• Auvergne, évasion au coeur de la nature

    La Brèche de Roland du Puy Griou
    Au sud de l'Auvergne, s'élance la massif cantalien, né il y a environ 13 millions d'années, dominé par le Puy Mary, le Plomb du Cantal ou le Puy Griou. Sur la ligne de crête entre le Puy Mary et le Peyre-Arse, s'ouvre une spectaculaire brèche, la brèche de Roland.
    ©  CRDT Auvergne-tourisme.info - David Frobert

    Le Méandre de Queuille

    Le Méandre de Queuille
    Dans les Combrailles, région naturelle s'étirant du Puy-de-Dôme à l'Allier en passant par la Creuse, la rivière Sioule serpente au cœur de la nature en dessinant d'amples boucles parmi lesquelles le Méandre de Queuille.
    ©  MYRIAM MORLET - Fotolia.com

    La Chaîne des Puys

    La Chaîne des Puys
    Composée de quelques 80 volcans, la Chaine des Puys s'étire sur 45 kilomètres au nord du Massif Central. Point culminant des monts Dôme, le Puy de Dôme domine largement la chaine avec ses 1 465 mètres d'altitude. Non loin, le Puy de Côme... Lire la suite   
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    Le Gour de Tazenat

    Le Gour de Tazenat
    Réputé pour être l'un des plus beaux lacs de cratère grâce à ses eaux d'un bleu profond et ses rives boisées, le Gour de Tazenat marque au nord la fin de la Chaîne des Puys. Fréquenté par les baigneurs aux beaux jours, ce sont les pêcheurs qui viennent y taquiner perches, brochets ou carpes le reste de l'année.
    ©  Didier PROTIN

    Le Puy de Sancy

    Le Puy de Sancy
    Point culminant du Massif Central, le Puy de Sancy s'élève à 1886 mètres d'altitude. Accessible l'été par un téléphérique ou par un chemin en escalier, son sommet offre un panorama exceptionnel sur le Parc naturel régional des volcans d'Auvergne. L'hiver venu, c'est skis aux pieds qu'il faut l'explorer depuis les stations de Mont-Dore ou de Super Besse.
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    Le Pays de Menat

    Le Pays de Menat
    Dans le Puy-de-Dôme, en bordure des méandres de la rivière Sioule, le Pays de Menat vit au rythme de la rivière et de la nature. Un territoire qui invite à la partie de pêche, aux randonnées à travers les chemins ruraux ou à de sauvages balades en canoë-kayak.
    ©  philippe Devanne - Fotolia.com

    Réserve naturelle des sagnes de La Godivelle

    Réserve naturelle nationale des sagnes de La Godivelle
    Dans le Puy-de-Dome, non loin du petit village de La Godivelle, la Réserve naturelle nationale des sagnes de La Godivelle est composée de 24 hectares de tourbières et de prairies humides ponctuées par les eaux paisibles du Lac-d'en-Haut et Lac-d'en-Bas.
    ©  CRDT Auvergne-tourisme.info - David Frobert

    Massif du Mézenc

    Massif du Mézenc
    Entre Ardèche et Haute-Loire, s'étend le Massif du Mézenc, où il n'est pas rare de croiser la plus emblématique des vaches auvergnates, la salers, reconnaissable à sa robe acajou et à ses longues cornes en forme de lyre.
    ©  CRDT Auvergne-tourisme.info - David Frobert

    Le Lac des Bordes

    Le Lac des Bordes
    C'est au XVIIe siècle que la campagne parcourue de tourbières de Compains, village des hauts plateaux volcaniques du Cézallier, a vu naitre le lac des Bordes, dont la surface est constellée d'ilots tourbeux.
    ©  CRDT Auvergne-tourisme.info - David Frobert

    Les monts du Cantal

    Les monts du Cantal
    Massif volcanique le plus vaste d'Europe, les monts du Cantal occupent le centre du Massif central. Dominés par le Plomb du Cantal culminant à 1 855 mètres, suivi de près par le Puy Mary ou le Puy Griou, les volcans cantaliens offrent un territoire sauvage où la nature est souveraine.
    ©  mozZz - Fotolia.com

    Le Lac Pavin

    Le Lac Pavin
    Né d'une très ancienne irruption volcanique qui lui a donné sa forme parfaitement ronde, le lac Pavin est perché à 1 197 mètres d'altitude dans les monts Dore du Massif central.
    ©  Office de Tourisme de Sancy

    Le Chamois du Massif Central

    Le Chamois du Massif Central
    Si il n'est pas rare de croiser des chamois dans les Alpes ou les Pyrénées, l'espèce avait disparu du Massif Central depuis des milliers d'années. Réintroduis en 1978, on compte aujourd'hui... Lire la suite   
    ©  CRDT Auvergne-tourisme.info - COUMES Paul-André

    Les crêtes de Puy Mary

    Les crêtes de Puy Mary
    Parmi les hauts sommets des monts du Cantal, figure Puy Mary. Classé Grand site de France en 2012, il culmine à 1 783 mètres d'altitude. Des sentiers aménagés permettant de cheminer le long des crêtes et fréquentés par de nombreux visiteurs, offrent une vue à couper le souffle sur les monts du Cantal.
    ©  Karl-Heinz Struëdel - Fotolia.com

    Château d'Alleuze

    Château d'Alleuze
    Au cœur de la nature luxuriante du Cantal, surgit les vestiges du Château d'Alleuze, château fort édifié au XIVe siècle et qui a traversé, non sans peine, de nombreuses pages de l'histoire de France.
    ©  PL.TH - Fotolia.com

    Le Puy Griou

    Le Puy Griou
    Au centre des Monts du Cantal, s'élance la silhouette conique du Puy Griou atteignant les 1 690 mètres d'altitude.
    ©  Jean-Claude DELON

    Super Besse

    Super Besse
    Station de ski du Massif Central, Super Besse permet aux amateurs de glisse de s'attaquer au domaine skiable du Grand Sancy. Reliée à sa voisine Mont-Dore, la station propose d'accéder à quelques 84 kilomètres de pistes.
    ©  CRDT Auvergne-tourisme.info - DAMASE Joël

    Les Gorges de la Jordanne

    Les Gorges de la Jordanne
    Tout près d'Aurillac, les Gorges de la Jordanne ont été creusées au fil des siècles au pied du Puy Mary. Pour explorer les 4 kilomètres parcourus par la rivière à travers les brèches volcaniques, il faut emprunter l'ancien chemin des pêcheurs, aménagé pour les promeneurs sur une partie du sentier.
    ©  Karima Zaoui

    Les Crêtes du Sancy

    Les Crêtes du Sancy
    Au cœur du parc naturel régional des volcans d'Auvergne, prévoyez une bonne journée de marche pour faire le tour des crêtes du Sancy. Perchées entre entre 1400m et 1886m d'altitude, ces crêtes volcaniques offrent un spectaculaire point de vue sur la vallée.
    ©  Office de Tourisme de Sancy - Remi Anglade

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    Les endroits féériques à travers le monde

    pour vous réconcilier avec l'hiver

     

     

    Brice
     
     

    Il y a des endroits du monde où le hamac est de rigueur. Mais chaque chose en son temps. L'hiver a tendance à rebuter certain(e)s d'entre nous, question de point de vue. Elle est pourtant la plus belle des saisons. Les arbres sont recouverts de blanc, les lacs parsemés de glace, et partout dans le monde, des photographes s'attèlent à capturer la magie de l'hiver, la beauté d'une saison encapsulée dans un instant.

     

    Voici une petite sélection des endroits les plus féériques, pour vous réconcilier avec le froid, une bonne fois pour toute : 

     

    Bavière, Allemagne

    Photo: Kilian Schoenberger
     

    Nagano, au Japon

    Photo: Takanobu Nushi
     

    Kuusaankoski, Laukaa, Finlande

    Photo: Joni Rahunen
     

    Foreste Casentinesi, Monte Falterona, Parc national Campigna, Italie

    Photo: Roberto Melotti
     

    Moominworld à Naantali, Finlande

    Photo: Miki K
     

    Dingle, Liverpool, en Angleterre

    Photo: Owen Buckley
     

    Long Bridge, Skaneateles, New York

    Photo: Matt Champlin
     

    Estonie

    Photo: Jan Lepamaa
     

    Paris

    Photo: Irene F
     

    Tromso, Norvège

    Photo: Geir A Granviken
     

    Peyton Lac, Parc national Banff, Canada

    Photo: Adam Gibbs
     

    Mt. Seymour, British Columbia, Canada

    Photo: Adam Gibbs
     

    Gassho-zukuri, village de Shirakawa-go, au Japon

    Photo: Nomiyama Kei
     

    Richmond Park, près de Londres

    Photo: David Lloyd
     

    Squamish en Colombie-Britannique, Canada

    Photo: Getty Images
     

    Isthme de Carélie, Russie

    Photo: Vitalii Verevkin
     

    Reykjavík, Islande

    Photo: Oskar Pall Elfarsson
     

    Autriche

    Photo: Roland Maria Reininger
     

    Nature en Images 2:  Les endroits féériques à travers le monde pour vous réconcilier avec l'hiver

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  • Cavalier des steppes dans les plaines d'Asie centrale

    Cavalier des steppes en Asie centrale

    Cavalier des steppes
    Cavalier émérite amateur de voltige cosaque, Nicolas Ducret s'est lancé le défi de traverser l'Asie centrale à cheval. Parti seul depuis les contreforts de l'Altaï avec un étalon et un hongre de bât, il chemine sur plus de 3 000 kilomètres, franchissant les monts Célestes et les chaînes du Pamir et de l'Hindu Kush.
    ©  Nicolas Ducret

    L'aventure commence au Kazakhstan

    Départ
    Mai 2007, Nicolas Ducret débarque au Kazakhstan dans les montagnes de l'Altaï à la frontière avec la Russie, la Mongolie et la Chine. Il lui faut trouver deux chevaux qui seraient capables de le mener sur plus de 3 000 km, de l'Altaï à Kaboul, à travers la steppe kazakhe, les Tian shan, le Pamir et l'Hindou-Kouch.
    ©  Nicolas Ducret

    Dans la chaleur d'un foyer kazakhe

    Foyer kazakhe
    Début juin, après avoir acheté deux chevaux, il quitte son refuge de l'Altaï et se lance seul sur les pistes de l'Asie centrale. Le soir, il trouvait souvent la chaleur d'un foyer et le goût amer de la vodka qui réchauffait les corps et les esprits.
    ©  Nicolas Ducret

    Le collecteur de lait aux aguets

    Collecteur de lait
    Le collecteur de lait se rend au volant de son camion-citerne de ferme en ferme.
    ©  Nicolas Ducret

    Sur les traces des fermes collectives soviétiques

    Sovkhozes
    Des sovkhozes, il ne reste plus rien, seulement des ruines, des véhicules rouillés et des pancartes reconverties.
    ©  Nicolas Ducret

    Dans l'aridité des steppes

    Steppes kazakhes
    En dehors de la frange est du pays, la steppe sèche et ensoleillée s'étend sur des milliers de kilomètres.
    ©  Nicolas Ducret

    Vacances d'été à la kazakhe

    En vacances
    Durant les vacances d'été, les enfants partent dans les pâtures avec leurs parents et participent pleinement aux travaux quotidiens.  
    ©  Nicolas Ducret

    Un panneau de ci de là

    Panneaux
    Des panneaux apparaissent parfois dans l'isolement des steppes, comme pour rappeler que la vie ne s'est pas arrêtée.
    ©  Nicolas Ducret

    La dure épopée du cavalier

    Epopée
    Nicolas Ducret parcourait avec ses deux chevaux près de 35 km par jour en s'arrêtant quelque temps toutes les dizaines de jours.
    ©  Nicolas Ducret

    Au pays du nomadisme

    Nomades
    Les montagnes kazakhes se couvrent 6 mois par an de yourtes et de bétail.
    ©  Nicolas Ducret

    Un cavalier honorable

    Cavalier
    Il existe une étrange solidarité entre les cavaliers, fils du vent et de la steppe. La nuit, il y en a toujours un pour l'héberger.
    ©  Nicolas Ducret

    Arrivée aux Monts Célestes

    Monts Célestes
    La porte d'entrée des Monts Célestes était ce col à 3 800 mètres que Nicolas Ducret franchît sous la neige. De l'autre côté, un ancien poste de contrôle soviétique lui servit de refuge.
    ©  Nicolas Ducret

    L'étape difficile : la chaîne du Ferghana

    Chaîne du Ferghana
    Franchir la chaîne du Ferghana fut très dur pour les chevaux. Il passait des journées à chercher d'hypothétiques cols dans des pierriers interminables, où la vitesse tombait à 3km/h.
    ©  Nicolas Ducret

    Un lait pas comme les autres

    Kumus
    Aux cascades de thé succédaient bientôt des litres de Kumus (lait de jument fermenté) qui le nourrissaient quotidiennement, sans avoir vraiment le choix...
    ©  Nicolas Ducret

    Seul au monde

    Isolement
    En entrant dans les Monts Célestes, Nicolas Ducret traversait des régions si isolées, que même les populations semblaient avoir fui ces conditions de vie difficiles.
    ©  Nicolas Ducret

    A proximité de la frontière tadjike

    Sary Tash
    Entrée dans le village de Sary Tash, dernier village avant la frontière tadjike. De là, il organise le ravitaillement en orge pour la traversée du Pamir
    ©  Nicolas Ducret

    Cavalier devant l'éternel

    Âne
    Ce n'est pas le poids des années qui le maintient au fond d'une yourte. Avec l'âge, les anciens troquent leurs chevaux pour un âne, bête plus calme.
    ©  Nicolas Ducret

    Kirghizes sur le chemin du retour

    Kirghizes
    Début septembre, les Kirghizes prennent le chemin du retour. L'herbe dans les pâtures est pauvre. Désormais, il lui faudra acheter de l'orge pour nourrir ses chevaux.
    ©  Nicolas Ducret

    Aux petits soins des chevaux

    Nourriture
    L'herbe était si rare dans les montagnes du Pamir qu'il était obligé de donner 8 kg d'orge chaque jour à chaque cheval, en 5 repas. Les chevaux transportaient près de 100 kg d'orge afin d'avoir l'autonomie nécessaire.
    ©  Nicolas Ducret

    Le lac Karakul

    Lac Karakul
    Le lac Karakul, non loin de la frontière tadjike, se dresse à 4 000 mètres. Son eau est salée et une herbe jaune et desséchée pousse sur ses bords. Nicolas Ducret y est passé deux jours pour que les chevaux se reposent avant d'attaquer quatre jours de désert.
    ©  Nicolas Ducret

    Un cheval bien fatigué...

    Fatigue
    Tsigane, le meneur de la caravane, avait perdu l'appétit, il était fatigué du chemin parcouru. Il sélectionnait les épis un par un, retardant au maximum le moment de brouter les herbes desséchées.
    ©  Nicolas Ducret

    Les femmes des terres tadjikes

    Femme
    Nicolas Ducret croisait souvent sur la route des femmes habillées de couleurs vives et qui parcouraient des kilomètres à pied d'un village à l'autre.
    ©  Nicolas Ducret

    La lassitude des terres désolées

    Terre désolée
    A progresser quotidiennement dans des terrains secs et pierreux, le moral des chevaux s'altérait et la lassitude s'installait.
    ©  Nicolas Ducret

    Un hôte sympathique du Pamir

    Pamir
    Les peuples du Pamir sont d'une extrême sympathie. Chaque soir, une maison lui ouvrait ses portes et il passait de longues soirées à discuter en russe avec ses hôtes.
    ©  Nicolas Ducret

    La fière allure de la caravane

    Caravane
    Au sein de la caravane, une forte solidarité s'était forgée au fil des kilomètres.
    ©  Nicolas Ducret

    Les plateaux arides du Badakhschan afghan

    Badakhschan afghan
    En octobre 2007, la caravane atteignait les plateaux arides du Badakhschan afghan. Dans quelques centaines de kilomètres, elle arrivait à Kaboul. 
    ©  Nicolas Ducret

    Dans les vallées profondes de l'Hindou-Kouch

    Hindou-Kouch
    Nicolas Ducret employa un guide pour assurer les négociations avec les seigneurs de guerre puis la caravane s'enfonça dans les vallées profondes de l'Hindou-Kouch.
    ©  Nicolas Ducret

    Les tribus pashtounes

    Tribu pashtoune
    Les chameaux de Bactriane des tribus pashtounes arpentent les pistes depuis des siècles, transportant les marchandises de vallée à vallée. Ils sont devenus néanmoins plus rares que les camions bruyants.
    ©  Nicolas Ducret

    L'homme au turban

    Enturbanné
    Les hommes enturbannés, nichés dans des palais construits sur les crêtes de montagnes, lui ouvraient leur demeure pour la nuit et lui offraient leur protection. On ne peut traverser l'Afghanistan sans l'aval des commandants, ex-seigneurs de guerre, aujourd'hui chefs de district.
    ©  Nicolas Ducret

    Le jeu du bouzkachi

    Bouzkachi
    Fin octobre 2007, Nicolas Ducret entre dans Kaboul. Il est invité à disputer le premier bouzkachi de la saison, célèbre jeu afghan où des hordes de cavalier en piste se battent des heures durant pour une chèvre sans tête.
    ©  Nicolas Ducret

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  • Le Tour de France en 50 ports

    Tour de France en 50 ports
    Longez les côtes de l'hexagone en faisant escale dans ses plus beaux ports. Du nord au sud de la France, visitez ces refuges de navires et de marins où la beauté prime sur la renommée.
    ©  Claude de Garam / Sylvain Bouquet et Alonbou - Fotolia.com

    Le Crotoy

    Le Crotoy
    Nous commençons notre périple par le port du Crotoy, passage obligé dans la baie de Somme. Face à lui, le port de plaisance de Saint-Valéry-sur-Somme n'a rien à lui envier.
    ©  Patrick Jassiones

    Le Tréport

    Le Tréport
    Port tourné vers la pêche de la seiche, le Tréport accueille près de 70 bateaux en plein cœur de son centre-ville. Un funiculaire emmène les promeneurs sur les hauteurs de la ville. De là, perché sur les plus hautes falaises de craie d'Europe (106 m), vous pourrez admirer la longue plage de galets qui borde le littoral du Tréport.
    ©  Alonbou - Fotolia.com

    Dieppe

    Dieppe
    Longtemps, Dieppe fut perçu comme "le" port de Paris, tout simplement parce qu'il s'agit du plus proche de la capitale. C'est un peu moins vrai maintenant, mais les touristes n'en restent pas moins nombreux. Autour de ce port actif se déploient dans les ruelles alentours des magasins, restaurants et cafés en grand nombre.
    ©  Philippe Devanne - Fotolia.com

    Saint-Valéry-en-Caux

    Saint-Valéry-en-Caux
    Toujours en Seine-Maritime, le port de Saint-Valéry-en-Caux présente un charme et une tranquillité désarçonnante. Le marché aux poissons et le passage des bateaux entre le bassin de plaisance et l'avant-port offrent un joli spectacle.
    ©  Bernard Brissez

    Fécamp

    Fécamp
    Depuis le XIe siècle, cet ancien port Viking s'est développé autour de la pêche du hareng. Les marins-pêcheurs de Fécamp ont longtemps exercé leur difficile métier au large de Terre-Neuve (Canada). Le musée des Terre-Neuvas et de la Pêche, installé sur le front de mer, témoigne de ce riche passé.
    ©  Jean-Marc Magnan et Jean-Claude Tribout

    Honfleur

    Honfleur
    Bienvenue dans le Calvados, partie nord de la Basse-Normandie ; plus précisément, sur la rive gauche de l'estuaire de la Seine, face au Havre. Flâner sur les quais de Honfleur, à la recherche d'une terrasse ensoleillée ou d'une galerie d'art plaisante, reste un plaisir quand la foule ne s'y est pas encore massée. Si les touristes vous affolent, réfugiez-vous sur les hauteurs de la ville, là où les ruelles pavées bordent de superbes bâtisses normandes.
    ©  Loïc Despres

    Trouville-sur-Mer

    Trouville-sur-Mer
    Laissez la cohue de Deauville et les abords de son luxueux casino et réfugiez-vous chez sa voisine, Trouville-sur-Mer. Là-bas, flânez sur les quais, aux abords du marché aux poissons (un bâtiment magnifique qui, en partie détruit par un incendie, est en phase de rénovation) puis dans la délicieuse rue des Bains. Pour ne rien manquer, procurez-vous le guide "Trouville, côté pêcheurs" distribué à l'Office du tourisme.
    ©  Didier Bicking

    Dives-sur-Mer

    Dives-sur-Mer
    A quelques minutes à pied de Cabourg, Dives-sur-Mer s'offre aux bateaux que sa richissime voisine refuse. Le port-Guillaume (photo) et la zone de mouillage qui se situe non loin bénéficient d'un calme salutaire.
    ©  Christine Coignard

    Port-en-Bessin-Huppain

    Port-en-Bessin-Huppain
    Coincé entre deux falaises de calcaire et de marne, celle de Castel à l'est et celle de Huppain à l'ouest, Port-en-Bessin coule des jours heureux à l'abri des vagues (marines et touristiques !) Ce port spécialisé dans la coquille Saint-Jacques, qui fut le premier à être libéré en France lors du Débarquement de 1944, respire la mer et reste la propriété des pêcheurs locaux. 
    ©  Philippe Cuq

    Grandcamp-Maisy

    Grandcamp-Maisy
    Station balnéaire de renom, Grandcamp-Maisy n'en laisse pas pour autant tomber ce qui a permis à la ville de se développer : la pêche, en particulier celle de la coquille Saint-Jacques. Sa proximité avec la pointe du Hoc et son implantation dans la baie de Veys... Lire la suite   
    ©  Francis Paumier

    Saint-Vaast-la-Hougue

    Saint-Vaast-la-Hougue
    Nous voilà arrivés sur la côte est du Cotentin avec Saint-Vaast-la-Hougue, délicieux port de pêche faisant face à la sauvage île de Tatihou. Se balader sur les quais, se laisser aller le long de la digue qui part du cimetière marin et visiter les ruelles de la ville suffira à votre bonheur.
    ©  George Fontaine

    Barfleur

    Barfleur
    Plus au nord de Saint-Vaast, le port de Barfleur constitue un abri naturel où se côtoient les chalutiers et les petits bateaux de plaisance. Le quai principal s'étire le long d'une avancée rocheuse, comme une invitation à rejoindre la mer.
    ©  Christian Dumont

    Cherbourg-Octeville

    Cherbourg-Octeville
    Avec sa Cité de la mer (photo), son arsenal ou son chantier naval, la ville de Cherboug-Octeville est toute entière tournée vers l'océan et ses navires. Du Titani... Lire la suite   
    ©  Christophe Bocher

    Port-Racine

    Port Racine
    Le village de Saint-Germain-des-Vaux s'est fait connaître grâce au port minuscule qu'il abrite en son sein : Port-Racine, 800 m² de surface et 28 amarres seulement, est le plus petit port de plaisance public du littoral français. Il porte le nom de François-Médard Racine, un corsaire normand du ... Lire la suite   
    ©  Alain Michot

    Barneville-Carteret

    Barneville-Carteret
    Le cap de Carteret, sur la côte ouest du Cotentin, place Barneville à l'abri des vents. Depuis sa récente rénovation, le port de plaisance et de commerce dispose de 330 places sur ponton. Une fois que vous aurez apprécié le charme des villas côtières, embarquez pour une balade d'une journée sur l'île anglo-normande de Jersey qui fait face à Barneville-Carteret.
    ©  Anne-Marie Dumont

    Cancale

    Cancale
    Cancale, une sortie idéale pour les amoureux... Solidement installé sur la côte est de la Bretagne, le port d'Ille-et-Vilaine sent bon l'iode, le vent du large et la bonne cuisine. Quelques huîtres et un verre de vin blanc vous accompagneront pour un coucher de soleil inoubliable sur les parcs ostréicoles...
    ©  Gilliane Coupel

    Saint-Briac-sur-Mer

    Saint-Briac-sur-Mer
    Si vous cherchez un port de pêche authentiquement breton, celui de Saint-Briac devrait vous combler. Pas de fioriture, juste des éléments naturels qui baignent avec bonheur dans l'apaisante anse du Béchet.
    ©  Philippe Gegoux

    Erquy

    Erquy
    "Un village peuplé d'irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur". Vous connaissez cette célèbre phrase, préambule à chacun des albums d'Astérix et Obélix ? On prête à Erquy, port de la baie de Saint-Brieuc, d'être ce fameux village gaulois... Ici, les chalutiers partent en mer à la pêche aux seiches et aux encornets.
    ©  Loïc Despres

    Saint-Quay-Portrieux

    Saint-Quay-Portrieux
    Dans les Côtes-d'Armor, où la pêche des coquilles Saint-Jacques fait figure de spécialité, Saint-Quay-Portrieux n'échappe pas à la règle. Entre novembre et avril, les marins-pêcheurs ne disposent que de 45 minutes quotidiennes pour le dragage, condition essentielle pour ne pas épuiser le stock. Par ailleurs, les nombreuses activités proposées par la ville en font une station balnéaire très prisée.
    ©  Pascaline Leguen

    Perros-Guirec

    Perros-Guirec
    Au cœur de la côte de Granit Rose, Perros-Guirec fait le bonheur des plaisanciers qui peuvent amarrer leurs bateaux au port de Ploumanac'h. Quand le soleil se couche sur la mer, les roches se teintent d'une couleur rougeâtre très poétique.
    ©  Martine Guyomard

    Roscoff

    Roscoff
    Point de passage pour l'île de Batz ou l'Irlande, ce port du Finistère ravit les promeneurs qui flânent le long des quais du vieux port, du front de mer ou de la dizaine de plages qui s'étale sur la commune.
    ©  Serge Agombart

    Plouescat

    Plouescat
    Porsguen, le port de Plouescat, repose sur une aire de mouillage sablonneuse. A marée basse, ce sous-sol marin se dévoile... pour le plus grand bonheur des photographes.
    ©  Serge Agombart

    Le Conquet

    Le Conquet
    Que la brume plonge le port dans la torpeur ou que le soleil l'illumine, l'émerveillement est le même. Au Conquet, le charme se conjugue à tous les temps...
    ©  Jean-Luc Rollier

    Camaret-sur-Mer

    Camaret-sur-Mer
    Autrefois tourné vers la pêche de langoustes, roses et vertes, Camaret-sur-Mer est désormais davantage réputé pour son cimetière marin. Qu'importe, après tout, puisque la beauté de la presqu'île de Crozon continue d'agir dans ce joli coin reculé. Le port du Notic, qui baigne en pleine ville, vaut notamment le détour.
    ©  Loïc Despres

    Loctudy

    Loctudy
    Loctudy étend sa façade maritime sur plus de 8 km, depuis son port de pêche jusqu'à la pointe de Beg Guen. Entre les deux, une longue succession de pointes rocheuses et de plages de sable. Face à la ville bretonne, l'île Tudy mérite également d'être visitée tant sa beauté sauvage interpelle.
    ©  Armelle Cailly

    Bénodet

    Bénodet
    A l'embouchure de l'Odet, face à l'archipel des Glénans, au fond d'une baie... Naturellement, la ville de Bénodet bénéficie d'une situation géographique exceptionnelle. Son port de plaisance peut témoigner de ses multiples atouts.
    ©  Astrid Beunet

    Concarneau

    Concarneau
    Encerclée par les eaux, la ville-close de Concarneau renferme de nombreuses attractions, historiques et artistiques. En dehors, les marcheurs et autres adeptes de la nature seront comblés par le port de plaisance et la corniche qui mène aux criques.
    ©  Thierry Faivre

    Sauzon

    Sauzon
    Refermons le chapitre breton par un autre de ses joyaux... Confortablement installé dans une anse naturelle, Sauzon résume ce qui fait le charme de Belle-Île-en-Mer : de la tranquilité, un contact direct avec la mer et un aspect sauvage plaisant.
    ©  Annick Vimont

    La Turballe

    La Turballe
    Entre roche, sable et marais salants, les alentours de La Turballe ne manquent pas de curiosités naturelles. Spécialisé dans l'anchois et la sardine, son port fait partie des plus actifs de Loire-Atlantique.
    ©  Loïc Despres

    Pornic

    Pornic
    Une balade à Pornic commence invariablement sur les quais du port de pêche, là où les bateaux s'enfoncent plus loin dans la ria, vallée envahie par la mer à la marée montante. Le port y a fait son nid il y a bien longtemps en servant de refuge pour les navires en cas de tempêtes ou de piraterie. Ensuite, laissez-vous porter par la magnifique côte de Jade qui entoure la ville.
    ©  Christian Clair

    Port-Joinville

    Port-Joinville
    Quittons provisoirement le continent pour faire escale à Port-Joinville, port(e) d'entrée pour l'île d'Yeu. Loin des lieux agités à la mode, le port séduit par la douceur de son environnement, bien aidé par la multiplication des harmonieux sentiers cyclistes. Plus loin, ne manquez pas de vous rendre au port de la Meule, enclave sauvage encastrée entre deux fa... Lire la suite   
    ©  Philippe Sohiez

    La Rochelle

    La Rochelle
    Un magnifique vieux-port flanqué de tours médiévales, un immense port de plaisance et une cité historique qui n'oublie pas son passé marin... La Rochelle, "rebelle de l'Atlantique", se tourne toute entière vers la mer. Pour preuve son salon nautique du Grand Pavois, excellente source de motiva... Lire la suite   
    ©  Jean-Patrick Depont

    La Cotinière

    La Cotinière
    La Cotinière est l'unique port niché sur la côte occidentale sauvage de l'île d'Oléron. Outre son cachet naturel, la façade maritime de Saint-Pierre-d'Oléron dispose d'un aquarium sympathique renfermant des piranhas, des tortues de Floride, des homards et langoustes, des bébés requins... dans une boutique de souvenirs.
    ©  Marie-Christine Jacques

    Biarritz

    Biarritz
    Retour à la terre ferme avec Biarritz, haut-lieu de la côte basque française. Son vieux-port étonne par les contrastes qu'il offre avec le reste de la ville. Son emplacement (au pied de la colline de l'Atalaye) donne à ce lieu populaire un charme certain.
    ©  Annick Vimont

    Saint-Jean-de-Luz

    Saint-Jean-de-Luz
    Autrefois, les Luziens pêchaient le thon ou chassaient la baleine à la canne et à l'appât vivant, au large des côtes africaines. Si cette technique traditionnelle n'est plus d'usage, en revanche le port reste un des plus vivants de la région. Les pêcheurs d'aujourd'hui travaillent davantage dans le golfe de Gascogne, toujours à la recherche du thon.
    ©  Annick Vimont et Serge Agombart

    Collioure

    Collioure
    On traverse les Pyrénées pour se retrouver sur la côte méditerranéenne, à quelques kilomètres de la frontière nord de l'Espagne. Le voyage vaut le coup, tant Collioure recèle de trésors. Se reposer à l'ombre des remparts, se rafraîchir sur une terrasse face à la mer ou s'aventurer dans les hauteurs de la ville est un délice de chaque instant.
    ©  Lemaître Christiana

    Le Grau-du-Roi

    Le Grau-du-Roi
    Pour profiter de la ville gardoise, avancez-vous à l'entrée du port pour admirer le va-et-vient incessant des chalutiers, assistez au débarquement du poisson frais et dégustez les spécialités locales (tellines, daurades, maquereaux...) en respirant l'air de la Camargue.
    ©  Danièle Carie

    Saintes-Maries-de-la-Mer

    Saintes-Maries-de-la-Mer
    Mélange de terre, de sable et de marécages, la Camargue belle et sauvage impressionne à coup sûr. Sa capitale historique, les Saintes-Maries-de-la-Mer, concentre tous ces mélanges. A ne pas manquer : le coucher de soleil qui donne au Port-Gardian une teinte fraîche et magique.
    ©  Didier Sibourg

    Martigues

    Martigues
    Des canaux et des ponts qui s'entremêlent, des maisons colorées et des quais animés... Martigues n'a pas usurpé son surnom de "Venise provençale". En dehors de la ville, les criques et les ports qui s'étirent sur le littoral méditerranéen valent aussi le détour.
    ©  Loïc Despres

    La Madrague de Montredon

    Madrague de Montredon
    Entre son Vieux-Port et le Vallon des Auffes, Marseille regorge de ports aussi attirants les uns que les autres. Moins connu, celui de la Madrague de Montredon à l'extrémité est de la ville n'a rien à leur envier. De là s'offre un magnifique panorama sur Notre-Dame-de-la-Garde et la baie dans laquelle se déploie le littoral marseillais.
    ©  L'Internaute Magazine - Jérémy Talbot

    Les Goudes

    Les Goudes
    A quelques longueurs de Marseille, le petit port des Goudes fascine par son cadre idyllique. Les collines qui l'entourent et la route qui y mène créent un décor favorable à l'évasion. Les fans de Jean-Claude Izzo, auteur des "Marins perdus" et de la trilogie Fabio Montale (Total Khéops, Chourmo, Solea), reconnaîtront sûrement ce lieu atypique que l'écrivain aimait tant.
    ©  L'Internaute Magazine - Jérémy Talbot

    Callelongue

    Callelongue
    Une fois les Goudes dépassées, continuez votre route jusqu'au minuscule port de Callelongue. Celui-ci se dévoile au dernier moment, dans les derniers mètres qui concluent cette voie sans issue. La principale attraction de ce "bout du monde" se trouve dans la trentaine de bateaux amarrés aux falaises de Saint-Michel d'Eau Douce. Un spectacle peu banal auquel on ne se lasse pas d'assister.
    ©  L'Internaute Magazine - Jérémy Talbot

    Cassis

    Cassis
    Les quais de Cassis, peuplés de restaurants et cafés, forment une promenade agréable pour les flâneurs. Pour celles et ceux qui souhaitent voir la mer de plus près, rendez-vous dans la calanque de Port-Miou qui se trouve dans la commune. Encadrée par d'imposantes falaises, cette ancienne carrière de calcaire est devenue... Lire la suite   
    ©  Daniel Audat

    La Ciotat

    La Ciotat
    Laissez-vous porter par la route des crêtes et les délicieuses calanques qui mènent à La Ciotat. Sur place, parcourez les quais en profitant des couleurs chatoyantes qui font le charme de la cité.
    ©  Odette Lefebvre

    Sanary-sur-Mer

    Sanary-sur-Mer
    Les barques et les pointus varois viennent se reposer dans cet authentique port de pêcheurs, face à la Tour Romane (une ancienne tour de guet, à gauche de l'image). C'est le point de départ idéal pour embarquer vers les calanques de Cassis, les îles avoisinantes (Embiez, Bendor) ou bien la rade de Toulon.
    ©  Philippe Poncelet

    Saint-Tropez

    Saint-Tropez
    Passée l'agitation estivale qui met Saint Trop' sens dessus-dessous, le port retrouve son calme et tous ses charmes. Le visiter en basse et moyenne saison vous permettra sûrement d'effacer les clichés attachés à cette superbe ville.
    ©  Bérénice Pineau

    Cannes

    Cannes
    Oubliez la Croisette et rejoignez le quartier du Suquet, au cœur duquel vous trouverez le délicieux Vieux-Port de Cannes. Et si vous disposez d'une journée entière, partez de là pour vous ressourcer sur les îles de Lérins qui font face à la ville. Le dépaysement sera total et la visite enrichissante.
    ©  André Oustric

    Monaco

    Monaco
    Depuis la "Tête du Chien", ce promontoire rocheux qui domine la Principauté, on distingue parfaitement les deux ports qui entourent le Rocher de Monaco. A gauche le port Hercule, baie naturelle enfermée par deux jetées freinant les vents d'est. A droite le port de Fonvieille, prolongement naturel du quartier éponyme, dans lequel les plaisanciers viennent se réfugier.
    ©  Daniel Vernhet

    Menton

    Menton
    Terminons notre tour de France par ce joli lever de soleil illuminant le port de Menton, dernière grande ville avant la frontière italienne. Outre le port de Menton-Garavan, la "Perle de la France" dispose d'un port municipal au charme discret, au pied de la vieille ville.
    ©  Annie Froget

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    Saint-Malo, ville maritime par excellence

    Saint-Malo
    A la fois port de plaisance, station balnéaire et point de départ de courses prestigieuses, la cité corsaire réserve de nombreuses surprises à ses visiteurs. Embarquez pour une visite maritime.
    ©  Pierre Dilichen

    Sur l'estuaire de la Rance

    Sur l'estuaire de la Rance
    La ville bretonne est située en Ille-et-Vilaine, sur la Manche, à l'embouchure de l'estuaire de la Rance.
    ©  Gwenaële Le Moignic

    Une ceinture de granit

    Les remparts
    La cité corsaire est entourée de remparts qui forment une véritable ceinture de granit. Ils ont été construits au XIIe siècle pour protéger la ville.
    ©  Claude Renouf

    Construits sur la roche

    Construits sur la roche
    La spécificité des remparts de Saint-Malo est qu'ils ont été érigés directement sur le rocher qui supporte la ville.
    ©  Albert Duveau

    Balade sur les remparts

    Balade sur les remparts
    Une promenade par les remparts de Saint-Malo permet aisément de faire le tour de la cité et de découvrir de superbes paysages. Photo : un canon du Bastion de la Hollande, élevé en 1674, lors de la guerre menée par Louis XIV contre les Hollandais.
    ©  Pierre Dilichen

    Le château de Saint-Malo

    Le château de Saint-Malo
    Le château tel qu'on le voit actuellement a été bâti à partir de 1424, lors de la restitution de la ville au duc de Bretagne Jean V. A l'origine, le château n'était constitué que d'une grosse tour qui servait à défendre la ville et à loger les militaires. Craignant une attaque des Anglais, qui occupaient alors la Normandie et le Mont Saint Michel, Jean V fit élever le donjon. Puis, un demi siècle plus tard, à la fin du XVe siècle, furent ajoutées 4 grosses... Lire la suite   
    ©  L'Internaute Magazine / Bénédicte Huart

    La fougue des marées

    La fougue des marées
    Saint-Malo est l'une des villes européennes où les marées sont les plus fortes. L'amplitude entre marée haute et marée basse peut atteindre 14 mètres (le double de la moyenne). Selon l'heure à laquelle vous visitez la ville, le spectacle peut être tout à fait différent. Photo prise lors d'une tempête en mars 2008.
    ©  Claude Renouf

    Les remparts protégés par les brise-lames

    Brise-lames
    Les brise-lames, ces troncs d'arbre noircis enfoncés dans le sable, sont indissociables de la ville. Plantés depuis 1698 sur la grande grève, ils sont destinés à briser les lames afin que les remparts soient protégés du choc des vagues, particulièrement puissantes lors des grandes marées.
    ©  Nestor Robin

    Le fort national

    Fort national
    Imaginé par Vauban en 1689 puis agrandi par une deuxième enceinte au début du XIXème siècle, le Fort National garde l'entrée du port de Saint Malo. Il constitue un des symboles de la ville, et se visite. Le fameux corsaire Surcouf y livra notamment un duel épique. Le Fort est classé au titre des monuments historiques depuis mai 1906. Ici, la photo est prise à marée basse. Mais le chemin menant vers le fort est entièrement recouvert à marée haute.
    ©  Sandrine Cheron

    Le Môle des Noires

    Le Môle
    La jetée de Saint-Malo, appelée le môle des Noires, sert à l'accostage des bateaux mais joue aussi le rôle de brise-lames. Le môle vise à protéger la cité contre les vagues. A droite de la jetée, la plage du Môle, abritée des vents, est très recherchée dès les premiers rayons de soleil.
    ©  Pierre Dilichen

    Le Fort du Petit Bé

    Le Fort du Petit Bé
    Construit au XVIIe siècle et conçu par Vauban, le Petit Bé fait partie de la ligne de défense de Saint-Malo. Ici : vu depuis les remparts. Il est actuellement en cours de restauration et peut se visiter à marée basse.
    ©  Philippe Poncelet

    Cité des corsaires

    Cité des corsaires
    Si Saint-Malo est baptisée "la cité corsaire", c'est parce qu'elle a vu naître et vivre de nombreux corsaires (sous l'autorité du roi, ils étaient chargés, en temps de guerre, d'attaquer les navires ennemis, notamment la flotte marchande). Parmi eux : Surcouf (photo) et Duguay-Trouin.
    ©  Pierre Dilichen

    Jacques Cartier, célèbre Malouin

    Jacques Cartier, célèbre Malouin
    Autre figure historique de la ville : Jacques Cartier. Le navigateur et explorateur malouin a découvert le Canada en 1534 (du moins sa partie est : le golfe du Saint-Laurent et le Québec).
    ©  L'Internaute Magazine / Louis Paul Astraud

    L'hôtel d'Asfeld

    L'hôtel d'Asfeld
    Histoire de rester dans l'univers des corsaires, voici l'hôtel d'Asfeld. Cet hôtel particulier a été construit au XVIIe siècle pour le riche armateur Magon de la Lande, corsaire et directeur de la compagnie des Indes. Classé Monument historique depuis 2000, c'est le dernier hôtel d'armateur de Saint-Malo intra-muros n'ayant pas été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale.
    ©  Culture.fr

    Le tombeau de Chateaubriand

    Le tombeau de Chateaubriand
    Sur l'île du Grand Bé se trouve la tombe de l'écrivain François-René de Chateaubriand. Saint-Malo est le théâtre principal de ses "Mémoire d'outre-tombe" (1849-1850), qui relatent son enfance dans la petite noblesse malouine.
    ©  Roland Courtin

    La Tour Solidor

    La Tour Solidor
    La Tour Solidor, donjon construit sur la Rance pour surveiller les entrées et sorties maritimes, abrite désormais le Musée international du long-cours cap-hornier. Elle est classée Monument historique depuis juillet 1886.
    ©  Pierre Dilichen

    Le port de plaisance des Sablons

    Port de plaisance
    Les deux ports de plaisance de Saint-Malo ont une capacité d'accueil de plus de 1 400 places. Ici, le port des Sablons, vu de la Cité Alet.
    ©  Corinne Tellier

    Le bassin Vauban

    Bassin Vauban
    Dans ce bassin, des écluses permettent de maintenir un niveau d'eau constant quelles que soient les marées.
    ©  Pierre Dilichen

    Quatre bassins

    Quatre bassins
    Saint-Malo est le 2e port de commerce de Bretagne. Bois, produits agro-alimentaires, engrais... sortent du port breton. Celui-ci est composé de quatre bassins : le bassin Vauban, le bassin Duguay-Trouin (photo), le bassin Jacques-Cartier et le bassin Bouvet.
    ©  Martine Derlin

    Transport de passagers

    Ferry
    Plus d'un million de passagers transitent chaque année par le port de Saint-Malo à destination ou en provenance de Grande-Bretagne, d'Irlande, de Jersey ou de Guernesey. Ce qui place le port breton parmi les premiers ports français.
    ©  Geneviève Bouffaud

    De nombreuses activités nautiques

    Activités nautiques
    La cité corsaire propose une large variété d'activités nautiques : voile, kitesurf (photo), char à voile... Elle bénéficie d'ailleurs du label "Station Voile" depuis 1989 (devenu label "station nautique").
    ©  Clément Eloy

    La Route du Rhum

    Route du Rhum
    Saint-Malo est le point de départ de courses prestigieuses. Tous les quatre ans, les bateaux de la Route du Rhum envahissent le bassin Vauban pour le plus grand plaisir des spectateurs, puis s'élancent en direction de Pointe-à-Pitre.
    ©  Pierre Dilichen

    La Tall Ships Race

    Tall Ships Race
    Autre grand rendez-vous des amateurs de voile : la Tall Ships Race. Ce rassemblement de grands voiliers attire toujours plus de visiteurs.
    ©  Pierre Dilichen

    Saint-Malo intra-muros

    Saint-Malo intra-muros
    Evidemment, Saint-Malo ne se limite pas à ses curiosités maritimes. Prenez aussi le temps de vous balader à l'intérieur des remparts. Les multiples crêperies, bars et boutiques des ruelles sauront également vous séduire (photo : rue du Boyer).
    ©  Pierre Dilichen

    La cathédrale Saint-Vincent

    La cathédrale Saint-Vincent
    Intra-muros, vous pouvez visiter la cathédrale. Elevée en hommage à Saint Vincent à partir du XIe siècle, la cathédrale de Saint-Malo n'a a été achevée qu'au XVIIIe siècle. De plus, la flèche ajourée qui la coiffe n'a été ajoutée qu'au XIXe siècle. Elle renferme la dépouille de Dugay-Trouain, le célèbre corsaire du XVIIIe siècle.
    ©  Tiphaine Bodin

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