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Par Frawsy le 30 Juin 2014 à 10:02
Equateur : La balançoire la plus flippante du monde face à un volcan en éruption
En Equateur à Baños, plus exactement à la Casa del Arbol (L’arbre maison) vous trouverez la balançoire la plus cool du monde ! Située à 2660 mètres d’altitude, elle accueille les randonneurs du monde entier.
Pour pimenter le tout, la balancoir ne garantie aucune sécurité pour ses hôtes et le ravin est votre seule alternative si vous décidez de vous jetez en avant. Sympa non ?
Si vous n’avez pas peur du vide, voici une belle piqure d’adrénaline avec en prime un panorama à couper le souffle avec en face de vous le volcan Tungurahua.
Ci dessous une photo exceptionnelle de Sean Hacker Teper avec le volcan en éruption en face de lui !
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Par Frawsy le 29 Juin 2014 à 20:24
Les bijoux de l'architecture contemporaine
Des formes inédites, des matières originales, des coloris aventureux. Les architectes d'aujourd'hui n'hésitent plus à jouer la carte du design, de l'étrange et du beau. Pour l'Academy of Science de San Francisco, Renzo Piano a créé ce plafond vallonné et troué, sorti tout droit d'un film de science fiction.
© Tim GriffithLe toit vivant
Renzo Piano a installé l'Academy of Sciences de Californie sous un toit vivant d'un hectare. Il a travaillé avec des spécialistes pour obtenir une végétation luxuriante qui rafraîchit naturellement le bâtiment, inauguré en 2008.Il renferme un musée d'histoire naturelle, un planétarium, un aquarium et... une véritable forêt tropicale reconstituée.
© Tim GriffithLa coupole du nouveau siècle
Pour le nouveau Palais du Reichstag de Berlin, qui abrite le Bundestag le Parlement allemand, l'architecte Norman Foster a dessiné une gigantesque coupole qui surplombe l'édifice ouvert en 1894. Cet ajout moderne, qui date de 1999, est un symbole de la réunification entre les deux Allemagne.
© Christian BaitzUne vue à 360 degrés sur Berlin
Impressionnant, ce dôme-coupole est accessible gratuitement de jour comme de nuit et donne un panorama exceptionnel sur le quartier du parlement et du gouvernement. Avec ses 3000 m² de surface vitrée traitée contre les rayons du soleil et la chaleur, le dôme permet à la fois d'éclairer et de tempérer le bâtiment.
© Daniela HartmannSimplicité et pureté pour le musée de l'art islamique de Doha
Bâti au bord de l'eau, le musée de l'art islamique de Doha possède des lignes épurées et des tons sable. Son architecte, I. M. Pei, a utilisé les caractéristiques de l'art traditionnel islamique et des composantes modernes pour créer ce lieu ouvert au public en 2008.
© Museum of Islamic Art, DohaFormes cubiques et coupoles
Le musée qui abrite des salles d'expositions a été réalisé en pierre Shamisen importée de France. Les formes géométriques sont directement puisées d'autres grands bâtiments comme l'Alhambra en Espagne, les forteresses du VIIIe siècle en Tunisie ou encore une mosquée du IXe siècle égyptien.
© Museum of Islamic Art, DohaUne soucoupe pour les renseignements anglais
Elle semble posée, presque égarée, dans l'Angleterre d'aujourd'hui. Cette fausse soucoupe représente le siège des renseignements anglais. Le GCHQ, inauguré en 2004, occupe une superficie utile de 10 hectares et a été dessiné par l'Américain Gensler. Surnommé le "doughnut", le beignet c'est ici que sont écoutées et analysées la plupart des conversations téléphoniques et échanges par Internet.
© www.gchq.gov.ukLa ville pieuvre de Linked Hybrid
Ces bâtiments originaux se trouvent à Pékin. Steven Holl a imaginé Linked Hybrid. Huit tours de 22 étages chacune sont toutes reliées par de grandes passerelles, le tout situé à quelques mètres de la Cité Interdite.
© Joost BarendregtDes passerelles sociales
Le complexe, construit entre 2002 et 2009, abrite 750 appartements se veut une ville ouverte et poreuse. Au pied des tours, des allées piétonnières permettent d'accéder à des jardins publics, des commerces, hôtel et écoles.
© Greg BugelUn toit irrégulier pour le Cumulus Hall
Le Cumulus Hall du parc scientifique danois Danfoss Universe se distingue par son toit fait de courbes et d'arabesques. Certains pourraient y voir une piste de ski mais pour son architecte, Juergen Mayer H., ce sont des nuages.
© Danfoss UniverseSa facade est métallique
Le Cumulus Hall possède une façade métallique et une toiture en goudron. D'une surface de 1200 m², il accueille des expositions et des expériences scientifiques ludiques. Il a été inauguré en 2007.
© Danfoss UniversePeut être la plus belle tour du monde
Elle est la plus haute tour du monde avec ses 818 mètres. Mais Burj Dubai-Burj Khalifa représente aussi 2une audace en terme de design. Le bâtiment est en réalité composé de trois tours assemblées autour d'un tronc central. Plus la hauteur augmente, plus le bâtiment s'enroule sous la forme d'une spirale destinée à pallier les effets du vent et du sable.
© burjdubaiskyscraper.comLa fleur du désert
Les architectes du cabinet Skidmore, Owings and Merrill se sont inspirés d'une fleur du désert. Burj Dubai possède une base large et un sommet en forme de flèche. Ainsi, le poids de la structure diminue à mesure que les mètres s'élèvent.
© burjdubaiskyscraper.comLa frise graffiti du 40 Bond Street
A New York, le bas de l'immeuble 40 Bond Street est habillé d'une majestueuse frise-graffiti. Haute de 6 m et longue de 40 m, elle rappelle le style d'Antoni Gaudi. La porte en aluminium, de près de 7 m est finement sculptée . L'architecture est signée Herzog & de Meuron avec Ian Schrager.
© GregLe building oeuvre d'art
La façade de verre coulé à Barcelone, de couleur bleu, attire en journée les rayons de soleil et reflète la lumière la nuit, comme une luminescence. Le bâtiment, qui a ouvert en 2007, est une résidence hôtelière huppée avec 27 lofts et un triplex penthouse en son sommet.
© Bryan KelleyLa courbe parfaite pour l'aéroport de Pékin
Pour le plus grand aéroport du monde, le cabinet Foster & Partners a dessiné une verrière géante. La toiture en acier du Terminal 3 de l'aéroport de Pékin a été volontairement percée de lucarnes pour faire entrer la lumière naturelle et la chaleur.
© Nigel Young / Foster & PartnersUn toit rouge et jaune
L'édifice occupe une superficie égale à 170 stades de football et s'étend sur près de 4 kilomètres. Un seul toit, couleur jaune et rouge, coiffe l'ensemble. Le terminal a été conçu pour ressembler à un immense dragon chinois.
© Nigel Young / Foster & PartnersUne toile d'araignée lumineuse pour la Fiera Milano
Dessinée par l'architecte italien Massimiliano Fuksas, la Fiera Milano possède un toit des plus originaux. La toile d'araignée recouvre le bâtiment sur 1,3 km. Irrégulière, elle semble trouée et faite de cratères par endroits.
© Fiera MilanoComme un paysage naturel
Le toit couvrant le centre d'expositions de Milan ressemble à un paysage fait d'aspérités, jamais répétitif et toujours animé. Le bâtiment, qui occupe une surface totale de 2 millions de m², a été inauguré en 2005.
© Fiera MilanoHearst Tower : la tour de verre du nouveau siècle
La Hearst Tower est la première tour américaine à posséder des poutres d'acier à la diagonale qui forment une grille. Le building à la façade originale a été dessiné par Norman Foster.
© Michael McdonoughUne base ancienne, un sommet contemporain
Le première tour Hearst, faite de pierre, date de 1928. Mais trop petite, la Hearst Corporation décide d'en bâtir une nouvelle, sur les bases Art Déco du bâtiment d'origine, 6 étages. Elle a été inaugurée en 2006.
© Stéphane NeauLes cubes du New Museum de New York
Consacré à l'art contemporain, le New Museum de New York est signé par le cabinet japonais Sanaa. Le bâtiment, ouvert en 2007, est fait de 6 structures empilées et comprend 17 étages.
© Dean Kaufman, New MuseumUne station de téléphérique moderne
Aux pieds de la montagne d'Hungerburg, le funiculaire d'Innsbruck, en Autriche, possède des stations très étranges. Dessinées par Zaha Hadid, elle ressemblent à des Ovni égarés. Ici, la station Nordpark.
© DauthLa fluidité des lignes
D'un blanc immaculé, ce bâtiment porte la patte du style Zaha Hadid. L'architecte irakienne est connue pour son amour des courbes, des lignes fluides et de cette couleur. Les stations ne sont pas fermées : leur toit en forme de vague repose simplement sur des piliers. Le regard peut ainsi s'égarer sur le paysage.
© LeitnerLe nid d'oiseau de Pékin
Il aura marqué les JO de Pékin de 2008 mais pas seulement. Le stade olympique de Pékin, surnommé le nid d'oiseau par sa structure entremêlée est avant tout une prouesse de l'architecture. Le bâtiment signé Herzog & de Meuron est fait de béton et d'acier.
© Anthony PerrinLe toit en vagues pour le Hall Courtyard
L'idée de Norman Foster était simple : créer une verrière entre plusieurs bâtiments pour donner au Reynolds Center un nouveau hall. Celui-ci baptisé Hall Robert et Arlene Kogod Courtyard est recouvert d'une structure qui semble flotter, comme un nuage.
© Timothy HursleyQuadrillage de verre
La structure d'acier et d'aluminium revêt l'aspect d'un quadrillage composé de 864 morceaux de verre. La surface de la cour est de 2600 m². Le Hall Courtyard, à Washington, a ouvert ses portes en 2006.
© Timothy HursleyLa discrétion du viaduc de Millau
Sur 2460 m, l'ouvrage d'art enjambe la vallée du Tarn. Le cabinet Foster + Partners a donné au viaduc de Millau des lignes fluides et discrètes : le géant d'acier et de béton semble posé au milieu des collines. Il a accueilli ses premiers véhicules fin 2004.
© Teddy KamlotDes aretes et des prismes pour le Royal Ontario Museum
Pour l'extension du Royal Ontario Museum de Toronto, l'architecte polonais Daniel Libeskind a conçu une structure et une façade aux formes géométriques. Plusieurs prismes difformes et harmonieux s'entrechoquent, dévoilant des arêtes.
© Royal Ontario Museum, Sam Javanrouh, 2008Plusieurs cristaux collés ensemble
La nouvelle aile du bâtiment, consacrée à des galeries, à l'entrée et au magasin du musée, est constituée de cinq cristaux collés les uns aux autres. Les espaces vides entre eux correspondent à de vastes atriums. Ouvert en 2007, l'édifice a été baptisé le Michael Lee-Chin Crysta.
© Royal Ontario Museum, 2008Des bulles d'eau pour le Watercube de Pékin
Le centre aquatique national chinois, installé à Pékin, est mondialement connu sous le nom de "watercube". Le bâtiment, de forme rectangulaire, est fait d'une structure d'acier recouverte d'ETFE, une membrane qui laisse passer la lumière. Des centaines de coussins d'air donnent l'illusion de bulles d'eau. Dessiné par PTW Architects, il a été inauguré fin janvier 2008.
© Anthony PerrinL'ovale orange du Zénith de Strasbourg
Constitué d'une coque de béton et d'acier, le Zénith de Strasbourg de Massimiliano Fuksas est recouvert d'une gigantesque toile de couleur orange. Translucide, elle est éclairée la nuit. La salle de spectacles est entrée en fonctionnement en janvier 2008.
© Snc Zénith de Strasbourg
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Par Frawsy le 29 Juin 2014 à 20:12
Le tour du monde des métros en images
De Sydney à Bangkok, les rames de métro transportent chacune, selon leur longueur et leurs fréquences de passage, entre 5 000 et 10 000 personnes par heure. Rapide et fiable, il est le quotidien de millions d'individus. Ici, le métro de Sydney suit un monorail.
© Martine LenfantKiev, un métro héritier de l'ex-URSS
Le réseau souterrain de la ville de Kiev est connu pour son incroyable profondeur (jusqu'à 100 m par endroits). Les stations possèdent une décoration somptueuse, héritée des années fastes de l'ex-URSS.
© Jean LiouGênes, le plus petit réseau souterrain
Avec Marseille, la ville de Gênes a le plus petit réseau souterrain de ce tour du monde, avec une seule ligne. D'une longueur de 5 km, l'unique voie a été ouverte en 1990. Ici, la station "Brin", terminus de la ligne.
© AMT GenovaA Miami, le métro est à chercher dans les airs
Miami est l'une des seules métropoles du monde à ne pas avoir enterré son métro. L'unique ligne de métro de 36 km de long est entièrement aérien. La raison ? Un sol très spongieux. Récent (1984), la dernière prolongation de sa voie date de 2003.
© Miami-Dade TransitMoscou, le métro du passé au service du présent
Comme Kiev, Moscou garde dans ses stations une décoration luxueuse de marbre, de mosaïques, de fresques et d'éclairages recherchés. Les rames de métro (photo) ne suivent pas le modèle des stations. Ce réseau souterrain très profond transporte tous les ans à lui seul 2,6 milliards de passagers.
© J-F RaffinLondres, un métro vieux de 145 ans
Surnommé le tube, il doit ce nom à la forme circulaire de ses stations et tunnels. Le métro londonien est le premier métropolitain de l'histoire, inauguré en 1863. A l'origine long de 17 kilomètres, le réseau londonien possède aujourd'hui 408 km de voies
© Transport for LondonOslo, climat extrême pour métro en extérieur
Destiné à l'origine, pour la banlieue, le réseau de métro s'est étendu peu à peu vers la ville. La société Siemens a crée ces nouvelles rames qui, malgré un problème de freinage dû aux conditions climatiques extrêmes, semblent convenir aux Norvégiens.
© Siemens press photoUne signalisation intérieure optimale à Hong Kong
A l'intérieur des rames de métro hongkongaises, la signalisation est parfaite. Des zébra jaune et noir indiquent les dangers, des marquages rouges attirent l'œil sur les obstacles, et des messages sonores égrènent le nom des arrêts.
© MTR CorporationFulgence Bienvenüe, le père du métro parisien
Paris assure chaque jour 3 millions de déplacements individuels. La capitale française a inauguré sa première ligne le 19 juillet 1900, l'année de l'Exposition universelle. L'ingénieur Fulgence Bienvenüe, le père du métro parisien a dorénavant une station à son nom ("Montparnasse - Bienvenüe"), depuis les années 1930.
© RATP - Mauboussin Jean-FrançoisChili, une récente transformation
En 1965, le Chili décide de réorganiser ses transports. 10 ans plus tard, la première ligne commerciale est lancée dans la capitale. Aujourd'hui, 5 lignes desservent la ville sur plus de 45 kilomètres de voies. Sur la ligne 4 (photo de gauche), ouverte en 2005, des écrans plats diffusent des publicités.
© METRO S.A.Berlin : un réseau guidé par son histoire
La capitale allemande est, avec l'Angleterre et la France, l'un des métropolitains les plus anciens. Inauguré en 1902, le réseau a suivi l'histoire du pays. Après la chute du mur en 1989, le pays se réunit, le métro aussi. Résultat : 151 km de voies, 170 stations et plus d'un million de passagers.
© Berliner Verkehrsbetriebe, DonathPékin, le réseau métropolitain a profité des JO
Commencé en 1965, le métro de Pékin est le premier de Chine. En 2008, le réseau s'est étendu de 5 à 8 lignes, à l'occasion des Jeux Olympiques organisés par la Chine.
© Yohan FarouzBoston, des rames différentes
Contrairement aux rames de métro européennes, celles de Boston se différencient par un aspect rectangulaire plus imposant. Elles ne transportent pourtant que 600 000 passagers par jour.
© Phil DeJoseph / MBTA - Boston, Massachusetts USAOù est la bouche de métro ?
Les entrées du métro de Hong-Kong sont réputées pour être difficiles à trouver, la signalisation n'étant pas très claire. Les 2,45 millions de passagers qui transitent dans le réseau chaque jour trouvent par contre très facilement les sorties qui indiquent, comme à Paris, les rues et immeubles connus du quartier.
© MTR CorporationLos Angeles, capitale du cinéma jusque dans son métro
Los Angeles possède sûrement le réseau métropolitain le plus connu au monde. Pourquoi ? Les caméras de cinéma ont régulièrement filmé ses rames et ses stations. Près d'Hollywood, (photo) les décorateurs ont rendu hommage au cinéma en reproduisant, au plafond, des pellicules de caméra.
© Gayle Anderson / Metro (Los Angeles)Chongqing choisit la sustentation
Peu connu, le métro de Chongqing, en Chine, est tout récent. Le métro inauguré en 2001 parcourt un monorail sur une longueur de 17 km. Peu répandu, mais pourtant très ancien, ce système de transport privilégie la sustentation, comme pour le métro de Sydney.
© Siemens press photoUn réseau entièrement souterrain à Montréal
Contrairement au métro aérien de Miami, le réseau de Montréal est l'un des rares à être entièrement souterrain. Inauguré en 1966, les rames (MR-63 et MR-73) roulent uniquement sur des pneus, comme à Marseille.
© STMMadrid, une expansion récente
Le réseau métropolitain de Madrid est l'un des plus récents, grâce à de récentes extensions en 2003 et 2007. Le réseau madrilène à connu une expansion très importante en 1994, après la nationalisation de la société d'exploitation du réseau.
© Metro MadridTokyo, deux compagnies pour un métro
Le métro de Tokyo fait parti de ces rares réseaux, gérés par deux compagnies : Tokyo Métro et Toei. Mais le "chikatetsu" est surtout connu pour ses "pousseurs". Sur certaines stations, des agents poussent les passagers à l'intérieur des rames déjà surchargées.
© Florent GranadosAthènes : un métro moderne dans l'une des plus vieilles cités
Trois lignes de métro existent actuellement à Athènes : la ligne verte ou ligne 1, inaugurée en 1869 comme train à vapeur et les lignes rouge et bleu (2 et 3) qui ont vu leur construction débuter en 1991. Ces deux dernières ont été inaugurées en 2000 et 2007.
© Attiko Metro S.A.Bangkok et son métro léger aérien
Séparées du nouveau réseau souterrain, les deux lignes du métro aérien de Bangkok possèdent 25 stations et ont été mises en service en 1999. Elles longent les grands axes routiers de la capitale sur une longueur totale de 26 km.
© Bangkok Metro Public CompanyLe futur réseau de 75 km de Dubai
Long de 75 km, le métro de Dubai comptera à terme 47 stations dont 9 souterraines. Sur les deux lignes Rouge et Verte programmées, seul un tronçon de 11 stations de la ligne Rouge fonctionne depuis le 9 septembre 2009.
© Mitsubishi Heavy Industries11 lignes de métro pour Barcelone
Le métro de Barcelone date de 1924. D'ici 2014, deux nouvelles lignes s'ajouteront aux 9 existantes. Le réseau comptera alors 209 stations sur environ 200 km de voies.
© Transports Metropolitans de BarcelonaA Berlin, des rames toute la nuit
Les quelque 170 stations du métro berlinois sont équipées de panneaux indiquant le temps de passage de la prochaine rame. Les weekends (du vendredi au dimanche) et les jours de fêtes, le réseau fonctionne toute la nuit.
© Berliner Verkehrsbetriebe, DonathQuatre lignes pour Boston
Boston compte quatre lignes de métro (Bleu, Orange, Rouge et Verte) qui relient le centre-ville à sa périphérie. La "Silver Line" dessert l'aéroport de la ville. Le ticket à l'unité coûte 1,15 euros.
© Phil DeJoseph / MBTA - Boston, Massachusetts USALisbonne et son métro de la fin du XXe siècle
La première ligne a été inaugurée le 29 décembre 1959. Aujourd'hui, le réseau de 39 km compte quatre lignes et 52 stations. Depuis 2009, l'ouverture du tronçon Alameda/São Sebastião de la ligne rouge connecte les 4 lignes entre elles.
© Metropolitano de LisboaLes lignes rapides de Los Angeles
La ville compte cinq lignes de métro. Ses 70 stations desservent un réseau qui s'étend sur 170 km. Deux lignes sont dites rapides, "rapid transit subway lines" car elles circulent sur des voies propres et utilisent des rames plus grandes.
© Gayle Anderson / Metro (Los Angeles)Le métro marseillais
Marseille possède deux lignes de métro. 24 stations sont réparties sur les 19 km du réseau. Inauguré en 1979, il continue de se moderniser avec l'extension de la ligne 1 vers la Fourragère ouverte fin 2009.
© RTMLes lustres du métro moscovite
Véritable pieuvre tentaculaire, le métro de Moscou compte douze lignes. La première ligne date de 1935. Certaines stations gardent encore aujourd'hui les vestiges de l'art soviétique. Trois nouvelles stations ont été ouvertes fin décembre 2009, cela porte à 180 leur nombre total.
© Jean-Pierre Raffin et TanaLe vieux métro de Naples
Naples possède un métro depuis 1895. La cité italienne compte aujourd'hui sept lignes. En 2010 et 2011, deux nouvelles lignes ouvriront. Plus de 400 000 passagers utilisent tous les jours ce moyen de transport.
© Banchina Salvator RosaLondres et son métro du futur
Pour les JO de Londres en 2012, le réseau de métro de Londres va être amélioré et étendu. Le projet Overground prévoit de prolonger notamment la ligne East London qui permettra de desservir le parc olympique et de décharger la station London Bridge.
© Transport for LondonUne troisième ligne pour Nuremberg
Une première branche de la troisième ligne du métro de Nuremberg a été ouverte en 2008. Entièrement automatisées, les rames ne possèdent pas de conducteur. Les branches nord et sud du tronçon doivent être inaugurées en 2011 et 2013. La ville compte 34 km de réseau et 44 stations.
© VAG NurnbergUn centre de controle automatisé
Pour gérer le réseau du métro barcelonnais, un nouveau centre de contrôle a été inauguré fin 2009 à La Sagrera. Les agents peuvent surveiller les stations et les rames grâce à 3100 caméras et 1600 interphones.
© Transports Metropolitans de BarcelonaLa ligne 14 du métro parisien
Le 15 octobre 1998, les parisiens découvrent la ligne 14 du métro baptisée Météor pour Métro Est-Ouest rapide. Sans conducteur et avec des portes palières sur les quais des stations, elle tranche avec le reste du réseau. En 2003, elle dessert Saint-Lazare et en 2007 la station Olympiades. 450 000 personnes l'empruntent quotidiennement.
© RATP / Bruno MargueriteLe MetroRail de Miami
Ouverte en 1984, le MetroRail est une ligne aérienne de 36 km qui relie le nord au sud de la ville. Des projets d'extension au nord et à l'ouest, vers l'aéroport international de Miami, sont en cours.
© Miami-Dade TransitLe métro s'agrandit sans cesse à Pékin
Huit lignes composent le métro de la capitale chinoise. Elles sont numérotées de 1 à 10 en respectant la numérologie chinoise. Le réseau, qui s'étend sans cesse, comprendra 19 lignes en 2015 et un total de 561 km.
© Yohan FarouzPorto et son métro du XXIe siècle
Métro du XXIe siècle, Porto a attendu 2003 pour l'entrée en fonction de sa première ligne. Aujourd'hui, la ville compte cinq lignes (de A à E). Deux nouvelles lignes sont prévues pour 2014 et 2016 tandis que la ligne D sera étendue au sud de la cité.
© Transdev / Franck DunouauLe métro de Tokyo
Certaines des treize lignes du métro de Tokyo sont aériennes. Le réseau compte 179 stations réparties sur 195 km. Chaque jour, 6,22 millions de passagers l'empruntent.
© Florent GranadosUne ligne de 25 km à Athènes
Le métro athénien, géré par l'ISAP, fonctionne de 5h à minuit et dessert toute la ville. Jusqu'en 1999, le réseau ne comptait qu'une ligne longue de 25 km entre Le Pirée et Kifissa.
© Attiko Metro S.A.
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Par Frawsy le 27 Juin 2014 à 19:23
J’ai testé la plus belle piscine du monde à Bali !
Bien que peu connaissent le nom de l’hotel Hanging Gardens Ubud, beaucoup ont déjà eu l’occasion de tomber sur une photo de sa piscine principale, très célèbre pour ses deux étages et sa situation en plein milieu de la jungle indonésienne.
La plupart des sites internet spécialisés considèrent cette piscine comme étant la plus belle au monde (ou du moins dans le top 10), et je dois dire que je n’ai pas été déçu !
Dans le cadre de mon tour du monde d’une durée indéterminée (lire ma dernière aventure : 3200km en 5 jours à travers le désert australien, de Broome à Uluru), j’ai donc passé une semaine à Bali, l’île des Dieux. J’y allais avant tout pour un voyage photo et non pas pour me trémousser sur les plages de sable blanc de Kuta. Voulant profiter de mon passage à Bali, et étant déjà tombé sur des photos de ladite piscine, je ne pouvais pas louper l’occasion de la shooter également, et qui sait, y faire un petit plongeon
J’ai donc contacté l’hôtel Hanging Gardens Ubud, expliquant mon projet de tour du monde en tant que photographe et blogueur pour VoyagerLoin, et quelle ne fut pas ma surprise à la réception de cet email m’annonçant que la direction était heureuse de m’offrir une nuit en Villa, avec petit-déjeuner, déjeuner et dîner inclus, afin que je puisse également profiter du charme de l’endroit.
Et on parle bien de charme ici, car en effet, l’emplacement de l’hôtel est juste magique. Situé à 30 minutes au nord d’Ubud, les Hanging Gardens Ubud (nom inspiré des Jardins suspendus de Babylone) sont situés sur en pleine jungle balinaise, face à un temple hindou, le tout éparpillé sur 8 différents étages. Chaque étage compte plusieurs villas, avec piscine privée pour chacune d’entre elles svp !
J’ai vraiment été reçu comme un prince par tout le personnel. Petite mésaventure en arrivant, le pneu de mon scooter a crevé quelques km avant l’hôtel. La réception s’est empressée d’appeler un réparateur qui est venu chercher mon véhicule, pour le ramener comme neuf 30 minutes plus tard, alors qu’on était dimanche. J’ai même eu l’occasion de rencontrer le manager général de l’hôtel et de dîner avec lui afin de lui montrer mes photos. Il a tellement été ravi du travail qu’il m’a offert 1h30 de massage indonésien pour m’aider à digérer
En parlant de massage et de repas, autant dire qu’on est gâté aux Hanging Gardens ! La nourriture est à tomber par terre, et le spa est vraiment agréable et relaxant, sans parler des masseuses qui m’ont accueilli avec un thé et m’ont salué avec un autre thé après avoir débloqué tous les nœuds musculaires que mon dos avait accumulé après 9 mois de voyage.
Venons-en à la piscine maintenant. C’est en définitive pour ça que j’étais là. Le directeur m’a expliqué qu’elle avait été dessinée dans le but de ressembler aux traditionnelles rizières en terrasse propres à Bali. Je n’avais pas fait le lien avant qu’il me le dise, mais c’est vrai que le résultat est assez semblable ! Petite déception tout de même, des travaux ont été effectué autour de la piscine ces derniers mois, et la direction a décidé d’ajouter une plateforme en bois tout autour, alors que l’an passé encore, les « Infinity Pools » (tel est son nom) donnait une totale impression d’être immergée en pleine jungle. On perd un peu de ce côté sauvage, mais on y gagne en relaxation, étant donné qu’il est désormais possible de profiter d’un transat au bord de la piscine.
Enfin, j’ai eu l’occasion de me rendre de nuit au temple hindou situé sur la colline d’en face, afin de profiter de la vue de l’hôtel depuis cet endroit. C’est là qu’on se rend compte à quel point Hanging Gardens Ubud est vraiment un endroit à part entière à Bali, où luxe rime avec relaxation et paix. Vous ne trouverez là ni bling bling ni champagne à gogo, on est ici dans un hôtel vivant au rythme de la rivière qui s’écoule en bas de la colline, et où le mot d’ordre est « bien-être ».
Petite astuce pour ceux qui souhaitent absolument voir de leurs propres yeux cette piscine à couper le souffle : le spa, le café et le restaurant sont ouverts à tous, il n’est donc pas impératif d’être client de l’hôtel pour profiter de cette vue secrète de Bali. Et qui sait, peut-être aurez-vous la chance de siroter un cocktail au bord des deux Infinity Pools, voire même d’y piquer une tête si le personnel est de bonne humeur ;)
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