• Madère, l'île dans le vent

      

    Au large du Maroc, l'île portugaise de Madère jouit d'un micro-climat subtropical propice à l'éclosion des plus beaux jardins de l'Atlantique. Ici, des maisonnettes traditionnelles du village de Santana, au nord de l'île.
    ©  Hassan Benseliman - Fotolia

    Une côte escarpée

    A seulement trois heures de vol de la France, Madère offre au visiteur sa beauté rugueuse et sa nature généreuse, pour un réél dépaysement.
    ©  Pierre Laville

    Ronde de couleurs

    Madère est fleurie en toutes saisons : les couleurs et parfums jonchant naturellement les routes de montagne sont dignes des plus beaux jardins botaniques.
    ©  Hassan Bensliman - Fotolia

    En route vers les nuages

    Le réseau routier et aéroportuaire de Madère s'est considérablement amélioré depuis l'entrée du Portugal dans l'Union Européenne, malgré les difficultés topographiques de l'île.
    ©  Elseba - Fotolia

    Funchal en soirée

    Funchal, la capitale de l'île, est une cité portuaire animée et agréable. Vue depuis ses balcons, la baie de Funchal a la tombée de la nuit est un spectacle qui vaut le détour.
    ©  Gilles PIVERT

    Un climat doux

    Un bord de mer agréable toute l'année.
    ©  Yvann K - Fotolia

    Marché de Funchal

    A côté de la coquette marina, les fleurs et fruits frais abondent sur les étals du marché : les cultivateurs locaux proposent leurs plus beaux produits. Tout près se trouve la grande halle aux poissons, avec la pêche du jour.
    ©  Christian DUBOIS

    Le jardin botanique

    Le grand jardin botanique de Monte, au nord de Funchal, peut être atteint grâce un un télépherique qui parcourt en 15 minutes les 500 m de dénivelé qui le sépartent de la côte. C'est une des excursions les plus prisées des passagers des paquebots de croisière qui font escale sur l'île.
    ©  Yvann K - Fotolia

    Un jardin extraordinaire

    Le climat de Madère permet toutes les cultures, toujours dans le même jardin, un coin aux couleurs de l'Orient a été aménagé.
    ©  Christian Dubois

    Façon labyrinthe d'Alice

    Autre recoin, autre décor. Ici, un travail minutieux de taille a été fait, donnant au jardin des accents suréalistes.
    ©  Paris Photo - Fotolia

    Passages parfumés

    Madère est également une destination pour les trekkeurs et les amateurs de randonnées. Les pistes offrent des panoramas grandioses ainsi qu'une grande richesse végétale.
    ©  Yvann K - Fotolio

    Coucher de soleil sur Gabo Girao

    Les pierres rouge de la falaise, près de Gabo Girao, et la mer offre un contraste de couleurs réchauffé par le soleil déclinant. 
    ©  Pierre Laville

    Falaises émeraudes

    Un rayon de lumière entre les nuages fait ressortir le vert profond des pâturages et vignobles.
    ©  Bruno CUSA

    La fête du vin

    Le vin de Madère est réputé pour ses arômes fortement boisés, issus d'un traitement spécifique en fûts qui porte le vin à 45° pendant trois mois. Plusieurs caves à Funchal sont ouvertes au public, et proposent des dégusations des cépages les plus anciens.
    ©  Yvann K - Fotolia

    Balade sur une levada

    Pour tous les amoureux de la nature et de la marche, les levadas de l'île constituent les sentiers de randonnée parfaits : suivant les nombreux canaux d'irrigation, leur dénivelé n'excède jamais 1%.
    ©  Philippe JACK

    Des maisons pittoresques

    Dans le village de Santana se trouvent ces jolies chaumières devenues les symboles de l'archipel.
    ©  Pierre Laville

    Vue plongeante

    Fougères arborescentes, lauriers roses, agapanthes ou oiseaux du paradis... Les couleurs vives accrochent le regard et viennent se mêler au bleu de l'océan, horizon jamais très lointain sur cette île dont la largeur n'excède pas 22 kilomètres.
    ©  Gil PIVERT

    Carmin

    Cette fleur spectaculaire celle de l'anthurium.
    ©  Edith FERNANDEZ

    Sur la piste

    Joli chemin offrant une vue imprenable sur la côte et l'océan.
    ©  Yvann K - Fotolia

    Incroyables falaises

    Les falaises de la côte prise depuis la mer : un véritable décor de film.
    ©  Pierre Laville

    La tête dans les nuages

    Ici, les nuages caressent doucement les falaises.
    ©  Pierre Laville

    Madère : monde perdu

    A l'intérieur de l'île, les promeneurs trouveront des forêts denses peuplées d'espèce tropicale comme les fougères arborescentes.
    ©  Michel Jacquet

    Une fois par an : la fête des fleurs

    Chaque année en avril, les habitants de Funchal défilent dans la capitale sur de grands chars ornés de milliers de fleurs. Ici, l'une des espèces aux formes extravagantes que vous croiserez.
    ©  Michel Jacquet

    L'Atlantique

    A Madère, l'océan Atlantique et ses forces sauvages sont omniprésents.
    ©  Yvann K - Fotolia

    "Vienne la nuit..."

    La nuit tombe sur Funchal...
    ©  Yvann K - Fotolia

    Au sommet

    Le sommet le plus élevé de l'archipel est le Pico Ruivo et ses 1 861 mètres suivi de près par le Pico do Arieiro et ses 1 810 mètres (en photo).
    ©  Pierre Laville

    Arrivée au paradis

    Une fleur exotique appelée couramment "oiseau du paradis" surmontée, pour l'occasion, d'un papillon monarque.
    ©  Jacques Alvarez

    Ouille !

    Autre specimen incontournable de l'île : le cactus. Le micro-climat qui y règne lui permet de pousser sans entrave.
    ©  Xiong Mao - Fotolia

    Dans un grand champ de fleurs

    Ici, ponctué de fleurs jaunes, Madère ressemble à un vaste jardin sauvage.
    ©  Yvann K - Fotolia

    Dans la rocaille

    Une agapanthe, fleur sauvage qui, déclinée en bleu ou en blanc,  se trouve communément le long des sentiers rocailleux de l'île.
    ©  Michel JACQUET

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  • Le Portugal, aux portes de l'océan Atlantique

      

    Avec plus de 830 km de littoral, sans compter ses îles de Madère et des Açores, le Portugal est résolument tourné vers l'océan Atlantique. Au sud du pays, la région de l'Algarve est remarquabl... Lire la suite   
    ©  Guy Moll

    Lagos

    Lagos est situé dans une grande baie à l'ouest de l'Algarve. Son centre historique, sa marina et ses plages en on fait une station balnéaire très attractive. N'hésitez pas à rejoindre les formations rocheuses de Ponta da Piedade à pied depuis le fort de Ponta da Bandeira. En chemin, vous longerez de jolies criques.
    ©  Patrice Gaud

    Ferragudo

    A 20 km à l'est de Lagos, se dessinent Portimão et Ferragudo (image). Si le premier est devenu un ensemble urbain guère attrayant, le second a conservé ses allures de villages typiques avec ses maisons blanches et ses barques de pêcheurs.
    ©  Jorge Marques

    Praia da Rocha

    Avec ses criques de sable blanc encerclées de falaises, Praia da Rocha est l'une des stations balnéaires les plus fréquentées de l'Algarve. Elle se trouve à 3 km au sud de Portimão.
    ©  Guy Moll

    Portimão

    Niché dans une baie naturelle, Portimão se trouve entre Lagos et Albufeira. Port de pêche et de commerce, la ville portuaire est aussi devenue une station balnéaire très prisée, notamment pour sa plage de Praia de Rocha située à quelques pas.
    ©  Guy Moll

    Armação de Pêra

    A quelques kilomètres à l'est du Portugal, se trouve Armação de Pêra, une station balnéaire très courue et d'ailleurs un peu victime de son succès. De grands complexes touristiques ont quelques peu terni l'image de la ville ; ce qui n'empêche pas de trouver quelques merveilles naturelles dans les alentours, comme ces falaises.
    ©  Marcel Dony
     

    Sculptures sur sable à Pêra

    A quelques kilomètres de là se trouve Pêra, mondialement connue pour son festival de sculptures sur sable (FIESA). Quelques chefs-d'œuvre éphémères méritent le déplacement chaque année.
    ©  Michel-Marie Solito de Solis

    Albufeira

    En continuant de longer la côte vers l'est du Portugal, vous arriverez à Albufeira. Accroché à une falaise en surplomb de la plage, cet ancien village de pêcheurs ne pouvait qu'attirer les foules. Pour être au calme, préférez la basse saison. Le climat y est également clément. 
    ©  Anibal Gomes-Grilo
     

    Faro

    Au sud-est d'Albufeira, Faro est séparé de l'océan par une lagune. La capitale de l'Algarve est avant tout un port. Pour accéder aux plages, quelques kilomètres s'imposent. Malgré tout, la ville est souvent la porte d'entrée des vacanciers à destination de la région.
    ©  Guy Moll

    Tavira

    Entre Faro et la frontière avec l'Espagne, Tavira offre une parenthèse paisible, comparé à certaines stations balnéaires de l'Algarve. Ouverte sur une lagune, elle dévoile une superbe plage à 2 km sur l'île de Tavira.
    ©  Palmyre Serrano
     

    Sagres

    Avant de remonter vers le nord, une escale à Sagres, au sud-ouest de l'Algarve, sera la bienvenue. Balayées par le vent, ses falaises offrent des paysages grandioses, notamment si vous vous promenez à la pointe de Sagres.
    ©  Liliane Bagoe
     

    Cabo de São Vicente

    A deux pas de Sagres, le cap Saint Vincent matérialise la pointe sud-ouest du Portugal et plus largement de l'Europe. 75 m au dessus de l'océan, il offre une vue imprenable sur une enfilade de falaises, au nord, et sur la pointe de Sagres, à l'est.
    ©  Estelle Filipe
     

    Sesimbra

    En remontant la côte vers Lisbonne, Sesimbra attire les vacanciers au pied de la serra da Arrábida. Si la ville côtière est réputée pour ses activités de pêche, elle fait également le bonheur des amateurs de farniente et de chasse sous-marine.
    ©  Serge Piguet
     

    Cascais

    En suivant le cours du Tage depuis Lisbonne, vous arriverez jusqu'à Cascais, un charmant village de pêcheurs, choisi comme lieu de villégiature des souverains portugais dès le XIXe siècle.
    ©  Afonso Lopes
     

    Cabo da Roca

    Un peu plus au nord, dans les environs de Sintra, se trouve l'extrémité ouest de l'Europe, le Cabo da Rocha. Ce cap surplombe l'océan Atlantique à 140 mètres au dessus du niveau de la mer ; de quoi avoir le vertige !
    ©  Guy Moll

    Guincho

    En poursuivant la route côtière vers Porto, les amateurs de surf seront comblés par les fortes vagues qui s'abattent sur les plages de Guincho.
    ©  Michele Cabuzel
     

    Ericeira

    La station balnéaire d'Ericera se trouve à environ 40 km au nord-ouest de Lisbonne. A voir cette lumière au coucher du soleil, on comprend pourquoi cette partie du littoral s'appelle la côte d'Argent.
    ©  Ana Pego
     

    Peniche

    Un peu plus haut, la presqu'île de Peniche s'étire sur 3 km jusqu'au cap Carvoeiro. Peniche est également le deuxième port de pêche du Portugal. Il va s'en dire que vous pourrez donc y déguster de délicieux fruits de mer et poissons. 
    ©  David Silvestre

    Sao Martinho do Porto

    Juste avant d'arriver à Nazare, vous pourrez faire une halte à Sao Martinho do Porto, pour vous baigner dans une eau abritée des tumultes de l'océan. La station balnéaire portugaise  s'ouvre en effet sur un lac d'eau de mer, séparé de l'Atlantique par un chenal entouré de falaises abruptes. 
    ©  Alain Pitot
     

    Nazare

    Avec sa longue plage de sable blanc dominée par la vertigineuse falaise portugaise du Sitio, Nazare offre un cadre plutôt agréable pour des vacances en bord de mer. Les vacanciers ne s'y trompent pas ; ils sont nombreux à s'y rendre, notamment l'été.
    ©  Guy Moll
     

    Sèchage des sardines à Nazare

    Depuis des siècles, Nazare perpétue sa tradition de pêche made in Portugal. Aujourd'hui encore, on peut observer le travail des pêcheurs qui consiste à faire sécher les sardines sur des châssis, installés directement sur la plage.
    ©  Catherine Schroeder
     

    Figueira da Foz

    Situé sur la côte, à hauteur de Coimbra, Figueira da Foz compte parmi les plus importantes stations balnéaires du Portugal. Ses activités de loisirs, aussi bien culturelles que sportives, ainsi que la beauté de son littoral contribuent à son succès.
    ©  Manuel Rodrigues
     

    Costa Nova

    Ouvert sur l'océan Atlantique à l'ouest et la lagune d'Aveiro à l'est, Costa Nova doit sa renommée à ses maisons en bois, peintes de couleurs vives. Malheureusement, des constructions plus récentes jurent avec ce patrimoine hérité du XIXe siècle.
    ©  Tonio Antonio
     

    Aveiro

    Avec ses canaux et ses "moliceiros", sortes de gondoles, la ville d'Aveiro se donne des allures de cité lacustre. Elle se caractérise également par ses constructions Art nouveau et ses salines au nord de la ville. Pour atteindre les plages de l'Atlantique, il faudra traverser la ria.
    ©  Serge Piguet
     

    Ria de Aveiro

    Entre canaux et marais salants, la ria d'Aveiro se présente comme une vaste lagune ouverte sur l'océan atlantique par un étroit goulet. Des promenades à bord de barques plates, les moliceiros, permettent de la parcourir et de découvrir ses attraits.
    ©  Tonio Antonio
     

    Porto

    Même si Porto n'est pas à proprement parler une station balnéaire, elle se trouve à l'embouchure du Douro sur l'océan Atlantique. Votre découverte de la cité colorée passera donc sûrement par une balade sur le littoral tout proche.
    ©  José Luque
     

    Espinho

    A 20 minutes de Porto, Espinho fait le bonheur des amteurs de baignade.
    ©  Ana Maria Martins
     

    Povoa Varzim

    Situé dans la région du Minho, au nord du Portugal, Povoa Varzim attire les vacanciers en quête de plages de sable blanc et de vie nocturne animée. Cette station balnéaire se trouve à peu près à mi-chemin entre Porto et Viana do Castelo.
    ©  Leal Manu
     

    Viana do Castelo

    A l'estuaire de la Lima et au pied des montagnes, Viana do Castelo est la ville de plaisance la plus fréquentée du Minho. Son port de pêche et son centre historique en font également un lieu incontournable du patrimoine portugais.
    ©  Serge Piguet
     

    Madère

    Le littoral portugais ne s'arrête pas là. Située à environ 1 000 km du Portugal continental, Madère est la plus grande île de l'archipel du même nom (740 km²). A l'image, Cabo Girao représente la plus haute falaise d'Europe. Elle s'élève à 580 mètres au dessus de la mer.
    ©  Camille Durand

    Les Açores

    L'archipel des Açores est quant à lui à 1 900 km des côtes portugaises. Les neuf îles qui le composent affichent des reliefs escarpés, comme ici, l'île du Pico vue du Faial.
    ©  Manuela Matos

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  • Les îles de Lérins : Cannes à l'abri du tumulte

      

    Au large de Cannes, les îles de Lérins offrent une sérénité et un paysage exceptionnels pour qui veut fuir l'agitation de la Côte d'Azur. Le temps d'une journée, faites escale sur les îles de Sainte-Marguerite et Saint-Honorat, réputées pour leur faune, leur flore et leur histoire.
    ©  Hugo - Fotolia.com

    Sainte-Marguerite et Saint-Honorat

    L'archipel des Lérins se compose de deux îles principales, Sainte-Marguerite (3,2 km d'est en ouest) et Saint-Honorat (1,5 km), auxquelles sont accolés deux minuscules îlots, la Tradelière et Saint-Féréol. Le port de Cannes, qui apparaît ici en arrière-plan, n'est distant que d'un kilomètre. Plusieurs compagnies maritimes assurent les liaisons quotidiennement (20 minutes).
    ©  Claude Bigot

    Le fort Royal de Sainte-Marguerite

    Construit par Richelieu, renforcé par Vauban au début du 18e siècle, le fort Royal se dresse sur la pointe nord de l'île Sainte-Marguerite. Ce bâtiment inscrit aux Monuments historiques a d'abord servi de prison d'Etat avant de devenir une geôle militaire.
    ©  Maryse Rozerot

    Le mystérieux Masque de Fer

    Paradoxalement, le plus célèbre des prisonniers enfermés dans le fort Royal... est un inconnu ! Le Masque de Fer, isolé sur l'île Sainte-Marguerite de 1687 à 1698, pourrait être un fils ou un frère de Louis XIV, ou un serviteur de Nicolas Fouquet. Pour reprendre les mots de Victor Hugo, son identité reste "un mystère vivant, ombre, énigme, problème".
    ©  DR / Archive de Hélène Bousquet Cassagne

    Le Musée de la mer

    Le fort Royal abrite désormais le Musée de la mer. Ouvert tous les jours (sauf le lundi d'octobre à mai), il permet d'accéder à la cellule dans laquelle le Masque de Fer a croupi pendant 11 ans, mais aussi à une collection d'objets provenant d'épaves romaine et sarrazine.
    ©  Azazirov - Fotolia.com

    Le hameau de Sainte-Marguerite

    La recette de la tranquillité ? Sur l'île de Sainte-Marguerite, la circulation en vélo est interdite, la circulation automobile extrêmement limitée, il n'existe qu'un seul restaurant et une dizaine d'habitations. Pour se reposer et profiter de la nature, c'est donc le lieu idéal.
    ©  L'Internaute Magazine - Johanna Strugeon

    Le Grand Jardin pour milliardaire

    Au sud de l'île, une demeure retient néanmoins l'attention de tous, touristes et journalistes en tête. Il s'agit du Grand Jardin, une vaste propriété de 1,5 hectare acquise en 2008 par Vijay Mallya, milliardaire indien connu pour être le patron de l'écurie de Formule 1 Force India. Prix de la transaction : 38 millions d'euros.
    ©  Claude Bigot

    Forêt unique et luxuriante

    La particularité de l'île de Sainte-Marguerite réside dans sa forêt, la seule forêt littorale de tout le département des Alpes-Maritimes. Le sol argileux qui tapisse l'île favorise une végétation dense : des eucalypsus (parmi les plus vieux d'Europe), des pins d'Alep et des chênes verts épaississent un maquis qui s'étend sur près de 160 hectares.
    ©  PHOTOPOLITAIN - Fotolia.com

    Promenade entre terre et mer

    Les marcheurs se rejouiront de parcourir le sentier botanique que l'Office National des Forêts a aménagé sur l'île. Pour faire le tour de Sainte-Marguerite, en profitant de la flore locale et en réalisant des haltes baignade, une journée n'est pas de trop. Le littoral sud est réputé pour sa beauté, la côte ouest pour son étang du Batéguier où certains oiseaux migrateurs viennent trouver refuge.
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    Le plateau du Milieu

    Les îles Sainte-Marguerite et Saint-Honorat sont séparées par le "plateau du Milieu" (ou "Frioul"), un bras de mer d'environ 600 m de large. L'été, les plaisanciers y trouvent un lieu de mouillage particulièrement calme et à la beauté fascinante. Malheureusement, les îles de Lérins sont régulièrement souillées par les déchets de ces derniers. Ceci est particulièrement vrai lors du Festival de Cannes, quand les yachts assaillent le périmètre.
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    L'île Saint-Honorat

    Pour accéder à l'île Saint-Honorat, deux solutions possibles : soit repartir de Sainte-Marguerite après y avoir fait escale dans la journée, soit y aller directement depuis Cannes en embarquant sur les bateaux de la compagnie Planaria.
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    Propriété des moines

    L'île de Saint-Honorat porte le nom du moine venu s'y installer en 400, à la recherche de quiétude et de solitude. C'est désormais la propriété exclusive de la communauté cistercienne (Congrégation de Sénanque) qui a élu domicile là-bas.
    ©  L'Internaute Magazine - Johanna Strugeon

    L'ancien monastère fortifié

    A la fin du 11e siècle, les moines ont entrepris de construire une tour pour résister aux attaques navales. Progressivement, la construction s'est agrandie pour devenir un monastère fortifié, dans lequel les religieux ont commencé à habiter au 15e siècle.
    ©  Emmanuel Doveri

    Les attaques des Espagnols et Sarrazins

    La forteresse a beau avoir été construite pour résister aux assauts des Espagnols, des Gênois et des Sarrazins, cela n'a pas suffi. Les premiers se sont emparés de l'île Saint-Honorat en 1635. Après avoir chassé les moines, ils se sont employés à renforcer le bâtiment. Les Espagnols quitteront les lieux deux ans plus tard, vaincus par le manque d'eau.
    ©  L'Internaute Magazine - Johanna Strugeon

    La Révolution s'empare des lieux

    Après la Révolution (1789), Saint-Honorat est déclaré bien national. Le père de Mademoiselle de Sainval, une actrice de la Comédie française, s'en porte acquéreur. Ce n'est que dans la seconde partie du 19e siècle que l'île revient dans le giron des ecclésiastiques, par l'intermédiaire de l'Evêque de Fréjus.
    ©  arch.miola - Fotolia.com

    L'abbaye de Lérins

    L'abbaye de Lérins, située juste derrière la tour, est le plus vieux monastère d'Occident encore en fonctionnement.
    ©  Guilène Abid

    Le chemin de ronde

    Saint-Honorat s'étend sur 1,5 km de long et 400 m de large. Il est possible d'en faire le tour, à pied, grâce au chemin de ronde qui longe le littoral. Comptez de 1h à 1h30 de marche. La végétation, dense, vous apportera une fraîcheur bien agréable par temps chaud.
    ©  L'Internaute Magazine - Johanna Strugeon

    L'île à chapelles

    Sept chapelles sont disséminées à travers l'île. Les plus connues sont celle de Saint-Caprais (sur la pointe ouest) et celle de la Trinité (est).
    ©  L'Internaute Magazine - Johanna Strugeon

    Des moines vignerons

    Saint-Honorat est également réputé pour les vins et liqueurs produits... par les moines ! La communauté religieuse s'emploie sur près de 8 hectares de vignes.
    ©  L'Internaute Magazine - Johanna Strugeon

    Magnifique site de plongée

    Les amateurs de plongée peuvent aussi se jeter dans les eaux cristallines de Lérins. Les îlots de la Tradelière et de Saint-Féréol, à l'est de Sainte-Marguerite et Saint-Honorat, sont réputés pour la richesse et la beauté de leurs fonds sous-marins.
    ©  Hugo - Fotolia.com

      
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  • Balade dans les calanques entre Marseille et Cassis

      

    Entre Marseille et Cassis, le littoral offre un paysage d'une beauté rare. L'Internaute vous propose une balade maritime de 25 km, le long des calanques. Port-Pin, Sormiou, En-Vau... Découvrez les merveilles naturelles de la Méditerranée. Voir la carte
    ©  Dominique Chassignet

    Calcaire façonné et corridors immergés

    Ce que l'on désigne exactement par le terme de calanque est un vallon étroit et profond, encadré par de hautes falaises de calcaire, et submergé par la mer. On trouve ce type de relief autour de la Méditerranée (en Provence-Alpes-Côte d'Azur et en Corse). La formation géologique des calanques remonte à plus de 6 000 ans. Ici, la baie des singes, aux Goudes.
    ©  Guylaine Simon

    Départ du Sud de Marseille

    25 kilomètres séparent Marseille de Cassis. Au fil de l'eau, une vingtaine de calanques dévoilent leur beauté, entre falaises et eau turquoise. Ici : un pointu (barque de pêche traditionnelle de Méditerranée) mouille dans le port de l'Escalette, qui abrite la première calanque de la côte.
    ©  Jean-Louis Corby

    Les Goudes

    Le port des Goudes, à Marseille, est le point de départ de nombreuses randonnées. Il séduit les visiteurs par son décor de blocs rocheux abrupts immenses et dépouillés, une végétation parcimonieuse, et surtout une mer aux fonds splendides. Voir la carte
    ©  Jean-Pierre Beuret

    Les îles Maïre et Tiboulen de Maïre

    Au large du Cap Croisette se trouvent l'île Tiboulen de Maïre et l'île Maïre. Mesurant moins de 1 kilomètre sur 500 mètres, cette dernière est totalement inhabitée (hormis par les goélands). Juste à côté se trouve l'îlot de Tiboulen, doté d'un phare à son sommet.
    ©  Simone Dominaty / Jean-Marc Foquet

    Crique de Callelongue

    Son nom signifie "petite crique étroite et longue" en provençal. Callelongue est un hameau portuaire situé à l'extrême sud de Marseille. Quelques maisons se dressent encore au fond du goulot. Callelongue est la première calanque du massif de Marseilleveyre.
    ©  Guylaine Simon

    Calanque de Marseilleveyre

    Le massif montagneux de Marseilleveyre s'étend d'ouest en est sur une dizaine de kilomètres, depuis la pointe des Goudes, jusqu'à la calanque de Sugiton. Au niveau de la calanque de Marseilleveyre, on trouve une plage de petits galets et sable.
    ©  Maryjo Lasserre

    L'île de Riou

    Au large du massif de Marseilleveyre se trouve l'île de Riou (en haut de la photo) et l'île Plane. La première a servi de poste de surveillance des côtes pendant plusieurs années (on y trouve des vestiges de citerne, d'une tour). Elle est aujourd'hui la propriété du Conservatoire de l'Espace Littoral et n'est plus visitée que pour l'éthologie marine et la plongée sous-marine. C'est aussi à l'est de cette île qu'ont été retrouvés les restes de l'avion P-38... Lire la suite   
    ©  Isabelle Guiot-Hullot

    Un éden pour les plongeurs

    Près de l'île de Riou, les plongeurs viennent nombreux pour explorer les grottes et les épaves antiques sur ce qui constitue l'un des plus beaux sites de plongée en Méditerranée. Le commandant Cousteau lui-même a plongé au pied du récif du Grand Congloué, pour fouiller deux navires romains.
    ©  Marc Ohana

    Calanque de Sormiou

    C'est l'une des calanques les plus connues et les plus fréquentées. Son accès est bien gardé puisque la route qui y conduit est difficile à trouver. L'arrivée par le col de Sormiou, semblable à un col de montagne, offre une vue imprenable sur la mer et les îles (Riou, Plane et Jaïre). Voir la carte
    ©  Stéphane Ploquin

    Une eau translucide et turquoise

    La calanque de Sormiou est très prisée en raison de son eau aux teintes turquoises, exceptionnelle en Méditerranée.
    ©  Eric Lions

    Le port de Sormiou

    La calanque de Sormiou abrite une centaine de cabanons et un charmant petit port, protégé par une digue.
    ©  Sami Dalouche

    900 espèces végétales

    Le massif des calanques abrite plus de 900 espèces végétales différentes. On y trouve des fleurs amatrices des embruns marins (perce-pierre, à fleurs jaunes, ou petite saladelle, à fleurs bleues), des oliviers sauvages, des pistachiers lentisques, des myrtes, des genévriers de Phénicie, du romarin, des genêts de Lobel, des pins d'Alep...
    ©  Jean-Pierre Beuret

    La calanque de la Triperie

    Cette calanque abrite la grotte sous-marine de Cosquer, baptisée du nom de l'homme qui l'a découverte en 1985 : le scaphandrier Henri Cosquer. Les peintures exceptionnelles de cette grotte, elles, n'ont été dévoilées qu'en 1991. On y trouve des gravures d'animaux (bisons, cerfs, chevaux, bouquetins) et de mains, qui remonteraient entre - 18 000 et - 27 000 ans av. JC. Le niveau de la mer se situait alors 135 m plus bas. La grotte est interdite au public e... Lire la suite   
    ©  L'Internaute Magazine / Gaud Menguy

    La calanque de Morgiou

    Pour accéder ensuite à la calanque de Morgiou, il faut d'abord emprunter le cap du même nom. Le sentier passe à travers un fort en ruines. Ces fortifications ont été construites à l'initiative de Napoléon Bonaparte en 1810. Elles auraient permis de défendre la flotte commerciale française d'attaques incessantes. Les navires trouvaient refuge dans les calanques de Sormiou et Morgiou. Voir la carte
    ©  Jérôme Rattat

    Une calanque profonde

    Au fond de la profonde calanque de Morgiou se trouve le port, où travaillent encore quelques pêcheurs professionnels.
    ©  Isabelle Guiot-Hullot

    La calanque de Sugiton

    La calanque de Sugiton est exclusivement accessible via la mer ou à pied depuis le site de Luminy, par un chemin balisé qui passe la montagne. Le trajet, relativement pentu, est d'environ une heure. La calanque est généralement fréquentée par des naturistes, qui s'installent sur la petite plage de galets ou sur des dalles de rocher. Voir la carte
    ©  Jean-Pierre Beuret

    Le rocher du Torpilleur

    À quelques mètres du rivage émerge un ilôt rocheux caractéristique : le Rocher du torpilleur (baptisé ainsi en raison de sa ressemblance avec un navire de guerre). Il est aussi parfois appelé le cygne.
    ©  Jean-Pierre Beuret

    Baignade dans une eau limpide

    La calanque de Sugiton est l'une des plus belles de Marseille. Résines de pin et iode marine pour l'odorat, falaises abruptes et mer turquoise pour la vue, fraîcheur de l'eau pour les sens, silence uniquement troublé par la nature pour l'ouïe... Sugiton est un lieu de rêve.
    ©  Jean-Louis Imbert

    La calanque du Devenson

    Les falaises vertigineuses du Devenson, dessinées en grandes orgues verticales, plongent sur les eaux vertes de la calanque du même nom.
    ©  Monique Lopez

    La calanque d'En-Vau

    La calanque d'En-Vau est très encaissée. Difficile donc de l'atteindre... Les plus courageux peuvent l'atteindre en randonnée. Les autres emprunteront la voie maritime pour profiter de son calme. Voir la carte
    ©  Jean-Pierre Beuret

    Un lieu idéal pour l'escalade

    D'une façon générale, les calanques sont de superbes spots d'escalade. On y trouve une soixantaine de falaises, pour plus de 1 200 voies, représentant le plus grand massif calcaire au monde dédié à l'escalade... Rien qu'à En-Vau, on compte près de 200 voies.
    ©  Laurent Duveau

    Une eau assez froide

    Le fait que la calanque d'En-Vau soit très reculée empêche le soleil de réchauffer l'eau puisque les rochers lui font de l'ombre. La plage est composée de galets.
    ©  Charles Rameye

    Calanque de Port-Pin

    Son nom vient des pins d'Alep, qui jonchent la roche. Cet endroit de rêve dispose d'une plage de sable bordée d'une pinède abondante.
    ©  Willy Goudet

    Une calanque très touristique

    Facile d'accès, la calanque est très prisée des touristes. Mais c'est la plus petite du massif.
    ©  Laurence Leris

    Le trou souffleur

    A Port-Pin, les curieux viennent aussi observer la trou souffleur : une sorte de grotte qui aspire les vagues et rechasse l'air avec force à travers un conduit. Les jours de grand vent, on l'entend souffler jusque dans un rayon de 100 mètres.
    ©  Stéphane André

    La calanque de Port-Miou

    Contrairement à toutes les calanques marseillaises précédemment citées, celle de Port-Miou est située sur la commune de Cassis. C'est  une ancienne carrière de calcaire, utilisée notamment pour la construction du canal de Suez. Voir la carte
    ©  Gilles Oster

    Un port de plaisance

    Très sinueuse, la calanque de Port-Miou s'avance profondément à l'intérieur des terres et constitue un port naturel, qui accueille plus de 600 voiliers. Mais elle ne dispose d'aucune plage.
    ©  Jean-Pierre Beuret

    La plus profonde de Cassis

    Voici l'entrée de la calanque en arrivant de Port-Pin. Avec 1,5 km de profondeur, c'est la plus profonde des calanques de Cassis.
    ©  Jean-Pierre Beuret

    Le cap Canaille

    C'est au Cap Canaille, à l'est de Cassis, que s'achève notre balade le long des calanques marseillaises. C'est l'une des plus hautes falaises d'Europe (394 mètres) et la plus haute falaise de France devant Etretat. Sa roche qui tire vers le rouge est composée de calcaire détritique. 
    ©  Isabelle Gérard

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  • Balade dans les Calanche corses

      

    Aussi appelées Calanche de Piana, les calanques corses se découvrent dans le golfe de Porto, au sud de l'Île de Beauté. Balade au cœur de ces merveilles de la nature.
    ©  Yves Boissel - Galerie photo

    Les couleurs de Piana

    Pour découvrir les Calanche dans des conditions idéales, mieux vaut attendre la fin de l'après-midi. C'est en se couchant que le soleil pare les falaises de leurs palettes d'oranges et de rouges, leur donnant une lumière presque irréelle.
    ©  Christian Claudepierre - Galerie photo

    De Piana à Porto

    Déchiquetées et burinées par l'érosion, les Calanche offrent des paysages chaotiques à la beauté étrange. Elles se découvrent aussi bien de la terre, depuis la route reliant Piana et Porto, que de la mer, depuis le golfe de Porto.
    ©  Serge Vasseur - Galerie photo

    Porto

    Porto se divise entre deux sites naturels d'exception, les Calanche de Piana au sud et la réserve de Scandola au nord.
    ©  L'Internaute Magazine / Tiphaine Bodin

    Calanche ou calanque ?

    "Calanche" est l'équivalent corse du mot "calanques". C'est en fait le pluriel de "calanca". D'ailleurs, il se prononce comme en français.
    ©  Michel Germain - Galerie photo

    Une route en corniche

    Une route en corniche, étroite et sinueuse, parcourt les Calanche entre Porto et Piana. Même si quelques emplacements permettent de se stationner pour observer ce spectacle géologique, le mieux reste de s'enfoncer dans les sentiers alentours.
    ©  Matthieu Aragou - Galerie photo

    Contrastes de couleurs

    Les couleurs ocre et rose des Calanche contrastent avec le bleu de la mer Méditerranée qu'elles surplombent à plus de 300 mètres.
    ©  Michel Germain - Galerie photo

    Côte ouest

    Situées à mi-chemin entre Ajaccio et Calvi, les Calanche sont un rendez-vous incontournable pour quiconque parcourt la côte ouest de la Corse.
    ©  L'Internaute Magazine / Tiphaine Bodin

    Sentier du capo Rosso

    Un circuit pédestre permet de rejoindre le capo Rosso, extrémité sud du golfe de Porto. De là haut, on a une vue magnifique sur les falaises abruptes des Calanche.
    ©  Françoise Verkarre - Galerie photo

    Des sculptures de granit

    Résultats d'un perpétuel travail d'érosion, les Calanche offrent d'étonnantes sculptures aux formes parfois insolites. Tête de Chien, Tortue, Aigle... Certains blocs granitiques ont même été baptisés en raison de leur silhouette animale.
    ©  Michel Germain - Galerie photo

    La marina de Porto

    C'est dans la marina de Porto que vous trouverez les différentes compagnies proposant des excursions dans les Calanche.
    ©  Michel Germain - Galerie photo

    Les taffoni

    Ces trous, qui percent littéralement le granit, s'appellent des "taffoni" en corse. Ils se forment sous l'action des variations de température et d'humidité.
    ©  Michel Geofray - Galerie photo

    Coucher de soleil sur les Calanche

    Les plages de Porto réservent des panoramas somptueux sur le golfe, notamment au soleil couchant.
    ©  Céline Artico - Galerie photo

    Dans le maquis

    En parcourant les Calanche, on s'aperçoit que les blocs de granit cohabitent avec le maquis et les arbousiers.
    ©  L'Internaute Magazine / Tiphaine Bodin

    Inspiration du poète

    "Figures surprenantes, modelées par le temps, le vent rongeur et la brume de mer", Guy de Maupassant a su décrire les Calanche avec vigueur dans son roman "Une Vie".
    ©  Jérôme Rattat - Galerie photo

    Passage réservé

    Avec un petit bateau, il est possible de passer sous ces arches creusées dans les roches.
    ©  Karine Dufossé - Galerie photo

    Un site d'exception

    Depuis 1983, les Calanche de Piana figurent sur les listes du patrimoine mondial de l'Unesco au même titre que la réserve de Scandola et Girolata, également parties intégrantes du golfe de Porto.
    ©  Michel Geofray - Galerie photo

    Vue vertigineuse

    La vue vertigineuse qu'offrent les Calanche donne envie de plonger dans la mer Mediterranée en contrebas. Malheureusement, la route en corniche qui relie Porto et Piana ne permet pas d'accéder à la mer.
    ©  Georges André Frémigacci - Galerie photo

    Des formes insolites

    Certains blocs de granit adoptent même des formes végétales, animales ou voire humaines. Libre à chacun d'imaginer ce que ces sculptures rocheuses peuvent représenter.
    ©  Michel Germain - Galerie photo

    Grottes marines

    De nombreuses grottes marines sont à voir au pied des falaises.
    ©  L'Internaute Magazine / Tiphaine Bodin

    Voilier au pied des calanche

    Il n'est pas rare de croiser des voiliers au pied des Calanche. Rien de tel pour apprécier le paysage en toute tranquillité, jeter l'ancre et piquer une tête dans ces eaux cristallines.
    ©  L'Internaute Magazine / Tiphaine Bodin

    Habitants des Calanche

    A en juger par ce nid de balbuzard, quelques oiseaux ont élu domicile dans les Calanche.
    ©  L'Internaute Magazine / Tiphaine Bodin

    La légende des Calanche

    Selon la légende, les Calanche sont le fruit de la rage de Satan. Econduit par une jeune bergère corse, il aurait brisé la roche pour lui donner toutes les formes fantastiques qu'on peut observer aujourd'hui.
    ©  Patrick Bonetto - Galerie photo

    Fonds marins

    Au pied des falaises, l'eau est tellement peu profonde à certains endroits que l'on peut apercevoir les fonds.
    ©  L'Internaute Magazine / Tiphaine Bodin

    Musicien dans les Calanche

    Coucher du soleil sur un corniste au milieu des calanches de Piana.
    ©  Pierre Asselin - Galerie photo
     

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