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    La Loire s'offre en spectacle: les attraits du parcours

     

    Le château de Villandry et ses magnifiques jardins.... (Photo Andrée Lebel, La Presse)

     

    Le château de Villandry et ses magnifiques jardins.

    PHOTO ANDRÉE LEBEL, LA PRESSE

    Voici les moments marquants d'une croisière sur la Loire.

     

    Les classiques de Nantes

    Après le déclin provoqué par la fermeture des chantiers navals (1987), Nantes a misé sur la création. Cette originalité la rend fort attrayante, d'autant plus qu'elle est facile à visiter. Une ligne verte tracée sur le trottoir relie ses principaux attraits. Le château des ducs de Bretagne, la cathédrale et le légendaire Passage Pommeraye (1843) sont incontournables. Le Bâtiment Manny, le Mètre à ruban et les Anneaux qui illuminent le quai des Antilles retiennent également l'attention. Aussi, il faut voir le populaire Hangar à bananes, qui regroupe galeries d'art, restos, bars et terrasses.

     

    Les machines de l'île 

     

    Grande attraction de Nantes, les Machines de l'île dynamisent le site des anciens chantiers navals. Inspirées du monde de Jules Verne, de l'univers mécanique de Léonard de Vinci et du passé industriel de Nantes, ces gigantesques constructions articulées sont spectaculaires. Haut de quatre étages, le Grand Éléphant promène jusqu'à une cinquantaine de visiteurs sur son dos tandis que le Carrousel des mondes marins, une sorte d'aquarium mécanique sur trois niveaux, ravive l'esprit de l'art forain. Les Machines de l'île logent sous les nefs du port, dont on a gardé les structures d'acier. Dans la Galerie, qui abrite un étonnant bestiaire, des artisans expliquent le processus de création de ces étonnantes créatures.

     

    Les chantiers navals de Saint-Nazaire 

    Entre l'estuaire de la Loire et l'océan Atlantique, les chantiers navals STX de Saint-Nazaire sont parmi les plus vieux (150 ans) et les plus grands d'Europe. La visite donne un bon aperçu des différentes phases de construction des paquebots. Elle se fait en autocar du parc à tôles jusqu'au bassin d'armement. Ensuite, de la galerie piétonne qui domine la grande cale d'assemblage, les visiteurs peuvent observer les milliers d'ouvriers qui s'affairent sur les 86 blocs du plus gros paquebot du monde, Harmony of the Seas. Long de 362 mètres, ce navire (le 122e navire construit à Saint-Nazaire) accueillera 6360 passagers. Sa livraison à Royal Caribbean est prévue en avril 2016.

     

    Le musée Escal'Atlantic

    Superbement aménagé dans l'ancienne base sous-marine de Saint-Nazaire, le musée Escal'Atlantic retrace l'histoire des grands transatlantiques et fait revivre l'épopée des traversées océaniques. De la vie quotidienne des passagers aux secrets de la salle des machines, le parcours est fascinant. On peut ressentir l'atmosphère des anciens paquebots et même sentir le vent du large sur les ponts et les coursives qui ont été recréés à l'identique. Outre des cabines du Normandie (1935) et du France (1962), on peut y voir quelques salons du Liberté (1950) et des centaines d'objets de collection. Tous ces navires ont été construits à Saint-Nazaire.

     

    La route du Muscadet 

    À partir d'Ancenis, une excursion emprunte la route du Muscadet, où quelque 300 vignobles s'étendent à l'infini entre de paisibles villages. Le propriétaire du domaine Cassemichère ouvre ses caves, raconte l'histoire de son château (XVIIIe siècle) et fait déguster ses vins. Une promenade à pied dans la cité médiévale de Clisson a de quoi surprendre. Dominée par son château (XIe siècle) et sa tour carrée, Clisson affiche une atmosphère typiquement italienne. Cette particularité est née du rêve d'un architecte qui a réussi à y imposer l'architecture toscane. Un charme fou se dégage de cette ville traversée par la Moine et située au confluent de la Sèvre nantaise et de la Maine.

     

    Le patrimoine d'Angers

    Ville d'art et d'histoire, la capitale de l'Anjou possède un riche patrimoine. Sa forteresse flanquée de 17 tours en pierre de schiste noire et calcaire (XIIIe siècle) est imposante. Dans l'enceinte, on peut voir des bâtiments de la fin de l'époque gothique et surtout une oeuvre majeure de l'art médiéval. La spectaculaire tapisserie de l'Apocalypse (XIVe siècle) s'étend sur 100 mètres de long et 4,5 mètres de haut. Après la promenade sur les remparts et la visite de la petite ville médiévale, c'est en déambulant dans le centre-ville qu'on éprouve la légendaire «douceur angevine», une expression qui fait référence aussi bien au climat qu'au mode de vie des habitants.

     

    Ancenis et Bouchemaine 

    Ces deux villes ont en commun d'accueillir le MS Loire Princesse pour de longues escales de nuit. On peut les visiter à pied, en toute liberté et à son rythme. Leurs rues sont chargées d'histoire et leurs sentiers aménagés au bord de l'eau invitent aux longues randonnées pédestres et aux rencontres avec les habitants. C'est tout le charme de la France qui s'y déploie. Ici et là, on peut s'arrêter à une terrasse, découvrir un marché ou faire une pause pour admirer les environs. Le sentier de Bouchemaine (long de plusieurs kilomètres) est si invitant que des gens de toute la région viennent s'y promener en couple ou en famille.

     

    Les châteaux de la Loire 

    L'excursion comprend trois châteaux. Azay-le-Rideau (XVIe siècle) est le plus harmonieux du Val de Loire. Ses influences françaises et italiennes lui confèrent un raffinement sans égal. Villandry a été le dernier des grands châteaux de style Renaissance érigés sur les bords de la Loire. Ses jardins sont un ravissement pour les yeux et le coeur. Symétrie rigoureuse des motifs géométriques, harmonisation des couleurs et des formes laissent les visiteurs sans voix. Le château d'Ussé (XVe siècle) a servi d'inspiration pour le conte La belle au bois dormant. Sa haute silhouette domine les environs et des mannequins en costumes d'époque contribuent à recréer l'atmosphère d'autrefois dans les pièces principales.

     

    Voyager en Images 2:  La Loire s'offre en spectacle: les attraits du parcours

     

     

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    Visite privée dans Les Jardins du Roi

    A l'occasion de la sortie du film "Les Jardins du Roi" d'Alan Rickman, le 6 mai, Le Journal des Femmes vous propose une visite guidée dans les somptueux jardins et bosquets de Versailles. Une promenade sous le signe du raffinement et du goût à la française.
    ©  Metropolitan FilmExport

    Entrée sur des espaces grandioses

    Bienvenue dans les jardins de Versailles. Début de la visite avec un aperçu du travail de perspective d'André le Nôtre. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Le buis sous toutes ses formes

    Depuis la conception du grand André Le Nôtre, le savoir-faire est resté et les buis sont taillés au centimètre près. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Sculptures et végétaux se côtoient

    Métaux, pierres et plantes se retrouvent pour former une harmonie parfaite, à la française. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Grande allée jonchée de buis en cône

    "Symétrie" et "alignement" font partie du génie de Le Nôtre. Voici un bel exemple d'allée répondant à ces critères. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Parterre de jonquilles, couleur du soleil

    Les jonquilles sont en fleur et apportent couleur et lumière aux parterres très disciplinés. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Vue sur le Château depuis les jardins

    Air de printemps dans les parterres des jardins de Versailles. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Statue du Parterre d'eau

    Les premiers habitants des jardins sont bien les statues. Elles vivent dans les fontaines et les espaces fleuris. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Tapis vert de buis taillés

    Les buis agrémentent et forment les contours des parterres. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    L'Orangerie du Château de Versailles

    Un spectacle grandiose du haut de l'Escalier de Cent Marches et une vue panoramique sur l'Orangerie, oeuvre d'Hardouin-Mansart. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Coulée verte à perte de vue

    De nombreuses allées à perte de vue contribuent à la superbe des jardins du Château de Versailles. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Descente vers les bosquets

    Quittons les grands espaces pour rejoindre l'intimité des multiples bosquets. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Le bosquet de la Reine

    Allées bien dessinées, bancs de pierre, statues et buis taillés se mélangent dans le bosquet de la Reine. Un lieu calme et très féminin. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    La nature reprend ses droits

    La végétation reprend ses droits aux quatre coins du bosquet de la Reine. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Féerie des eaux au bosquet de l'Encelade

    L'impressionnante fontaine du bosquet de l'Encelade représente un Titan tombé. Selon la légende, il  fut condamné à vivre sous le volcan de l'Etna, consumé par la lave. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Apollon fend les eaux à Versailles

    Le bassin du char d'Apollon se situe sur l'axe central du parc, devant le Grand Canal. Le mythe solaire d'Apollon rappelle la splendeur de Louis XIV. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Apollon illumine le bassin

    Le bassin d'Apollon change de couleur sous les rayons du soleil. Il s'inscrit dans la perspective des jardins de Versailles. Quelques cygnes aiment s'y balader. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Fontaine cachée

    Quelques fontaines viennent se dissimuler derrière les bosquets en friche. L'eau a une place très importante dans la structure des jardins. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Temps antiques au bosquet de la Colonnade

    Cette salle de verdure, initialement nommée bosquet des Sources, est composée d'arcs et de colonnes, avec des jets d'eau. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Décor du bosquet des Bains d'Apollon

    Anciennement "Bosquet du Marais", l'actuel bosquet des Bains d'Apollon a été créé par Jules Hardouin-Mansart en 1704, sous la direction de Madame de Montespan. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Le fameux bosquet de la Salle de Bal

    Au centre du film d'Alan Rickman, Les Jardins du Roi, le bosquet de la Salle de Bal ou des Rocailles est un lieu mythique des jardins. Ce petit coin de paradis est composé d'une cascade en gradins, en meulière et de coquillages d'Afrique. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Les gradins du bosquet des Rocailles

    Les gradins du bosquet des Rocailles ont été taillés dans du buis. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Jardins à l'anglaise et brebis dans le domaine de Marie-Antoinette

    Si les jardins à la française rythment les extérieurs du château de Versailles, un peu plus loin, des paysages sauvages et naturels viennent rompre la symétrie et les aménagements. Le domaine de Marie-Antoinette repose le visiteur entre friches, sous-bois et zone de pâturage pour les brebis. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Le Dragon des jardins de Versailles

    Le bassin du Dragon met en scène la créature Python, lancé par Junon à la poursuite de Latone, enceinte d'Apollon et d'Artémis. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes

    Grande étendue vers le Parc

    Au bout des jardins, on trouve une grande esplanade de gazon et les grilles du Château. Derrière les portes, la nature continue avec le Parc et le Grand Canal. 
    ©  Margaux Feugère / Le Journal des Femmes
     

     

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    Chabada chabada... Un week-end à Deauville

    Parasols sur la plage

    Sur les côtes normandes, Deauville est devenue une station balnéaire mythique fréquentée depuis la Belle Époque pour tout le gotha international. Immortalisée par Claude Lelouch à coup de "chabada... chabada" en 1966, Deauville cultive le chic et le glamour rêvés pour une escapade amoureuse.
    ©  Philippe Nogier

    Le Normandy Barrière

    Palace mythique de Deauville, Le Normandy veille sur les plages de la Manche depuis 1912. Reconnaissable à son architecture traditionnelle normande, cet imposant manoir anglo-normand aux colombages vert pastel, compte 290 chambres signées par le décorateur Jacques Garcia. Consulter la fiche de l'hôtel
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Patrice Le Bris

    Les planches

    Cultissimes à Deauville, les planches constituent une promenade longeant la plage où il faut voir et être vu ! Créés en 1923 par l'architecte Charles Adda, elles permettaient aux femmes de profiter du bord de mer sans risquer de salir leurs robes dans le sable. Bordées de cafés et des fameuses cabines, elles sont un p... Lire la suite   
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Patrice Le Bris

    Le Casino Barrière

    Rien ne va plus, vous venez de pénétrez dans le somptueux et centenaire casino de Deauville, qui à lui seul vaut le détour ! Jeux de tables, machines à sous, poker, spectacles... La soirée promet d'être riche... en surprises. Ne manquez pas le théâtre du casino, de style XVIIIe, il est inspiré du Petit Trianon de ... Lire la suite   
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Patrice Le Bris

    La Villa Strassburger

    En 1907, Henri de Rothschild fait bâtir ce petit bijou de l'architecture Belle Époque sur des terres achetées à Gustave Flaubert. La Villa Strassburger doit son nom au milliardaire américain qui l'a rachète ensuite. Léguée à la ville de Deauville, des visites y sont proposées pour admirer les peintures et sculptures de l'artiste Enrico Campagnola.
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Patrice Le Bris

    Galop sur la plage

    Deauville voue une passion aux sports équestres. Dotée d'un prestigieux hippodrome et d'un Pôle international du Cheval, la ville est très appréciée des cavaliers, débutants ou confirmés, pour ses longues balades sur la plage, les sabots dans l'eau.
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Patrice Le Bris

    L'établissement des bains de mer

    Derrière les planches de Deauville, se cache une enfilade de cabines et de bassins intérieurs où se succèdent atriums, fontaines et de galeries dans le plus pur style pompéien. Un ensemble dont on doit la construction à l'architecte Charles Adda en 1923.
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Patrice Le Bris

    Le marché de Deauville

    Au cœur de la vie deauvillaise, le marché met les produits du terroir à l'honneur. Étals de poissons frais tout juste péchés de la dernière marée, fromages normands, cidre à l'ancienne, fruits et légumes de saison... Un festin de couleurs et de parfums.
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Patrice Le Bris

    Stars américaines

    Sur la célèbre promenade de Deauville qui longe le front de mer, chaque cabine porte le nom d'une star ayant participé au Festival du cinéma américain de Deauville. Depuis sa création en 1975, les plus grandes personnalités d'Hollywood comme Robert De Niro, Clint Eastwood, George Clooney, Harrison Ford, Sharon Stone, Al Pacino ou Julia Roberts ont leur nom sur les planches.
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Naïade Plante

    Shopping de luxe

    Dans le centre de Deauville, place au shopping, à condition d'avoir des goûts de luxe. Les plus grandes enseignes de mode s'y côtoient depuis qu'une certaine Gabrielle Chanel y installe  pendant l'été 1913 une boutique qui ne désemplit pas.
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Paravision

    Deauville côté plage

    Caractérisée par sa longue plage de sable, Deauville qui autrefois à vu naître la mode des bains de mer, séduit aujourd'hui les amateurs de sports nautiques et les petits pêcheurs à pied à marée basse.
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Patrice Le Bris

    Une pause thalasso

    Entre le Casino Barrière et le front de mer, une escale s'impose au centre de Thalasso-Spa Deauville Algotherm. Une pause détente et bien-être le temps d'un soin, d'une demi-journée, d'un week-end ou d'une semaine.
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Patrice Le Bris

    Villas cossues

    Lieu de villégiature adoptée par l'aristocratie à la Belle Époque, les rues de Deauville sont bordées d'élégantes villas balnéaires. De styles variés, tantôt de style anglo-normand, tantôt Art Déco, bon nombre d'entre elles sont aujourd'hui classées.
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Patrice Le Bris

    L'hippodrome de Deauville

    Deauville vit au rythme de son fameux hippodrome, l'un des plus beaux de France, inauguré en 1863. Amateurs de galop et vacanciers peuvent y assister à des ventes de yearlings reconnues dans le monde entier ou à de prestigieuses des courses.
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Patrice Le Bris

    L'hôtel de ville de Deauville

    Au centre de la très chic station balnéaire du Calvados, au milieu d'une petite place fleurie, les Deauvillais ont pour hôtel de ville un élégant édifice de style néo-normand.
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Paravision

    La silhouette du Royal Barrière

    Depuis les plages de la Manche, la haute silhouette du Royal Barrière se distingue du reste de la ville. Aussi imposant que luxueux, le Royal accueille les personnalités du monde entier depuis 1913. Consulter la fiche de l'hôtel
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Paravision

    L'église Saint-Augustin

    Inaugurée en 1865, l'église Saint-Augustin de Deauville fait l'objet d'un vaste chantier décoratif de 1929 à 1931. Deux séries de peintures murales consacrées à Saint Augustin et à Saint Laurent occupent les murs entre les piliers et les fenêtres hautes.
    ©  Office de Tourisme de Deauville - Paravision

     
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    Les jardins féeriques du château du Rivau

    Le château enchanteur du Rivau

    Dans le Val de Loire, le château du Rivau, classé au patrimoine mondial de l’Unesco, et ses jardins offrent une parenthèse enchanteresse aux promeneurs. Visite guidée de ces espaces verts. Le château a conservé une architecture typique du XVe siècle, ce qui est très rare dans la région du Val de Loire.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Un potager gargantuesque

    Ce potager a été surélevé afin d'offrir une vision globale mais aussi pour apporter de l'ombre, sans abîmer le patrimoine. Contrairement aux apparences, la palissade n'est pas en bois, comme à l'époque, mais en métal. En hommage à Rabelais qui mentionnait les terres du Rivau dans Gargantua, Patricia l'a imaginé pantagruélique avec ses légumes et cucurbitacée... Lire la suite   
    ©  Château du Rivau

    Un pédiluve merveilleux

    Près de la fontaine, le pédiluve du XVe siècle a été conservé. Les chevaux ne s'y font plus masser mais de curieux personnages viennent s'y baigner. Ce sont les êtres fantasmagoriques du monde de Fabien Verschaere.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Une pergola ombragée

    Pour habiller la cour et offrir un peu d'ombre aux visiteurs l'été, Patricia a installé une pergola recouverte de rosiers et de vignes. Près du potager, elle devient une "bulle" de romantisme.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Un marronnier bicentenaire

    Ce marronier vieux de 2oo ans a été mutilé par les intempéries. Aujourd'hui, il porte le collier gri-gri que lui a confectionné la céramiste Céline Turpin afin de le protéger et de nous rappeler que le banal a quelque chose de merveilleux. 
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Un jardin de rêves

    Au château, tout appelle à la rêverie et à la réflexion, qu'il s'agisse de l'arbre transfomé en nichoir ou de ces bottes de géants (deux pieds gauches !) de l'artiste Lilian Bourgeat (Invendus-Bottes, 2006).
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Une tulipe mauve

    Patricia a associé un thème couleur à chacun de ses jardins. Cette tulipe mauve est propre au jardin de la princesse Raiponce.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    La mise en beauté des plantes

    Patricia oppose systématiquement deux variétés de plantes différentes. Ici, ce sont des narcisses, des jonquilles et du  lilas de Perse qui se répondent et se mettent en valeur. 
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Cotinus et anémones

    Les anémones Blanda, blanches, mettent en lumière le cotinus aux feuilles pourpres.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Une mise en scène millimètrée

    Contrairement aux apparences, cette forêt n'a rien de sauvage. Ici, tout a été méticuleusement pensé et mis en scène : les scilles Campanella étaient présentes à l'origine mais trop peu nombreuses. Il a donc fallu les implanter une à une pour obtenir ce résultat.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Une forêt peuplée d'êtres bienveillants

    La forêt saisit tous nos sens... L'ouïe et le regard sont rapidement happés par la musique et les ombres que projette le Mobile aux 7 nains de Paul Rouillac (2011) Au sol, l'if s'est changé en lutin bienveillant.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Un jardin zen et bio

    Au coeur du jardin, un espace a été imaginé afin que le visiteur puisse apprécier un bain d'ombre dans un hamac. Afin de préserver la nature des produits toxiques, un hôtel à insectes a été installé. Il héberge les petits auxilliaires (syrphes, coccinelles...) qui raffolent d'espèces parasites, type pucerons, et évitent ainsi la pulvérisation d'insecticides. D'allieurs, ici tout est cultivé de façon bio. "Nous n'utilisons pas de produits chimiques, mais du paillage, du purin d'orties et des potions magiques... Lire la suite   
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Des personnages féeriques

    Quand la décoration du jardin se métamorphose en être féerique, la structure en métal qui porte le lierre se transforme en un dragon protecteur et l'épouvantail de ce cerisier en nymphe.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Cerisier shirotae

    Un cerisier à fleurs du Japon shirotae semble avoir transpercé ce parterre d'heuchères. A l'automne, le feuillage de l'arbre fruitier se teinte d'or. 
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Le phénix

    Cette cage, qu'un phénix surplombe, abrite quelques faisans dorés, une espèce d'oiseaux venue de Chine.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Une pivoine princesse

    Ici, une pivoine princesse s'apprête à éclore. Ce bouton deviendra d'ici peu une fleur gigantesque. 
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Un verger thématique

    L'organisation du verger reprend le thème médiéval des quatre éléments : l'eau, la terre, l'air, le feu. Il n'y a donc ici ques des pommiers, pruniers, cerisiers et néfliers.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Un cerisier

    C'est ce cerisier qui divise le verger en quatre parties.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Un labyrinthe

    Comme un clin d'oeil au roman de Lewis Caroll, Alice au pays des merveilles, Patricia a fait dessiner un labyrinthe de buis en tête de chat. 
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Des ruches

    Le domaine compte six ruches dont s'occupe spécialement un apiculteur. Selon la quantité de miel récoltée dans l'année, la famille en mettra en pot, produira de petits bonbons qu'elle vendra à la boutique et en garnira les assiettes de son restaurant (locavore), La table des fées, tout près du potager. 
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Pivoine arbustive

    Voici une autre pivoine, arbustive cette fois, dont le diamètre devrait atteindre 25 cm. 
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Une allée de gardiens

    En 1999, la tempête qui traversa la France s'est abattue sur les jardins et détruisit de nombreux arbres. Ceux-ci, morts, deviennent les gardiens de ces nouvelles allées.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    "La Forêt qui Court"

    Imaginées par l'artiste Basserode, ses sculptures symbolisent le danger que peut représenter l'Homme pour la nature, si fragile.
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    Un point de vue donné

    Dans le jardin, Patricia a créé un "oculus" s'ouvrant sur le château, comme ces baies qui donnaient sur les églises du Moyen Age. 
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

    Une histoire

    Transgressif, Stefan Nikolaev a érigé, avec beaucoup d'humour, un " Monument commémoratif" inspiré par le personnage de dessin animé Coyote. Celui-ci porte la couverture de feutre et la canne que l'artiste Joseph Beuys avait dans sa performance "I like America and America likes me" en 1974. Plus sérieusement, Stefan Nikolaev se fait narrateur d'une nouvelle histoire, celle de l'homme qui cherche à échapper à sa nature sauvage.
    ©  Emmanuelle Lopez / JournalDesFemmes.com

     

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    Faites escale à Cherbourg

    Cherbourg, une ville qui respire la mer

    Cherbourg, cité maritime
    Avec sa Cité de la mer, son arsenal ou ses chantiers navals, la ville de Cherbourg-Octeville est toute entière tournée vers l'océan et ses navires. Découvrez les hauts-lieux de ce joli port normand.
    ©  Dominique Sarozny

    Une position stratégique

    Une position stratégique
    Cherbourg-Octeville (les deux villes ont fusionné en 2003) occupe une position géographique privilégiée, au bout de la presqu'île du Cotentin. En 1783, Louis XVI a pris la décision de construire un port militaire à cet endroit, au cœur de la Manche.
    ©  Frédéric Daout

    La plus grande rade du monde

    La plus grande rade du monde
    En 1853, la construction de l'énorme digue servant à protéger le ville est terminée. Longue de 1 500 hectares, la rade de Cherbourg devient alors la plus grande rade artificielle du monde.
    ©  Patrick Vaquez

    La Cité de la Mer

    La Cité de la Mer
    La Cité de la mer est un complexe unique consacré à la conquête des fonds marins par l'homme. Le musée s'est implanté dans l'ancienne Gare maritime transatlantique de Cherbourg. Il accueille le plus grand bassin d'Europe, où vivent plus de 3 500 poissons. Par ailleurs, les visiteurs peuvent également pénétrer à l'intérieur du sous-marin nucléaire Le Redoutable.
    ©  La Cité de la Mer / Sylvain Guichard

    La visite du sous-marin Le Redoutable

    La visite du sous-marin Redoutable
    Dans les années 60, Cherbourg a été choisi par le Général de Gaulle pour la construction du Redoutable, le premier sous-marin nucléaire français lanceur d'engins. C'est actuellement le plus grand sous-marin ouvert au public au monde. La visite se fait en 35 minutes environ.
    ©  Olivier Boyer

    L'arsenal de Cherbourg

    L'arsenal de Cherbourg
    L'arsenal de Cherbourg s'est spécialisé dans la construction de submersibles de guerre à partir de la fin du 19e sicèle. Outre le Redoutable, le Surcouf et le Triomphant sont sortis de ses chantiers. Malheureusement pour les ouvriers de l'arsenal, la production s'est nettement ralentie ces dernières années, à la suite des restrictions budgétaires et de la réorganisation de l'armée.
    ©  Hélène Bousquet-Cassagne

    Le Quai des mers, restaurant atypique

    Le Quai des mers, restaurant atypique
    Le Quai des mers a lui aussi pris possession de l'ancienne Gare transatlantique. Le restaurant est situé dans une halle classée à l'inventaire des Monuments Historiques. La baie vitrée et la terrasse extérieure donnent sur le port et la rade de Cherbourg.
    ©  Quais des mers

    Le Marité fait peau neuve

    Le Marité fait peau neuve
    En janvier 2006, le Marité a été mis en cale-sèche à Cherbourg pour subir d'importants travaux de rénovation. Ce fameux trois-mâts est le dernier terre-neuvier français en activité (bateau qui pêche la morue dans les Grands Bancs de Terre-Neuve).
    ©  Bernard Fosse

    Mise à l'eau en avril 2009 ?

    Mise à l'eau en avril 2009 ?
    Le Marité devrait retrouver les eaux de la Manche en avril 2009, afin de poursuivre sa rénovation au chantier Bernard de Saint-Vaast-la-Hougue. Les travaux seront probablement terminés en 2012.
    ©  Guy Leguay

    Cherbourg, cité transatlantique par excellence

    Cherbourg, cité transatlantique par excellence
    Cherbourg accueille historiquement les plus grands paquebots transatlantiques. Même le Titanic y a fait escale en 1912 pour son voyage inaugural. L'ex-France (devenu Norway puis Blue Lady) y est venu à plusieurs reprises : en 1974 (à cause d'une grève des "Abeilles", les remorqueurs, au Havre), 1988 et 1999.
    ©  Jean-Claude Meriel

    Le Queen Mary II à Cherbourg

    Le Queen Mary II à Cherbourg
    Le Queen Mary II a aussi régulièrement accosté sur le quai de France, pour une brève escale. Lors de sa dernière visite, en 2008, près de 50 000 personnes étaient venues admirer le fleuron de la compagnie Cunard.
    ©  Philippe Anagnostides

    Port Chantereyne, le bonheur des plaisanciers

    Port Chantereyne, le bonheur des plaisanciers
    Port Chantereyne, le port de plaisance de Cherbourg-Octeville, accueille en moyenne 12 000 bateaux chaque année. C'est le premier port d'escale français pour les plaisanciers. Sa particularité : il est accessible à toutes heures de la marée pour les bateaux dont le tirant d'eau est inférieur à 2,50 mètres.
    ©  Bernard Fosse

    La Tall Ships' Race à Cherbourg

    La Tall Ships' Race à Cherbourg
    En 2005, Cherbourg a accueilli une étape de la Tall Ships' Race, la course des plus grands voiliers du monde (en photo, le trois-mâts russe Mir). Elle avait déjà eu ce privilège en 1987, quand la compétition s'appelait encore Cutty Sark.
    ©  Norbert Sirot

    La Solitaire du Figaro

    La Solitaire du Figaro
    Habituée des courses nautiques, Cherbourg-Octeville est régulièrement une ville-étape pour la Solitaire du Figaro et le Tour de France à la voile.
    ©  Alain Letassey

    Le musée d'histoire naturelle

    Le musée d'histoire naturelle
    Situé dans la maison d'Emmanuel Liais (astronome, naturaliste, explorateur, ancien maire de Cherbourg), le musée d'histoire naturelle de Cherbourg-Octeville regroupe une collection de coquillages, de minéraux, d'oiseaux et d'animaux (phoques et requins) empaillés.
    ©  Cherbourg-Octeville, muséum Liais / L'Internaute Magazine

    Le musée de la Libération

    Le musée de la Libération
    Cherbourg, ville stratégique pendant la Seconde Guerre mondiale, a été occupée par l'armée allemande de 1940 à 1944. Le musée de la Libération revient sur cette période noire. Le bâtiment est construit dans le fort du Roule, qui domine Cherbourg et sa rade. Ce lieu n'a pas été choisi au hasard : il devait empêcher toute invasion venant de la mer.
    ©  Cherbourg-Octeville, musée de la Libération / L'Internaute

    Le sentier des douaniers

    Le sentier des douaniers
    Aux environs de Cherbourg-Octeville, sur le littoral, les promeneurs trouveront leur bonheur en empruntant le sentier des douaniers (GR 223). L'idéal est de partir de Landemer, près de Gréville-Hague. Le panorama est superbe (photo) et l'accès au chemin, facile. Les amateurs de peinture pourront même visiter la maison de Jean-François Millet... Lire la suite   
    ©  Magali Haté

    Des pirates bienveillants

    Des pirates bienveillants
    L'univers de la mer est présent jusque dans les rues piétonnes de la ville... Ici, un pirate guette l'arrivée des clients du Mille Sabords, un pub cherbourgeois.
    ©  Bernard Fosse

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