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    L'achat d'une voiture électrique, une bonne affaire?

     

    Vous considérez sérieusement l’achat d’une voiture électrique parce que vous trouvez très tentant de ne plus avoir à passer à la station service. Toutefois, vous n’êtes pas certain qu’un tel véhicule soit une bonne affaire et convienne à vos besoins. Les pour et les contre!

     

    L'achat d'une voiture électrique, une bonne affaire?

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    À l’heure actuelle les véhicules électriques ne s’adressent pas à tout le monde. La Leaf vous a fait un clin d’oeil dès que vous l’avez entraperçue chez Nissan? Première voiture 100% électrique de production de masse débarquée sur notre continent il y a deux ans, la compacte à hayon héberge cinq passagers et se conduit comme n’importe quelle autre voiture conventionnelle. Sauf qu’elle le fait en silence. Et comme elle ne requiert aucune goutte d’essence, elle ne pollue pas – du moins, pas au tuyau d’échappement.

     

    Mais son autonomie est, lors des beaux jours, inférieure à 160 km. Utilisez la climatisation en été ou, pire, le chauffage en hiver, et cette autonomie diminue considérablement. De quoi alimenter ce que les Américains appellent l’anxiety range – que l’on pourrait sans doute traduire par «se faire du mouron de distance»... 

     

    En route, survient la panne... électrique? Oubliez l’idée de rejoindre, bidon en main, la station d’essence la plus proche. Car pour redonner vie à cette belle voiture électrique, c’est une prise de courant qu’il faudra dénicher... Il faudra ensuite patienter plusieurs heures, le temps de la recharge.

    En moyenne, les voitures électriques d’aujourd’hui demandent, sur du courant 240 volts, de six à huit heures afin de récupérer une pleine charge. 

     

    C’est dire que, pour chaque heure pendant laquelle on veut rouler à vitesse d’autoroute, il faut avoir branché la voiture électrique... trois à quatre fois plus longtemps. 

     

    Certes, il y a la possible recharge rapide en une vingtaine de minutes, à même des bornes commerciales de haute tension. Mais celles-ci sont pratiquement inexistantes en Amérique du Nord. 

     

    Les stations de recharge pour véhicules électriques 

    Les stations de recharge pour véhicules électriques commencent à se répandre, tant en Amérique du Nord qu’ailleurs sur la planète. Au Québec, on n’a qu’à penser au Circuit électrique (www.lecircuitelectrique.com) qui, graduellement depuis l’an dernier, a mis une centaine de bornes à la disposition des automobilistes, principalement à Montréal et à Québec. Pour 2,50$ la séance, les automobilistes peuvent recharger leur Nissan Leaf, Chevrolet Volt ou Ford Focus électrique… à condition d’être patients. Car ces bornes ne permettent de renflouer les accumulateurs, pour chaque heure «branchée», que d’une vingtaine de kilomètres, selon les voitures. 

     

    Il existe bien des bornes à recharge rapide qui redonnent aux accumulateurs presque toute leur énergie en une vingtaine de minutes. Mais de telles installations publiques n’existent pas au Canada – et à peu près pas aux États-Unis. La raison en est fort simple : chacune de ces bornes coûte jusqu’à 50 000$. 

     

    Lorsque de telles recharges seront possibles (un projet-pilote est en cours à Boucherville), attendez-vous toutefois à ce que la séance coûte davantage que les 2,50$ demandés par les bornes à courant alternatif. 

     

    Sachez par ailleurs que certains constructeurs automobiles, Mitsubishi notamment, déconseillent l’utilisation fréquente de ces bornes à courant continu, puisqu’elles réduiraient à long terme l’efficacité des accumulateurs de leurs voitures électriques. La batterie est épuisée? Les «branchées» continuent de rouler sur leur moteur à combustion et peuvent donc effectuer le Montréal-Québec sans interruption – et en revenir. Mais ce sera en consommant du carburant.

    Pour l’heure, donc, impossible d’effectuer le trajet entre Montréal et Québec d’un seul trait et ce, avec la plupart des voitures 100% électriques offertes sur le marché.

     

    Mais… vous êtes de ceux qui n’utilisent la voiture que pour de courtes distances quotidiennes et n’envisagent jamais, jamais de grands déplacements? Certes, la voiture électrique pourrait vous convenir. 

     

    Mais d’abord, une question: où habitez-vous? En ville, sans case de stationnement attitrée? Alors, n’y pensez même pas : pour être rechargée, la voiture électrique a besoin d’un accès direct (et sécurisé) à une prise de courant, idéalement du 240 volts. (C’est encore mieux si la voiture peut dormir dans un garage chauffé l’hiver : ses composantes électriques n’aiment pas le froid et elles le font sentir avec une autonomie encore plus réduite.) 

     

    Aucune prise 240 volts à portée de la main, mais vous estimez pouvoir composer avec une simple prise 110 volts? Sachez que la Nissan Leaf demandera alors de deux à trois fois plus de temps pour une recharge pleine et entière.

    Vrai qu’en ne s’abreuvant pas à la pompe, mais plutôt à la prise résidentielle, les voitures électriques font économiser du carburant. 

     

    Le Centre national du transport avancé (l’ancien CEVEQ, établi à Saint- Jérôme) estime que l’automobiliste québécois qui parcourt en moyenne 16 000 kilomètres par année consomme 268$ en électricité pour une voiture électrique, soit guère plus que le chauffeeau résidentiel. 

     

    Ces 268$, c’est au minimum six fois moins que ce qu’une voiture compacte conventionnelle coûte en carburant pour effectuer les mêmes 16 000 kilomètres (environ 1 500$ par année). 

     

    Mais cette équation ne tient pas compte du coût d’acquisition des voitures électriques, qui est deux fois plus élevé que celui des voitures conventionnelles. 

     

    S’il y a moyen de justifier cet investissement à long terme? Le magazine américain Forbes a évalué que, pour rentabiliser une Nissan Leaf (38 400$), il faudrait la conduire sur 320 000 kilomètres. 

     

    Mais comme la Leaf ne peut parcourir plus d’une centaine de kilomètres par jour avant de nécessiter une recharge de plusieurs heures, c’est dire qu’il faudrait la conduire 365 jours par année… pendant près de neuf ans. 

     

    Bref, on ne s’en sort pas: autonomie réduite, recharges interminables, prix d’achat élevé... Ce n’est pas demain la veille que les voitures électriques, telles qu’on les connaît aujourd’hui, remplaceront les véhicules conventionnels.

    Les premières hybrides (Honda Insight d’abord, Toyota Prius ensuite) ont débarqué sur notre continent au tournant du nouveau millénaire. Elles étaient (et sont encore) munies d’un moteur à essence, auquel s’annexe un organe électrique. 

     

    Elles peuvent rouler sur seule propulsion électrique, mais qu’à basse vitesse (généralement sous les 30km/h) et seulement pour de très courtes distances (à peine un ou deux kilomètres). 

     

    Ces hybrides n’ont pas à être branchées: leurs accumulateurs se renflouent par l’énergie du freinage et... le moteur à essence. Elles sont à leur meilleur en ville, là où le freinage et la basse vitesse règnent en maître. 

     

    Diesel et voitures hybrides

    Ceux qui roulent principalement sur l’autoroute ont plutôt intérêt à se tourner vers les motorisations diesel. Entre deux pleins de diesel, ils peuvent facilement franchir la barre des 1000 kilomètres. 

     

    Le meilleur des deux mondes serait donc des véhicules hybrides-diesel – et des constructeurs y travaillent déjà. Mais ces technologies coûtent cher et les offrir en simultané ne fait pas encore de sens versus les prix actuels du carburant.

     

    100% électriques

    Les 100% électriques (Nissan Leaf, Smart fortwo Electric Drive et Ford Focus électrique) ne comptent que sur la propulsion électrique pour rouler et, donc, doivent être branchées. 

     

    Mises à part des accélérations instantanées qui s’exécutent en silence, les véhicules électriques d’aujourd’hui proposent une conduite conventionnelle. Sauf que leur autonomie ne rivalise pas avec celle accordée par un plein d’essence.

     

    Les hybrides rechargeables

    Les hybrides rechargeables débarquent tout juste sur notre marché: Toyota Prius rechargeable, Ford Fusion Energi et Ford C-Max Energi. 

     

    Ces «plugs in» sont la suite logique des hybrides. Parce qu’elles se branchent à la prise résidentielle, elles engrangent un supplément d’énergie, pour plus d’autonomie sur seule propulsion électrique (généralement une vingtaine de kilomètres).

    Reste que le grand «big-bang», côté accumulateurs, n’est pas encore survenu. On espère toujours la découverte qui accordera une autonomie électrique équivalant à celle d’un plein d’essence. 

     

    Pour le moment, et dans des conditions tout à fait idéales, l’autonomie de la plupart des voitures électriques est de 160 kilomètres. Et il est fort difficile d’arriver à mieux, à moins de faire monter davantage d’accumulateurs à bord. 

     

    Mais davantage d’accumulateurs font augmenter à la fois le coût de la voiture et son poids. 

    Par exemple, la Nissan Leaf doit composer avec une batterie d’accumulateurs et un module de contrôle de 300 kilos – soit le cinquième de son poids total. En rajouter plus irait à l’encontre des lois de la physique, qui veulent que le poids soit l’ennemi de l’autonomie. C’est donc une roue qui tourne… contre la voiture électrique.

    Voiture électrique: tout est dans la batterie

    Non, il n’y a pas de complot pour tuer la voiture électrique. De fait, les constructeurs automobiles tentent par tous les moyens de développer celle qui se démarquera – et qui leur permettra de devancer la concurrence, un peu comme ce que l’hybride a fait (et fait encore) pour Toyota. 

     

    Il n’y a pas que les constructeurs qui planchent à grands coups de millions de dollars sur l’électrification automobile. Les fabricants de batteries sont tout aussi acharnés. Et l’évolution se fait sentir: des accumulateurs de nickel-hydrure métallique (NiMH), on passe graduellement aux accumulateurs de lithium-ion, qui sont plus légers, de plus haute densité et qui n’auraient aucun effet «mémoire». 

     

    Très coûteux, ces accumulateurs au lithium-ion voient cependant leur prix se démocratiser, passant de 1 300$ le kWh il n’y a pas si longtemps à, aujourd’hui, moitié moins cher. Pour une voiture électrique comme la Smart fortwo Electric Drive, cela signifie… plus de 12 000$ d’accumulateurs. 

     

    Les experts prédisent qu’à la prochaine décennie le prix du kWh aura chuté sous les 250$, voire sous les 160$ d’ici 2025.

     

    Pour

    • Zéro carburant, zéro émission (du moins, au tuyau d’échappement).
    • Peu d’entretien (pas de bougies d’allumage à changer, pas de vidange d’huile à effectuer).
    • Accélérations instantanées – aucun rapport de transmission.
    • Silence à bord, même à haute vitesse.
    • Conduite par ailleurs tout à fait conventionnelle.

     

    Contre

    • Autonomie limitée (en moyenne 130 km).
    • Recharge qui nécessite l’accès à une prise 240 volts.
    • Temps de recharge encore très longs.
    • Infrastructures de recharge qui commencent à peine à se développer.
    • Véhicules qui coûtent au minimum deux fois plus qu’une voiture comparable conventionnelle.
    • Incertitude quant à l’efficacité à long terme des batteries d’accumulateurs.
    • Inquiétude quant à la recharge lors des pannes de courant.

     

    Chevrolet Volt: la solution?

    La Chevrolet Volt? Unique sur le marché, la Volt est considérée comme une hybride à l’envers. D’ailleurs, dans le jargon automobile, on la désigne comme un véhicule électrique «prolongateur d’autonomie». 

     

    La grande différence, versus les hybrides rechargeables, c’est que la Volt est d’abord mue par son moteur électrique, pour une autonomie d’une soixantaine de kilomètres, sans utiliser une goutte de carburant.

     

    Le Québec veut, pour 2020, réduire ses gaz à effet de serre de 20% sous leur niveau de 1990. C’est pourquoi le gouvernement (alors libéral) a décrété que le quart des ventes automobiles en 2020 devront, dans la Belle Province, être électriques.

     

    Autrement dit, dans moins d’une décennie, les automobilistes québécois devraient acheter annuellement 118 000 véhicules (neufs) soit hybrides, soit rechargeables, soit 100% électriques. C’est une cible très ambitieuse. Un sondage de KPMG, mené l’été dernier auprès de l’industrie automobile, a plutôt estimé qu’en 2025 les ventes de véhicules électriques en Amérique du Nord et en Europe ne dépasseront pas... les 10%.

     

    Qu’importe, en 2014, Québec a mis à jour son programmeRoulez électrique. Vous pouvez consulter les nouveaux montants des rabais accordés à l'achat ou à la location d'un véhicule en cliquant ici.  vehiculeselectriques.gouv.qc.ca/rabais.asp

     

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    Dormir à deux rend plus heureux

     

     
     

    Si faire chambre à part peut apaiser les tensions, selon une étude, dormir dans le même lit contribuerait au bonheur du couple.

     

    Monsieur prend toute la place ? Madame vole la couette ? Peu importe, malgré ces petits désagréments du quotidien, dormir dans le même lit serait bénéfique pour le bien-être du ménage. L'Université de Pittsburg, aux Etats-Unis, vient de publier une étude qui fait le lien entre la complicité de deux personnes et leur temps de sommeil en commun.
    "La façon dont les couples dorment ensemble influencerait et serait influencée par la façon avec laquelle leur relation fonctionne. Le sommeil des couples mariés est davantage synchronisé que le sommeil des individus choisis au hasard. Cela suggère que nos habitudes de sommeil sont régulées en partie par la personne avec qui l'on dort", explique l'auteur principal de cette recherche. Ses observations rapportent également que plus les tourtereaux sont synchro, plus ils sont heureux. A l'inverse, plus ils se disent satisfaits de leur relation, plus ils dorment en même temps. Et cela se jouerait même à la minute ! Pour en arriver à ce constat, les scientifiques ont observé 46 amoureux pendant 10 jours. Ils ne précisent pas si dans ces cas là justement, il y avait des conflits de couette ou de place...

     

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    Dormir à deux, la clé du bonheur ? © © bonninturina - Fotolia.com
     

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    18 bonnes raisons d’aller vivre dans la « Big Apple »

     

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    le 9 juillet 2013 à 14:53
     

    New York, située dans l’état du même nom, est une ville qui fait rêver par ses nombreuses possibilités, qui nous fait voyager à travers ses avenues multiculturelles et qui sait nous séduire avec ses nombreux parcs, dont l’incontournable Central Park. Dès notre arrivée, New York nous imprègne d’une énergie électrisante et envoûtante qui pousse toujours plus de gens a s’y installer , à croire encore au fameux Rêve américain.

    Voici donc les 18 bonnes raisons d’aller vivre à NYC..enjoy !

    Situé sur l’île de Manhattan, Broadway offre une multitude de concerts et comédies musicales sans oublier ses bâtiments anciens, ses restaurants de tous horizons.

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    Si vous passez sur Times Square, vous apercevrez sans aucun doute « The Naked Cowboy ». Personnage emblématique de New-York, il se prêtera facilement aux jeux des photos avec les touristes. Et si il pleut, ne vous inquiétez pas, « the Naked Cowboy » égaye la ville tout le temps ! Nous, on l’adore !

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    Le Musée d’art moderne et contemporain, situé dans le quartier de Midtown, à Manhattan, boostera votre créativité et enflammera votre esprit.

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    La ville qui ne dort jamais…

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    Le maire de New-York vient d’autoriser les femmes à se promener « topless » en cas de grande chaleur cette été… Des amateurs ?

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    Le métro new-yorkais est ouvert 24/24 et jouit du réseau souterrain le plus étendu du monde.

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    Véritable icône de la musique Hip-Hop, Jay-z est un pur produit de la « Big Apple ». Né à Brooklin, le jeune Jay-Z s’est inspiré de la culture « street » du quartier pour devenir la star que l’on connait.

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    La mytique équipe des Knicks de New-York qui joue au Madison Square Garden. Salle on ne peut plus mytique puisqu’elle accueille les plus grands championnats du monde de boxe, les matchs de hockey et bien d’autres spectacles encore.

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    Central Park ! Le poumon de la ville

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    L’Empire State Building : symbole de puissance et de démesure !

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    Allez faire un tour dans l’immense « Apple Store » de Manhattan.
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    Idées 100% new-yorkaise : le « Community garden », qui permet de cultiver son propre potager en pleine ville..Dépaysement total assuré !

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    Welcome to the Coney Island Boardwalk..

    Coney Island Boardwalk, Day to Night ™

    « Ground Zero », en lieu et place des « Twins towers » a été dessiné et pensé pour accueillir les gens afin de commémorer cette épisode tragique de l’histoire de New-York.

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    Roosevelt Island, un peu de calme dans cette ville de fou !

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    Passage obligatoire par Staten Island, où vous y verrez la fameuse « Statue de la Liberté ».

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    Le temple des affaires..

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    Un petit gospel à Harlem, ça vous tente?

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    Dans le quartier de Soho, une multitude de « Vintage Shop » vous attendent.

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  • 9 bureaux parmi les plus dingues de la planète

    Notre environnement influence notre travail. Les recherches montrent que la lumière naturelle conduit à de meilleurs résultats scolaires, que les plantes vertes réduisent le stress au bureau et que les lieux avec de hauts plafonds tendent à favoriser la créativité. Sélectionnés parmi le palmarès A+ du site Architizer dressé par 300 experts et un vote public, voici des espaces de travail complètement dingues. Entrepôts t... Lire la suite   
    ©  Courtesy of Architizer
     

    La vaste salle de rédaction de la BBC

    La BBC Broadcasting House à Londres regroupe près de 6 000 salariés du groupe audiovisuel britannique.
    ©  Courtesy of Architizer
     

    Chez Autodesk, l'imagination au pouvoir

    Le siège social d'Autodesk se partage entre bureaux, laboratoires et ateliers.
    ©  Courtesy of Architizer.
     

    Chez Drukta, on travaille en containers

    Les bureaux de la compagnie maritime Drukta et de l'entreprise postale Formail à Kortrijk en Belgique, incarnent l'esprit décontracté de l'Europe du Nord. Les containers de bateau sont transformés en espaces de travail bien lisses.
    ©  Courtesy of Architizer.
     

    Le hangar d'Heavybit

    Le bâtiment de Heavybit Industries à San Francisco est un ancien entrepôt de trois étages complètement repensé.
    ©  Courtesy of Architizer
     

    LF USA, au coeur de l'Empire State Bulding

    Les locaux new-yorkais de LF USA, une entreprise de biens de consommation, se trouvent dans l'Empire State Building.
    ©  Courtesy of Architizer
     

    LYCS soigne son architecture

    Pour ses bureaux de Hangzhou, en Chine, LYCS Architecture a transformé un espace de stockage en un havre minimaliste.
    ©  Courtesy of Architizer
     

    72 facettes pour se protéger de la chaleur de Jaipur

    Le bâtiment aux 72 facettes, à Jaipur en Inde, est entouré de panneaux décoratifs en béton, afin d'atténuer la chaleur extrême qui règne dans la ville.
    ©  Courtesy of Architizer
     

    Dear Ginza, l'avant-garde japonaise

    Le bâtiment Dear Ginza à Tokyo est aussi avant-gardiste que le quartier dont il tire son nom.
    ©  Courtesy of Architizer
     

    Les jolies courbes de FKI

    Les courbes extérieures du bâtiment FKI à Séoul en Corée du Sud, protègent l'espace de la lumière intense.
    ©  Courtesy of Architizer
     

     
      

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  • Une journée au vert à moins d'une heure de Paris

    les barques bleues de fontainebleau en seine-et-marne
    Les barques bleues de Fontainebleau en Seine-et-Marne © Frédéric David 

    Fontainebleau côté château

    Célèbre pour son château, Fontainebleau vaut également pour sa forêt, à moins que ce ne soit l'inverse. C'est à François Ier que l'on doit cet édifice Renaissance, devenu résidence royale de ce dernier jusqu'à Napoléon III. Dans son parc, chaque souverain a laissé son empreinte : étang des carpes, grand parterre, bassins et fontaines... Une journée n'est pas de trop pour l'explorer. 

     

    Domaine de la Reine à Versailles

    le domaine de la reine à versailles (yvelines)
    Le Domaine de la Reine à Versailles (Yvelines) © Jean-Pierre Tolomio 

    Le Domaine de la Reine à Versailles

    Une fois n'est pas coutume, fuyez les foules de touristes et la traditionnelle visite du château, et profitez du Versailles champêtre. Du Petit Trianon en passant par le Hameau, le domaine de la Reine nous plonge dans l'univers bucolique de Marie-Antoinette. 

     

    Moret-sur-Loing

    moret-sur-loing en seine-et-marne
    Moret-sur-Loing en Seine-et-Marne © Patrick Lefeuvre 

    Une cité médiévale au bord de l'eau

    En lisière de la forêt de Fontainebleau, la cité médiévale de Moret-sur-Loing séduit immanquablement ses visiteurs par son charme. Chère au peintre Alfred Sisley, la ville se visite en barque d'avril à octobre, dans un paysage qui n'est pas sans rappeler un tableau impressionniste. Moret-sur-Loing, est l'un des "plus beaux villages de France" à découvrir absolument.

     
    • Accès : A6 sortie Fontainebleau, par l'autoroute A5, ou bien la Nationale 6 à partir de Fontainebleau
    • Sur le web : www.ville-moret-sur-loing.fr

    Les jardins du Château de Breteuil

    les jardins du château de breteuil dans les yvelines
    Les jardins du Château de Breteuil dans les Yvelines © Milochau 

    Dans les allées d'un jardin à la française

    Dans la haute Vallée de Chevreuse, un magnifique parc classé de 75 hectares borde le Château de Breteuil. Curiosités botaniques, labyrinthe, miroir d'eau et espace de jeux, font de ces jardins à la française un lieu de détente et de rêverie à 35 km de Paris.

     

    Auvers-sur-Oise

    auvers-sur-oise dans le val-d'oise
    Auvers-sur-Oise dans le Val-d'Oise © Jean-Jacques Boyer 

    Un village immortalisé par les plus grands peintres

    Village médiéval des bords de l'Oise, Auvers est définitivement lié à l'histoire de la peinture française. Corot, Van Gogh, Cézanne et les impressionnistes y puisèrent leur inspiration, attirés par ce petit coin de campagne proche de Paris.

     

      

    Accès : A15 Sortie Pontoise

    En savoir plus : Notre dossier Auvers-sur-Oise 

    Sur le web : http://www.auvers-sur-oise.com/ 

    Parc et jardins du Château de Chantilly

    l'ile d'amour dans le parc du château de chantilly dans l'oise
    L'Ile d'amour dans le parc du Château de Chantilly dans l'Oise © Christiane Hasenfratz 

    Romantisme dans un jardin anglais

    Situé entre le château et les Grandes Ecuries, le jardin anglais de Chantilly, dessiné en 1819 par l'architecte Victor Dubois, est l'incarnation du paysage romantique. L'Ile d'Amour, à l'origine un lieu de fêtes où les princes de Condé recevaient leurs invités, doit son nom à la statue d'Eros qu'elle abrite. 

     

    Forêt de Compiègne

    forêt de compiègne
    Forêt de Compiègne © Jany Joye 

    Balade dans l'une des plus grandes forêts de France

    Avec une superficie de 14 417 hectares, le domaine de Compiègne est la troisième forêt domaniale de France par sa taille. Terrain de chasse à courre des rois de France, de François Ier à Louis XV, son patrimoine naturel est resté intact. Maisons forestières, étangs, arbres ancestraux (le plus vieux est âgé de plus de 900 ans), cerfs et chevreuils... Un patrimoine forestier aussi divers que précieux.

     
    • Accès : A1 sortie Compiègne
    • En train : Trains SNCF au départ de la Gare du Nord (45 mn environ)
    • Sur le web : www.compiegne-tourisme.fr

    Parc du Château de Dampierre

    château de dampierre dans les yvelines
    Château de Dampierre dans les Yvelines © Michel Apfeld 

    Jardins dessinés par Lenôtre

    Construit à la fin du XVIIe siècle par Jules Hardouin-Mansart sur les ordres du duc de Chevreuse, Honoré d'Albert de Luynes, gendre de Colbert, le Château de Dampierre séduit également par ses jardins dessinés par Le Nôtre où l'eau joue un rôle majeur.

     
    • Accès : N118 sortie Saclay direction Chevreuse et Rambouillet ou N10 sortie Le Mesnils-Saint-Denis
    • En RER : Saint Rémy-les-Chevreuse (ligne B)
    • Sur le web : www.chateau-de-dampierre.fr

    Abbaye cistercienne de Royaumont

    abbaye cistercienne de royaumont à asnières-sur-oise dans le val-d'oise
    Abbaye cistercienne de Royaumont à Asnières-sur-Oise dans le Val-d'Oise © Chloé Hoze 

    Une abbaye cistercienne datant de Saint-Louis

    Construite au XIIIe siècle, Royaumont est la plus grande abbaye cistercienne d'Île-de-France. Implantée dans un environnement protégé, l'abbaye se dresse encore aujourd'hui au milieu des étangs et des forêts. Son cloître, son réfectoire et son jardin d'inspiration médiévale se visitent et séduiront les amateurs de culture "au vert" à seulement 35 km de Paris.

     
    • Accès : D104 direction Cergy-Pontoise sortie Chantilly
    • Sur le web : www.royaumont.com

    Le Musée-promenade de Marly-le-Roi - Louveciennes

    le musée-promenade de marly-le-roi - louveciennes dans les yvelines
    Le Musée-promenade de Marly-le-Roi - Louveciennes dans les Yvelines © Gérard Robert 

    Découvrir les chefs d'œuvres de la sculpture sous Louis XIV

    C'est à Jules-Hardoin Mansard que Louis XIV confie la construction de son château de plaisance Marly-le Roi. De cette demeure détruite à la Révolution, il ne reste que les pavillons et le somptueux parc. Situé près de la Grille Royale, le musée-promenade retrace l'atmosphère des lieux du temps de Louis XIV. La promenade initiera les visiteurs aux plus grands noms de la sculpture du XVIIe siècle : Guillaume et Nicolas Coustou, ou encore Antoine Coysevox à qui l'on doit les fameux "Chevaux de Marly". 

     
    • Accès : A13 sortie Saint-Germain-en-Laye
    • En train : Gare Saint-Lazare, train en direction de Saint-Nom-la-Bretèche, arrêt à Louveciennes ou Marly-le-Roi
    • Sur le web : www.marlyleroi-tourisme.fr

    Vaux-le-Vicomte

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    Le Domaine de Vaux-le-Vicomte en Seine-et-Marne © L'Internaute Magazine / Arianne Gaudefroy 

    La nature transformée en oeuvre d'art

    Vaux-le-Vicomte est l'un des plus beaux châteaux de France, si beau qu'il inspira le roi soleil pour son futur palais à Versailles. Pour la construction de son château Nicolas Fouquet fît appel aux plus talentueux artistes du Grand Siècle. Dans les jardins dessinés par Le Nôtre, le promeneur découvre des recoins insoupçonnés, des grottes, des bosquets...

     

    Maison et jardin de Claude Monet à Giverny

    le jardin d'eau de giverny dans l'eure
    Le jardin d'eau de Giverny dans l'Eure © André Oustric 

    Sur les traces du maître

    On trouve un petit peu de Giverny dans tous les grands musées du monde. Ce charmant village est en effet célèbre pour avoir accueilli le peintre Claude Monet. Inspiré par les paysages alentours, et plus particulièrement par son jardin et son bassin aux nymphéas, il y vécut de 1883 à 1926. Depuis Giverny n'a pas perdu de son pittoresque, et malgré l'afflux touristique, on se croirait un peu comme dans un tableau de Monet. 

     

    Domaine de l'Abbaye de Vaux-le-Cernay

    domaine de l'abbaye de vaux-le-cernay dans les yvelines
    Domaine de l'Abbaye de Vaux-le-Cernay dans les Yvelines © Marie-Claude Coulot 

    Le cadre enchanteur d'une ancienne abbatiale

    Le site des Vaux-de-Cernay, situé dans le parc naturel régional de la haute Vallée de Chevreuse, abrite l'Abbaye de Vaux-le-Cernay du XIIe siècle dont subsistent les murs de la nef, une superbe rosace et des restes du cloître. Aujourd'hui, transformé en un luxueux hôtel, l'accès aux ruines et au parc reste cependant ouvert au public. Le parc du domaine, d'une superficie de 75 hectares, est une invitation à la détente.

     
    • Accès : A6, puis A10 sortie Aux Ulis en direction de Chartes les Ulis
    • Sur le web : www.abbayedecernay

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