-
Par Frawsy le 22 Septembre 2016 à 15:02
D’Ingolstadt à Eichstätt, au fil du Danube et de l’Altmühl
Au fil du Danube. Sur France 3. Voyage le long du Danube, second plus grand fleuve d’Europe. Il prend sa source dans la Forêt-Noire. Le Danube parcourt plus de 3 000 kilomètres avant de se jeter dans la mer Noire.
Durée: 1h51
-
Par Frawsy le 22 Septembre 2016 à 15:01
Le lac Powell en Arizona
Pendant plus de 7 minutes, on survol le Lake Powell, dans l’Ouest Américain
Le lac Powell est un lac artificiel créé sur le fleuve Colorado par le barrage de Glen Canyon achevé en 1963. Long de près de 300 km, le lac se situe en Arizona et Utah.
-
Par Frawsy le 22 Septembre 2016 à 15:00
Embarquement immédiat ! pour moins
de trois minutes
Le Château du Taureau est un château bâti à Morlais, dans le département du Finistère, en région Bretagne, en France. Il fut bâti en 1542 pour protéger la ville de la menace d’invasion des Anglais. Il sera réaménagé, quelques siècles plus tard, par Vauban17
Le château du Taureau est situé dans la commune de Plouezoc'h à l'entrée de la baie de Morlaix dans le Finistère. Il est proche de Carantec. Il a été classé monument historique par arrêté du 29 juillet 1914.
-
Par Frawsy le 22 Septembre 2016 à 00:46
Brantôme, la Venise du Périgord
Publié le 16/08/2016Au nord de la Dordogne, Brantôme, petite cité de 2200 habitants est, telle une île, harmonieusement blottie dans les bras de la Dronne. La "Venise du Périgord", pimpante et romantique, célèbre pour son abbaye, garde aussi quelques mystères...
Brantôme dévoile tout son caractère : dans un écrin de verdure, cette bastide édifiée sur une île en forme de coeur se love amoureusement entre les deux bras de la Dronne
Début 2014, Brantôme accueillait le maire de Venise, Giorgio Orsoni. De passage dans la région, il tenait absolument à faire un détour pour découvrir l’homologue périgourdine de la cité des Doges, que l’on surnomme « la Venise du Périgord » – l’expression est attribuée au président de la République Raymond Poincaré en visite officielle dans la ville en 1913. « Il a été très charmé en découvrant sa petite sœur cadette ! », se félicite Fabrice Dubuisson, de l’office de tourisme. « Moi, je pense qu’on devrait plutôt appeler Venise, la Brantôme d’Italie », se gondole Jean, un Brantômais pur sucre.
Brantôme, "la plus ravissante et la plus féerique petite ville du Périgord"
Aux beaux jours, quand les bateaux promènent les touristes sur la Dronne, Brantôme prend plus encore des airs vénitiens ! Comme la ville italienne, la cité périgourdine a d’ailleurs ses joutes nautiques, chaque vendredi soir en été. Les rouges et les bleus s’affrontent pour un spectacle insolite sur la rivière, au pied de l’abbaye. Pour parfaire la comparaison, il faudrait encore évoquer la touche Renaissance italienne impulsée dans la cité au XVIe siècle par les abbés commendataires Pierre de Mareuil et Pierre de Bourdeille. Voyez le très romantique jardin des Moines, jalonné de reposoirs raffinés ! Toute proportion gardée avec la célèbre cité lacustre, Brantôme, 2 200 habitants, fascine, ne serait-ce que par sa configuration singulière. Il faudrait survoler la région en avion pour se rendre compte que le cœur du bourg est littéralement enserré par les eaux de la Dronne : cette ville-île n’est reliée au« continent » que par cinq ponts et passerelles ! « En fait, Brantôme est devenue une île au Moyen Âge lorsqu’un canal détournant la Dronne a été creusé dans le but de protéger la cité. Ce bras de rivière servait de défense naturelle ! », rappelle Fabrice Dubuisson.
En découvrant Brantôme aujourd’hui, impossible de ne pas succomber à son charme, avec ses maisons à galerie et volets couleur bleu ciel qui tranchent avec l’orangé des tuiles, quasiment les pieds dans l’eau. Impossible de résister à ses jardins léchant la rivière, ses guinguettes chics, ses marchés colorés, et son cœur de ville présentant de belles maisons Renaissance, comme dans la rue Joussan. « Il arrive que la nature et l’homme collaborent pour composer un chef-d’œuvre. C’est le cas de Brantôme, la plus ravissante et la plus féerique petite ville du Périgord », assurait l’écrivain André Maurois.
Joutes nautiques sur la Dronne : les deux équipes défilent devant l'abbaye
Des moines troglodytes et une abbaye au bord de la Dronne
Les premiers hommes qui s’établirent ici furent vraisemblablement des moines, qui y bâtirent une abbaye blottie contre les falaises, au bord de la Dronne. Détruite par les Normands, elle sera reconstruite au XIe siècle. De cette époque date le clocher qui est isolé de l’église – il passe pour être le plus ancien campanile de France. Quant aux bâtiments conventuels, ils ont été remaniés au XVIIe siècle. Le dortoir des moines, à l’étage, est exceptionnel, avec sa charpente en carène.
Blottis contre les falaises, les bâtiments conventuels (XVIIIe siècle) de l'abbaye Saint-Pierre abritent aujourd'hui la mairie et deux musées. À droite, l'ancienne église Notre-Dame
Sur les traces de Pierre Bourdeille
Militaire proche de la cour, Pierre de Bourdeille (1538- 1614), alias Brantôme, fut l’abbé commendataire de l’abbaye de Brantôme. Une chute de cheval le contraint à rester immobilisé. Il rédigera alors des chroniques acides sur les courtisans, dont le célèbre Vie des dames galantes. Outre l’abbaye de Brantôme, vous visiterez le château qu’il se fit bâtir à Saint-Crépin-de-Richemont, à quelques encablures de Brantôme. Cet édifice mi-gothique mi-Renaissance, qui se découvre au bout d’une longue allée d’arbres, a conservé intact la chambre de l’écrivain, ornée de boiseries. Vous pouvez prolonger votre circuit jusqu’au village de Bourdeilles, avec son magnifique château des XIIIe et XVIe siècles.
Dans les falaises de Brantôme, la grotte du jugement dernier
Derrière une façade si pimpante, Brantôme cache dans ses falaises bien des mystères... Les cavités naturelles furent occupées dès le VIIIe siècle par les premiers moines bénédictins. Ils creusèrent ensuite au fil des siècles de nouvelles galeries, s’en servant comme abris ou entrepôts. On y découvre aujourd’hui des pigeonniers, incrustés dans la falaise, un moulin, une fontaine aux eaux réputées miraculeuses. Mais le lieu le plus saisissant demeure la grotte dite du Jugement dernier, dans laquelle sont sculptés deux bas-reliefs monumentaux. Si celui qui occupe la paroi de droite s’analyse aisément - une Crucifixion qui daterait du XVIIe siècle - , celui du mur central, haut de 5 mètres, demeure une énigme. Un personnage grossièrement esquissé, aux allures de Christ en majesté, trône au-dessus de la Mort, encadrée d'anges sonnant de la trompette. Est-ce un triomphe de la Mort ? " Sans doute inachevé, le bas-relief aurait été exécuté au XVe ou au XVIe siècle, estime Fabrice Dubuisson. On ne sait qui l'a sculpté. Ce que l'on peut supposer, c'est que les moines bénédictins suivaient un ordre contemplatif, et qu'ils ont donc bâti un lieu de prière dans cet univers si singulier, comme coupé du monde.
La grotte du jugement dernier est ornée de deux bas-reliefs. Ici, l'énigmatique Triomphe de la Mort
-
Par Frawsy le 22 Septembre 2016 à 00:42
À la découverte du Périgord vert
Publié le 23/08/2016Plus secret, plus intimiste que le reste de la Dordogne, le Périgord vert lorgne jusqu'aux franges du Limousin et nous réserve de belles surprises : nous y avons rencontré un chercheur d'or, des couteliers d'exception et foulé le sol du plateau d'Argentine !
Dans le Périgord vert à Villars, le château Renaissance de Puyguilhem a été acheté en 1515, par Pierre Mondot de la Marthonie, premier président du Parlement de Paris. Il a été abandonné et pillé au XIXe siècle. L'État, qui l'a acquis en 1939, a chargé l'architecte Yves-Maris Froidevaux de sa réhabilitation
Un vieux pont enjambant la Côle, un élégant château Renaissance, un prieuré augustinien... Comment ne pas tomber immédiatement « en amour » pour ce tranquille bourg de carte postale, comme posé au milieu de la campagne ? Arpenter les ruelles pavées de galets de Saint-Jean-de-Côle, c’est admirer un ensemble incroyablement préservé : des maisons médiévales, à colombages et coiffées de tuiles brunes comme dans la pittoresque rue du Fond-du-Bourg, des fleurs accrochées aux galeries, une ambiance champêtre, autour du vieux pont à avant-becs qui surplombe la rivière. C’est un endroit où le temps ne semble pas avoir de prise, à 20 kilomètres à peine à l’ouest de Brantôme. « C’est simple, si un enfant avait voulu dessiner un village, il ne s’y serait pas pris autrement ! », sourit Régis, qui y a acquis une maison suspendue au-dessus de la Côle. Pas de boutiques de souvenirs, à peine quelques touristes, malgré son label « Plus beaux villages de France ». Bref, le genre d’endroit que l’on savoure en terrasse du seul café offrant la vue sur la grand-place. Le tableau est saisissant : on ne sait où poser le regard tant les monuments sont nombreux.
De nombreux monuments sur les bords de la Côle
Il y a le château – privé – de la Marthonie et sa puissante tour carrée à mâchicoulis. Cet imposant édifice d’allure médiévale, reconstruit au XVe siècle après la guerre de Cent Ans, trône au cœur du village. Ce château, auquel a été ajoutée au XVIIe siècle une aile à arcades, veille sur l’église Saint-Jean-Baptiste, de style romano-byzantin, en granit, coiffée d’une coupole et prolongée par une longue halle. Derrière l’église se niche un prieuré augustinien qui semble être à l’origine du développement du village au XIe siècle. Il a été, lui aussi, reconstruit à partir du XVe siècle et a conservé une partie de son cloître. Un havre de paix, donnant sur les bords de la Côle et la nature, toute proche. Le village voisin de Villars ne joue pas les stars non plus et pourtant, il s’enorgueillit de pas moins de trois monuments parmi les plus emblématiques du nord de la Dordogne. On dirait même qu’il cherche à dissimuler ses bijoux. Il y a, dans les entrailles de la terre, la célèbre grotte de Villars, découverte en 1953, mais, il y a, bien dissimulée dans un écrin de verdure, le château de Puyguilhem, dont la silhouette blanche Renaissance qui surgit, splendide, au bout d’une longue allée de tilleuls, semble sortie de la vallée de la Loire. Propriété de l’État depuis 1939, il a été construit au tout début du XVIe siècle pour Mondot de La Marthonie, un noble proche de la cour de François Ier. Lucarnes hérissées de pinacles, fenêtres à meneaux... L'édifice est composé d'un corps de logis protégé d'une grosse tour ronde adossée à une tourelle d'escalier.
Le château de la Marthonie (XIIe siècle), à Saint-Jean-de-Côle est situé au coeur du village où il domine la place de Saint-Jean
Les fines lames de Nontron
La capitale du Haut Périgord est renommée depuis le XVIIe siècle au moins pour sa tradition coutelière. Sur les hauteurs de Nontron, trône un bâtiment moderne en forme de cube. À l’intérieur, une vingtaine d’artisans fabriquent le fameux couteau de Nontron. Un manche en buis très travaillé terminé en sabot, une lame en acier inoxydable... Rustique et élégant, il daterait au moins du XVe siècle. « Un bon couteau ne naît pas n’importe où, note Thierry Moisset, gérant de la coutellerie. Les lames du Nontron étaient trempées dans les eaux froides et pures du Bandiat et utilisaient le minerai de fer local exploité depuis les temps préhistoriques. La présence de nombreuses forges gauloises en atteste, et les historiens rapportent que l’épée de Charles VII aurait été conçue et fabriquée à Nontron ! » C’est au milieu du XVIIe siècle que cet artisanat se développe grâce à l’implantation de Guillaume Legrand, un maître coutelier venu de Paris. La coutellerie connaîtra son âge d’or au XIXe siècle. Acquise par les forges de Laguiole en 1992, la Coutellerie Nontronnaise poursuit son savoir-faire, de façon traditionnelle, tout en se développant, notamment dans les arts de la table, et l’utilisation de matières nouvelles : le frêne, le genévrier ou l’ébène. Quelque 65 000 couteaux sont produits chaque année à Nontron.
Une abbaye en ruine, perdue entre champs et forêts
L’intérieur séduit aussi par son mobilier et sa décoration raffinée et ses cheminées, notamment celle de la grande salle, sculptée de reliefs représentant six des travaux d’Hercule. Et à deux pas du château, au creux d’un vallon, perdues entre champs et forêts, se blottissent les spectaculaires ruines d’une abbaye fondée au milieu du XIIe siècle avant d’être rapidement rattachée à l’abbaye cistercienne de Notre-Dame-de-Ré. L’émotion, en découvrant ses fantomatiques murs ouvrant sur le vide, dans un endroit aussi isolé, baigné de silence, est immense. Mutilée durant la guerre de Religion, laissée telle quelle, l’abbaye constitue l’un des rares exemples d’architecture cistercienne mâtinée d’influence romane périgourdine.
L'abbaye cistercienne de Boschaud, à Villars, a été, fondée au XIIe siècle et en partie détruite au cours des guerres de Religion
De l'or dans les rivières du Périgord
Pour dénicher de pures pépites, direction ouest, à Jumilhac-le-Grand, au bord de l’Isle. Les pieds dans l’eau, de petites silhouettes courbées s’agitent au milieu de la rivière. Enfants et adultes pataugent en secouant leur tamis, le regard concentré. Les yeux d’un gamin brillent soudainement : au fond de son bâtée (récipient en forme de chapeau chinois), étincellent quelques microscopiques paillettes dorées. Une découverte confirmée par Philippe Roubinet, le maître de stage. Ancien expert géologique, cet orpailleur professionnel ne passe pas son temps au Brésil ou en Guyane, mais explore inlassablement les rivières du Haut Périgord, tout en partageant sa passion avec le public. « Peu le savent, mais la formation géologique du territoire fait qu’il est très riche en minerai, notamment dans ses rivières. Le pays de Jumilhac et de Saint Yrieix-la-Perche est un haut lieu historique de l’exploitation aurifère. Les Gaulois ont exploité ici les filons d’or pour fabriquer de la monnaie, des bijoux... Et il y a encore une dizaine d’années, il y avait des mines ici ! » Lui-même a rejoint en 1983 les Mines du Bourneix au Chalard : deux tonnes d’or y ont été extraites chaque année, jusqu’à leur fermeture en 2002. « Tout au long de ces années, j’ai appris à comprendre que nos rivières cachaient mille trésors : paillettes d’or, minéraux, saphir ou grenats, ces petites pierres roses aux allures de rubis. » C’est à Jules Verne que l’on doit, dit-on, dans ses carnets de voyage, l’expression « Périgord vert », désignant cette région de grasses prairies et de collines boisées ondulant jusqu’aux franges du Limousin. Durant son périple, l’auteur du Tour du monde en 80 jours avait probablement survolé un peu trop rapidement la Dordogne et notamment les paysages aux alentours de Mareuil.
Représentation d'un cheval, emblème de la grotte de Villars
La grotte de Villard, une des plus belles du Périgord
Au lieu-dit le Cluzeau, à Villars, quelques marches sous terre et nous voici dans l’une des plus belles grottes du Périgord. L’émerveillement est immédiat, devant ses concrétions remarquablement mises en lumière. Stalactites, stalagmites, gours, draperies, « salle des cierges »... Découverte en 1953, cette cavité géologique a la particularité de présenter un ensemble de peintures préhistoriques, datées du Magdalénien (environ - 17 000 ans). « Elles ont été réalisées avec de l’oxyde de manganèse et de la graisse animale, décrit notre guide, torche à la main, les écoulements permanents de calcite leur donnent parfois une couleur bleutée. » Parmi les chefs-d’œuvre de la grotte de Villars, un « petit cheval bleu » ou la rarissime représentation d’un homme faisant face, les bras levés, à un bison. Sur les 13 kilomètres de galeries connues, seuls 600 mètres sont accessibles au public.
Les espèces protégées du parc naturel du Périgord-Limousin
À La Rochebeaucourt-et-Argentine, aux portes des Charentes, surgit un paysage calcaire de causse qui détonne totalement dans cette région verdoyante ! On appelle ce petit paradis naturel le « plateau d’Argentine » – son nom fait vraisemblablement référence à la présence de roches argentifères. Agent du parc naturel régional du Périgord-Limousin, chargé de la valorisation du site, Cédric Devilleger nous accompagne sur un sentier d’interprétation de 5 kilomètres, qui, en 2 h 30, permet d’avoir un aperçu de ce plateau d’une centaine d’hectares, culminant à 143 mètres. L’atmosphère y est quasi méridionale, parfois lunaire, avec cette pierre blanche aveuglante les jours de soleil. Sous nos yeux, un paysage tapissé de pelouses rases, sèches, d’arbustes épineux, de genévriers, s’étend à perte de vue. Monotone ? « Les sols de ce plateau calcaire perméable, très sec et aux sols caillouteux sont pauvres en éléments organiques, peu fertiles pour l’agriculture, mais c’est un endroit très riche en biodiversité. S’y est développée une étonnante variété d’espèces, que l’on ne retrouve nulle part ailleurs dans la région », explique en marchant Cédric Devilleger. Pas moins de 340 espèces végétales à fleurs ont été recensées sur le plateau, de nombreuses graminées capables de s’adapter aux milieux arides. Et notre guide de nous montrer des espèces protégées : de rarissimes orchidées, des tulipes sauvages, la sabline des chaumes... Toute cette flore attire également une faune singulière – des dizaines de papillons, des serpents comme la coronelle girondine, des insectes, des alouettes... Alors que nous déambulons, l'agent du parc pointe du doigt un lézard ocellé long d'une soixantaine de centimètres. "C'est une espèce d'ordinaire plus habituée à la douceur méditerranéenne ou aux dunes de l'Atlantique !" Paradis pour les amateurs de nature, ce paysage n'en est pas moins pas du tout naturel. "Ce plateau a été défriché, modelé par les hommes - pour exploiter son bois, pour faire paître des animaux... Si la nature reprend ses droits, c'est la forêt qui revient. Tout l'enjeu consiste justement à maintenir ce milieu ouvert. Débroussaillage, bûcheronnage, pâturage... Entretenir ce territoire, c'est du jardinage !", détaille Cédric Devilleger.
Le cluseau oriental du plateau d'Argentine à la Rochebeaucourt-et-Argentine
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique