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JEU VIRTUEL
Fruit de son imagination...
Fruit extrême de la passion...
Fruits en coulis qui s'étend sans raison.Mot de nulle part...
Mot qui s'égard...
Mot sans l'ombre d'un regard...Signes indécis...
Signes lorsque tu souris...
Signes, tu devines.Jouer de son clavier...
Jouer à se faire dévoiler...
Jouer en se laissant succomber.Monde irréel, et pourtant si réel,
Monde à part, et pourtant quelque part,
Monde insensé, et pourtant si censé,
Monde qui n'est que miroir de notre société
- Fabrice -
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MON AMIE
Tu as su me tendre la main
A cet instant où je n'allais pas bien
De nos rires, de nos confessions
Est née de l'affection
De notre tristesse, de notre complicité
Est née notre amitié
Mais il ne faut pas que ce cela reste
Un simple mot de six lettresSi un jour tu es en détresse
N'hésite pas à me lancer un S.O.S.
Même si je ne trouve pas les mots
Ceux qui rendent le monde plus beau
Même si je suis maladroit
Tu pourras toujours compter sur moiNe laisse pas la maladie
Prendre le pas sur ta vie
Et si aujourd'hui tes larmes sont salées
Demain elles te paraîtrons sucrées
Dans une folle farandole
Tout tes ami(e)s réunis
Nous fêterons ta nouvelle vieMon amie tu m'as secouru
Alors que je me croyais perdu
Mon amie tu m'as aidé
Et ça je ne l'oublierais jamais
Aussi loin que tu sois
Je veillerais toujours sur toi.
- Malik -
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Mon amour
Mon petit rossignol
Ma petite idole
Tu as franchi la porte de mon coeur
Comme un petit voleur
J'ai déposé sur tes lèvres
Un tendre baiser
Alors que je n'étais pas invitée
Mais tu ne l'as pas refusé
Maintenant je voudrais te dire tes mots tout bas
Des mots que tu ne croiras pas
J'ai envie de tes bras
Pour que seule je puisse en rêver
J'aimerais que sur cette place
Ou le sol était chaud
Revienne peupler mon coeur
Pour toujours
Ce poème est écrit par Aude
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J'AI SU QUE J'ALLAIS T'AIMER
C'est en te caressant la joue que tout à commencer
Dès cette seconde j'ai su que j'allais t'aimer
Que mes heures et mes jours à venir n'allaient avoir de sens que toi
Que ta beauté faisant acte de foi
Ta peau m'était apparue si douce, comme un nuage on aurait dit
Je me souviens de cette pluie fine qui tombait
Un vent d'automne avait soufflé sur nous comme un assaillant stupide
Comme si la nature s'opposait à notre amour naissant
Mais rien mon amour, rien n'avait pu m'empêcher de t'embrasser...
Savais tu chérie qu'au moment où mes lèvres tendrement
ont toucher les tiennes
Que dès ce moment précis l'étincelle de l'amour a allumé nos coeurs
Savait tu chérie que le monde pour moi a vacillé
Que ma vie n'a plus jamais été la même..
Je pense que nous nous étions embrasser de longues minutes
C'est le plus beau souvenir que je garde de toi bien au fond de moi
Ce long baiser où la douceur avait fait de nous le bonheur pur
Cette odeur dans ma tête semblable à ton parfum qui me parlait de fête
C'est ça je pense être heureux dans la vie
Aimer, aimer, aimer
Aimer si fort jusqu'à devenir homme et bête
Je garde de si beaux souvenirs de nous mon amour
que je songe souvent à les mettre sur papier
A les graver à jamais l'un après l'autre
jusqu'à ce que ma main ne tienne plus la plume
Sur des pages blanches que je pourrai noircir
avec à la fois mon coeur et mes désirs
Mes larmes et mes soupirs...
Je t'aime, de la page un à la page mille je jubile
De toi j'ai envie chaque jour
De tes yeux de ton corps et de tes lèvres j'ai ce mal d'amour
Alors prends soins de toi mon amour
Garde ton beau sourire pour les moments de passion qui nous habitent
Aime moi à ta façon mais ne m'oublie jamais
Même si tu es loin aujourd'hui ne m'oublie pas je t'en prie
La vie nous a éloigné tandis que le temps continu à nous bercer
d'illusions et de rêves mais l'amour est encore présent
Nos routes se recroiseront un jour j'en suis sur
Nos coeurs bâteront de nouveau ensemble
au grand jour je t'aime
Sincèrement et profondément je t'adore
Tu me manques ce soir et mes souvenirs si beaux me font souffrir
Comme si parfois j'allais devenir
Une âme en peine d'avoir aimer
Le coeur en dilemme de mal vieillir.
Alors voilà mon amour
La première page est écrite
Dans ce grand livre comme un discours
Que je relis à haute voix quand ma vie s'effrite
- André Julien -
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