• Visitez le premier hôtel sous marin Poséidon en images

    Poséidon : un hôtel dans le corail

    Posé dans le décor paradisiaque d'une petite île privée des Fidji, le Poséidon est, depuis son ouverture en décembre 2007, le premier complexe sous-marin permanent au monde. La mise en place de cet hôtel 5 étoiles a coûté 80 millions de dollars.
    ©  Poseidon Undersea Resort

    Les suites vues de l'extérieur

    Le Poséidon se compose de 20 suites de 51 m² et de deux unités centrales situées aux extrémités. D'un côté : le restaurant, la cuisine et l'accueil. De l'autre, deux suites plus luxueuses de 150 et 75 m², et une salle de conférences.
    ©  Poseidon Undersea Resort

    Placement d'une suite

    Chaque suite, hermétiquement fermée par une porte haute technologie en fibre de carbone, sera construite indépendamment puis placée le long d'un couloir central de 2,5 mètres de diamètre.
    ©  Poseidon Undersea Resort

    Les suites comme des bulles dans l'eau...

    Les chambres sont équipées de fenêtres en acrylique, matériau très solide et bon marché, de 3,05 mètres de long et 1,75 mètres pour les plus grandes. En tout : 70 % de transparence pour les parois.
    ©  Poseidon Undersea Resort

    Vue d'une suite en transparence

    Chaque suite mesure 10 mètres de longueur et 5,1 mètres de largeur, pour une surface au sol de 51 m². Le sol est constitué de deux tôles d'acier superposées à 6 cm l'une de l'autre.
    ©  Poseidon Undersea Resort

    L'hôtel vu du sol

    L'hôtel se situe à une quinzaine de mètres de profondeur. La pression qui s'exerce sur le couloir central équivaut à un poids de 100 tonnes.
    ©  Poseidon Undersea Resort

    Intérieur d'une suite

    L'intimité des occupants est préservée grâce à un traitement particulier des fenêtres avec un film réflexif qui rend invisible l'intérieur depuis l'extérieur. De plus, la nuit, les clients peuvent opacifier les fenêtres.
    ©  Poseidon Undersea Resort

    Plan d'ensemble

    Le Poséidon est relié à la base off-shore par deux tunnels : l'un pour le personnel, l'autre pour les clients.
    ©  Poseidon Undersea Resort

    Vue de la surface

    Le prix d'une suite pour une nuit s'élevait en 2007 à 1800 dollars. Pour être rentable, le Poséidon devrait recevoir 4 500 visiteurs par an.
    ©  Poseidon Undersea Resort
     

     
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    Un ancien hangar désaffecté restauré pour

    être transformé en une île tropicale  

     

    En Allemagne, à une soixantaine de kilomètres au sud de Berlin, se trouve un drôle de hangar … Rien d’extraordinaire à priori. Pourtant dès que l’on entre à l’intérieur, le dépaysement est total puisqu’une île tropicale artificielle vous attend. Bienvenue à Tropical Islands Resort !

     

    Avec ses 5,5 millions de m3, le bâtiment est le plus grand hall  sans pilier de soutien du monde. A l’origine, le hangar devait servir à un dirigeable qui au final n’a jamais été construit. C’est une compagnie malaisienne qui a alors investit dans cette structure gigantesque pour recréer cette ambiance tropicale au cœur de l’Allemagne.

     

    Le parc aquatique peut accueillir 7000 visiteurs par jour qui profiteront des 3000 m2 de bassin ( l’équivalent de 4 piscines olympiques ), ainsi que de 1500 transats (pour ceux qui préfèrent faire une sieste « sous les tropiques »). Car oui, le bâtiment abrite aussi la plus grande forêt tropicale intérieure du monde ! Avec ces 25°c constant, son soleil artificiel, et ses chants d’oiseaux en fond sonore, le parc garantit un dépaysement total.

     

    Certains visiteurs ne sont cependant pas enchantés de la profondeur des « lagons » qui est d’1m40 seulement… Mais y a-t-il de quoi se plaindre ? Voilà une occasion unique de « passer une après-midi à Bali » et ensuite rentrer chez soi !

     

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    SOURCE : PLANET.FR

     

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    Cette graisse que les Européens ont héritée de Néandertal

     

    La génétique a parlé : l’Homme de Néandertal a légué aux Européens trois fois plus de gènes associés au métabolisme des acides gras qu’aux Asiatiques. Une différence qui à l’époque aurait pu être un avantage pour les porteurs de ce génome dans les climats les plus froids. Mais qui pourrait devenir un fardeau aujourd’hui et favoriser l’émergence de troubles métaboliques comme le diabète ou l’obésité.

     

    Les Hommes de Néandertal, disparus il y a environ 30.000 ans, survivent encore partiellement à travers leurs gènes présents en nous. Et notamment certains variants liés au métabolisme des graisses, particulièrement retrouvés chez les Européens actuels. © Neanderthal Museum de Mettmann, Allemagne

    Les Hommes de Néandertal, disparus il y a environ 30.000 ans, survivent encore partiellement à travers leurs gènes présents en nous. Et notamment certains variants liés au métabolisme des graisses, particulièrement retrouvés chez les Européens actuels. © Neanderthal Museum de Mettmann, Allemagne

     
     

    La préhistoire humaine s’écrit difficilement, mais progressivement. Si les squelettes ont donné des premières indications, les analyses génétiques en apportent de nouvelles et permettent de mieux resituer certains événements du passé. Dernièrement, des chercheurs sont même parvenus à reconstituer les génomes de l’Homme de Denisova et des Néandertaliens, facilitant ainsi la mise en évidence des parentés entre les différentes espèces humaines s’étant succédé.

    Une étude récente confirmait par exemple qu’il y avait bien eu une hybridation entre les Hommes anatomiquement modernes, nos ancêtres venus d’Afrique, avec des Néandertaliens ayant vécu au Moyen-Orient il y a 60.000 ans. Leurs descendants ont survécu et ont poursuivi leur route vers l’Europe à l’ouest, ou vers l’Asie, à l’est. Les populations européennes et asiatiques actuelles disposent dans leur ADN entre 1 et 4 % de gènesdirectement hérités de l’Homme de Néandertal, à la différence des Africains, qui n’en portent aucune trace. Ainsi il a déjà été montré que nos cousins disparus ont légué des portions d’ADN à l’origine de maladies auto-immunes, altérant le fonctionnement du système immunitaire ou la fonction de la kératine, une protéine de la peau, des ongles et des cheveux.

    Néanmoins, toutes les données génétiques n’ont pas encore été analysées plus précisément. Et Philipp Khaitovitch, de l’Institut Max Planck de Leipzig (Allemagne), souhaitait apporter sa pierre à ce vaste édifice. Avec ses collègues, il vient d’écrire un article dans Nature Communications qui suggère qu’Européens et Asiatiques n’ont pas forcément reçu les mêmes gènes et que cette différence dans l’héritage pourrait avoir des conséquences insoupçonnées…

    Néandertal (à gauche) était plus grand et imposant que son cousin moderne (à droite), qui lui a pourtant survécu. Non sans porter quelques traces d’une hybridation passée.
    Néandertal (à gauche) était plus grand et imposant que son cousin moderne (à droite), qui lui a pourtant survécu. Non sans porter quelques traces d’une hybridation passée. © Ian Tattersall

    Des Européens farcis à la graisse des Néandertaliens

    Les génomes d’individus appartenant à 11 populations Européennes, Asiatiques ou Africaines ont été comparés à celui d’un Néandertalien, entièrement décrypté et publié dans Nature en décembre dernier, avec un focus particulier sur les variants géniques liés au métabolisme lipidique.

    Premier constat, concordant avec les travaux précédents : Européens et Asiatiques disposent peu ou prou de la même proportion de gènes néandertaliens, alors que ceux-ci sont quasiment absents chez les Africains. Cependant, les populations installées depuis longtemps sur le Vieux continent disposent de trois fois plus de gènes hérités de Néandertal impliqués dans le catabolisme (dégradation dans l’optique de fournir de l’énergie) des acides gras que leurs homologues d’Extrême-Orient.

    L’expérience ne se limite pas à cette découverte. Les scientifiques ont également participé à un examen du tissu cérébral récupéré sur 14 adultes Africains, Asiatiques et Européens, qu’ils ont comparé avec 14 chimpanzés afin de constater les différences fonctionnelles. Pourquoi regarder les cerveaux ? D’une part parce que cet organe se compose de nombreux acides gras. D’autre part parce qu’ils ont récolté les échantillons depuis des banques de données, et qu’il n’en existe pas permettant de comparer les niveaux de lipides entre populations pour les autres tissus.

    Des variants géniques avantageux à l’époque…

    Là encore, le Vieux continent se distingue car les Européens présentent des taux lipidiques supérieurs à leurs pairs d’Afrique et d’Asie, ou que les chimpanzés, représentant l’état ancestral. Ce résultat suggère donc que ce paramètre a évolué récemment, après la séparation de chacun de ces groupes humains, et qu’il a été soumis à la sélection naturelle.

    Les Néandertaliens se sont adaptés au climat rugueux de l’Europe du nord préhistorique à l’aide de processus évolutifs toujours longs, et ayant abouti à l’émergence de variants géniques avantageux. Les Hommes anatomiquement modernes qui ont vécu dans les mêmes contrées se sont évité ces longs délais par hybridation.
    Les Néandertaliens se sont adaptés au climat rugueux de l’Europe du nord préhistorique à l’aide de processus évolutifs toujours longs, et ayant abouti à l’émergence de variants géniques avantageux. Les Hommes anatomiquement modernes qui ont vécu dans les mêmes contrées se sont évité ces longs délais par hybridation. © Adrian Cousins, Wellcome Images, cc by nc nd 2.0

    Quid de l’impact de ces différences à l’échelle de la physiologie ? Pour l’heure, les chercheurs ne peuvent apporter une réponse tranchée. Néanmoins, ils supposent qu’elles ne sont pas sans conséquences. Les auteurs émettent l’hypothèse que la présence de ces variants géniques chez les Homme de Néandertal, fruits d’une évolution plurimillénaire, leur permettait de s’adapter à des environnements plus frais, en stimulant le métabolisme et facilitant la dégradation des graisses, permettant une production d’énergie et donc de chaleur plus intense. Transmis à un hybridede ces deux groupes humains, ils auraient proliféré dans le groupe d’Hommes anatomiquement modernes partis à la conquête de l’Europe du Nord car les individus porteurs auraient mieux supporté le climat glacial.

    … et peut-être à l’origine de l’obésité d’aujourd’hui

    Cette recherche montre donc comment, par hybridation, un groupe humain peut prendre un raccourci évolutif, et hériter de gènes avantageux sans attendre des générations les processus sélectifs longs de plusieurs millénaires. Les auteurs évoquent même la notion d’introgression, principalement appliquée aux plantes, qui désigne un transfert de gènes d’une espèce vers une autre par hybridation, suivie de croissements successifs avec les représentants de l’espèce dotée des nouveaux caractères.

    Avantageux autrefois, ces variants géniques pourraient aujourd’hui favoriser les acides gras associés à des maladies métaboliques, terme qui regroupe l’obésité, le diabète, l’hypertension ou des maladies cardiovasculaires. Ce qui fut un avantage pour les premiers Européens modernes se retourne aujourd’hui contre leurs descendants actuels.

     

    Sciences:  Cette graisse que les Européens ont....

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  • Dinosaures, l'exposition grandeur nature

    Paris ouvre ses portes à Jurassic Park !

    Depuis le 5 juillet, et jusqu'au 31 août, l'exposition de "L'Ere des Dinosaures à l'Ere de Glace" qui se tient à Paris Expo, Porte de Versailles, invite petits et grands à voyager dans l'ère de glace où ils croiseront 75 dinosaures et animaux préhistoriques à taille réelle et animés, dans leur habitat naturel.
    ©  Jennifer Durand

    Un voyage plus de 150 millions d?années en arrière

    Cette exposition unique en son genre plonge les visiteurs dans le temps et les invite à un grand voyage plus de 150 millions d'années en arrière grâce à une scénographie ludique et à des spécimens plus vrais que nature.
    ©  Jennifer Durand

    Dinosaures, animaux et hommes préhistoriques plus vrais que nature

    De l'ère quaternaire (le règne des glaces et des hommes) en remontant à l'ère secondaire (le règne des dinosaures), les visiteurs se font tout petit devant ces dinosaures, animaux et hommes préhistoriques, que l'on observe bouger, respirer, et même mugir.
    ©  Jennifer Durand

    Le concours des paléontologues

    L'ensemble des dinosaures et animaux préhistoriques à taille réelle présentés dans cette exposition a été fabriqué avec le concours d'équipes de paléontologues qui ont permis de reproduire avec des exigences spécifiques les différentes espèces, leur taille et leurs mouvements.
    ©  Jennifer Durand

    Mi-dinosaures, mi-robots

    Chaque spécimen est équipé d'un système robotique qui, à l'aide de détecteurs de mouvements anime différentes parties de son corps. Certains clignent même des yeux, bougent la langue, les doigts. Chaque mouvement dépend de l'interaction entre les espèces et leur disposition dans les scènes.
    ©  Jennifer Durand

    Des spécimens méconnus à découvrir

    Cette exposition a la particularité de présenter aussi bien des spécimens quasiment inconnus du grand public, comme ce Phorusrhacos sorte d'oiseau préhistorique carnivore, que les plus célèbres Tyrannosaure, Brachiosaure ou Mammouth et Tigre à dents de sabre.
    ©  Jennifer Durand

    Le plein de savoir

    Ludique, l'exposition n'en oublie pas d'être pédagogique. Des panneaux explicatifs mais également des légendes présentant les différentes espèces permettent de découvrir à quel endroit et comment les restes des dinosaures et des animaux préhistoriques ont été retrouvés, mais également de connaître leur taille, leur poids, leurs habitudes alimentaires, et leur évolution.
    ©  Jennifer Durand

    Une visite audio-guidée

    La vraie bonne idée de l'exposition, plus particulièrement pour les plus petits qui peinent parfois à lire les cartels, l'audio guide gratuit, compris dans le prix des billets, qui chuchote à l'oreille des visiteurs des informations didactiques et ludiques.
    ©  Jennifer Durand

    Une planète vieille de plus de 200 millions d?années

    Tout au long de l'exposition et des différentes périodes présentées, le visiteur découvre les phénomènes survenus sur la planète sur plus de 200 millions d?années, la formation des territoires et les différentes théories sur les causes de la disparition des dinosaures et de la mégafaune.
    ©  Jennifer Durand

    Mammifères préhistoriques

    Dès le début de l?exposition, les visiteurs sont plongés au cœur de l?ère glaciaire et peuvent découvrir et observer une trentaine d?espèces de mammifères préhistoriques.
    ©  Jennifer Durand

    Les ancêtres de l?homme

    Outre les mammouths, rhinocéros laineux, castors géants et autres tigres aux dents de sabre, les ancêtres de l?homme (Homo Erectus, homme de Neandertal et homme de Cro-Magnon) sont aussi présents, mis en scène dans leur habitat naturel.
    ©  Jennifer Durand

    L'extinction du dodo

    Le Dodo, grand oiseau endémique de l'île Maurice, est l'une des espèces qui a disparu au cours des siècles derniers à cause de l'Homme. Oiseau incapable de voler devenu une proie facile, l'extinction du Dodo a été directement causée par la chasse intensive lors de la colonisation de l?Île et l'introduction de nouveaux prédateurs qui auraient détruit ses nids placés à même le sol.
    ©  Jennifer Durand

    A travers les biotopes

    Au plus près de la réalité, les décors de l'exposition ont été étudiés pour représenter les différents biotopes comme la toundra, les forêts et les glaciers.
    ©  Jennifer Durand

    L?ère secondaire

    Dans la seconde partie de l?exposition, les visiteurs font un bond dans le temps pour découvrir le monde tel qu?il était il y a 150 millions d?années à l?ère secondaire, à quoi ressemblait la planète, quelles espèces la peuplaient et quels végétaux la recouvraient.
    ©  Jennifer Durand

    Gare au Carnotaurus !

    Reconnaissable à ses cornes et sa tête semblables à celle d'un taureau, le Carnotaurus était un redoutable prédateur qui vivait en Patagonie, il y a environ 70 millions d'années.
    ©  Jennifer Durand

    Combat de titans

    La reconstitution d'un combat de titans plus vrai que nature. Le Yangchuanosaure, plus grand carnivore d'Asie du jurassique, ne fera-t-il qu'une bouchée du Huayangosaure ?
    ©  Jennifer Durand

    L'espace récréatif

    L?exposition se conclue par un espace récréatif spécialement dédié aux enfants. Un film d?une dizaine de minutes projeté sur écran géant, complètera la visite de l?exposition par des images époustouflantes de réalisme sur la vie des dinosaures et leur combat quotidien pour survivre. Tandis que le petit train sur rail propose aux enfants de faire une balade sur le dos d?animaux préhistoriques et que les écrans tactiles mis à leur disposition les laissent... Lire la suite   
    ©  Jennifer Durand

    Photo souvenir

    Pour se souvenir très longtemps de cette journée en famille, la photo souvenir s'impose ! Sur le dos de dinosaures et d?animaux préhistoriques, les parents peuvent immortaliser cette rencontre digne d'un film de science-fiction !
    ©  Jennifer Durand
      
    Dans notre rubrique animaux  'Les Dinosaures' vous y retrouverai de nombreux documents sur les dinosaures
     

     
     
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