 1 million de dollars, comporte de nombreux objets de Karl Fabergé. Ici, la pièce phare : un petit cadre argenté en forme de coeur avec or, émail et perles contenant un portrait miniature de l'impératrice Maria Fedorov... Lire la suite   
    ©  Sotheby's
     

    Une sonnette Fabergé d'or et d'émail

    Autre cadeau de l'impératrice à sa sœur Thyra, cette sonnette de Fabergé d'or et d'émail, fabriquée par Michael Prechin à Saint-Petersbourg. En forme de dôme, elle est de couleur lilas et l'émail est translucide. Son prix est estimé entre 47 000 et 71 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Une vasque d'or

    Cette vasque, également assemblée par Michael Perchin, possède une basse néo-rococo en or. Elle est marquée Fabergé avec les initiales du maître. Son estimation varie entre 31 000 et 71 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Oeuf, bonbonnière et poire en bowénite

    A gauche de l'image, cette bonbonière en or, plaqué d'argent et d'émail vert et guilloché  ainsi que l'œuf Fabergé servant de pot, situé en-dessous, d'or et de bowénite, sont estimés chacun etre 17 000 et 23 000 euros. La poire, également en bowénite, date de 1900 et est estimée entre 7 000 et 9 500 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Une tasse à thé avec une pierre de cornaline

    Cette tasse à thé Fabergé entièrement en or et recouverte de perles granulées d'or, porte sur le devant une pierre de cornaline, variété de quartz rouge. Son prix oscille entre 11 000 et 18 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Miniatures du Roi et de la Reine

    Ces deux miniatures représentent à gauche la Reine et à droite le roi Christian IX du Danemark, parents de la Princesse Thyra. Le portrait de la Reine est dans un cadre de ruban émaillé vert avec trois perles est estimé entre 950 et 1 400 euros. Le portrait du Roi comporte des guirlandes de fleurs à quatre couleurs et d'or, marqué Fabergé, est estimé entre 29 000 et 42 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Vase en néphrite avec saphirs incrustés

    Cadeau de l'Empereur russe Alexander III à la Princesse Thyra, ce vase en néphrite entouré par une guirlande de laurier mêlée d'or et de saphirs incrustés date de 1890. L'estimation de son prix varie entre 18 000 et 23 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Un pigeon aux yeux de diamants

    Ce pigeon, sculpté avec réalisme, est pouvru de pattes en or et ses yeux sont des diamants. Œuvre de Fabergé, l'écrin comporte une note écrite en anglais à la main  : d'Olga, Russie, Noël 1907. C'était un cadeau de sa belle-sœur, la grande-duchesse Olga Alexandrovna de Russie. L'estimation oscille entre 35 000 et 60 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Stylos Fabergé

    A gauche, ce porte-crayon Fabergé, émaillé de couleur or et jaune, cadeau de l'Impératrice Maria Federovna de Russie, est estimé entre 7 000 et 9 500 euros. A droite, ce stylo également Fabergé, réalisé en or et comportant des saphirs et des diamants, est estimé entre 6 000 et 8 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Un chat d'agathe aux yeux d'émeraude

    Offert également par l'Impératrice Maria Fedorovna à la Princesse Thyra, ce chat Fabergé en agathe possède des yeux en émeraude. Il est estimé entre 35 000 et 60 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Etui à cire

    Cet élégant étui à cire Fabergé, orné de guirlandes florales, est frappé des initiales de son artisan Michael Perchin. Son prix est estimé entre 20 000 et 30 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Un médaillon Fabergé

    Ce médaillon Fabergé renferme deux photographies noires et blanches de la Reine de Grèce Olga et de son mari le Roi George Ier. Il a été offert par le Roi grec à sa sœur, la Princesse Thyra, en souvenir de son mariage avec la Grande-Duchesse Olga, en octobre 1867. Il est estimé entre 3 500 et 6 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    En mémoire de l'Impératrice Maria Federovna

    Ce cadre photo Fabergé d'or et d'émail, en demi-lune, est composé d'une guirlande de laurier qui encadre la photo et au-dessus de guirlandes multicolores. Il représente l'Impératrice Maria Federovna qui l'a offert à la Princesse Thyra. Cet pièce est estimée entre 35 000 et 60 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Cadres-photos

    A gauche, ce cadre photo Fabergé, de forme rectangulaire, contient des panneaux réalisés en néphrite et entourés de laurier en or. A l'intérieur, sont représentés l'Impératrice Maria Federovna et le Grand-Duc Michel Alexandrovich. A droite, cette miniature représente la Princesse Thyra du Danemark, sur un support d'ivoire et d'argent, lui a été offerte par l'Impératrice. Ces deux objets sont estimés entre 23 000 et 35 000 euros chacun.
    ©  Sotheby's
     

    Une bonbonnière en forme de cœur

    Cette bonbonnière Fabergé en forme de cœur, réalisée en quartz sibérien, est bordé de diamants et d'un rubis. C'est également un présent de l'Impératrice Maria Fedorovna. Il est estimée entre 47 000 et 71 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Tablette et coupe-papier

    En haut à gauche, cette tablette à stylos Fabergé en or et néphrite est estimée entre 20 000 et 33 000 euros. Plusieurs coupe-papier réalisés en or et en néphrite sont vendus, comme à droite, ce cadeau du Roi grec George Ier, marqué du prénom "Willy", surnom de Guillaume, ancien prénom du Roi, alors qu'il était frère de la Princesse Thyra.  Son prix est estimé entre 8 000 et 11 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Portrait de George, duc d'York

    Ce cadre-photo en argent et à panneau rouge contient la photo en noir et blanc de George, duc d'York, qui deviendra ensuite George V d'Angleterre. Il est estimé entre 23 000 et 35 000 euros.
    ©  Sotheby's
     

    Tampons pour cacheter les enveloppes

    A gauche, ce cristal de roche Fabergé, en or et paré de bijoux et d'émail guilloché est estimé entre 9 500 et 14 000 euros. A droite, deux tampons pour faire des cachets de cire. Le premier, qui représente un hibou aux pieds d'or dont le col, en forme de dôme, est en émail et est estimé entre 35 000 et 40 000 euros. Le second tampon en bas, en forme de poisson, est en émail et en bowénite. La queue de l'animal et sa bouche sont en or.
     

     
    Pin It

  • Les trésors du Comte de Paris vendus aux enchères

    600 objets et souvenirs du Comte et de la Comtesse de Paris sont vendus aux enchères, par leurs successeurs, le 14 octobre 2008 à la maison Christie's. Parmi ces vestiges intimes, figurent six objets ayant appartenus à la famille royale lors de son passage à la prison du Temple. La vente devrait rapporter quelques 3 millions d'euros. Ici, cette paire de bracelets, monture or jaune, sertis de demi-perles fines et ornées de miniatures représ... Lire la suite   
    ©  Christie's

    Le rasoir de Louis XVI

    Le 13 août 1792 Louis XVI, Marie-Antoinette et leur famille étaient transférés à la prison du Temple où ils ont passé les derniers mois de leur vie. Le roi fût exécuté le 21 janvier 1793. Ce rasoir lui ayant appartenu, présenté dans un étui en maroquin noir, est estimé entre 600 et 800 euros. 
    ©  Christie's

    Un portrait de la Comtesse de Paris

    La majorité des souvenirs du Comte et de la Comtesse proviennent de leur appartement de la rue de Miromesnil à Paris. Ce portrait de la Comtesse Isabelle, signé et daté du peintre "A Vidal Quadras 56" en bas à droite est estimé entre 3 000 et 5 000 euros.
    ©  Christie's

    Une mèche de cheveux de Louis XVI

    Plusieurs souvenirs de l'emprisonnement de la famille royale ont échappé à la destruction grâce à la duchesse d'Angoulême et à deux fidèles des souverains, eux aussi enfermés au Temple durant les premières jours de captivité, Madame de Tourzel et le valet de chambre du roi Cléry. Cette mèche de cheveux de Louis XVI enfant en fait partie. Conservée dans un médaillon, elle est estimée entre 2 000 et 3 000 euros.
    ©  Christie's

    Un protefeuille brodé par Marie-Antoinette

    Ce portefeuille, estimé entre 12 000 et 15 000 euros, a été brodé par Marie-Antoinette durant sa captivité. Il est accompagné d'un fac-similé de la dernière lettre de la Reine. Un morceau d'une de ses robes et un volant de dentelles lui ayant appartenu estimés entre 4 000 et 5 000 euros, sont également vendus aux enchères.
    ©  Christie's

    Une bague contenant les mèches de la Reine et du Roi

    Souvenir de la reine Marie-Antoinette,  cette bague en or renferme une mèche de ses cheveux entrelacés avec ceux du roi Louis XVI. Son estimation varie entre 1 500 et 2 000 euros.
    ©  Christie's

    Broche en or jaune représentant Louis Philippe

    Cette imposante broche en or jaune, émaux et diamants, provenant de la reine Marie-Amélie est ornée de deux miniatures représentant le roi Louis-Philippe et son fils aîné le duc d'Orléans. Souvenir du Comte et de la Comtesse d'Orléans, elle est estimée entre 20 000 et 30 000 euros.
    ©  Christie's

    Miniature de Louis XVII en prison

    Souvenir de Louis XVII, cette très rare miniature le représente enfant, emprisonné au temple et est datée du 24 décembre 1794. Offerte à Madame Royale la veille de Noël 1794, elle porte l'inscription "Cher par son objet, cher par celui qui le traça, il est pour moi un gage de souvenir et de tendresse". C'est l'un des rares portraits du jeune roi au Temple. Elle est estimée entre 6 000 et  8 000 euros. 
    ©  Christie's

    Souvenir de la propriété de famille

    Parmi les objets et souvenirs vendus aux enchères, figurent 17 reproductions sur carton colorié de vues extérieures et intérieures du domaine du Cœur-Volant, près de Louveciennes dans les Yvelines, et qui fut la propriété du Comte et de la Comtesse. Le lot est estimé entre 300 et 500 euros.
    ©  Christie's

    Des objets d'art

    Dans l'appartement de la rue de Miromesnil, dernière demeure du Comte et de la Comtesse, demeurait une importante collection d'objets d'art. Il y avait par exemple un cendrier en porcelaine monté sur un guéridon, offert par la Princesse Grace de Monaco (estimation entre 800 et 1 200 euros). Ce grand vase de type "ru", en porcelaine de Chine à glaçure portant la marque à six caractères de l'Empereur Yongzheng (1723-1735) est estimé entre 80 000 et 120 000 euros.
    ©  Christie's

    Ivoire et jaspe

    La collection contient une soixantaine de sceaux en or, ivoire, bronze, argent, cristal... datant du XIXe siècle. Celui à gauche, qui a été réalisé en ivoire et qui représente un ange debout sur une sphère en plomb sur laquelle sont appliquées des fleurs de lys, est estimé entre 1 200 et 1 800 euros. Celui de droite, qui possède un manche en jaspe et pierres dures gravé des lettres "M.A" et qui est surmonté d'une couronne ... Lire la suite   
    ©  Christie's

    Portraits du Comte et de la Comtesse

    La collection comprend plusieurs tableaux dont deux portraits de Madame la Comtesse de Paris, née princesse Isabelle d'Orléans-Bragance (1911-2003). Celui-ci est l'œuvre du Brésilien Candido Portinari et est estimé entre 20 000 et 40 000 euros. Une esquisse d'un célèbre portrait du Comte enfant, par François-Xavier Winterhalter, estimée entre 80 000 et 120 000 euros, est l'une des œuvres phares de la vente.
    ©  Christie's

    Une paire de lunettes de Louis-Philippe

    Des objets ayant appartenus à différents régents sont inclus dans cette vente aux enchères. Parmi eux, cette paire de lunettes de soleil, siglée Bodson (estimation : entre 150 et 200 euros) ayant appartenu au roi Louis-Philippe, une paire de gants de la reine Amélie du Portugal (estimation : 300 à 500 euros), des cannes ainsi qu'un monocle du Duc de Chartres (estimation : 150 à 200 euros), sans oublier les alliances du mariage en 1767 de Philippe Egalité, Duc d'Orléans et de Marie-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre... Lire la suite   
    ©  Christie's

    Un presse-papier mouture vermeil

    <:FIGURE style="WIDTH: 630px" class=ccmcss_cms_figure>
    <:FIGCAPTION>Cette miniature ovale sur ivoire, par François Meuret, représente Louis-Philippe Albert d'Orléans, Comte de Paris, habillé en blanc. Montée dans un presse papier en héliotrope et mouture vermeil, elle est estimée entre 8 000 et 12 000 euros.

    Pin It

  •   

    Les affiches anciennes célèbrent de paquebots

    Le France est reconnaissable à ses quatre cheminées. Mis en chantier sous le nom de Picardie, ce paquebot est à l'époque le plus grand paquebot français et la puissance de ses machines en faisait alors le troisième bateau le plus rapide de l'Atlantique Nord. La sortie inaugurale du France se fera en avril 1912, quelques jours seulement après le naufrage du Titanic.
    ©  Ecomusée de Saint-Nazaire

    La Compagnie Générale Maritime

    C'est en 1855 qu'est créée la Compagnie Générale Maritime, future Compagnie Générale Transatlantique à l'initiative des frères Pereire. La compagnie est mise sur pied en englobant plusieurs activités, comme la construction, l'armement et l'affrètement des navires et comprenant également les opérations de commerce maritime.
    ©  Ecomusée de Saint-Nazaire

    La Compagnie des Messageries Maritimes

    L'histoire de la Compagnie des Messageries Maritimes commence par un service spécialisé dans le transport par diligence. Avec la concurrence du chemin de fer, la Compagnie se réoriente vers le transport par bateaux, qui desserviront dans un premier temps le bassin méditerranéen pour s'étendre en Amérique du Sud et en Extrême-Orient par la suite.
    ©  Ecomusée de Saint-Nazaire

    La grandeur du Queen Mary 2

    Le Queen Mary 2 témoigne de l'excellence de la construction navale française : c'est en l'an 2000 qu'Alstom est désigné pour diriger la construction du plus grand paquebot jamais construit à cette époque.
    ©  Ecomusée de Saint-Nazaire

    Le paquebot Colombie

    Le paquebot Colombie appartenant à la Compagnie Générale Transatlantique, est entré en service en septembre 1931. Il est à l'époque le plus gros et le plus luxueux des paquebots de la Compagnie sur le réseau desservant les Antilles. La couleur de la coque de ce paquebot a souvent changé : noire au départ, puis blanche en 1935 et à nouveau noire pendant la Seconde Guerre mondiale.
    ©  Ecomusée de Saint-Nazaire

    La Lorraine

    La Lorraine est le premier d'un ensemble de deux navires construits en parallèle, le second étant la Savoie. Il est mis en service en 1900 pour la ligne Le Havre - New York. Il subit malheureusement dès ses débuts des défaillances techniques.
    ©  Ecomusée de Saint-Nazaire

    Le troisième et dernier France

    Le France, construit dans les années 1960, sera le troisième et dernier du nom, construit par la Compagnie Générale Transatlantique. C'est ce paquebot qui fera le dernier voyage de la ligne Le Havre - New York, exploitée par la Compagnie depuis 110 ans.
    ©  Ecomusée de Saint-Nazaire

    Le succès du France

    Achevé en 1962, Le France effectue sa première traversée pour New York le 3 février 1962. Avec ses 315 m, il est à l'époque le plus long paquebot du monde et l'un des plus rapides. Mais la concurrence de l'avion se fait rude, même si ce bateau mythique rencontrera un succès certain.
    ©  Ecomusée de Saint-Nazaire
      
     

     
    Pin It




    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique